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  • il y a 7 heures
Avec Fabien Lecoeuvre, auteur

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##SUD_RADIO_MEDIA-2025-12-09##

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Transcription
00:00Le 10h midi, Sud Radio Média, Valérie Expert.
00:05Et l'émission Média avec aujourd'hui John à la place de Gilles.
00:09A nouveau, Gilles qui a pris quelques jours mais il sera là demain.
00:13Bonjour John et bonjour Fabien Lecoeuvre.
00:15Bonjour Valérie.
00:16Un peu d'apaisement, un peu de légèreté.
00:18Enfin, quoique parfois c'est pas toujours léger les chansons.
00:21On va revenir avec vous sur ce livre qui est un cadeau de Noël idéal,
00:26nos années bonheur en chansons qui paraît chez Fayard.
00:30Évidemment, on vous retrouve chez Cyril Hanouna du lundi au vendredi sur W9.
00:35C'est un quart d'heure qui cartonne avec Michel-Marie.
00:39Vous êtes tous les deux.
00:40Absolument.
00:41Et vous avez une vraie complicité tous les deux.
00:43Oui, à trois avec Cyril puisqu'on fait un duo de clown presque.
00:48Absolument.
00:48Il vous taquine beaucoup à Cyril.
00:51Oui, mais parce que c'est le principe.
00:52Moi je connais Cyril depuis 23 ans, j'ai été son premier employeur.
00:55Donc on se connaît très très bien.
00:57Et en fait, j'écris souvent les choses pour qu'il en fasse des sketchs.
01:01Parce que les gens, ce qu'ils attendent, c'est pas forcément mes histoires.
01:04Ils attendent surtout les sketchs de Cyril Hanouna.
01:09Le personnage qu'il est.
01:10Et que les gens aiment tellement.
01:12Vraiment, je le vois partout quand je me déplace.
01:15Qu'est-ce qu'on vous demande ?
01:16Il est sympa ? Comment il est en vrai ?
01:19Il est sympa Cyril Hanouna ?
01:20Oui, bien sûr.
01:21C'est un type délicieux qui est drôle.
01:23Moi il me fait rire.
01:23De toute façon, on travaille tellement proche, sans pour ça vraiment se parler dans la vie.
01:28D'ailleurs, parce que si on se parle trop, on n'aurait pas cette efficacité à l'antenne, à mon sens.
01:33Donc, mais on se connaît tellement, il sait ce que je vais dire, il sait...
01:36On se respire tellement, c'est hallucinant cette complicité.
01:40Ce que j'avais aussi avec Patrick Sébastien pendant 14 ans.
01:42Il faut rappeler les années bonheur où vous étiez aux côtés de Patrick Sébastien.
01:45Exactement.
01:46Et on avait cette complicité.
01:48Alors, on se tapait le genou sous la table quand je savais qu'il était à bout de souffle, Patrick.
01:51Parce que c'est difficile de le couper lui, Patrick Sébastien.
01:54Et c'est sûr.
01:54C'est un personnage et c'est un maître absolu de la télévision, évidemment.
01:57Donc, j'ai beaucoup appris avec lui.
01:59Et avec Cyril, c'est encore une autre école.
02:01Mais j'apprécie beaucoup, en tout cas.
02:03Vous avez des fous rires, en tout cas, assez épiques.
02:06Oui, on pleure beaucoup, on pleure beaucoup de rires.
02:08Vous pleurez beaucoup de rires.
02:08Et puis, vous êtes l'un des grands spécialistes de la chanson française,
02:12si ce n'est, oui, peut-être le plus grand de la chanson de variété.
02:16Mais j'ai traversé le temps.
02:17Vous avez traversé le temps, vous avez traversé les époques.
02:21Ce livre-là revient...
02:22Alors, ce qui est fascinant dans votre livre, c'est qu'on connaît toutes les chansons.
02:25Et on se dit, c'est incroyable qu'il y ait autant de chansons qui étaient des tubes comme ça.
02:30Mais vous savez, Valérie, la sélection s'est faite par mon éditeur qui m'a dit,
02:34voilà, il faut que tu trouves un dénominateur commun à la sélection de ces 300 titres dont tu racontes l'histoire.
02:40Et en fait, le vrai dénominateur commun, c'est qu'elles ont toutes vendu plus d'un million d'exemplaires.
02:45Parce que pourquoi je vais prendre une chanson plus qu'une autre ?
02:48Et ça, c'était une bonne direction que m'a donnée l'éditeur.
02:52Et en fait, donc, j'ai pris aussi bien à la queue leu-leu de Bézu que aussi bien...
02:58Que le petit coup à la maison, que le métèque...
03:01Le métèque de Moustaki, que ce soit aussi bien à la barrière,
03:04John Alidé, Sardou, Farmer.
03:06Là, il y a des dominants dans le livre, évidemment,
03:07parce que c'est là où on voit les ventes de disques de chacun.
03:10Mais, et surtout, j'ai dédié ce livre à mon ami Patrick Sébastien.
03:13Pourquoi ? Parce que sans lui, j'aurais jamais fait des livres sur les histoires de chansons.
03:17C'est à l'issue d'une émission, Les années bonheur.
03:19On avait reçu Henri Salvador.
03:20Il avait déjà un bon 90 ans.
03:22Et je lui avais rappelé que les personnages d'Astérix et d'Obelix ont été créés
03:26à la suite de l'été 1960, durant l'été 60, par Goscinny et Uderzo,
03:31qui étaient deux dessinateurs au journal Pilote.
03:34Et quand ils ont entendu la chanson
03:35« Faut rigoler, faut rigoler » d'Henri Salvador,
03:38qui commence « Nos ancêtres, les Gaulois ».
03:41Et c'est à partir de là qu'ils ont eu l'idée de faire Astérix.
03:43Et j'ai rappelé ça dans l'émission avec Henri Salvador.
03:46Et il m'a confirmé, Henri.
03:47Mais oui, quand il m'a dit ça, j'ai dit « Bon, ben ça y est ».
03:50Et Patrick, au débriefing dans la loge, après l'émission,
03:53il m'a dit « Mais tu devrais consigner tout ça dans un livre ».
03:55Et c'est pour ça que celui-là, j'ai décidé de lui dédier ce livre.
04:00Parce que sans lui, il n'y aurait pas eu de livre qui raconte les histoires de chansons.
04:03Vous êtes aussi l'un des grands spécialistes de Claude François.
04:07Entre autres, quand il y a des ventes aux enchères,
04:09votre nom est là, à chaque fois,
04:11quand il y a des ventes aux enchères d'objets
04:13ayant appartenu à des rock stars, à des chanteurs,
04:16c'est vous qui authentifiez en quelque sorte.
04:19Depuis 13 ans, j'ai une licence d'expert,
04:21évidemment, où je certifie ou pas,
04:23je fais les attestations, je refais la traçabilité des objets.
04:26C'est-à-dire, quand il y a des ventes, des successions,
04:28que ce soit Juliette Gréco, que ce soit Aznavour,
04:30que ce soit Galberger, que ce soit toutes les grandes successions d'artistes,
04:32il faut faire ce qu'on appelle des évaluations.
04:35Pas pour les vendre, ou pas les affaires forcément,
04:37mais quand c'est des gens moins connus,
04:38des grands directeurs artistiques, des anciennes habilleuses,
04:41des patrons de maison de 10, des anciennes attachées de presse, etc.
04:43Ces gens disparaissent, hélas, comme nous tous,
04:46et à un moment donné, les familles vendent.
04:48Donc je fais les évaluations, j'accompagne jusque les ventes aux enchères
04:50pour faire l'expertise ou pas,
04:52pour certifier ou pas si cette chose a bien appartenu
04:55ou tel ou tel artiste, bien sûr.
04:56On va revenir sur votre livre,
04:58alors des histoires, des anecdotes autour des chansons,
05:01et puis on apprend des choses,
05:02moi j'ai découvert, enfin pas découvert,
05:04mais je me suis souvenu, parce que je ne suis pas très jeune non plus,
05:06enfin non plus, vous êtes très jeune,
05:07mais que par exemple, les 45 tours,
05:10il n'y avait pas de photos avant.
05:12Et que c'est Eddie Barclay qui a fait ça pour Dalida.
05:15Bien sûr.
05:15Et ça, c'est vrai qu'on n'imagine pas,
05:18il y avait juste le 45 tours avec le centre dans une petite pochette.
05:22Et vous prenez les premiers autographes,
05:24même d'Elvis Presley aux Etats-Unis,
05:25ils signaient sur l'étiquette du disque,
05:26l'étiquette centrale du disque.
05:28Ah oui, oui, donc il y a plein de choses comme ça.
05:29Avant 1955, il faut le rappeler, bien sûr.
05:31On va y revenir, et tout de suite, c'est le zapping de John.
05:37Bon, je ne vais pas parler de 45 tours,
05:41je suis désolé Valérie et Fabien,
05:44mais je vais vous parler d'un artiste
05:46qui ne fait pas trop parler de lui
05:48alors qu'il a sorti un album la semaine dernière.
05:52Et je voulais vous en parler,
05:53puisque avec tout ce qui se passe autour de Brigitte Macron,
05:56vous en avez parlé dans vos débats
05:59avec ses insultes sur les féministes,
06:01je vous parle de Slimane.
06:03Slimane qui, vous le savez,
06:05a été tout simplement
06:07condamné pour harcèlement sexuel
06:09et il est complètement absent des médias.
06:12J'ai dû partir sur la télévision belge
06:14pour avoir des médias qui parlaient de lui
06:16et de savoir si, oui ou non,
06:18il allait pouvoir revenir bientôt dans les médias
06:20et notamment dans les émissions de variété.
06:21Écoutez.
06:22Je vais vous dire que Slimane va revenir,
06:24notamment sur les émissions de variété de TF1.
06:27Ça, ça veut dire qu'on le verra à la Star Academy.
06:29Écoutez, pas plus tard qu'hier,
06:30moi j'étais au concert de Lara Fabian à Bercy.
06:33Qui est venu chanter avec Lara Fabian ?
06:35Slimane.
06:36Est-ce qu'il y a eu des OU ou des A
06:38ou des signes de réprobation ?
06:41Absolument pas.
06:42Il a fait un triomphe.
06:44Et il y a des signes qui ne trompent pas.
06:46C'est peut-être ça qu'attendent aussi
06:47les chaînes de télé et les radios
06:48pour se rassurer et finalement éviter la polémique ?
06:50Je vais vous donner un élément, un seul.
06:52Le public a toujours raison.
06:54Le public a toujours raison, Fabien Lecaux.
06:56Je partage totalement cet avis, évidemment.
06:58Slimane, qui est un immense artiste,
07:00aussi bien auteur, compositeur qu'interprète.
07:03Et je pense qu'il a eu ses petits soucis
07:05pour harcèlement moral, etc.
07:08Il a été condamné, très bien.
07:09Bon, ben voilà, la justice est passée, point.
07:11On ne va pas rendre la justice toute sa vie
07:13pour tuer, on va dire, socialement cet artiste.
07:16On n'est plus tôt qu'avec les artistes
07:18d'à l'époque, dans les années 60, 70, 80,
07:21aujourd'hui, avec notamment les réseaux sociaux ?
07:24Non, c'est surtout que la différence
07:25entre hier et aujourd'hui,
07:26c'est que la parole s'est libérée.
07:27Et ça, c'est une très bonne chose.
07:29Mais il faut faire attention
07:30parce qu'à un moment, on est condamné ou pas,
07:32ou s'il y a des non-lieux,
07:33on le voit en ce moment dans d'autres affaires.
07:36C'est très compliqué
07:37parce qu'on ne peut pas rendre la justice
07:38à la place de la justice.
07:40C'est ça qu'il faut dire maintenant.
07:41Il faut croire en la justice de notre pays
07:42et il faut arrêter d'harceler les artistes
07:46avec des associations parfois
07:48qui sont utiles dans certains cas.
07:50Encore une fois de plus,
07:50on ne peut tirer sur personne.
07:52Mais il faut savoir s'arrêter
07:53quand un artiste a été jugé, condamné,
07:56ou avec un non-lieu.
07:58Il faut s'arrêter
07:59parce qu'on ne peut pas le faire mourir socialement,
08:01pour moi.
08:02Le 5 décembre dernier,
08:04c'était l'anniversaire du décès
08:05de Johnny Hallyday,
08:068 ans qu'il nous a quittés à cette occasion.
08:08Eh bien, David Hallyday
08:09va sortir un documentaire demain soir
08:11sur M6
08:12et dans la nouvelle émission
08:15d'Anne-Sophie Lapique sur M6.
08:16Il a évoqué sa tristesse
08:17de ne pas vraiment avoir pu voir son père
08:19une dernière fois.
08:21Vous dites que vous n'avez pas pu lui dire adieu.
08:23Je ne reviens pas beaucoup dessus.
08:25Vous dites que vous n'avez pas pu rentrer dans cette chambre.
08:27C'est votre belle-mère qui vous en a empêché.
08:28C'est quelque chose,
08:29c'est une blessure qui reste là ?
08:31Ah oui, je pense que c'est un truc,
08:33c'est quelque chose dont je ne m'en mettrai jamais.
08:37Alors le temps apaise,
08:39mais on ne peut pas oublier.
08:40Quand on fait un documentaire
08:41sur une vie de ma naissance jusqu'à aujourd'hui,
08:44forcément, il y a des bons moments,
08:45il y a des moments qui sont plus difficiles.
08:47Et je ne veux pas être trop lourd,
08:51on va dire,
08:52parce que c'est des moments difficiles
08:53pour moi aussi d'en parler.
08:54On connaissait ce souci.
08:58Moi, j'en ai beaucoup parlé
08:59au moment de la disparition de Johnny,
09:01puisque j'ai même été le garçon
09:02qui était de Jean-Pierre Pernod et d'Alcla Caudray,
09:05j'ai commenté les obsèques de Johnny sur TF1,
09:06donc je connais bien le dossier.
09:08Effectivement, entre le 2 décembre au soir
09:10et le 5 décembre,
09:12date de confirmation de sa disparition,
09:13personne n'a vu Johnny Alidé.
09:16Apparemment, à chaque fois que quelqu'un venait
09:17à la Villa Sabana
09:18ou habitait à Marbe-la-Coquette,
09:20Johnny Alidé,
09:21où il est mort,
09:21puisqu'on sait qu'on avait aménagé une chambre
09:23dans son bureau là-bas,
09:24à chaque fois,
09:25les gens et Laetitia faisaient dire
09:27« Non, non, il vient de s'endormir,
09:28il avait du mal à dormir, etc. »
09:30à la suite de l'immunothérapie,
09:31c'est le traitement qu'il avait,
09:32mais qui malheureusement ne faisait plus d'effet.
09:34Et c'est vrai que ça peut être violent
09:36pour un enfant,
09:37que ce soit d'ailleurs David ou Laura,
09:38ils n'ont pas pu voir leur papa,
09:40on va dire,
09:40la veille de sa disparition,
09:42et lui dit une dernière fois au revoir.
09:44Bon, c'était alors,
09:44selon Laetitia...
09:45Alors, est-ce que c'était la volonté de Johnny
09:46qu'on ne le voit pas dans cette erreur-là ?
09:48Exactement, Valérie.
09:50C'est très compliqué, je pense,
09:52et bon, c'est difficile de se mêler de ça en plus,
09:54parce que c'est quand même la sphère très privée.
09:56C'est la sphère très très privée.
09:57Le seul qui peut vraiment s'exprimer,
09:59pour moi, c'est David,
09:59parce qu'il a une légitimité plus que les autres,
10:02et ça l'a probablement blessé en tant qu'enfant,
10:04et on peut le comprendre.
10:05Ce sera intéressant de voir ce documentaire
10:07demain soir sur M6.
10:09Bon, les années bonheur,
10:10on en parlait à la base,
10:11c'est une émission avec Patrick Sébastien
10:13qui a évoqué il y a quelques jours
10:15sur BFM TV
10:16son éviction de France Télévisions.
10:18Vous savez, moi, j'ai été viré de la télé
10:21par des wokistes, justement,
10:23parce que j'étais un homme blanc de plus de 50 ans.
10:26Surtout de plus de 50 ans.
10:27On n'a pas le droit de virer quelqu'un
10:28de son travail pour sa couleur.
10:30C'est ces gens-là qui m'ont foutu dehors,
10:33et qui ont dit merde,
10:34et qui ont dit à une partie de la population
10:36d'aller vous faire foutre,
10:37justement parce qu'ils n'ont pas envie
10:38d'être dans les codes qu'on leur impose.
10:40Moi, je n'ai rien contre le wokisme
10:44à partir du moment où on ne me l'impose pas.
10:46Voilà, vous faites ce que vous voulez,
10:47mais laissez-moi faire ce que je veux.
10:49Laissez-moi vivre comme moi j'ai envie de vivre.
10:51Laissez-moi cultiver ma mémoire, mon patrimoine.
10:54C'était un énorme carton,
10:55les années bonheur, le grand camarade,
10:57enfin tout ce que faisait Patrick Sébastien
10:59fonctionnait.
11:00Bien sûr, bien sûr.
11:01Moi, je l'ai vécu,
11:01parce que j'ai fait la première,
11:02la dernière émission.
11:03On en a tourné, je crois, 117, 118.
11:05Et en fait, mais déjà,
11:06ça s'est arrêté en 2019,
11:08mais déjà depuis 2017,
11:10on s'allait toujours s'arrêter.
11:12Il y a eu deux ans
11:13où on a fait, je crois,
11:14quatre ou six émissions par an, évidemment.
11:16Mais ça devait toujours être la dernière.
11:18On savait que la chaîne
11:19voulait proposer autre chose, etc.
11:21Moi, je ne l'ai pas vécu
11:22comme l'a vécu Patrick,
11:23évidemment,
11:23parce qu'il était producteur,
11:25animateur,
11:26enfin de l'émission.
11:26Moi, j'ai toujours pensé
11:29que France Télé
11:30n'allait pas se séparer
11:31d'un talent comme Patrick Sébastien.
11:33Quand on me posait la question,
11:34déjà à l'époque,
11:34je disais,
11:35mais je crois qu'une chaîne
11:36comme France Télévisions
11:38est suffisamment intelligente
11:39pour ne pas se séparer
11:39d'un talent comme Patrick.
11:41Et puis, l'histoire,
11:42on a tourné différemment.
11:43Après, je ne sais pas
11:44ce qui s'est passé.
11:45Moi, je ne suis pas
11:45dans les négociations.
11:50Après, la télévision,
11:51c'est brutal.
11:52Mais tout le monde.
11:53Pour tout le monde.
11:54Vous avez eu une émission,
11:55à vous ou pas ?
11:57Jamais.
11:57Moi, je suis ce qu'on appelle
11:58un apporteur d'eau.
12:00Je me qualifie comme ça.
12:01C'est-à-dire que je viens
12:02raconter mes histoires.
12:03Soit je confirme
12:04des chroniques dans l'émission
12:06et j'apporte de l'eau
12:08comme ça au moulin
12:09de chacune des émissions.
12:11Que ce soit Patrick
12:12ou même, je le fais encore
12:12chez Cyril.
12:13Donc, je n'ai pas ce statut.
12:15J'ai un statut d'expert
12:16plus que chroniqueur.
12:18Plus qu'animateur.
12:19Mais ça vous plairait ?
12:21Pourquoi pas ?
12:21Demain, peut-être ça viendra.
12:23Je ne sais pas.
12:24Pour le moment,
12:24j'ai suffisamment de travail
12:26déjà en tant qu'expert.
12:28Alors, peut-être qu'un jour...
12:30Mais je n'ai pas assez
12:31dans mes projets immédiats.
12:32Peut-être que quelqu'un
12:32viendra un jour
12:33avec un idée, un projet.
12:34Pourquoi pas ?
12:35Mais chacun son métier.
12:36On ne peut pas être
12:36à la fois spécialiste
12:37et en même temps mener le jeu.
12:39Parce que c'est un métier animateur.
12:40Attention.
12:40Oui, bien sûr.
12:42Quand on pense aux années bonheur,
12:44il y a beaucoup de personnes
12:45qui vont dire
12:45que c'est pour les vieux.
12:47Il y a des personnes
12:48qui vont dire ça.
12:49Mais alors, c'est quoi être vieux ?
12:50C'est la question
12:51que s'est posée LCI ce matin.
12:52Ils sont notamment
12:53à aller dans la rue, écouter.
12:55C'est la question qui tue.
12:57À quel âge sommes-nous vieux ?
12:58À 60.
12:59À partir de 40 ans.
13:01Je viens de passer le cap.
13:03Je pense 70 ans.
13:04Des réponses qui fluctuent.
13:05Mais selon une enquête,
13:06les Français estiment en moyenne
13:07qu'on est vieux à 69 ans.
13:09De quoi surprendre
13:10et rassurer certains.
13:12J'ai encore deux ans.
13:1369 ans.
13:15C'est vrai que j'en suis
13:15assez loin, mais bon.
13:17Alors, comment justifier
13:18cette différence de perception ?
13:20Et bien principalement
13:21par la différence d'âge
13:22des personnes interrogées.
13:24Si vous regardez
13:24les personnes qu'on a interviewées
13:26qui ont 70 ou 80 ans,
13:27elles répondent
13:28à partir de quel âge
13:29je sens ton vieux
13:29et ils mettent 90 ans.
13:31En revanche,
13:31vous interviewez
13:32un gamin de 14 ans
13:33à 30 ans,
13:34il est déjà vieux.
13:34Pratiquer une activité physique,
13:36avoir une bonne alimentation,
13:38autant de secrets
13:39pour bien vieillir,
13:40même si conserver
13:41une vie sociale épanouie
13:42reste indispensable.
13:44Ouais.
13:45Et puis, on termine ?
13:47En musique.
13:47Évidemment,
13:48on parlait de Johnny
13:49il y a quelques minutes.
13:50Un inédit a refait surface,
13:52vous l'avez forcément entendu Fabien.
13:54Bien sûr.
13:54Un inédit,
13:55une chanson entre
13:55Johnny Hallyday
13:56et Michel Berger,
13:58publiée à l'occasion
13:58d'une réédition
13:59qu'on va écouter.
14:00Vous en pensez quoi, Fabien ?
14:15Alors, j'ai eu deux explications.
14:16D'abord, on ne l'a pas retrouvé.
14:17Oui, c'est ça.
14:18On savait que ça existait
14:19sur les bandes.
14:21L'album est sorti
14:22le 26 juin 1985 à l'époque
14:23et on savait qu'il y avait
14:25ce duo.
14:25Deux raisons
14:26pour lesquelles ils n'ont pas sorti,
14:27c'est à la demande de Michel Berger.
14:29Un, parce que
14:30si vous écoutez bien
14:31ce duo qui est sublime,
14:32les notes
14:33et le tempo
14:33et l'ambiance
14:35est très proche
14:35du chanteur abandonné
14:36qui a été le premier extrait.
14:38D'accord.
14:38Vous pouvez presque chanter
14:39le chanteur abandonné
14:40sur la musique
14:41de ce duo.
14:43Et la deuxième raison,
14:44c'est que Michel Berger
14:45avait dit dans une réunion
14:45avec Universal à l'époque,
14:47c'était Pascal Ney
14:47qui était le grand patron
14:48d'Universal,
14:50il avait dit
14:50mais moi je ne veux pas
14:51être en lumière,
14:52on va retirer de la lumière
14:53à Johnny Hallyday
14:54pour la sortie de ce disque.
14:55Si on fait ce duo
14:56Berger et Berger-Hallyday
14:58et pour ces deux raisons,
14:59on l'avait mis de côté.
15:01Et voilà,
15:01on savait qu'il existait.
15:02Et ça a attendu
15:03autant de temps.
15:04Après, dans l'intervalle,
15:05évidemment,
15:06Berger a disparu,
15:07France Gall a disparu,
15:08aujourd'hui,
15:08celui qui est aux manettes,
15:09c'est son fils Raphaël
15:10et il a probablement
15:12autorisé maintenant
15:13puisqu'il représente
15:14ses dignes parents,
15:16évidemment,
15:16il a sûrement autorisé
15:17qu'on puisse aujourd'hui
15:18exploiter ce titre
15:20avec la réédition
15:21de cet album culte.
15:22On se retrouve
15:22dans un instant
15:23avec vous Fabien Lecoeuvre
15:24pour parler de nos années
15:25bonheur en chanson
15:26qui est parue chez Fayard
15:27et vous nous direz
15:28ce que Michel Berger,
15:29pardon,
15:30pas Michel Berger,
15:31Michel Delpeche
15:32disait de votre dictionnaire.
15:34Parce que je vous ai dit
15:35que c'était très addictif
15:36parce qu'on a envie
15:38de savoir
15:39et à chaque fois,
15:39on passe une chanson
15:40puis on se dit encore une.
15:41Bref,
15:41on se retrouve
15:42dans un instant avec vous.
15:43A tout de suite.
15:43Le 10h midi,
15:46Sud Radio Média,
15:48Valérie Expert,
15:50Les Chevaliers du Fiel,
15:5217h, 18h sur Sud Radio.
15:55Qu'est-ce qui passe
15:56des grèves d'air frais ?
15:57Sud Radio Média,
15:59l'invité du jour.
16:00L'invité du jour,
16:01c'est Fabien Lecoeuvre.
16:02Il nous faudrait
16:03des heures d'émission
16:03avec vous.
16:04Nos années bonheur
16:05en chanson
16:05qui paraît chez Fayard.
16:08Je vous le conseille
16:09parce que ça livre,
16:11je le disais,
16:11addictif.
16:12Vous connaissez toutes les chansons.
16:13Il y a combien de chansons
16:13dans le livre ?
16:14Il y en a 300
16:15dans cet ouvrage.
16:16300.
16:16Elle nous évoque
16:17presque à chaque fois
16:18un souvenir
16:19et vous racontez
16:21la petite histoire
16:22derrière ces chansons.
16:23Et je vous disais aussi,
16:24on découvre aussi
16:25ceux qui les ont écrites,
16:26ceux qui ont eu
16:27un talent absolument phénoménal
16:29à différentes époques
16:30et qui ont réussi
16:32à faire des tubes
16:33pour de nombreux artistes.
16:35Oui, déjà d'une part
16:36parce qu'on ne guérit
16:37pas de notre enfance
16:37et on ne veut pas guérir
16:38notre enfance.
16:39On ne veut pas.
16:39On veut rester
16:40parce que c'est aussi
16:41un bonheur
16:42que d'être triste.
16:44C'est ça, quelque part,
16:44la définition de la nostalgie.
16:46C'est la nostalgie.
16:47C'est le bonheur
16:47d'être triste.
16:48Et on ne veut pas.
16:49Alors, c'est vrai
16:49que dans son livre,
16:50on découvre en même temps
16:51tous ces gens de l'ombre,
16:52ces grands directeurs artistiques,
16:54ces grands auteurs,
16:54ces grands compositeurs,
16:55ces grands éditeurs,
16:56tout ça qui ont fait
16:57un patrimoine musical français.
17:00Et c'est important
17:01de les remettre en lumière
17:01et puis surtout,
17:02vous savez, Valérie,
17:03c'est que quand on connaît
17:04l'histoire d'une chanson,
17:05on ne l'écoute plus
17:06de la même manière,
17:07à la chanson.
17:08Je pense à la chanson
17:08Si tu m'avais laissé le temps,
17:09David Hallyday,
17:10par exemple,
17:10énorme succès des années 90,
17:13eh bien,
17:13on pensait qu'il parlait
17:16à ce moment-là
17:16de son épouse,
17:18Estelle Lefebure,
17:19Estelle Hallyday,
17:20qu'il avait quitté
17:21pour un autre
17:22et on pensait
17:22que ça s'adressait à elle.
17:24C'était bon,
17:24mais au moment,
17:24eh bien, pas du tout.
17:25En fait, il parlait
17:26de son grand-père.
17:27Son grand-père.
17:28Si tu m'avais laissé le temps,
17:29le papa de Sylvie Vartan
17:30et qu'il n'avait pas eu
17:32le temps de connaître
17:33parce qu'il est mort en 1970,
17:34le papa de Sylvie,
17:35qui était le grand-père de David
17:36et c'est à lui
17:37qu'il adressait cette chanson.
17:38Donc d'un seul coup,
17:39on n'écoute plus les chansons
17:40de la même manière,
17:41surtout quand on connaît
17:41la sensibilité
17:42d'un artiste aussi talentueux
17:44que David Hallyday.
17:44Et pratiquement toutes les chansons
17:46ont une histoire.
17:48Non, pas toutes.
17:49Pas toutes ?
17:49Eh oui, très curieusement,
17:51on l'a affirmé beaucoup
17:52dans les années 80-90
17:53et je pense pas toutes.
17:54Il y a des chansons
17:55qui n'ont pas d'histoire
17:55parce que c'est comme ça.
17:57Parce que la chanson se fait
17:58et s'écrit.
17:59Je pense qu'elles n'ont pas
18:02toute une histoire.
18:02Moi, je suis embêté d'ailleurs
18:03pour les choisir à chaque fois
18:04quand je fais rentrer
18:05des nouveaux titres
18:05dans cette espèce de dictionnaire
18:07qui existe maintenant
18:07depuis presque 20 ans.
18:09Parce qu'il y a des chansons
18:12ou alors qui ont des histoires
18:13tout à fait ordinaires.
18:14Ordinaire et sans intérêt.
18:15Une histoire,
18:15il faut qu'il y ait un début,
18:16un milieu et une chute.
18:18Belle, belle, belle ?
18:19Bah oui,
18:19c'était pas pour Claude-François
18:20au départ.
18:20Oui, c'est ça.
18:21Voilà, donc là,
18:22il y a des anecdotes bien sûr.
18:23Et les paroles
18:24qui n'étaient pas celles-là.
18:25Et qui n'étaient pas celles-là,
18:26c'était pas du tout,
18:28ils avaient écrit pas du tout
18:29cette chanson.
18:30Louis Clo-Clo voulait
18:30que ça sonne comme une cloche,
18:31belle en anglais.
18:32Et c'est pour ça
18:33qu'ils sont partis
18:33sur ces trois onomatopées,
18:35on va dire.
18:35Le Sud ?
18:36Ah bah le Sud,
18:37c'est une histoire de jardinage.
18:38Alors allez-y,
18:39on va écouter un petit extrait.
18:40C'est une des plus belles
18:41chansons françaises,
18:42évidemment.
18:42C'est Lino Ferrer.
18:44Et il l'a écrite
18:45deux ans avant
18:45que ça devienne
18:46le tube de l'été 1975
18:47parce qu'il avait acheté
18:48des rosiers
18:49chez un grand horticulteur.
18:50Il habitait à Ruel-Malmaison
18:52en région parisienne
18:53et il voulait créer
18:53une roseraie
18:54pour celle qu'il aimait
18:55la maman de Miafra.
18:57Voilà,
18:57avec qui il partageait
18:58sa vie à l'époque.
18:59Il voulait lui faire
19:00une roseraie.
19:00Alors il va commander
19:01300 rosiers dans des cageots
19:02qui, deux mois après,
19:04n'aient toujours pas
19:04planté ces rosiers.
19:06Donc,
19:06et les gens qui venaient
19:07à ce moment-là
19:08à chaque fois
19:08chez Lino Ferrer
19:09voyaient ces rosiers
19:10commencer à germer
19:11à travers les cageots.
19:12Et tout le monde disait
19:13mais ta roseraie,
19:14là il faut que tu plantes
19:15tes rosiers,
19:15tu n'auras jamais de roses
19:16pour l'été.
19:17Il disait ici
19:18ne t'inquiète pas
19:18le temps dure longtemps.
19:20Et à partir de là,
19:21la chanson au départ
19:22ne s'appelait pas le sud,
19:23elle s'appelait
19:23le temps dure longtemps.
19:24Et à partir de là,
19:25la chanson était née
19:26et ça en fait
19:26plus d'un million d'exemplaires.
19:27Qu'est-ce qu'il vous avait dit
19:28Michel Delpeche
19:29à propos de votre dictionnaire
19:30des chansons ?
19:31Oui, parce qu'un des
19:31tout premiers livres
19:32comme ça
19:33qui rassemblait déjà
19:34les, je ne sais pas,
19:34300 ou 400 titres déjà
19:35des histoires de chansons,
19:36il m'avait dit
19:37j'adore ton bouquin.
19:38Il faut que tu me les envoies
19:39à chaque fois que tu en fais un nouveau.
19:40Je dis, ah bon,
19:40pourquoi ?
19:40Il me dit, c'est un WC Book.
19:42Je dis, c'est quoi un WC Book ?
19:43Je dis à Michel Delpeche,
19:44je dis, c'est quoi un WC Book ?
19:46Il me dit, c'est un livre
19:47qu'on met aux toilettes
19:48et c'est le meilleur des tests.
19:50Tu sais, les gens chez moi,
19:51ils ne sortent jamais des toilettes.
19:52Quand ils rentrent aux toilettes,
19:54ils restent 15 minutes, 20 minutes.
19:57Je dis, mais qu'est-ce qu'ils font
19:57dans les toilettes
19:58pendant 20 minutes ?
19:59Et ils prennent le dictionnaire.
20:01C'est vraiment la bonne idée
20:02de cadeau pour Noël en fait.
20:03d'acheter celui-là.
20:05Vous ne savez pas quoi offrir ?
20:06Il y a les 70s et 80s,
20:08donc c'est pour des gens
20:09qui ont connu effectivement
20:10ces chansons.
20:11Oui, mais ce que je vous disais
20:12en rentaine à Valérie
20:14et à Fabien Lecœur,
20:15c'est que même moi, par exemple,
20:17qui suis légèrement un peu plus jeune
20:20que vous, sans vous faire offense,
20:23il y a plein de chansons
20:24qui me parlent
20:25parce qu'elles évoquent aussi
20:26des souvenirs.
20:27On n'a pas forcément
20:28besoin de...
20:29Jeudassin, vous disiez ?
20:30Je disais que moi, par exemple,
20:31Jeudassin, ça me rappelle
20:32des voyages en voiture
20:36avec mes parents
20:36et c'est-à-dire qu'en fait,
20:37la nostalgie,
20:38ce n'est pas forcément
20:39des souvenirs
20:40qu'on a avec la personne,
20:42mais ce peut-être aussi
20:43des souvenirs
20:43qu'on a autour de cette chanson.
20:45Mais surtout,
20:45les grandes chansons d'amour
20:46ont toujours été écrites
20:47dans des ruptures amoureuses.
20:48Sans rupture,
20:49il n'y a plus de chansons d'amour
20:50en France, du tout.
20:51On écrit les chansons d'amour
20:53pas quand on est heureux en amour.
20:54C'est très rare.
20:56C'est les ruptures.
20:57Donc, vive les séparations.
20:58Et souvent,
20:59ce que je disais tout à l'heure,
21:00c'est que derrière ces chansons,
21:01il y a de très grands paroliers,
21:03de très grands musiciens,
21:04de très grands compositeurs
21:05qui ont été là.
21:07Alors, dans les années 80,
21:08il y a Barbe Livien
21:09qui en a fait un paquet.
21:10C'est un maître dans ce domaine.
21:12Mais vous avez des gens renards.
21:13Vous avez Pierre Delanoé
21:14qui est un auteur exceptionnel.
21:16Celui qui a dit un jour
21:17« Merveilleux soleil de chaque jour »
21:19qui nous donne l'illusion
21:19de croire qu'on durera toujours.
21:21Il faut la sortir, la phrase.
21:21Et comment vous faites
21:22pour vous souvenir
21:23de toutes ces anecdotes ?
21:24J'ai une mémoire.
21:24J'ai une mémoire d'éléphant.
21:26Ça me fascine.
21:27Je n'ai pas de notes, jamais.
21:29Mais j'ai une mémoire d'éléphant.
21:31J'ai demandé à Fabien Lecoeur
21:33quand il est arrivé,
21:34vous avez pris le livre,
21:35il m'a dit
21:35« Non, mais je peux répondre à tout. »
21:37Je peux répondre à tout.
21:38Donc, c'est vraiment lui
21:39qui l'a écrit.
21:40Très bonne idée
21:41de cadeau de Noël.
21:42Donc,
21:43nos années bonheur en chanson,
21:44ça paraît chez Fayard.
21:46Cadeau idéal
21:47pour papa,
21:49maman,
21:50grand-papa,
21:51grand-maman.
21:51Ça fait écho
21:53à plein de choses
21:54et puis vous apprendrez
21:55énormément
21:56de choses
21:59sur tous ces disques
22:01et tous ces succès.
22:03Encore une fois,
22:04c'est...
22:04C'est la bande originale
22:05de nos vies.
22:06Absolument.
22:07Perico nous a rejoint.
22:09Perico, les gars.
22:09Ne me quittes pas, Valérie.
22:12C'est quand même
22:12la plus belle de toutes.
22:13C'était un peu avant,
22:14mais vous parlez de Brel.
22:15Il y a Bruxelles.
22:18Elles n'ont pas toutes fait
22:18un million d'exemplaires
22:19pour des grandes,
22:20grandes chansons d'amour.
22:21Pourtant,
22:21mais il y en a quelques-unes
22:23qui ont franchi quand même
22:23le seuil.
22:24Alors, Perico,
22:25de quoi parlez-vous ?
22:26Ne me quittez pas.
22:26Est-ce qu'il faut faire
22:27une union de la droite ?
22:28Il y en a qui vont y aller
22:28en se pinçant le nez.
22:29Mais bon,
22:30s'ils veulent retrouver
22:30le pouvoir,
22:31visiblement,
22:31ça serait la seule formule
22:32chimique.
22:34La souveraineté alimentaire
22:35est-elle un leurre ?
22:37On court derrière,
22:37on nous promet,
22:38mais on ne fait rien pour.
22:39On va en discuter
22:40avec Stéphane Le Foll,
22:41ancien ministre de l'Agriculture,
22:42qui fut un brave
22:43et courageux politicien.
22:46Et puis,
22:46comment se fait-il
22:47qu'on soit encore obligé
22:48de défendre la laïcité ?
22:49Beckeliong,
22:50120 ans après la loi
22:51qu'il a promeut,
22:52on va discuter
22:52avec le grand maître
22:53du Grand Orient de France.
22:55Et puis,
22:56voilà,
22:56on verra une femme
22:57de ménage algérienne
22:58qui a empoisonné
22:59ses patrons
23:00parce qu'ils étaient...
23:01C'est de l'antisémitisme
23:03intime.
23:04Oui,
23:04dans le Javel,
23:05dans le jus de raisin,
23:06il n'y a pas...
23:06Voilà.
23:07Bon,
23:07enfin,
23:07on verra ça.
23:08Bon,
23:08bon débat à vous.
23:10Et puis,
23:10on vous retrouve
23:11chez Cyril Hanouna,
23:12évidemment,
23:12tous les soirs
23:13vers 9h,
23:14vers 21h,
23:15du lundi au vendredi
23:16sur W9.
23:17Merci Fabien Lecoeuvre
23:18et tout de suite,
23:18donc Perico,
23:19très bonne journée.
23:21Le 10h midi,
23:23Sud Radio Média,
23:25Valérie Expert.
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