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[#Journal] Le 19H30 du 02 Décembre 2025

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00:00...
00:00Journal, mardi 2 décembre 2025, mesdames, mesdemoiselles et messieurs,
00:20bonsoir et bienvenue dans le 19h30 de GMT TV.
00:23Au sommaire, les tensions au sein de l'église évangélique du Gabon persistent,
00:27la gestion du foncier et la succession de la présidence sont en ligne de mire dans cette affaire.
00:34Première information de cette édition, les opérateurs aériens et maritimes
00:38sommés de régler la contribution souveraine carbone.
00:41C'est ce qui émane de la note publiée le 18 novembre 2025 par le ministère de l'économie.
00:46On fait le point.
00:47Le 18 novembre 2025, une note émanant du ministère de l'économie, des finances,
00:52de la dette et des participations signée par Henri-Claude Oïma
00:55a annoncé la mise en place d'une nouvelle taxe, la contribution souveraine carbone,
01:00qui s'appliquera aux opérateurs maritimes et aériens à compter du 1er janvier 2025.
01:05Cette taxe, ayant un effet rétroactif sur l'année 2025,
01:08suscite un vif débat au sein de la communauté économique et juridique du pays.
01:12Dans cette note citée par le site Direct Info Gabon,
01:15le membre du gouvernement a appelé les opérateurs concernés
01:17à s'acquitter de cette contribution au Trésor public,
01:20en respectant les modalités spécifiées dans les actes de recouvrement émis
01:23par l'Agence gabonaise pour le développement de l'économie verte, Agadev.
01:28Pourtant, cette mesure repose sur un projet de loi de finances 2026
01:31qui soulève des interrogations quant à sa légalité.
01:35De nombreux spécialistes s'accordent à dire que cette initiative pourrait violer
01:38le principe constitutionnel de non-rétroactivité des lois fiscales,
01:42qui interdit l'application d'une taxe antérieure à sa promulgation.
01:45Si un recours était engagé, il est fort probable que les juridictions compétentes
01:49déclarent cette disposition nulle,
01:51ouvrant la voie à une remise en question des décisions administratives en matière fiscale.
01:56Il faut également souligner que l'instauration de cette nouvelle taxe intervient
01:59dans un contexte où le gouvernement gabonais s'est pourtant engagé
02:02à réduire les coûts de transport pour atténuer la charge financière
02:05qui paie sur les consommateurs.
02:07L'introduction d'une contribution supplémentaire aux opérateurs de transport
02:10semble ainsi contredire cet objectif,
02:12tant il est certain que les transporteurs répercuteront cette nouvelle imposition
02:16sur les tarifs appliqués aux usagers.
02:18Par ailleurs, la note ministérielle précise que les paiements réalisés
02:21jusqu'au 31 décembre 2025 seront exemptés de pénalités.
02:25Cette clause semble souligner de manière implicite
02:27les incertitudes qui entourent la validité juridique de la contribution.
02:31Face à cette situation, la communauté des opérateurs économiques
02:34appelle à une clarification officielle ou, le cas échéant,
02:38au retrait de cette note.
02:39Il met en avant le risque que cette mesure mal conçue et potentiellement illégale
02:42ne perturbe le secteur du transport
02:44et nuise à la crédibilité des politiques publiques
02:47mises en place par le gouvernement.
02:50Que se passe-t-il au sein de l'église évangélique du Gabon ?
02:53Selon les informations relayées par le site d'actualité,
02:57la fuite de l'info, le président national de l'église,
02:59le révérend Louis Alogo Ango,
03:02et le révérend Raymond Akita,
03:03un cadre influent de l'institution,
03:05se disputerait la présidence de l'institution.
03:09Plus d'explications dans cet élément.
03:11Tradition respectée, serait-on tentée de dire
03:14au sein de l'église évangélique du Gabon ?
03:17En effet, comme chaque année à l'approche de l'élection
03:19à la présidence de cette congrégation religieuse,
03:22la tension serait montée d'un cran suscitant
03:25inquiétude et confusion parmi les fidèles
03:27et les responsables religieux.
03:30Selon les informations relayées par le site d'actualité,
03:33la fuite de l'info, à l'origine de cette énième crise
03:36se trouveraient le président national de l'église,
03:38le révérend Louis Alogo Ango,
03:41et le révérend Raymond Akita,
03:43un cadre influent de l'institution.
03:45Selon des correspondances internes
03:47et divers témoignages cités par nos confrères,
03:49le révérend Akita aurait sollicité une rencontre
03:52avec le président national pour discuter
03:54de plusieurs sujets controversés,
03:56notamment la gestion du foncier de l'église.
03:59Dans sa note, il souligne également
04:01des affectations d'ouvriers jugés irrégulières,
04:04absence d'aval du Conseil national
04:06ou consultation des instances régionales,
04:09nourrissant ainsi un climat de suspicion
04:11lié aux allégations de favoritisme
04:13et à un usage excessif des prérogatives.
04:17Les tensions au sein de l'église
04:19semblent s'aggraver avec des rumeurs
04:20entourant la succession de la présidence.
04:23Des sources indiquent que le président national
04:25favoriserait la candidature du révérend Jean-Daniel Alogo,
04:30un proche pour le poste de président.
04:33Cette situation soulève des questions
04:35sur le respect des procédures synodales
04:37et l'équilibre régional,
04:38certains fidèles,
04:39créant que cela ne transforme le processus
04:42en une simple formalité.
04:44Dans la région synodale de Logoé,
04:46l'incompréhension est palpable.
04:47Le Conseil national,
04:48l'unique instance habilité
04:50à s'occuper des questions essentielles
04:52telles que le foncier
04:53et la gouvernance n'a toujours pas reçu
04:55de réponse à ces sollicitations.
04:57La situation prend une tournure alarmante
05:00avec des modifications importantes
05:02apportées au site historique de Baraka Mission,
05:05symbole fondamental de l'évangélisation au Gabon.
05:08Des constructions y auraient été réalisées
05:10sans autorisation des instances compétentes,
05:12suscitant des craintes sur la pérennité
05:15du patrimoine collectif.
05:16À l'approche de la fin du mandat
05:18de l'actuelle direction,
05:19des observateurs soulignent
05:21la nécessité d'une vigilance accrue
05:22des autorités face aux précédentes dérives observées,
05:26telles que l'enrichissement personnel
05:28et la confusion entre intérêts privés ecclésiastiques.
05:32Pour de nombreux fidèles,
05:33souvent désemparés,
05:35il devient impératif de rétablir
05:36la transparence, la collégialité
05:39et l'exemplarité au sein d'une église
05:41qui a longtemps été perçue
05:42comme un bastion moral et social au Gabon.
05:45Direction Franceville,
05:47dans la province du Hautogoué,
05:49où le point de chute de la caravane touristique
05:52initié par l'Union européenne
05:54au cours de cette dernière journée,
05:56la délégation a eu un échange direct
05:58avec les étudiants de l'Université des sciences
06:00et techniques de Massoukou.
06:02L'Union européenne,
06:07l'Agence française de développement,
06:09la CETRAG et le ministère de l'Économie
06:11ont achevé la caravane du transgabonais
06:14avec l'étape ultime de Franceville.
06:17Conduite par Cécile Abadi,
06:19ambassadrice de l'Union européenne au Gabon,
06:21la délégation a été accueillie
06:23par la ministre de la Planification
06:25et par le gouverneur de la province du Hautogoué.
06:32Après un bain de foule,
06:34le convoi a pris la route
06:35en direction de l'Université des sciences
06:37et techniques de Massoukou,
06:39où s'est tenue une rencontre
06:40avec les étudiants sur la mise en œuvre
06:43du programme européen Global Gateway,
06:46dont le premier projet financé au Gabon
06:48concerne la modernisation
06:50et la sécurisation des 648 kilomètres
06:53du transgabonais.
06:54Global Gateway est cette nouvelle stratégie
06:58de l'Union européenne
06:58qui veut soutenir des investissements durables
07:03en développant des infrastructures
07:05et la transformation de l'économie.
07:09Après une présentation globale du programme,
07:11des échanges directs ont eu lieu
07:13avec les étudiants dans l'optique
07:15de recueillir les besoins et avis
07:17en vue de proposer des projets
07:19qui ont un impact réel sur les populations.
07:22Je suis l'étudiant Masala Yomé,
07:24doctorat en sciences chimiques.
07:26Ma question est de savoir,
07:29de façon concrète,
07:31qu'est-ce que l'Union européenne propose
07:33à l'université pour encourager
07:35ou encore pour aider à la recherche.
07:40Au sein de l'UACM,
07:41il y a des laboratoires,
07:42mais qui ne sont pas assez équipés,
07:45ou du moins,
07:46ils n'ont pas d'équipement de pente.
07:47Il y a aussi la coopération
07:49entre les universités.
07:51Par exemple,
07:52il y a le Centre de recherche médicale
07:54à l'Ordrenais,
07:55qui entretient
07:56des liens avec une université allemande,
07:59une université de Turquie.
08:01Pour la partie européenne,
08:03cette nouvelle approche,
08:04basée sur l'écoute,
08:05le respect mutuel
08:06et la co-construction,
08:08vise à accélérer les investissements
08:10et le développement des États africains.
08:12Nous avons parlé de l'investissement.
08:15L'investissement,
08:16c'est à la fois la priorité des partenaires,
08:19c'est aussi la priorité de l'État gaboné,
08:24de vraiment accélérer le processus
08:26de transformation,
08:27de diversification de l'économie.
08:29Donc, tout le sens de ce rassemblement,
08:32c'est d'évoquer quels sont
08:33les investissements prioritaires,
08:36la manière avec laquelle
08:39l'État et les partenaires
08:41peuvent travailler ensemble,
08:43mais aussi de recueillir
08:45l'avis des citoyens
08:47pour que nous soyons certains
08:49d'être dans une démarche inclusive
08:51et de financer des projets
08:52qui font du sens pour la population.
08:54Soulignons que l'étape français-villoise
08:56de cette caravane du transgabonin
08:58s'est poursuivie avec la visite
08:59de l'hôpital à Missabongo,
09:01entièrement renovée,
09:02grâce au financement européen.
09:04Rien à voir avec ce qui précède.
09:07Au Gabon, l'âge moyen
09:08du premier rapport sexuel
09:10chez les adolescents
09:11continue de diminuer.
09:13En effet, les données issues
09:14d'études menées en 2024
09:15auprès des 15 à 24 enfants
09:17font état d'une moyenne
09:18située entre 15 et 16 ans.
09:20Commentaire.
09:22Au Gabon, une tendance inquiétante
09:24se dessine d'un point de vue sociologique.
09:26En effet, l'âge moyen
09:27du premier rapport sexuel
09:28chez les adolescents
09:29continue de diminuer.
09:30Si l'enquête démographique
09:31et de santé de 2012
09:33indiquait déjà
09:33un âge médian
09:35relativement précoce
09:36à 16,9 ans
09:37pour les jeunes femmes
09:38et 17,3 ans
09:39pour les jeunes hommes,
09:40les données plus récentes
09:42issues d'études
09:42menées en 2024
09:43auprès de 15-24 ans
09:45font état
09:46d'une moyenne
09:47située entre 15 et 16 ans.
09:49Ce rajeunissement
09:50du consentement
09:51à l'acte sexuel
09:51n'est pas propre au Gabon.
09:53D'ailleurs,
09:53cette coupe baissière
09:54intègre une dynamique
09:55observée dans plusieurs pays
09:57d'Afrique subsaharienne
09:58où l'accès précoce
09:59au smartphone,
10:00aux réseaux sociaux
10:01et à la pornographie,
10:03conjuguée à une sexualité
10:04de plus en plus déconnectée
10:05des repères traditionnels,
10:07accélère l'entrée
10:08dans la vie sexuelle.
10:09Aussi,
10:09cette évolution négative
10:11emporte son lot de risques.
10:12À Libreville,
10:13comme dans d'autres localités
10:14du Gabon,
10:15il n'est plus rare
10:15de constater
10:16que les jeunes
10:16sont exposés très tôt
10:18à des images
10:19et des discours
10:19qui normalisent
10:20les relations sexuelles
10:21précoces.
10:22Parallèlement,
10:23l'éducation sexuelle
10:24reste lacunaire
10:25dans de nombreux
10:25établissements scolaires
10:26et familles.
10:28Résultat,
10:28les adolescents débutent
10:30leur vie sexuelle
10:30sans véritable préparation
10:31ni protection.
10:33Les conséquences sanitaires
10:34ne se font pas attendre.
10:36Faut-il rappeler
10:36que le Gabon
10:37enregistre chaque année
10:38plusieurs nouvelles contaminations
10:39au VIH sida
10:40chez les moins de 24 ans.
10:42Que dire de l'augmentation
10:43des cas de chlamydia,
10:44gonorrhée et syphilis
10:45chez les adolescents ?
10:47À cela s'ajoutent
10:48les grossesses non désirées
10:49puisqu'à l'heure
10:50où nous couchons ces lignes
10:51près d'une lycéenne
10:52sur cinq
10:53déclarent avoir
10:54déjà été enceinte
10:55selon les derniers chiffres
10:56du ministère de la Santé.
10:58Cela suppose
10:58son risque de se tromper
10:59que le rapport
11:00a été sans protection.
11:02Face à ce constat,
11:03les associations
11:04et les autorités sanitaires
11:05devraient appeler
11:06à un renforcement
11:06urgent de la prévention.
11:08À 15 ou 16 ans,
11:09la plupart des jeunes
11:10sont dans une phase
11:11de découverte amoureuse
11:12où la conscience
11:13envers le partenaire
11:14est quasi absolue.
11:16Ils pensent rarement
11:17à demander le statut
11:18sérologique de l'autre
11:19ou à utiliser
11:19systématiquement
11:20un préservatif.
11:22Cette naïveté
11:22peut avoir
11:23des conséquences
11:24irréversibles,
11:25a rappelé un journaliste
11:26lors d'une conférence
11:27débat sur les MST
11:28en milieu scolaire.
11:30La note culture
11:31de ce 19h30
11:32à Libreville,
11:33le documentaire
11:34Nzila Mavassa
11:35de Marlène Allen
11:36a été présenté
11:37en avant-première
11:38en présence
11:38du ministre
11:39de la Communication
11:40et des Médias,
11:41un film
11:42qui explore
11:43les traditions
11:43pour nous
11:44autour de la gémellité
11:45et qui a fortement
11:47marqué le public.
11:47voici le reportage.
11:49A Libreville,
11:52le lundi 1er décembre,
11:53le public
11:54a répondu nombreux
11:55pour découvrir
11:56en avant-première
11:57Nzila Mavassa,
11:59un documentaire
12:00signé
12:00Marlène Allen
12:01Une projection
12:03rehaussée
12:03par la présence
12:04du ministre
12:05de la Communication
12:05et des Médias,
12:06Paul-Marie Ngujou,
12:08saluant une œuvre
12:08qui explore avec finance
12:10un pan essentiel
12:11de la culture
12:11pour nous,
12:12la gémellité.
12:15Le film
12:15suit les mères
12:16du groupe
12:17socioculturel Mavassa,
12:19gardiennes de rites
12:20ancestraux
12:20transmis
12:21depuis des générations.
12:23A travers champs,
12:24VI et cérémonies,
12:26le documentaire
12:26met en lumière
12:27trois grands types
12:28de rites liés
12:29à la naissance
12:30et à la protection
12:31des jumeaux.
12:31Ce qui m'a inspirée,
12:33c'est un groupe
12:34de femmes
12:34composées uniquement
12:36de mamans de jumeaux
12:37qui ont décidé
12:38de préserver
12:40ce rite-là.
12:42Parce que
12:42ce n'est pas
12:43un rite initiatique,
12:45mais c'est un rite
12:45d'apaisement
12:46de mamans de jumeaux
12:47parce que dans la société
12:48pour nous,
12:49les femmes mères de jumeaux
12:50sont considérées
12:51comme des personnes
12:53d'une certaine classe.
12:54Ça m'a intéressé
12:55encore plus
12:56et ça m'a permis
12:57d'aller sur le terrain
12:58pour ça.
12:58Le documentaire
12:59montre d'abord
13:00les rites de naissance
13:01parmi les plus répandus,
13:03la présentation
13:03des jumeaux
13:04à la communauté,
13:05la purification
13:06de la mère,
13:07l'invocation
13:08des ancêtres,
13:08le dépôt symbolique
13:09des noms.
13:10Il dévoile ensuite
13:11les rites de protection
13:12présents chez les Pounous
13:14comme chez d'autres
13:15peuples bantous,
13:16rituel contre le mauvais vent,
13:18bénédiction par les sages.
13:20Enfin,
13:20les rythmes d'harmonie
13:22déclenchés
13:22lorsqu'un déséquilibre
13:24survient,
13:25maladie,
13:25tension familiale
13:26ou décèdent
13:27d'un des jumeaux.
13:29Des rites
13:29pour restaurer
13:30l'équilibre spirituel
13:31et préserver la famille.
13:33Le plus grand défi,
13:35je dirais que c'était
13:35arriver à les convaincre
13:38de me raconter une histoire,
13:40leurs histoires,
13:40parce que moi,
13:41je suis du WMTM,
13:42je n'étais jamais arrivée
13:43à Chibanga de ma vie,
13:45je ne savais pas
13:46comment c'était,
13:46je ne parle pas Pounou,
13:48c'était vraiment
13:48un challenge
13:50pour qu'elles puissent
13:50me faire confiance
13:51parce que vous savez,
13:52les mères de jumeaux
13:54sont assez particulières,
13:55elles ne s'ouvrent pas
13:56facilement
13:57à n'importe qui,
13:59il faut vraiment
13:59qu'elles vous fassent
14:00confiance,
14:01qu'elles arrivent
14:02à parler avec vous
14:04de manière
14:04à ce qu'elles puissent ouvrir.
14:06Soutenu par l'Institut Gabonais
14:07de l'image et du son,
14:08le film rappelle
14:09le rôle fondamental
14:10du documentaire,
14:12transmettre,
14:13expliquer
14:14et valoriser nos cultures.
14:16Souvent,
14:16quand on parle de cinéma,
14:18les gens s'attendent
14:19à des films de fiction,
14:20des longs métrages,
14:22des courts métrages,
14:23mais également
14:24ce segment dédié
14:25au documentaire
14:26qui est important
14:27d'être pris en compte.
14:28Parce que la plupart du temps,
14:30c'est à travers
14:30le documentaire
14:31que nous racontons
14:32nos histoires,
14:32l'histoire de nos peuples
14:33et de nos cultures.
14:34C'est une des raisons
14:35pour lesquelles
14:35l'Igis a tenu
14:37à soutenir
14:38non pas un film de fiction
14:40cette fois,
14:41mais un documentaire.
14:42D'autant plus
14:42qu'avec cette réalisatrice,
14:44nous avions déjà soutenu
14:45un court métrage.
14:47Tourné à plusieurs centaines
14:49de kilomètres
14:49de Libreville,
14:50le film est aussi
14:51une immersion
14:52dans les réalités
14:53de Chibanga
14:54et la vie quotidienne
14:55de ses mères de jumeaux.
14:56Maintenant,
14:57on va être
14:57dans la phase de promotion
14:58qui consiste également
15:00au soutien
15:01au festival,
15:02la diffusion
15:03aux chaînes de télévision.
15:05Les films sont faits
15:06pour être vus.
15:06Ça ne sert à rien
15:07de faire des films
15:07et les garder à la maison.
15:09Dès que vous en avez
15:10fait un comme ça,
15:11l'objectif est de le diffuser
15:12pour être vu
15:13par un maximum de personnes
15:14dans les quatre coins
15:15du monde.
15:16En sortie de salle,
15:17le public salue
15:18un travail qui éclaire
15:19un héritage culturel
15:21trop souvent méconnu
15:22et surtout l'importance
15:23des jumeaux
15:23dans les cosmologies Bantu.
15:25Moi, personnellement,
15:26en regardant ce film,
15:29ce qui m'a le plus touché,
15:31c'est de voir
15:32qu'effectivement,
15:34il y a encore
15:34une génération,
15:36encore des jeunes
15:37qui sont prêts
15:38à s'engager
15:39justement
15:40à la préservation
15:40de ces pratiques-là.
15:43En retraçant
15:43les rites de naissance,
15:44de protection
15:45et d'harmonie,
15:47Zidama Vassa
15:48n'explique pas seulement
15:49une tradition.
15:50Il raconte
15:50un rapport au monde,
15:52à la spiritualité,
15:53à la communauté.
15:54Un film qui interroge
15:55notre identité
15:56et invite à préserver
15:58ce qui nous relie.
15:59Une œuvre qui trouve
16:00déjà sa place
16:01comme un repère culturel fort.
16:02À présent,
16:03passons au chiffre du jour
16:04qui est 5 milliards
16:05de francs CFA.
16:06C'est le montant
16:07de l'enveloppe
16:07mise à la disposition
16:08des jeunes désireux
16:09d'investir dans l'agriculture.
16:11La source est le communiqué
16:13de la présidence
16:14de la République
16:14du 27 novembre 2025.
16:17Et le verbatim,
16:18il y a une parafiscalité
16:20omniprésente.
16:21« Tu as ton commerce »
16:22le matin,
16:23c'est la mairie
16:24qui est là,
16:25amende.
16:25Ensuite,
16:26c'est la Gaza
16:27qui passe,
16:27amende,
16:28suivie de la concurrence,
16:29amende.
16:30Le climat des affaires
16:31est malsain
16:32et cela devait faire
16:33l'objet de mesures
16:34particulières.
16:35La source de ce verbatim
16:36est GMT.
16:37L'auteur est
16:38Jean-Valentin Leyama,
16:40ancien député
16:40de la transition.
16:42Point final
16:43à ce 19h30.
16:44Excellente soirée
16:44à tous.
16:45À demain.
16:45Au revoir.
16:46Trouvez GMT TV
16:47sur vos différents
16:49réseaux sociaux.
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