[#Journal] Le 19H30 du 01 décembre 2025
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00:00Lundi 1er décembre 2025, mesdames et messieurs, bonsoir, ravis d'être des votes pour la principale édition d'information de cette journée sur GMT-TV.
00:23Dans l'actualité de ce jour, le mois de décembre, dédié à la lutte contre le VIH-Sida, un bilan de près de 29 000 personnes sous traitement antirétroviral au Gabon a été dressé par la ministre de la Santé par intérim, rappelant ainsi les efforts des autorités engagées dans la lutte contre cette maladie.
00:40En ouverture, une rencontre s'est tenue récemment entre le président de la République, Brice Clotaire, Olivier Nguema, et le coordinateur du bureau sous-régional de l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture.
00:55La FAO, pour l'Afrique centrale, occasion pour le chef de l'État d'exprimer son profond regret sur le peu d'intérêt que porte la jeunesse gabonaise dans le cadre, dans le secteur, j'en viens, agricole, alors que le pays ambitionne à affirmer sa souveraineté alimentaire.
01:10Le jeudi 27 novembre dernier, le président de la République, Brice Clotaire, Olivier Nguema, a reçu en audience Atman Ravili, coordonnateur du bureau sous-régional de l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture, FAO, pour l'Afrique centrale.
01:26Cette rencontre a permis d'évaluer la coopération entre le Gabon et l'agence onusienne, avec un accent particulier sur la souveraineté alimentaire, une priorité pour le gouvernement gabonais.
01:37Lors de cet entretien, Atman Ravili a réaffirmé l'engagement de la FAO à soutenir la stratégie nationale dédiée à la souveraineté alimentaire, qui représente un pilier fondamental du projet de société porté par le président.
01:50Il a salué l'initiative présidentielle de promouvoir la production nationale de poulet de chair, qualifiant cette action de « signal fort » en faveur d'un redressement agricole et d'une diminution de la dépendance alimentaire du pays.
02:02Le coordonnateur a également annoncé le lancement imminent d'un projet pilote dans la province de Langounier, faisant office de modèle qui sera progressivement étendu aux autres provinces du Gabon.
02:12Ce projet vise à renforcer la production locale et à favoriser l'autonomie alimentaire des Gabonais.
02:17Dans son intervention, Ravili a mis en exergue les enjeux cruciaux liés à la sécurité alimentaire et au changement climatique, en proposant la mobilisation de l'expertise de la FAO pour accompagner le Gabon dans ses ambitions nationales à long terme.
02:32De son côté, le président presclotaire Oli Gingema a souligné l'urgence de diversifier l'économie gabonaise, historiquement dépendante de l'exploitation pétrolière, en orientant celle-ci vers une agriculture structurée et durable.
02:43Il a incité sur l'importance de former, d'encadrer et d'impliquer les jeunes dans le secteur agricole pour qu'ils puissent tirer profit des multiples opportunités qu'il offre en matière d'emploi et de croissance économique.
02:55Cependant, Oli Gingema a exprimé ses préoccupations quant au fait d'intérêt manifesté par la jeunesse gabonaise pour le secteur agricole, malgré la mise à disposition d'une enveloppe de 5 milliards de francs CFA destinés à soutenir les jeunes investisseurs dans ce domaine.
03:09Selon le chef de l'État, une approche axée sur la formation, la professionnalisation et le soutien des jeunes est essentiel pour donner un nouvel élan au secteur agricole et favoriser un essor national.
03:19Alors que le Gabon se trouve à un tournant de son développement économique, le message de Brice Flottero-Li Gingema souligne une volonté manifeste de revitaliser l'agriculture comme moteur de croissance,
03:30tout en engageant les jeunes à devenir des acteurs clés de ce changement.
03:34La délégation conduite par l'Union Européenne a poursuivi sa caravane du Transgabonais avec l'étape de l'Astourville.
03:41L'objectif était de valoriser le rôle stratégique du chemin de fer dans l'expédition des produits forestiers.
03:47Notre reporter Karl Makamba vous en dit plus.
03:50La caravane du Transgabonais conduite par l'Union Européenne, le ministère de l'Economie, la CETRAG et l'Agence Française de Développement a marqué une halte à l'Astourville.
04:01Objectif, mettre en lumière le dynamisme des entreprises locales dont la survie dépend directement de la voie ferroviaire et de sa capacité à évacuer les produits vers Libreville.
04:14Première étape de la visite, le site de chargement des containers.
04:19Un espace stratégique de 1400 mètres carrés, véritable poumon économique de l'Astourville.
04:25Ici, 450 containers pleins sont entreposés, auxquels s'ajoute une capacité de 200 containers vides.
04:35Une plateforme essentielle dans la chaîne de transformation locale du bois voulue par les plus hautes autorités gabonaises.
04:41Nous faisons spécialement ici la mise à disposition des containers pour l'ampoutage du bois débité et l'exportation directement pour le port.
04:51Alors notre activité consiste à quoi ? Nous recevons des containers vides acheminés par CETRAG, nous les recevons, nous les mettons à disposition de nos opérateurs.
04:59Nous travaillons spécialement avec quatre opérateurs qui sont dans l'exportation du bois débité.
05:03À quelques centaines de mètres, un autre spectacle impressionnant.
05:09Des billes de bois à perte de vue.
05:11L'exploitation forestière des grumes, EGG, gère ici 261 000 hectares de forêt et dispose d'un port sec unique pour évacuer le bois provenant de six provinces.
05:24Nous avons un potentiel annuel de 80 000 mètres cubes, mais en moyenne nous réalisons annuellement 66 000 mètres cubes de production, dont 96% en Okoumé.
05:39En matière d'évacuation, nous avons nos routes internes, en plus des routes administratives qui nous permettent d'acheminer nos productions,
05:47des chantiers d'exploitation vers les gares ferroviaires les plus proches, notamment Lastoville, Franceville et Mouanda.
05:56Au fil des années, les zones traversées par le transgabonais sont devenues de véritables pôles d'attraction économique.
06:04Dans un contexte d'infrastructures routières parfois impraticables, le rail s'est imposé comme l'unique voie viable d'évacuation des marchandises.
06:12Le transgabonais est tout simplement vital pour les forestiers parce qu'on est hyper éloigné de la capitale Libreville où la majorité des usines se trouvent.
06:20Et envoyer du bois depuis ces localités vers Libreville via des grumières coûte extrêmement cher.
06:26C'est le seul opérateur fiable que nous avons pour l'acheminement des wagons.
06:30C'est pour ça, lorsque ces tragues ont des difficultés, nous aussi nous avons des difficultés à cheminer les containers de nos différents clients.
06:37Partout, le même constat. Sans le transgabonais, une grande partie de l'économie locale serait paralysée.
06:45Consciente du rôle stratégique du rail, la CETRAG, via ses partenaires de l'Union Européenne et de l'Agence Française de Développement,
06:53a entamé un vaste programme de réhabilitation des gares.
06:56La gare de Lastoville fait partie des infrastructures modernisées.
07:02Confort amélioré, meilleure expérience passager, système d'achat de biais simplifié, sécurité renforcée.
07:09Une transformation majeure pour l'une des gares les plus fréquentées du corridor.
07:15La modernisation ne s'arrêtera pas à mi-chemin.
07:17À terme, ce sont les 24 gares du transgabonais sur un tracé de 648 km qui seront entièrement réhabilitées grâce au partenariat entre l'État, la CETRAG, l'Union Européenne et l'AFD.
07:32Le rail n'est pas seulement un moyen de transport.
07:36C'est l'un des moteurs les plus puissants de la prospérité gabonaise.
07:39En soutenant les entreprises, en ouvrant des débouchés vers des centres urbains et en modernisant ces infrastructures,
07:48le transgabonais s'impose plus que jamais comme un patrimoine national à protéger.
07:54En santé, près de 29 000 personnes sous traitement antirétroviral au Gabon.
07:59C'est le bilan dressé par Nadine Nathalia Wannan, épouse à NATO, ministre de la Santé par intérim lors de son discours marquant la journée mondiale de la lutte contre le VIH SIDA.
08:10On regarde.
08:11À l'approche de la journée mondiale de lutte contre le SIDA, célébrée chaque 1er décembre, la ministre de la Santé par intérim, Nadine Nathalia Wannan, épouse à NATO,
08:20a partagé des informations alarmantes mais également encourageantes concernant la situation du VIH SIDA au Gabon.
08:26Lors de son discours de circonstances prononcé le 30 novembre 2025, elle a révélé que près de 29 000 personnes sont actuellement sous traitement antirétroviral dans le pays.
08:36Pour l'édition 2025, le Gabon s'inscrit à nouveau dans la dynamique internationale de solidarité avec le thème « Surmonter les perturbations, transformer la réponse au SIDA ».
08:45Ce thème souligne l'urgence d'une action pérenne 40 ans après l'apparition des premiers cas de VIH.
08:50Actuellement, 36,6 millions de personnes vivent avec cette maladie dans le monde, dont près de 29 000 au Gabon bénéficient de traitements.
08:59Sur le territoire national, la ministre Awano a mis en avant des avancées.
09:03Selon l'enquête démographique de santé 2019-2021, la prévalence du VIH s'élève à 3,6 % chez les 15-19 ans,
09:10avec des disparités marquées 4,7 % chez les jeunes femmes, contre 2,3 % chez les jeunes hommes et un taux plus élevé en milieu rural, 4 %, par rapport à l'urbain, 3,5 %.
09:22Les estimations d'ONU-SIDA pour décembre 2024 confirment une prévalence de 2,8 % chez les 15-49 ans et de 0,9 % chez les 15-24 ans.
09:31Malgré ces chiffres, un optimisme palpable se dégage de la situation.
09:35Près de 29 000 patients sont sous traitement antiretroviral, révélant la résidence de la Riposte Nationale au VIH SIDA.
09:42La ministre a déclaré que ces chiffres témoignent de la solidité de notre réponse.
09:46Des milliers de personnes ont désormais accès aux soins, sont diagnostiqués et suivis.
09:50Toutefois, ils mettent également en lumière des défis critiques tels que la mortalité, l'abandon du traitement et l'augmentation des infections, sans oublier les inégalités de genre.
09:58Cependant, la ministre de la Santé, par intérim, a également alerté sur la menace que représente la baisse du financement international.
10:06Une réduction du soutien des donateurs pourrait avoir des conséquences dévastatrices,
10:10notamment la dégradation des services de dépistage, l'affaiblissement des communautés et le recul du plaidoyer, a-t-elle averti ?
10:17Face à ces défis, le gouvernement gabonais réaffirme sa détermination à intensifier la lutte contre le VIH SIDA.
10:23Le ministère de la Santé, représentant la volonté du président de la République brise-clotaire, Oli Gingema,
10:28s'engage à soutenir toutes les initiatives de mobilisation des ressources.
10:32La ministre a également appelé le secteur privé à s'impliquer davantage.
10:35Il est impératif d'intensifier la prévention, d'encourager le dépistage volontaire,
10:40de lutter contre la stigmatisation et de soutenir les initiatives nationales, a-t-elle indiqué ?
10:45L'espérance de vie au Gabon sera de 79,8 ans en 2100.
10:50C'est ce qu'indique la dernière révision des World Population Prospect Edition 2024,
10:56une annonce réjouissante qui place le Gabon hors des extrêmes mondiaux.
11:01Le Gabon fait partie des pays d'Afrique subsaharienne dont la trajectoire démographique surprendra positivement d'un peu.
11:08D'ailleurs, dans sa dernière révision des World Population Prospect Edition 2024,
11:13l'Organisation des Nations Unies prévoit que l'espérance de vie à la naissance au Gabon
11:17atteindra 79,8 ans en 2100,
11:21un niveau comparable à celui de nombreux pays européens actuels.
11:26C'est une donnée qui place notre pays hors des extrêmes mondiaux
11:30puisqu'il n'apparaît ni dans le top 50 des espérances de vie les plus élevées,
11:35ni dans celui des plus basses à l'horizon 2100.
11:38Pour comprendre cette position, il faut revenir en arrière 1950-1955
11:44où un Gabonais vivait en moyenne 36,5 ans seulement.
11:48La mortalité infantile élevée et les maladies infectieuses ont plombé cette dynamique.
11:53L'accès aux soins de base a conduit à une amélioration.
11:57La décennie 1990-2000 a entraîné un ajustement structurel
12:01caractérisé par la dévaluation du franc-séffet et l'épidémie du VIH-SIDA.
12:06Ces contingences extérieures ont fait stagner, voire légèrement regresser le gain d'années de vie.
12:12L'espérance de vie est retombée autour de 60 à 62 ans au milieu des années 2000
12:16depuis la reprise progressive de l'économie gabonaise,
12:20la donnée CIC, à environ 67-68 ans en 2024.
12:24La projection à 79,8 % en 2100 repose donc sur plusieurs hypothèses fortes.
12:30Cela remporte la poursuite de la baisse de la mortalité infantile
12:33et juvénile, la maîtrise des grandes endémies et surtout l'amélioration continue du niveau de vie réelle.
12:39Car le lien entre espérance de vie et richesse effective est particulièrement visible au Gabon.
12:44Pays pétrolier à revenus intermédiaires de la transe supérieure,
12:47le Gabon affiche un PIB par habitant parmi les plus élevés d'Afrique subsaharienne.
12:52Pourtant, les inégalités de revenus y sont extrêmes
12:55et l'indice de développement humain reste moyen,
12:57reflétant une répartition inégale des fruits de la rente pétrolière.
13:02Des progrès ressents en matière d'accès à l'eau potable,
13:04d'électricité et de scolarisation des filles
13:06expliquent largement la réduction de la mortalité maternelle et infantile.
13:12Si les réformes structurelles portent leurs fruits,
13:15le scénario médian de l'ONU est crédible.
13:18À l'inverse, un choc pétrolier prolongé
13:20où une dégradation de la gouvernance pourrait freiner cette trajectoire.
13:24Pour la boucle de ce journal, au Danemark,
13:27plusieurs réseaux sociaux sont désormais interdits d'accès aux jeunes de moins de 15 ans.
13:31Cette mesure relance au Gabon le débat sur l'impact des plateformes numériques sur la jeunesse.
13:37Alors que le Danemark vient d'interdire l'accès à plusieurs réseaux sociaux aux jeunes de moins de 15 ans,
13:42une décision qualifiée d'historique en Europe,
13:44cette mesure relance au Gabon le débat sur l'impact des plateformes numériques sur les violences scolaires,
13:49la consommation de drogue, la prostitution juvénile et les grossesses précoces.
13:54Annoncée le 7 novembre 2025,
13:56la réforme danoise rapportée par la presse vise à protéger les enfants d'une exposition précoce
14:01aux contenus nocifs et aux mécanismes addictifs des réseaux sociaux.
14:04Le ministère de la Numérisation, à l'origine du texte,
14:07a expliqué qu'un âge minimum serait désormais exigé
14:09pour créer un compte sur des plateformes comme TikTok, Facebook, Instagram, Snapchat, Reddit ou X.
14:16Les parents pourront toutefois accorder une autorisation spéciale dès 13 ans après une évaluation stricte.
14:22Le Danemark s'inscrit dans la dynamique lancée fin 2024 par l'Australie,
14:25premier pays au monde à interdire les réseaux sociaux aux moins de 16 ans.
14:29Les enfants ne doivent pas être laissés seuls dans un monde numérique
14:31où les contenus préjudiciables et les intérêts commerciaux influencent leur quotidien,
14:35a rappelé Copenhague, ajoutant que les plateformes risqueront désormais
14:39jusqu'à 50 millions de dollars australiens d'amende en cas de manquement.
14:42Cette décision vise à limiter l'exposition aux contenus violents, hypersexualisés, addictifs ou anxiogènes,
14:49mais aussi à protéger la santé mentale des adolescents face à une pression sociale croissante.
14:53Si ce débat semble lointain, il résonne pourtant fortement au Gabon.
14:56Depuis plusieurs années, les réseaux sociaux sont devenus un miroir,
14:59parfois déformant, souvent brutal, des dérives qui touchent la jeunesse.
15:03Violence scolaire filmée et diffusée, défis dangereux, banalisation de la drogue,
15:07notamment le cannabis et les produits pharmaceutiques détournés,
15:09sexualisation précoce, prostitution déguisée des mineurs,
15:13grossesse précoce souvent encouragée par la pression numérique
15:15et l'exposition à des contenus explicites.
15:18Dans certains établissements scolaires, la viralité des vidéos de bagarre entretient
15:21un climat d'insécurité.
15:22Les jeunes filles, parfois mineures, se retrouvent au cœur du réseau de Sugar Daddies,
15:26digitalisées via Instagram, WhatsApp ou Facebook.
15:30Quant aux drogues, elles circulent désormais via des messages chiffrés ou des groupes privés.
15:33Le numérique n'est plus seulement un espace d'expression,
15:36il est devenu un catalyseur des dérives sociales,
15:38un lieu où l'absence de régulation crée un terrain dangereux.
15:42Le Gabon n'a pour l'instant aucune législation spécifique limitant l'âge d'accès aux réseaux sociaux.
15:46Les opérateurs locaux n'imposent aucune vérification d'identité,
15:49laissant les collégiens et même les élèves du primaire ouvrir des comptes sans contrôle.
15:54Pourtant, les enjeux sont immenses.
15:56Protéger les mineurs des contenus violents et pornographiques,
15:58réduire les incitations à la prostitution juvénile,
16:00limiter la consommation de drogues orchestrées sur les plateformes,
16:04lutter contre le cyberharcèlement,
16:05restaurer l'autorité parentale et scolaire,
16:07limiter l'érosion des performances scolaires causées par l'addiction numérique.
16:11À l'heure où les violences dans les lycées se multiplient,
16:13où les grossesses précoces explosent,
16:15où les réseaux criminels s'organisent en ligne,
16:17la question d'un encadrement strict des usages numériques se pose avec urgence.
16:21Le modèle danois montre qu'une régulation ferme est possible et acceptée
16:25lorsqu'elle vise la protection des enfants.
16:27Le Gabon, confronté à une montée inquiétante des dérives chez les jeunes,
16:30pourrait-il puiser une inspiration pour bâtir un cadre légal protecteur,
16:34moderne et adapté à ces réalités ?
16:37À l'heure où la société s'inquiète de la dégradation de la jeunesse et du climat scolaire,
16:41l'encadrement du numérique pourrait devenir l'un des outils essentiels de prévention.
16:45Reste à savoir si les pouvoirs publics, les parents, les établissements scolaires
16:48ouvriront ce débat avant que les dérives ne deviennent irréversibles.
16:53Le chiffre du jour est 51%.
16:55C'est le taux des jeunes Gabonais qui déclarent qu'ils créeraient leur propre entreprise.
17:00La source est une des pêches d'afrobaromètre.
17:03Le verbatim, le ministère de la Santé, conscient des inquiétudes suscitées par certaines informations relayées
17:09sur les réseaux sociaux, tient à rassurer l'ensemble de la population.
17:12La situation épidémiologique nationale demeure sous contrôle et ne présente aucun caractère alarmant.
17:19La source est Gabon24, l'auteur de ce verbatim, et Dr Jean-Romain Mouroux,
17:23directeur général adjoint de la prévention.
17:26Point final à ce 19h30.
17:28Excellente soirée à vous.
17:29À demain. Au revoir.
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