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  • il y a 1 minute
Christian Flaesch, ancien directeur de la police judiciaire de Paris, est revenu, ce samedi 22 novembre dans 100% Politique Week-End, sur la menace russe évoquée par le chef d’état-major des armées Fabien Mandon : «L’idée d’une guerre de haute intensité se développe dans beaucoup de capitales européennes».

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Transcription
00:00C'est vrai que quand vous êtes militaire, c'est une parole que vous entendez peut-être mille fois dans votre carrière.
00:05Bon, ça a été un choc et ça a été un choc aussi parce que c'est le contexte général.
00:10C'est parce que c'est la Russie qui est directement montrée comme ennemie, désignée comme ennemie.
00:16Et aujourd'hui, les Français, visiblement, et on le comprend, ne veulent pas mourir pour l'Ukraine,
00:20ne veulent pas se battre contre les Russes.
00:23C'est cela aussi le contexte, justement, contrairement à ce que dit le chef de l'État, qui me semble très important.
00:27– Alors, on ne peut pas reprocher le fond des propos du général Mondon
00:32qui s'inscrivent dans ce que les chefs d'État-major précédents ont dit,
00:35puisque, je l'ai rappelé tout à l'heure, son prédécesseur a indiqué qu'il fallait se préparer à une guerre de haute intensité.
00:41Et vous l'avez dit aussi, c'est un sujet qui se développe actuellement dans beaucoup de capitales européennes.
00:46Donc après, effectivement, on peut voir, à la fois il y a les mots, et ensuite il y a l'environnement, l'endroit où ça se passe.
00:54Donc ça, ça a pu jouer sur l'interprétation qui en est faite.
00:57Mais le fond, à mon avis, mérite d'être soutenu.
00:59– Sous-titrage Société Radio-Canada
01:02– Sous-titrage Société Radio-Canada
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