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Europe 1 et CNEWS attaqués : «Il n'y a que des gens de gauche sur l'audiovisuel public», dénonce Sébastien Lignier
Europe 1
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il y a 4 heures
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News
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00:00
Europe 1
00:01
Europe 1
00:03
11h30, 13h, Elliot Deval et vous
00:07
Et on est ensemble jusqu'à 13h
00:10
en direct sur Europe 1 pour Elliot Deval et vous
00:12
Chers auditeurs, vous le savez
00:14
cette émission
00:16
elle est faite pour vous
00:18
Vous êtes notre boussole, c'est vous qui donnez
00:20
le tempo de l'émission, vous réagissez en direct
00:22
au 01 80 20
00:24
39 21, on est toujours bien sûr
00:26
avec Géraldine Hamon
00:28
avec Sébastien Linière, rédacteur
00:30
en chef Valeurs Actuelles
00:31
avec Christophe Bordet, rédacteur
00:34
en chef Europe 1
00:35
et je peux vous dire que ça va pas rigoler dans le studio d'Europe 1
00:38
parce qu'il y a le général Dominique
00:40
Trinquant qui est avec nous
00:42
mon général, bonjour
00:43
je rappelle votre ouvrage d'un monde à l'autre
00:46
comprendre les nouveaux enjeux géopolitiques
00:48
on va parler de la guerre dans un instant
00:50
des guerres
00:51
parce qu'on va parler de la guerre contre le narcotrafic
00:54
et puis ensuite on parlera
00:55
de la guerre de haute intensité
00:57
cette déclaration évidemment qui a fait polémique
01:00
du chef d'état-major des armées
01:02
qui nous invite à
01:04
accepter de perdre nos enfants
01:07
donc c'est vrai que ça
01:08
évidemment troublait tout le monde
01:10
il y a eu un rétro-pédalage
01:12
on en parle dans quelques minutes
01:13
mais il y a beaucoup d'appels aux standards d'Europe 1
01:16
parce que sur Europe 1
01:18
la liberté d'expression
01:19
la parole libre, la parole plurielle
01:22
c'est quelque chose d'essentiel
01:23
on parlait de ce système médiatique
01:25
juste avant la pause
01:27
de ce système médiatique
01:29
qui est peut-être en train de perdre sa boussole
01:31
de dérailler
01:32
qui attaque
01:33
de manière formelle
01:35
et sur le terrain judiciaire
01:37
c'est le cas de France Télévisions
01:38
et de Radio France
01:40
qui attaque CNews
01:41
le JDD et Europe 1
01:42
et puis il y a ses attaques régulières
01:43
et notamment de Libération
01:45
Libération qui a fait sa une
01:47
sur Pascal Praud
01:49
en mettant la propagande
01:50
portée par ses records d'audience
01:53
sur CNews et Europe 1
01:54
le présentateur populiste
01:56
visiblement joue
01:56
de son influence croissante
01:58
pour tenter d'unir droite
02:00
et extrême droite
02:01
en quête
02:02
vous n'allez pas dire
02:03
qu'il y a une forme de complot là-dedans
02:05
bien évidemment
02:06
mais moi ce qui m'intéresse
02:07
c'est d'avoir le regard des auditeurs
02:10
d'entendre les auditeurs
02:12
d'Europe 1 ce matin
02:12
Suzette bonjour
02:14
bonjour
02:15
très enchantée de vous avoir
02:18
écoutez le plaisir
02:19
et partage
02:20
chère Suzette
02:21
alors
02:22
moi déjà je partage
02:24
ce que la dame
02:25
avant les actualités
02:26
a dit
02:27
déjà
02:27
sur les préoccupations
02:29
elle disait
02:29
moi mes trois préoccupations
02:31
pourquoi
02:32
alors j'essaie de recontextualiser
02:33
pour les auditeurs
02:34
qui nous rejoignent
02:35
elle a dit
02:36
mes trois préoccupations
02:37
mes trois priorités
02:38
c'est la question de sécurité
02:39
aujourd'hui en France
02:40
la question de l'immigration
02:42
illégale
02:44
qui est liée
02:45
selon elle
02:46
à une partie
02:46
de la délinquance
02:48
et il y a le pouvoir d'achat
02:49
elle prenait l'exemple
02:50
de sa fille
02:50
qui était chef d'entreprise
02:53
qui était maman
02:54
et qui va devoir reprendre
02:55
le boulot
02:55
après seulement un mois
02:57
après la naissance
02:58
de son enfant
02:58
parce qu'il n'y a pas forcément
02:59
d'aide pour les entrepreneurs
03:00
qui se lancent
03:01
mais Suzette
03:02
nous ce qui nous intéresse
03:03
aujourd'hui
03:04
c'est voilà
03:04
la liberté d'expression
03:06
moi je
03:06
ce qui est intéressant
03:07
c'est que dans ce système
03:09
médiatique
03:09
rêve que d'une chose
03:10
c'est de fermer
03:12
les médias
03:15
qui n'aspirent pas forcément
03:17
au récit médiatique
03:19
qui était imposé
03:21
et qui ne correspondait pas
03:22
forcément au réel
03:24
mais qui était imposé
03:26
par ce système là
03:27
alors moi
03:29
déjà
03:30
à Europe
03:32
je vous fais toute confiance
03:33
je regarde
03:35
en même temps
03:35
c'est nous
03:36
j'estime que vous êtes
03:38
vous déjà
03:38
monsieur
03:39
Pascal Proulx
03:40
et votre entourage
03:42
votre équipe
03:43
a des valeurs
03:45
c'est à dire
03:45
que les valeurs
03:46
que vous avez
03:47
c'est pour le monde
03:49
c'est pour tout le monde
03:50
moi voilà
03:51
je suis une personne
03:52
maintenant je vais dire
03:53
un petit peu âgée
03:54
mais je suis toujours
03:56
comment dire
03:58
d'accord avec ce que vous êtes
04:01
ce que vous dites
04:02
parce que
04:04
ce que vous dites
04:06
effectivement
04:07
maintenant ce qu'on peut dire
04:08
sur vous
04:09
qu'on vous met du bâton
04:10
dans les roues
04:10
forcément
04:11
c'est parce que
04:13
comment dire ça
04:16
vous êtes vraiment
04:17
la vérité
04:19
vous dites la vérité
04:20
et la vérité
04:21
n'est jamais bonne à dire
04:22
c'est ce qu'on dit toujours
04:23
mais
04:24
ôtez-moi d'un doute
04:26
chère Suzette
04:27
parce que
04:27
vous avez dit
04:28
vous Pascal Praud
04:29
vous n'avez pas la sensation
04:30
de parler avec Pascal Praud
04:31
quand même
04:33
là ce n'est pas
04:34
Pascal Praud
04:35
je croyais que vous
04:36
êtes
04:36
il y a de Val
04:36
il y a confusion
04:41
voilà
04:42
écoutez
04:43
Pascal est un mentor
04:45
mais
04:45
alors là
04:46
je me présente
04:47
chère Suzette
04:48
je m'appelle
04:48
Eliott
04:49
Eliott Deval
04:51
d'accord
04:51
excusez-moi
04:53
mais vous plaisantez
04:54
ou quoi
04:54
c'est pas grave
04:55
il n'y a aucun problème
04:57
mais je voulais juste
04:58
vous êtes une
04:58
vous êtes une super équipe
05:01
une filiation
05:01
oui
05:02
je vous écoute
05:04
dès que j'ai l'occasion
05:05
je vous écoute
05:06
et voilà
05:08
c'est pour moi
05:09
c'est pareil
05:10
votre monsieur Pascal Praud
05:12
vous
05:12
toute votre équipe
05:13
c'est
05:14
je
05:15
j'écoute Europe
05:17
régulièrement
05:17
c'est
05:18
et voilà
05:19
et bien merci Suzette
05:21
de nous suivre
05:22
voilà
05:22
encore une fois
05:24
ce qui est intéressant
05:24
Sébastien Ligné
05:26
c'est que
05:26
on ne peut pas dire
05:28
défense de la liberté
05:29
d'expression
05:29
et ensuite
05:30
avoir des médias
05:33
qui aspirent
05:34
et espèrent
05:35
qu'une seule chose
05:35
c'est la fermeture
05:36
d'autres
05:36
moi par exemple
05:37
Libération
05:37
je veux que
05:38
Libération continue
05:40
de vivre
05:41
des subventions publiques
05:42
bien évidemment
05:42
je veux que
05:43
France Télévisions
05:44
continue
05:45
qu'il y ait un service
05:47
public
05:48
de l'audiovisuel
05:49
bien sûr
05:50
pourquoi pas
05:50
mais simplement
05:51
déjà
05:51
il faut peut-être
05:52
savoir comment
05:53
l'argent est géré
05:54
et puis s'il y a
05:56
une pluralité
05:57
pas forcément
05:58
une neutralité
05:59
une pluralité
05:59
comme d'habitude
06:00
le problème
06:01
ce n'est pas
06:02
que l'audiovisuel public
06:03
invite des gens de gauche
06:05
et que des gens de gauche
06:05
s'expriment sur l'audiovisuel public
06:07
le problème c'est qu'il n'y a que
06:08
des gens de gauche
06:09
sur l'audiovisuel public
06:09
c'est ça le problème
06:10
c'est le manque
06:11
de diversité d'opinion
06:12
mais moi je pense que
06:13
vous avez tout dit tout à l'heure
06:13
et le deval c'est que
06:14
en fait on assiste aujourd'hui
06:15
à un système qui pendant 40 ans
06:19
a imposé une ligne directrice
06:21
a imposé un récit
06:23
qui a façonné les esprits
06:24
de millions de français
06:25
pendant des années
06:26
qui n'avaient pas d'autre manière
06:28
de s'informer que cela
06:29
il faut quand même se rappeler
06:30
que pendant longtemps
06:30
il y avait très peu de chaînes
06:31
de télévision
06:32
il n'y avait pas internet
06:33
il n'y avait pas les réseaux sociaux
06:34
et donc quand on voulait s'informer
06:36
on s'informait par les canaux
06:37
dits traditionnels
06:37
et puis il n'y avait que ça
06:38
maintenant on a vu l'émergence
06:40
avec les réseaux sociaux
06:41
avec internet
06:41
et avec d'autres médias
06:43
qui simplement tendent le micro
06:44
à des français
06:45
on a vu l'émergence
06:46
d'une vraie opinion
06:48
de l'opinion réelle des français
06:50
et vu qu'il y a un tel décalage
06:51
entre le récit
06:52
qui a tenté d'imposer
06:53
pendant des années
06:54
ce système
06:54
et la réalité concrète
06:56
sur le terrain
06:56
ils sont déboussolés
06:58
ils se disent
06:58
tiens
06:59
on a peut-être raconté
07:00
des bobards aux français
07:01
pendant 40 ans
07:02
donc face à cela
07:03
il y a deux choix
07:03
soit vous assumez
07:04
vous faites amende honorable
07:05
vous dites bon bah en effet
07:06
nous ne sommes plus raccords
07:08
avec l'opinion des français
07:08
soit vous vous enfermez
07:10
dans votre délire
07:11
et vous vous radicalisez
07:12
dans votre opinion
07:13
et c'est exactement
07:14
ce qu'est en train de faire
07:15
le service public
07:15
c'est un système
07:16
qui se radicalise
07:18
Christophe Bordet
07:19
très rapidement
07:20
vous dites
07:21
les médias
07:22
vous parlez
07:23
du service public
07:24
très bien
07:25
mais je pense que
07:26
malheureusement
07:27
ce que l'on est en train
07:28
de dénoncer
07:29
moi il y a quelque chose
07:31
qui m'inquiète
07:31
c'est quand même
07:32
les prises de position
07:33
du président de la république
07:35
cette semaine encore
07:37
et l'Europe est sur la même ligne
07:39
le président de la république
07:40
a dit
07:41
qu'il fallait mieux encadrer
07:43
les réseaux sociaux
07:45
et il a fortement pensé
07:47
notamment à X
07:48
X Twitter
07:48
encadrer les réseaux sociaux
07:51
parce que sur les réseaux sociaux
07:52
un certain nombre
07:53
pardon
07:54
il n'y a pas que des conneries
07:55
il y a un certain nombre
07:56
d'informations
07:57
dérangeantes
07:59
qui apparaissent
08:00
sur les réseaux sociaux
08:02
pardonnez-moi de le dire
08:03
il n'y a pas que des conneries
08:03
il n'y a pas que ça
08:04
il y a aussi
08:05
beaucoup d'informations
08:06
réelles
08:07
qui apparaissent
08:07
sur les réseaux sociaux
08:08
et qui sont gênantes
08:10
pour le pouvoir
08:11
qui est intéressant
08:11
via les réseaux sociaux
08:13
c'est une réalité
08:14
et si par les réseaux sociaux
08:16
on peut couper Frontière
08:17
par exemple
08:18
qui est un média
08:19
de droite
08:21
qui est assez dérangeant
08:22
visiblement
08:22
pour beaucoup de gens
08:23
aujourd'hui
08:24
ils le feront
08:25
voilà
08:26
et ils le feront
08:26
pour tout un tas
08:27
d'autres comptes
08:28
qui les dérangent
08:29
et je suis désolé
08:30
on ne peut pas être
08:31
dans la liberté d'expression
08:32
et en même temps
08:33
dire ah non
08:34
il faut couper
08:35
les réseaux sociaux
08:36
je pense qu'on se
08:36
effectivement
08:37
là vous avez pris
08:38
vraiment de la hauteur
08:39
puisqu'on était sur
08:40
les médias
08:40
et vous parlez des réseaux sociaux
08:42
les réseaux sociaux
08:42
font partie des médias
08:43
ce qui est vrai
08:44
c'est qu'aujourd'hui
08:45
il y a sur les réseaux sociaux
08:47
des lanceurs d'alerte
08:48
qu'il n'y avait pas
08:49
auparavant
08:50
et peut-être
08:51
des affaires
08:52
qui ont sidéré
08:53
les français
08:53
ont pu être
08:55
relayées
08:56
différemment
08:57
que ce que voulait
08:58
présenter
09:00
ce qui voulait être
09:01
présenté
09:01
par un système
09:02
médiatique
09:03
qui refuse
09:04
certains sujets
09:05
notamment sur les questions
09:06
de sécurité
09:07
en même temps
09:08
encadrer
09:08
ce qui peut
09:10
se dire
09:11
sur les réseaux sociaux
09:12
puisque ça peut être
09:13
aussi
09:13
il y a du très bon
09:14
mais il y a aussi
09:15
du très mauvais
09:15
et de trouver un moyen
09:17
de faire
09:19
de réguler
09:21
les fake news
09:22
l'utilisation
09:23
de l'intelligence artificielle
09:25
les réseaux sociaux
09:27
c'est aussi
09:27
une manière
09:29
d'entrer
09:29
d'ingérence étrangère
09:32
pour avoir
09:32
l'ingérence étrangère
09:33
sur les réseaux sociaux
09:34
mais on s'est
09:34
un tout petit peu
09:35
écarté du sujet
09:36
c'est pas bien grave
09:36
c'est pas bien grave
09:37
c'est pas bien grave
09:38
c'est pas bien grave
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il y a 6 ans
1:45
Cyril Hanouna - François Hollande n'a voté qu'une fois à l'Assemblée depuis son retour : «C'est scandaleux», affirme Olivier Dartigolles
Europe 1
il y a 1 an
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