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  • il y a 16 minutes

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Transcription
00:00Côté politique, l'avertissement du chef d'état-major des armées a suscité l'indignation.
00:03Bonsoir Marie-Hélène Trémolet.
00:05Bonsoir Pierre, bonsoir à tous.
00:06C'est vrai, à gauche comme à droite de l'échiquier politique.
00:09Oui, à commencer par Sébastien Chenu, le porte-parole du Rassemblement National,
00:13qui affiche sa totale désapprobation, même son de cloche du côté de la France insoumise.
00:18Sur ses réseaux sociaux, Jean-Luc Mélenchon se questionne où est passé le président Macron,
00:22pourquoi permet-il cela ?
00:24En soutien à Fabien Mandon, la ministre des Armées Catherine Vautrin dénonce ce soir
00:28des petites phrases sorties de leur contexte.
00:30Bien sûr, nous devons entraîner nos armées.
00:34Il est important que notre nation soit à la fois lucide et unie.
00:40Il n'y a pas de place pour la polémique.
00:42De son côté, le porte-parole du chef d'état-major des armées évoque dans un point presse
00:46un simple rappel de la part du plus haut gradé de l'armée.
00:49Subir une guerre de haute intensité, ça veut dire envisager des pertes.
00:52C'est entre 200 et 1000 morts par jour.
00:55Un pays qui n'est pas prêt à connaître ça, c'est un pays qui est faible.
00:58Il s'agit-il du terme « enfants », ce sont les enfants de la nation.
01:03Les armées sont les enfants de la nation.
01:06Seul le président de la République a la prérogative d'engager de manière effective
01:10les armées françaises à la condition d'en référer au Parlement.
01:13Mayalen, très mollet du service politique d'Europe 1.
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