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Alban Pellegrin, ncien candidat de Koh-Lanta et marathonien
Europe 1
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00:00
Et vous écoutez Culture Média sur Europe 1, 10h-11h30 avec Thomas Hill et votre invité ce matin Thomas.
00:05
Et je reçois ce matin un aventurier qui a participé deux fois à cette émission emblématique.
00:13
Alvan Pellgrin, ancien candidat de Koh-Lanta qui s'est lancé un défi à la hors norme,
00:19
hors norme je dirais même surhumain, courir 72 marathons en 72 jours.
00:26
Sans le moindre jour de repos, c'est incroyable ce que vous avez fait, c'est fou,
00:32
mais c'est un défi très sérieux Alvan que vous vous êtes lancé.
00:36
Expliquez-nous ce qui vous a conduit à relever ce défi déjà.
00:38
J'aime même dire que ce défi s'est transformé en aventure.
00:43
C'est plus même une aventure qu'un défi.
00:44
En fait un marathon par jour pendant 72 jours c'est un défi.
00:47
Mais la spécificité de cette incroyable aventure c'est que le soir je tapais à la porte des gens
00:51
et je demandais de logir le couvert.
00:53
Et c'est pour ça que ça s'est transformé dans une aventure incroyable
00:56
parce que je reliais les 4 points cardinaux de la France.
00:58
Ça représente 3 221 kilomètres.
01:00
3 221 kilomètres.
01:02
Sans s'arrêter et je suis allé à la rencontre des Français et des Françaises
01:05
et c'est ça qui était fort.
01:06
Mais les gens peuvent se demander pourquoi vous avez fait ça ?
01:08
Ah ben ils se le demandaient quand je tapais à leur porte.
01:11
Qu'est-ce que vous répondez ?
01:12
En fait j'avais un peu mon discours et le but était toujours de convaincre mais de ne jamais insister.
01:17
C'est-à-dire que la question n'est pas de savoir si on accueille quelqu'un chez lui ou non,
01:21
la question est de savoir pourquoi est-ce qu'on va l'accueillir.
01:23
Donc c'est vrai qu'à chaque fois j'ai essayé de convaincre de mon aventure folle.
01:27
J'aime à dire que je suis un nomade et non un vagabond.
01:29
Le nomade il a une ligne de départ et une ligne d'arrivée.
01:32
Elle était là la grande grande différence.
01:33
C'est que je ne gérais pas son but.
01:35
J'avançais avec les jambes et quand elles n'avançaient plus,
01:38
on avançait aussi surtout pour une belle cause.
01:40
Donc on avançait avec le cœur et la tête.
01:42
Mais pourquoi 72 marathons ?
01:43
72 marathons parce que c'est la distance qui relie les 4 points cardinaux de notre belle France.
01:50
Comme je le disais, le nomade...
01:51
Vous aviez fait votre petit calcul et vous disiez qu'il faut que j'en fasse 72.
01:54
Donc c'est tombé comme ça sur 72.
01:55
A peu près, oui.
01:56
On cherchait un chiffre à aller chercher.
01:59
C'est vrai que le danger était surtout de faire attention à son corps.
02:04
Parce que j'étais seul avec mon sac à dos de 7 kilos.
02:06
A chaque fois, il y a un truc en plus.
02:11
Un sac à dos de 7 kilos.
02:12
7 kilos, ce n'est pas beaucoup cela dit.
02:13
C'est-à-dire que vous n'aviez pas de tente, pas de réserve de nourriture, rien.
02:17
Quand on dit que ce n'est pas beaucoup, je vous garantis que si je vous le fais porter sur le moment,
02:20
c'est un peu lourd.
02:21
Mais j'avais quoi ?
02:22
3 t-shirts, 3 shorts, 4 caleçons, 4 paires de chaussettes,
02:25
un poncho, une tenue de pluie, 2 caouets, une trousse de toilette,
02:28
un sac à viande quand même.
02:29
Un sac à viande, c'est un petit sac de couchage mais que de draps.
02:31
Et voilà, une casquette, un livre quand même sur le principe.
02:34
Et j'ai emmené l'île au trésor de Stevenson parce que c'était ma manière à moi de...
02:38
De vous motiver ?
02:39
De me motiver, surtout de vivre cette aventure.
02:41
Je l'avais déjà lu.
02:42
C'est une relecture ?
02:43
C'est une relecture, c'est garder cette âme d'enfant comme dans l'île au trésor,
02:48
de partir à la recherche d'un trésor qui en fait, c'est l'aventure le trésor.
02:51
Et il y avait aussi un autre but, c'était de lever des fonds.
02:53
C'est ça.
02:54
Pour ? Racontez-nous.
02:55
Pour la fondation du souffle, en fait moi j'ai perdu ma amande d'un cancer du poumon il y a deux ans.
02:59
Et c'est vrai que quand on se lance, j'ai eu la chance, vous l'avez cité, de vivre des aventures exceptionnelles
03:04
à travers Koh Lanta ou à travers des documentaires que j'ai tournés sur Youtube.
03:07
Mais après le décès de ma amande, j'avais envie de créer ma propre aventure et de lui rendre hommage.
03:11
Parce qu'une aventure comme ça, c'est une introspection si folle sur soi-même.
03:13
On dit pour se découvrir soi-même, il faut découvrir les autres.
03:16
Quelle chance d'avoir pu me découvrir à travers les Français et les Françaises.
03:19
Donc voilà, on a fait ça pour la fondation du souffle qui parle de toutes les maladies respiratoires.
03:24
On respire 22 000 fois par jour.
03:25
Et donc ça parle du cancer du poumon, oui, mais pas que.
03:28
L'asthme, la mucoviscidose, la BPCO.
03:30
Et on a levé plus de 31 000 euros alors qu'on visait 15 000.
03:32
C'est assez exceptionnel.
03:34
Il y a quelque chose qui me frappe là depuis que je vous regarde.
03:37
C'est que vous avez une forme de ressemblance avec Sylvain Tesson.
03:40
C'est vrai ?
03:40
L'auteur Sylvain Tesson qui a fait aussi cette traversée de la France comme ça sur les chemins noirs.
03:46
Et il y avait un peu de ça aussi dans votre parcours, j'ai l'impression, d'aller voir la France de l'intérieur.
03:50
Lui, quand il a écrit les chemins noirs, moi j'avais envie d'écrire les chemins blancs.
03:53
C'est-à-dire que justement, lui avait une...
03:55
On a tous les deux, je pense, notre propre névrose.
03:56
Elle est juste différente.
03:58
Mais c'est vrai qu'il avait besoin, lui, de se reconstruire.
04:01
Et moi j'avais besoin d'aller rencontrer les Français et les Françaises.
04:04
Et de montrer en fait que le partage de la bienveillance existe bien plus qu'on ne le pense.
04:07
J'aime à dire que j'ai rencontré la France de Jean-Pierre Pernaut en fait.
04:10
Celle qui est bienveillante, qui est accueillante.
04:12
Même si on disait que personne n'allait m'accueillir le soir.
04:15
Les gens étaient généreux ? Vraiment, ils vous ouvraient leurs portes facilement ?
04:18
Ou il a fallu taper à beaucoup de portes ?
04:20
Plus que généreux, mais à la question est-ce qu'ils m'ouvraient facilement ?
04:22
La réponse est non.
04:23
On n'ouvre pas facilement.
04:24
Mais le sourire est un muscle, donc il faut convaincre.
04:26
Évidemment que ce n'est pas facile.
04:28
Évidemment que j'ai essuyé jusqu'à 17 refus.
04:30
Non, le même soir.
04:31
Le même soir.
04:31
En même temps, vous arriviez très en sueur chez les gens aussi.
04:36
Ça joue.
04:38
Les gens font plus que m'accueillir.
04:39
Ils m'offrent une douche, le loge et le couvert.
04:41
Il faut aussi passer aux toilettes de temps en temps.
04:43
On rentre dans une intimité incroyable.
04:45
Mais une intimité qui fait qu'on partage aussi le soir une parenthèse de vie.
04:48
Parce qu'ils me prennent sur leurs ailes.
04:50
Ils me font à manger, ils m'hourissent.
04:52
Ils m'offrent le loge et le couvert, c'est fort.
04:54
Vous avez remarqué des différences entre régions, par exemple.
04:57
Est-ce qu'il y avait des régions où c'était un peu plus compliqué d'aller chez les gens ?
05:00
Pas plus compliqué.
05:01
J'ai envie de dire au contraire que la France est d'un chauvinisme exceptionnel.
05:04
Je ne sais pas lesquels sont les plus chauvins entre les Bretons et les Alsaciens.
05:07
Mais en tout cas, ils sont très très forts.
05:08
Et ce qui était fou, c'est qu'il y a eu un petit côté forest gum qui s'est créé tout le long de l'aventure.
05:12
Donc au-delà de mes familles d'accueil le soir, les gens venaient courir à mes côtés.
05:14
Et m'amener les spécificités locales.
05:16
C'est-à-dire qu'au début, j'ai perdu beaucoup de kilos.
05:19
Mais au bout d'un moment, à force de m'amener du couignaman, des bréveleux, du foie gras,
05:23
j'avoue que la seule chose que j'ai refusée en 72 jours, c'est un plateau d'huîtres à l'étang de taux.
05:28
Parce que j'ai été un peu risqué.
05:29
C'est près de 7, l'étang de taux.
05:30
Et ce n'est pas bien pour courir les huîtres ?
05:32
Je ne sais pas, mais je ne l'ai pas tenté.
05:36
Et c'est vrai que vous avez perdu beaucoup de calories.
05:37
Il y a eu des calculs qui ont été faits.
05:39
Vous avez brûlé 204 000 calories pendant ces marathons, soit l'équivalent de 816 croissants.
05:45
Je ne sais pas quoi faire de cette information.
05:46
Mais du coup, vous deviez, c'est vrai, manger beaucoup pour compenser.
05:50
La première semaine, je perds 1,8 kg.
05:52
Et ma nutritionniste, parce que je suis suivie un petit peu de loin,
05:54
me dit, si tu continues comme ça, tu ne finiras pas la deuxième semaine.
05:57
Donc, je me suis mis à manger toutes les heures.
05:59
Toutes les heures ?
06:00
Toutes les heures.
06:00
Et ce qui était faux, en fait, c'est que même un jour, un dimanche,
06:04
je ne trouve pas de boulangerie, c'est normal dans les dimanches.
06:05
Mais moi, j'avais perdu un peu de notion de temps.
06:07
Et là, j'ai une maman qui voit ma story, parce que je diffusais ça sur les réseaux sociaux.
06:10
Et avec sa fille de 6 ans, ils m'ont fait un sandwich de jambon-beurre.
06:13
Et ils ont essayé de me trouver, ils m'ont trouvé.
06:14
Et l'aventure n'a eu de cesse d'anecdotes comme ça, assez exceptionnelles.
06:18
On a une question de Julien Clerc, qui vient d'arriver dans les locaux,
06:21
qui vous écoute là, dans le couloir juste à l'extérieur.
06:24
Vous ne voulez pas qu'il y ait de la poser directement en studio ?
06:25
On peut lui demander de la poser directement en studio, Julien Clerc.
06:29
Parce qu'il est épaté par ce que vous avez fait.
06:31
Et il a une question très précise sur la façon dont vous avez fait ces 72 marathons.
06:36
Alors, le temps qui s'installe, une petite question.
06:38
C'était quoi votre entraînement ?
06:40
Comment on se prépare à faire 72 marathons ?
06:43
Alors, comment est-ce qu'on se prépare ?
06:44
Je pense qu'on essaie de borner le plus possible, de faire beaucoup de kilomètres.
06:48
Et en fait, on ne se prépare jamais à une aventure pareille.
06:51
En fait, il faut faire confiance au corps humain.
06:52
Quand on lit le livre « À marche forcée »,
06:54
vous avez cité Sylvain Tesson qui lui a reproduit justement « À marche forcée », 16 000 kilomètres.
06:59
La spécificité, c'est d'expliquer à son corps qu'il est capable.
07:01
Et Koh-Lanta le démontre.
07:02
Moi, j'ai perdu plus de 9 kilos sur ma première aventure.
07:04
Et je savais que mon corps était encore capable.
07:06
Et c'est là où on dit que l'homme avec un grand H est l'animal le plus résistant au monde.
07:10
Et c'est ça qui était le plus fort.
07:13
Mon coach, qui est aussi mon kiné, m'a dit
07:15
« Si tu tiens les 10-15 premiers jours, tu pourras aller au bout. »
07:18
Et vous êtes allé au bout, c'est magnifique.
07:19
Julien Clerc nous a rejoint.
07:20
Bonjour Julien.
07:21
C'est incroyable quand même, on est dans l'ultiverse.
07:23
C'est magnifique.
07:24
Vous avez peut-être déjà posé la question que je voulais poser.
07:27
Non, on ne l'a pas posé.
07:27
Bonjour à tous.
07:28
Bonjour.
07:29
Bienvenue.
07:30
Non, mais je voulais demander,
07:32
c'était organisé comment la journée ?
07:34
Vous partiez à quelle heure ?
07:35
Alors, en fait, c'est ultra intéressant comme question
07:37
parce qu'il ne fallait pas arriver trop tôt.
07:39
Donc au début, typiquement, je partais...
07:41
Ça ne veut dire pas arriver trop tôt ?
07:41
Parce que si vous arrivez à 16h chez les gens,
07:43
ils ne sont pas chez eux.
07:44
Donc en fait, la fois où j'ai essuyé 2h à cadre au fût,
07:47
c'est qu'en fait, moi j'ai une allure,
07:48
je fais moins de 3h en marathon.
07:49
Je mets 2h58.
07:51
Bien sûr.
07:52
Nous aussi.
07:53
Et donc, pour adapter sur 72 jours,
07:55
il faut adapter son rythme.
07:57
Donc les premiers jours, j'arrivais vers 16h, 16h30,
07:59
mais les gens ne me répondaient pas.
08:00
Mais c'est normal, ils ne sont pas là.
08:02
Donc il fallait s'adapter sur deux choses.
08:03
La première, c'est à quelle heure partent les gens ?
08:05
Un jour, j'ai dormi chez quelqu'un,
08:07
c'était un maraîcher,
08:07
donc il partait à 5h du matin.
08:08
Donc j'ai dit, je vais peut-être trouver quelqu'un d'autre.
08:10
Ah ouais, c'est ça.
08:11
Et voilà, donc il fallait un peu s'adapter à tout ça.
08:13
Donc j'ai essayé de partir aux alentours de 9h
08:15
pour arriver, quand on était en heure d'été,
08:18
vers 17h30, 18h30,
08:19
et qu'on a basculé en heure d'hiver,
08:21
arriver vers 16h45, 17h30,
08:22
parce qu'avec le froid et la nuit,
08:24
je fais un peu plus peur que d'habitude.
08:26
Quel exploit extraordinaire !
08:28
C'est quoi votre prochain défi, Alban ?
08:30
Est-ce que vous en avez déjà un en tête ?
08:31
Le prochain défi, c'est déjà d'être conscient
08:33
de la chance que j'ai eu de vivre ça.
08:34
En fait, on est dans une société un peu du jetable,
08:36
et quelle chance de pouvoir raconter cette histoire folle,
08:39
quelle chance de pouvoir dire,
08:40
moi j'ai Julien Clerc à ma gauche,
08:42
mais j'ai tapé à la porte de Francis Cabrel.
08:43
Mais non !
08:44
Bien sûr !
08:44
C'est pas vrai !
08:45
Pendant le marathon ?
08:45
Pendant le marathon.
08:46
Et il vous a ouvert ?
08:47
Il ne m'a pas ouvert, parce qu'il n'était pas là.
08:48
Mais la folie de cette aventure,
08:49
c'est que le soir même,
08:50
à la porte à laquelle j'ai tapé,
08:52
c'était Karine, une l'opticienne d'Astafor,
08:55
qui a dit, si Francis ne vous ouvre pas,
08:57
nous on vous accueillera avec grand plaisir.
08:58
J'ai dit, chiche, j'ai fait 4 km de plus,
09:00
et Francis Cabrel ne m'a malheureusement pas ouvert.
09:03
Et à force de raconter mon histoire,
09:04
de parler de la Fondation du Souffle,
09:06
et de mettre toute l'envie et l'amour
09:08
de ce projet incroyable que j'ai eu la chance de vivre,
09:10
avec son mari, ils ont regardé,
09:11
ils ont dit, il faut qu'on lui dise,
09:13
lui dire quoi ?
09:13
Francis est un ami, appelons-le,
09:16
il faut qu'ils te reçoivent.
09:18
Et le lendemain, on a pu échanger avec Francis Cabrel.
09:20
Donc c'était assez incroyable.
09:21
Et c'est ça qui est beau dans cette aventure,
09:22
c'est la rencontre.
09:23
J'ai dormi au Mont-Saint-Michel, chez des moines,
09:25
j'ai dormi dans un domaine viticole,
09:26
dans un hara, dans une crêperie,
09:28
j'ai dormi avec tous les milieux sociaux.
09:30
Cette France était extraordinaire d'accueil.
09:32
Il va falloir en faire un livre, je pense,
09:33
Alban Pellgras.
09:35
Merci, merci beaucoup d'être venu nous voir ce matin.
09:37
Et je rappelle à nos auditeurs
09:39
que vous pouvez vous aussi faire un don
09:40
pour la Fondation du Souffle
09:42
sur www.lesouffle.org.
09:45
Merci Alban.
09:45
Merci à vous.
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