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00:00RFI et France 24 présente
00:03Lola famille, bienvenue dans Les Gendres Urbaines, l'émission faite par nous pour tous de RFI et France 24.
00:09Si je devais décrire notre invité du jour en une citation, je dirais
00:12« La rivière perce le rocher, non par sa force, mais par sa constance ».
00:17On peut clairement affirmer que notre hôte a été assidue ces 30 dernières années,
00:22et cela malgré le fait que
00:23« Tout le monde confond le rap, c'est un moyen, pas une fin, ni un sprint, mais une course de fond ».
00:28Je dirais même un parcours du combattant.
00:30Le Timebomb asectera jusqu'à ses liens sacrés avec la Dream Team.
00:35Celui qui est
00:36a toujours su se démarquer, car très vite il s'est dit
00:41et il avait raison.
00:44Il effectue, il y a une quinzaine d'années, un retour aux sources.
00:48Et cela de façon très concrète, en montant ses propres labels panafricains
00:52via lesquels il produit d'autres artistes ainsi que des concerts.
00:55Et je peux vous garantir que la tâche de la production est périlleuse,
00:59car sur ses terrains, avant de rencontrer le succès…
01:01Faut ramer, faut ramer, faut ramer
01:03Investir, développer, manager et…
01:06Si ça marche pas, continue, persévère, t'arrête pas
01:09Impossible pour un passionné tel que lui d'abandonner.
01:12Et pour preuve, il vient de boucler un Olympia à guichet fermé
01:15en préparation de son nouvel album.
01:18On se devait à cette occasion de remettre en lumière son incroyable itinéraire.
01:23Messieurs, dames, juste pour vous dans les studios de Légendes urbaines…
01:25C'est B-B-A-A-R-R-D-I
01:30Bacardi !
01:32Ouais, aujourd'hui, c'est Pito Mike, alias Pito Bacardi.
01:35Coup de ça !
01:35Nous sommes transportés dans une autre dimension.
01:40Dans un univers fait non seulement de paysages et de sons,
01:44mais aussi d'esprits.
01:46Bon, c'est le moment où il faut être attentif.
01:49Juliette Fievet et ses invités vont vous raconter leur légende.
01:52Leur légende urbaine.
01:55Je rappe toujours avec le même accent.
01:57Tenue le haut du pavé, même avec un père absent.
01:59C'est rire.
02:00La vie m'inspire, Paris m'attire.
02:02Dehors, ça tire pour pas un rond, ici plus rien n'a de sens.
02:05Monsieur Pete Bacardi dans les studios de Légendes urbaines.
02:09Pete, bienvenue chez toi, mon frère.
02:11Merci pour l'accueil, merci pour l'intro.
02:13T'es né au Cameroun, à Yaoundé.
02:15On le sait tous, plus ou moins, parce que ton bengueur, trop loin, évidemment,
02:20est dédié à ta maman, qui est décédé à son âme quand tu avais neuf mois.
02:25Ton papa, lui, entre-temps, était reparti en France.
02:27Il était étudiant.
02:28D'ailleurs, il était musicien, guitareiste, quand il était jeune, dans un orchestre.
02:33Il est expert comptable, il fait des audits.
02:38C'est ta grand-mère qui t'a élevé, dans un premier temps.
02:41Grand-mère paternelle, oui.
02:42Grand-mère paternelle.
02:43Quelles sont les valeurs qui t'ont été transmises ?
02:46L'amour, la valeur essentielle.
02:49Je ne sais pas si c'est une valeur ou si on peut attribuer un autre terme à ça,
02:54mais c'est l'amour.
02:55J'ai été l'amour, le partage, la bienveillance.
03:02Et voilà.
03:03C'est dans ça que j'ai grandi.
03:05Tu fais des allers-retours entre la France et le Cameroun.
03:07La première fois, je crois, à l'âge de 6 ans.
03:11Ton papa épouse une nouvelle dame,
03:15qui en l'occurrence est la maman du légendaire dossier.
03:20Mais avant de faire un enfant avec ton papa,
03:25toi, tu as un grand frère qui s'appelle Thierry.
03:26Et elle dit, avant de faire un enfant avec toi,
03:30moi, je veux qu'on récupère tes enfants et qu'on s'en occupe.
03:33C'est quand même assez incroyable.
03:35C'est une lady.
03:36Ouais.
03:38Qu'est-ce qu'il y a ?
03:42Tu veux rien dire de plus ?
03:44Non, parce que, comme je te disais, en off,
03:47il y a plein de choses qui m'émuent encore.
03:54Ça, c'est émouvant, effectivement.
03:56C'est la classe mondiale.
03:57C'est la classe mondiale.
03:58Très, très grande dame.
03:59Et cette dame, elle a aussi contribué, en plus de l'amour,
04:04parce que ta vie, elle a été guidée par l'amour, Pete.
04:07Elle t'a forcé à lire le Becherel.
04:11Ouais.
04:11En fait, les gens, ils sont très surpris par, souvent, quand je parle,
04:19parce que tu connais plein de clichés, souvent justifiés,
04:24mais plein de clichés sur les rappeurs qui ne savent pas s'exprimer.
04:27Et moi, j'ai toujours eu une appétence pour la langue française
04:33et la lecture grâce à ma maman, tu vois.
04:36Et effectivement, elle me faisait apprendre
04:39deux ou trois mots du dictionnaire tous les jours
04:43que je devais, mais que je ne devais pas réciter.
04:46Je devais lui donner le sens de la compréhension
04:50qui a été la mienne des mots que j'avais appris.
04:53C'est extraordinaire.
04:54Et donc, ça t'oblige à développer une sorte de mécanisme intellectuel
05:02comme ça, à muscler ton cerveau.
05:04Et ça te donne des aptitudes à avoir une certaine maîtrise.
05:09Et c'est la bénédiction que j'ai eue.
05:11Je n'ai pas fait beaucoup d'études.
05:12C'est ça, t'as arrêté au BEPC.
05:15Ouais.
05:15T'étais pas fan de l'école.
05:17Ouais, j'ai jamais...
05:17En tout cas, de la façon dont on te transmettait les choses
05:19de façon académique, ça ne t'a jamais parlé.
05:21Et pour autant, t'es hyper connu pour justement ta prose,
05:26pour ta technique.
05:27Mais ta technique est accompagnée de vrais textes
05:29avec vraiment beaucoup de vocabulaire.
05:32Jamais de faute de syntaxe.
05:33Ça n'existe pas dans ton monde.
05:36Et finalement, ça, ça fait partie de ton héritage.
05:38Tu parles souvent du fait d'être orphelin.
05:41Parce que quelque part, bien sûr que tu l'es.
05:44Pas complètement.
05:44À la fois, c'est une force et une faille.
05:52Qu'est-ce qui t'a renforcée dans le fait de ne pas avoir ta maman
05:56et de te sentir orphelin, parce que tu l'évoques souvent.
05:59Et quelle a été la plus grande difficulté que tu as eue à dépasser ?
06:04J'ai toujours senti jusqu'à présent qu'il me manque une énergie.
06:11J'ai eu l'énergie de maman.
06:15Donc je les appelle toutes maman.
06:17Ma grand-mère et la maman, notre maman, la maman de dossier.
06:20Parce qu'elles ont été pour toi aussi.
06:21Parce qu'elles le sont.
06:23Elles ont été là, tu vois.
06:24Mais je pense que quand tu viens des entrailles d'une personne,
06:27il y a quelque chose.
06:30Que je vois quand je vois des enfants avec leur maman, tu vois.
06:35Et j'ai toujours senti que ça manquait.
06:39J'ai toujours senti que dans ma construction d'homme,
06:45il manquait la personne qui m'a créé.
06:49Et donc ça a créé des carences, ça a créé des déséquilibres.
06:52Et ça a été problématique pendant longtemps dans mes relations
06:56parce que c'est un manque que j'ai toujours cherché à combler.
07:02Et ça a été souvent dommageable dans mes relations
07:05parce que j'avais des attentes.
07:07Et comme on dit, c'est des attentes que naissent les déceptions.
07:09Mais j'ai réussi à mettre l'explication dessus avec le temps
07:14parce qu'il y a toujours une information ou un truc qui te dit
07:18« Ah ouais, mais en fait c'était ça, tu vois. »
07:20Et je pense que ça a été ça ma faiblesse.
07:22La force, c'est qu'elle me bénit.
07:26Ça, c'est imparable.
07:27Elle te protège.
07:28Ouais, ça c'est imparable.
07:30Et voilà, c'est ça ma force.
07:31C'est qu'elle me bénit, elle est omniprésente in fine.
07:36J'ai cut a long story short sur Time Bomb.
07:38T'en as beaucoup parlé.
07:41Équipe légendaire.
07:43Secteur, équipe légendaire.
07:46Première classe, équipe légendaire.
07:48Stéphane, Patou, Ethel, vous embrasserez fort les frères.
07:52Jackie, Benji.
07:53Ouais, Jackie, Benji, pardon évidemment.
07:56T'as contribué à une époque bénie.
07:57Et j'ai une personne qui va faire la question suivante
08:02sur cette histoire d'époque bénie.
08:04D'accord.
08:04Du rap.
08:05D'accord.
08:05Pete au sein du rap.
08:07D'accord.
08:10Salut à tous.
08:12Bonjour, Juliette.
08:13Petite vidéo spécialement pour toi, frérot.
08:15J'espère que tu vas bien, que tout va bien.
08:18On s'est eu un message il n'y a pas si longtemps,
08:19mais malheureusement, je n'ai pas pu assister à ton concert.
08:21Et comme tu peux voir, je suis là pour toi toujours.
08:24Quoi qu'il arrive, on est ensemble.
08:25Et ça, je sais que tu sais.
08:27Alors, j'ai une petite question pour toi.
08:30J'aimerais savoir ta préférence entre les sons des années 2000
08:33et les textes dans les sons des années 2000
08:35et le lifestyle dans les années 2000
08:38ou les textes et les sons dans les années 2020
08:44et le lifestyle des années 2020.
08:47Bon, je connais un peu la réponse,
08:49mais je te laisse développer.
08:51Voilà.
08:52Ciao.
08:53Le boss, Nicolas Anelka.
08:55Tu n'es pas bien, toi.
08:58Tu vois, je voulais mes lunettes.
08:59Je voulais mes lunettes.
09:01Parce que je sais que là, ça va aller de surprise en surprise.
09:04C'est du love.
09:05Tu t'attendais à quoi ?
09:06Que je te jette des pierres ?
09:07Ton frère, Nicolas Anelka.
09:11C'est vraiment ton frère.
09:12C'est mon refré.
09:13Grand, grand monsieur, évidemment, du foot.
09:15Pour ceux qui ne s'y connaissent pas, mais quand même.
09:17Mais c'est ton blog, quoi.
09:18C'est mon refré.
09:18C'est un très beau cadeau.
09:20Et pour répondre à...
09:21Ouais, il connaît ma réponse, il le sait.
09:22C'est que, tu vois, c'est la comparaison permanente
09:27avec le rap d'avant et le rap de maintenant.
09:30Et alors, sans vouloir entrer dans le débat qui est incessant,
09:35bien évidemment, je suis issu de 90-2000 dans l'énergie rapologique.
09:42Donc, c'est normal que je sois plus sensible à...
09:47Bien sûr, que ce soit ta Madeleine de Proust.
09:48Ouais, exactement.
09:49À 20 ans, j'étais féru de plein de choses.
09:53J'étais féru de boîtes de nuit, de sorties, etc.
09:5720 ans plus tard, je ne le suis plus.
09:59Là où les jeunes, ceux qui ont la vingtaine aujourd'hui,
10:03c'est leur sang d'intérêt.
10:04Parce que chaque âge correspond à une énergie qui se doit d'être vécue.
10:09Donc, naturellement, oui, pour répondre de manière concrète à sa question,
10:15celle des années 2000, elle me correspond plus.
10:19Mais je m'adapte.
10:20Il y a 15 ans, tu décides de revenir sur le continent.
10:23Tu te fais plus petit.
10:26Tu prends ton argent.
10:28Tu décides d'investir.
10:29Alors aujourd'hui, bien sûr, le continent africain,
10:32c'est un run pour tout le monde.
10:33OK, à nouveau, artistiquement en tout cas,
10:37en plus, c'est plutôt très positif, effectivement,
10:39quand tu vois les Nigérians, etc.
10:40Mais parle-nous de cette partie-là de ta vie.
10:43Parce que ça fait 15 ans, en fait, que tu fais ça.
10:46En fait, c'est toujours dans mon envie
10:49d'être encore plus fort en tant qu'entrepreneur.
10:53Je te disais que j'avais cette âme d'indépendant
10:56depuis le départ et je l'ai toujours eue.
10:58Et à un moment donné,
10:59où je ne me retrouvais plus en France.
11:03Une fois de plus, on parle d'amour.
11:04C'est cet amour pour mon prochain et pour la musique
11:08et pour X-Maléa, pour Magasco, pour Mimi,
11:12pour tous les artistes que j'ai produits.
11:14C'est parce que c'était de l'amour au départ.
11:15C'était de l'humain.
11:16C'est de l'humain et, comment dire,
11:20interpellé par un talent.
11:24Et donc, voilà, c'est dans cette énergie
11:27que je suis parti.
11:29Et je me ressentais un devoir de le faire aussi.
11:34Et donc, voilà, c'est toujours cette volonté
11:37de tendre la perche à l'autre.
11:40Bien sûr, de générer du business aussi derrière.
11:43Tu vois, donc voilà.
11:44Mais quand tu fais ce genre de démarche, ça ruine.
11:47Ça ruine physiquement.
11:50Ça ruine financièrement parlant.
11:53Mais c'est sans regret.
11:54Depuis le début de l'émission,
11:55on parle d'amour en filigrane
11:57parce que c'est vraiment ce qui t'a guidé toute ta vie.
11:59Et il y a quelqu'un qui te connaît bien, toi, en amour
12:03et qui a une question très particulière à ce sujet.
12:05D'accord.
12:06Ouais.
12:07Ouais, salut Juliette.
12:09Salut à toutes les personnes présentes sur le plateau,
12:11toute l'équipe.
12:13J'espère que tout le monde va bien.
12:15Bon, moi, j'ai une petite question.
12:16Alors déjà, bon, Pete,
12:18tu sais très bien qu'avec Thierry,
12:22notre grand frère au cas où,
12:24pour ceux qui ne savent pas,
12:26on te vende souvent sur le fait que
12:27dans les histoires amoureuses,
12:30t'as toujours été un canard, un grand canard.
12:32T'as toujours vanné sur le fait que
12:34non, toi, t'es trop un canard.
12:35Et en fait, moi, je veux savoir
12:37est-ce que la vie t'a fait évoluer
12:44sur ce plan-là ?
12:46Et si oui, dans quelle mesure, dans quel sens ?
12:50Voilà.
12:51Bise à tout le monde.
12:53Dossé !
12:54Et quand j'ai le téléphone,
12:57il me dit,
12:58dis-lui, c'est un canard.
12:59Je lui dis, c'est quoi, en fait,
13:00tu vas faire la vidéo,
13:01c'est toi qui vas lui dire.
13:03À chaque fois, il me dit ça.
13:04À chaque fois, il me dit ça.
13:05Mais ce que ça m'a appris,
13:07ce que ça m'a appris,
13:09c'est que...
13:10Tu sais, j'avais une...
13:13Après, je serai très courant.
13:15J'ai vécu une histoire
13:16et j'ai un de mes reflets qui m'a dit
13:21arrête d'aimer les autres
13:23puisque toi-même,
13:24même Dieu ne sera pas d'accord.
13:26Et je pense que c'est là
13:28que je ne trouvais pas l'équilibre.
13:31Je donnais trop.
13:33Et le déséquilibre, parfois,
13:34ce n'est pas l'autre.
13:35C'est nous qui le mettons...
13:36Qui le mettons en place.
13:38Exactement.
13:38Vraiment.
13:39Et c'est un déséquilibre.
13:40Je ne suis plus un calard.
13:42Dossé, merci beaucoup pour ta question.
13:43Dossé, on attend pour le nouvel album.
13:45Dossé !
13:46Grand rappeur.
13:48Très, très grand rappeur.
13:50Eh oui.
13:51Dossé qui est ton petit frère quand même
13:53parce qu'au cas où...
13:53Tu vois, parce qu'il y a encore plein de gens
13:54qui ne le savent pas.
13:55Voilà.
13:56Dossé, c'est ton petit frère.
13:58Voilà.
13:58De grosses familles de kickers.
14:01Tu sais qu'on a un rituel
14:02dans les jambes urbaines
14:03qui consiste à passer
14:04un message universel
14:06aux centaines de millions de personnes
14:07qui nous suivent de par le monde.
14:10Quel serait-il ?
14:12Putain.
14:16Le message universel.
14:18Vivre, c'est savoir qu'on n'a rien vécu.
14:25La quête première pour chacune des personnes,
14:28je pense que ça doit être la paix intérieure.
14:30La paix intérieure,
14:31ça regroupe l'amour qu'on peut se porter.
14:36Parfois, on ne va pas plus loin
14:38parce qu'on se déteste.
14:39Mais on ne se rend pas compte
14:40qu'on se déteste.
14:41C'est parce qu'on a nos névroses,
14:43on a nos épreuves de la vie,
14:47mais on ne se connaît pas.
14:49Et je pense qu'aujourd'hui,
14:50pour que les choses...
14:53En tout cas, je l'espère.
14:55Pour que les choses soient meilleures,
14:58il faut se connaître.
14:59Et quand tu te connais,
15:01tu connais tes limites,
15:03tu connais tes forces.
15:03Tu connais tes faiblesses,
15:05mais surtout tes forces.
15:07Et ça permet de faire de grandes choses.
15:09Toutes les choses que j'ai eues à faire
15:12ne sont basées que sur de l'humain.
15:14J'ai perdu énormément d'argent,
15:16mais ma capacité à être debout,
15:19c'est parce qu'à chaque fois,
15:20j'ai rencontré des êtres humains
15:22qui étaient loyaux,
15:24qui étaient à même de s'accorder avec moi
15:28et de construire.
15:31Parce que ce qu'on construit,
15:33ce qu'on se dit,
15:33ce que tu fais,
15:35ce qu'on fait,
15:36il y en a qui le prennent
15:37comme blueprint,
15:40et c'est important
15:41d'avoir ce travail sur soi-même
15:46et se connaître,
15:47se connaître pour se magnifier.
15:48Merci, Pete.
15:50Merci à toi.
15:51C'était un plaisir de te recevoir chez toi.
15:53Merci, plaisir partagé.
15:54Merci beaucoup.
15:56La famille, je vous donne rendez-vous
15:57la semaine prochaine,
15:58même heure, même endroit.
15:59En attendant, rendez-vous sur la chaîne YouTube
16:01de Légendes urbaines
16:02pour la version longue
16:03avec le grand Pete Bacardi
16:04qui nous a raconté plein de choses magnifiques
16:07et surtout inspirantes.
16:08Et puis,
16:09comme à l'habitude,
16:12vous connaissez la chanson
16:12Paix,
16:14amour,
16:15lumière,
16:15sur vous,
16:16One Love,
16:17la famille,
16:18One Love, Pete.
16:19Merci, One Love.
16:20On est ensemble.
16:21Merci.
16:21T'inquiète pas quand je rentre tard
16:22Tu dois régler 2, 3 histoires
16:25C'est train de vivre ma porte
16:26de déboire
16:27Mais je dois chercher les billets
16:28Pour te faire briller
16:30Je préfère me noyer dans ton regard
16:33T'inquiète pas quand je rentre tard
16:35Je te prépare et mon départ
16:37Et pour savoir les billets
16:38J'ai un capot
16:39Je n'aime pas l'amour sans reste
16:41Je vis d'enjeu ce mois
16:42Comme El Chapo
16:43Dans tous les salles où j'ai
16:44Trois hippodromes
16:45De l'enchant sous le capot
16:47J'ai toujours la même life
16:48La même aspiration
16:49T'offrir une vie de big dream
16:51Je te fais briller grâce à l'obscur
16:52Je suis dans la peau de coupable
16:54Jamais de victime
16:55N'inquiète pas quand je rentre tard
16:56Tu dois régler 2, 3 histoires
16:58C'est train de vivre ma porte de débat
17:00Mais je dois chercher les billets
17:02Pour te faire briller
17:03Je vais faire me noyer dans ton regard
17:06N'inquiète pas quand je rentre tard
17:08Je dois préparer mon départ
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