00:00François Mollins, demain Nicolas Sarkozy saura s'il est remis en liberté en attendant son procès en appel ou s'il reste en prison.
00:06Il a dénoncé une vengeance de la justice contre lui. Est-ce qu'il y a une frange de la justice qui veut se faire des politiques ?
00:14Écoutez, moi je suis... Je vais vous répondre très simplement que je fais confiance à la justice et que je suis sûr qu'elle continuera dans ce dossier,
00:25qu'elle continuera à statuer en toute indépendance et en toute impartialité.
00:28Ça a été le cas dans l'affaire Sarkozy.
00:30Oui, je pense.
00:31Qu'est-ce qui vous fait dire ça ?
00:33Ma conviction de son fonctionnement. Je sais comment fonctionnent mes collègues et je sais que l'indépendance et l'impartialité sont au cœur de leur fonctionnement au quotidien.
00:42Voilà, je pense que c'est ça d'ailleurs qui doit fonder la confiance de la société dans cette institution.
00:48Donc moi je fais confiance dans cette institution, dans la justice, pour rendre demain une décision en toute indépendance et en toute impartialité.
00:56Et je rappelle que c'est vous qui aviez lancé la procédure contre un certain Jérôme Cahuzac, qui a eu l'effet qu'on connaît ensuite.
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