Passer au playerPasser au contenu principal
[#Direct] Conférence de presse d’Alain Claude Bilie-by-Nze

📱066441717 📞 011775663

̂ :

🔗 https://lc.cx/9dgPhl

#GMTTv
#GMT
#Gabon
#FreeHaroldLeckat

Catégorie

📺
TV
Transcription
00:00J'ai souhaité cette seconde avec vous afin d'aborder un certain nombre de sujets.
00:07Je veux que je ne s'y parle pas, le premier porte sur le projet de loi de l'émence de 2026
00:13et le second sur la justice d'entreprise, la situation judiciaire, les septembre de compatriotes.
00:23Mesdames et Messieurs, chers angraziotes, ensemble le Gabon a décidé de porter la loi de ceux qui le trouvent à s'exprimer.
00:38Nous avons pleinement conscience que la corruption qui est la nôtre est diversement écrite et diversement complice.
00:48Une certaine opinion pense qu'il aurait fallu laisser le pouvoir seul, sans d'oublier du temps.
00:58Et que de fait, le fait qu'ensemble le Gabon participe aux électrons, anime la vie démocratique,
01:05certains estiment qu'ensemble que le Gabon a participé d'une forme de crédibilisation du système.
01:13Je voudrais réintégrer ce que j'ai déjà dit.
01:18Nous n'en fêchons qu'un seul, de cette clause.
01:23Nous faisons le constat malheureux que
01:25ceux qui avaient soutenu la Ligue de Bongo
01:27ont tous aujourd'hui rallié
01:31dans notre temps de majorité le nouveau pouvoir.
01:36Et ceux qui viennent combattre la Ligue de Bongo
01:38ont également rallié ce nouveau pouvoir.
01:43Et l'espace démocratique que c'est refait ici.
01:48Et y compris, on a vu que c'était une ville qui, elle aussi, a rallié le nouveau pouvoir.
01:54On a donc un espace démocratique à reconstruire, à le bâtir.
01:58Et chacun a sa place à trouver.
02:01Nous avons nos reflets, nos reflets, et nous nous baguons.
02:06Le pays est au bord du gouffre.
02:09Et il faut aider la vérité, pour éviter son effondrement.
02:14En effet, au plan moral,
02:19nous vivons le désenchantement
02:21d'un peuple qui se sent trahi
02:24et qui n'y croit plus.
02:27Le peuple n'y croit plus.
02:30En n'y veut plus de deux ans
02:31que de promesses non tenues,
02:35que d'engagement trahi,
02:38que de renoncement.
02:39Le 30 août 2023,
02:44le Gabon croyait le nez.
02:47Deux ans plus tard,
02:49il s'enfonce chaque joueur de bus.
02:54Ayant écouté le discours des militaires,
02:57le 30 août 2023,
02:59mais surtout le 4 septembre 2023,
03:02le peuple gabonais avait espéré à nouveau
03:05celui d'un état plus juste.
03:09plus ouvert,
03:11plus transparent,
03:13plus respectueux des droits humains,
03:16plus empathique
03:17face à la souffrance du plus grand monde.
03:21Un état mieux que l'occuper
03:22de l'amélioration des conditions de vie
03:25de nos concitoyens.
03:27mais au lieu de la réclamation pourrice
03:31et de la félicité annoncée,
03:35le pouvoir s'est montré
03:37dans les tabelles qu'il a dénoncés hier,
03:40longeant ainsi dans un
03:42inacceptable abestiment moral,
03:45car celui qui ne fait pas mieux
03:47que ce qu'il a dénoncé fait dire.
03:49Partout, mes chers compatriots,
03:53c'est l'immunité qui règle,
03:56c'est la corruption,
03:59ce sont les injustices,
04:01c'est l'insécurité,
04:02l'enrichissement illicite
04:05et insolent
04:06de quelques proches
04:07qui a vidé l'origine.
04:10Dans le même temps,
04:11la pécalité du grand nombre
04:13s'accentue,
04:15le chômage de masse
04:17s'installe
04:18et devient endémique
04:20sur vous,
04:21chez les chers.
04:22sous nos yeux,
04:25chacun peut observer
04:26que la transition
04:27censée incarner la lutte
04:30a fini par
04:32recolure en pire
04:34ce qu'elle peut être
04:36dans l'éthologie.
04:38La transition n'a été
04:39qu'une succession de trahisons
04:40et la réalité apparaît
04:43des hommes plus non longs.
04:44Le changement proclamé
04:46a été qu'un remplacement.
04:49Le système dénoncé hier
04:50est bien en place
04:52et à tous les étages.
04:56Pendant que les discours
04:56se multiplient,
04:58les Gabonaires,
04:59eux,
04:59vivent le silence
05:00et les gens absents,
05:02qui ne leur apportent
05:03aucune solution
05:04et qui a tout fait
05:05d'oublier cette promesse.
05:09Mesdames et Messieurs
05:09les journalistes
05:10M. Chakoukak-Chiod,
05:12pour la présente rencontre,
05:15j'aborderai
05:16deux sujets principaux.
05:19Le premier concerne
05:20le projet de la finance,
05:222026 et ses incohérences.
05:25Le second concerne
05:27la justice gabonaise
05:28et ses fermons.
05:31S'agissant du projet
05:33de loi de finances 2026,
05:35nous avons
05:36une grille de milliards
05:38qui ne change pas la vie des gens.
05:43La loi de finances
05:44est un outil de développement
05:46qui n'a de sens que si
05:49sa mise en feu
05:50permet d'augmenter la vie
05:52des citoyens.
05:53or, le budget 2026,
05:58tel que présenté,
05:59est un environnement de chiffres
06:01qui se veulent impressionnants,
06:05mais qui ne changent
06:05non rien à la vue de nos compatriotes
06:07et pire.
06:08ces chiffres
06:10vont dégrader davantage
06:12par ces deux aspects
06:14le pouvoir d'achat
06:16des ménages.
06:17Je voudrais
06:18indiquer que,
06:21pour la déjeuner qu'il soit,
06:23les chefs du budget
06:24étonnent
06:25et inquiètent
06:27les observateurs
06:28aviatiques
06:29quant à leur sincère idée
06:30et à la possibilité
06:33de l'éventer.
06:34le gouvernement affiche
06:37en effet
06:37un budget arrêté
06:39en ressources
06:40et en dépenses
06:41à un peu plus de
06:437000 milliards de francs célébrés.
06:46Soit
06:47le double
06:47des budgets constants
06:49du Japon
06:50ces 10 dernières années
06:52avec pour objectif
06:54affiché
06:55une croissance
06:55de plus de 7%.
06:57Soit là aussi
06:58trois fois plus que la moyenne
07:00de ces dernières années.
07:01une telle évolution
07:04mesdames et messieurs
07:05pour être crédible
07:06peut être comparée
07:07aux projections
07:09des autres pays
07:10qui nous ont comparables
07:11et à des hypothèses
07:13crédibles
07:14soutenues
07:15et partagées
07:16par les organismes
07:17les plus sérieux
07:18par le domaine.
07:19Or, cela
07:20est loin d'être le cas.
07:22Dans tous les pays
07:23de la zone Cémar,
07:24le Gabon
07:25est le seul
07:26dont le budget passerait
07:27du simple
07:28au loup.
07:30Le seul.
07:31Il est également
07:32le seul
07:32dont le budget
07:34de croissance
07:34serait multiplié
07:35par trois.
07:37Lorsque l'on sait
07:38que les économies
07:39sont interdépendantes
07:41et que même
07:42si les échanges
07:43entre les pays
07:44d'Assemblée
07:44ne sont pas significatifs,
07:47il n'en demande pas
07:48au moins
07:48que nous avons
07:49la même structure économique.
07:51Nous avons à peu près
07:52les mêmes matières premières
07:53que nous exportons
07:53sur les mêmes marchés.
07:57De telles évolutions
07:58intéressent donc
07:58quant à la crédibilité
08:00des chiffres
08:01énoncés.
08:03Considérant,
08:04mes chers compatriotes,
08:06en outre que
08:07la Banque mondiale
08:09et les FFM
08:10ont émis
08:12de fortes réserves
08:13sur la crédibilité
08:15des immobilières
08:15de notre pays.
08:17L'agence
08:18de notation
08:19aux fiches rating
08:20a de son côté
08:22martelé
08:24que
08:24les chiffres
08:25gabonais
08:25étaient
08:27venus d'être crédibles.
08:28On se demande alors
08:29sur quels
08:30modèles
08:31recosent nos projets
08:32et quels
08:33va être
08:33la recette
08:34miracle.
08:34Que dit
08:35fiches rating ?
08:36D'abord,
08:38cette agence
08:39maintient
08:40la note
08:41souveraine
08:42du Gabon
08:42à
08:433C.
08:46C'est-à-dire
08:47que notre pays
08:47présente
08:48un risque élevé
08:49de défauts.
08:50Cela
08:51en raison
08:51des vulnérabilités
08:53structurelles
08:53de notre économie
08:54et de nos finances
08:55mobiles.
08:57Par ailleurs,
08:59la détérioration
09:00des finances publiques,
09:01les tensions
09:02de tesoreries
09:02croissantes
09:03et la plus grande
09:04dépendance
09:05vis-à-vis du pétrole,
09:06malgré les intentions
09:07des incantations
09:08du gouvernement,
09:10tout cela
09:10présente
09:11d'importants risques
09:12pour notre pays.
09:13Comme le infirmier
09:14à la barre mondiale,
09:16le nouveau secteur
09:17international
09:17soucidé
09:18par le gouvernement
09:19fiche également
09:21doute
09:21des hypothèses
09:22de croissance
09:23à 7,9%
09:24et doute également
09:26d'un PIB
09:27à 15%,
09:29jugé
09:29que le coctinisme.
09:30L'agence
09:32a par ailleurs
09:33indiqué
09:35que en ce qui
09:36la concerne,
09:37les projections
09:38faites par le gouvernement
09:39ont fait
09:40que le champ
09:40de l'intérêt,
09:42notamment
09:42ce qui concerne
09:43le taux de croissance
09:44à 7,9%.
09:47L'agence
09:48recommande
09:49que le gouvernement
09:49de la commune
09:50intensifie
09:52la diversification
09:53de l'économie,
09:55améliore
09:56la collecte
09:57de ses ressources
09:58et apporte
09:59de la transparence
10:00par la gestion
10:00du budget.
10:03Mes chers combattants,
10:05j'indiquais
10:05que ce budget
10:072026,
10:09tel qu'annoncé,
10:11présente
10:12des chiffres
10:13impressionnants.
10:15Mais on est là,
10:16le projet
10:17bon se d'accord
10:17pour le moment
10:18dit
10:18que
10:19ce budget
10:22ne répond
10:23aucunement
10:24aux attentes
10:25de nos combattions
10:26et qui s'entraînent
10:27par la chèvre.
10:29Plutôt que de prendre
10:29des mesures fortes
10:30pour soulager
10:30les ménages
10:31déjà en grande
10:32difficulté,
10:33la partie fiscale
10:34de la loi de Trinos
10:352026
10:36comporte de multiples
10:38d'actes
10:39qui vont
10:40accentuer
10:40la précarité
10:41des populations
10:42car,
10:44mesdames et messieurs,
10:45tout va augmenter.
10:47Tout va augmenter
10:49et d'abord
10:49l'électricité.
10:51Huit axes
10:52de neuf bourses.
10:54L'électricité,
10:55comme chacun le sait,
10:56entre beaucoup
10:56dans la production,
11:00dans les échanges,
11:02entre beaucoup
11:03pour les paiements
11:04pour la vie
11:05non seulement
11:07l'électricité
11:08très chère
11:08au départ
11:09et l'érable
11:11par les groupures
11:11sans pressives
11:12mais elle va être
11:13encore plus chère
11:14avec la taxe
11:15de neuf pour cent.
11:17Trétendument
11:17pour améliorer
11:18le cadre de vie
11:19mais celui
11:20qui vit les pieds
11:21dans l'eau
11:21verra ses taxes
11:22également
11:22aussi bien
11:23que celui
11:24qui vit la salière.
11:25L'injustice fiscale
11:26est là.
11:29Les communications
11:30téléphoniques
11:30et internet
11:31vont également
11:32augmenter
11:335%
11:34qui viennent
11:35s'ajouter
11:36aux taxes
11:36qu'il y avait
11:37déjà sur les transferts
11:37d'argent
11:38dans le temps.
11:39D'autres produits
11:40de consommation
11:41courante
11:41tels que
11:42les eaux minérales,
11:44certaines
11:44croissons gazeuses,
11:46les lescides,
11:48certaines matières
11:48de conduction
11:49ont également
11:50augmenté.
11:51Ces augmentations
11:52qui vont causer
11:53sur le plan
11:53et la ménagère
11:54se feront
11:55alors que
11:56les salaires
11:56eux
11:56ne l'augmentent pas.
11:59La dernière
11:59augmentation
12:00des salaires
12:00au carbone
12:01dans ces deux
12:01vues
12:01le monde
12:02a appris
12:03une guêne
12:03soignure.
12:04Et c'est là
12:05également
12:05que le signe
12:06a été
12:06revu
12:07à l'orce
12:07et depuis
12:08tout ce qu'il y a.
12:10Je voulais
12:11par ailleurs
12:11de la revue
12:12de la revue
12:12sur la presse
12:13indiquer
12:15qu'il y a
12:17quelques temps.
12:19Certains de vos
12:20confrères
12:20ont annoncé
12:22un chiffre
12:23et nous avons
12:25répondu
12:26pour savoir
12:28si le gouvernement
12:28avait démenti
12:29ce chiffre-là.
12:31À ce jour,
12:32ce chiffre n'est pas
12:32démenti.
12:34Notre pays
12:35a enregistré
12:36en dix mois.
12:37De janvier
12:382025
12:39à octobre,
12:41plus de
12:4118 000 décès.
12:4318 000.
12:44Plus de
12:4418 000 décès.
12:46Soit plus de
12:471800 décès
12:48par mois.
12:50C'est une hécatome.
12:51même dans
12:54des pays
12:54en guerre,
12:55on ne peut
12:56pas
12:56terminer
12:56au temps
12:57de mort
12:58par mois.
13:00Maintenant,
13:00on a le sentiment
13:01que le gouvernement
13:02est en mesure
13:03de ce qui se passe.
13:05Nous sommes vus.
13:06Nos hôpitaux
13:07sont devenus
13:07tellement croires
13:08faute
13:09de plateaux techniques,
13:12faute
13:12de médicaments,
13:14faute des gardons
13:14de personnel
13:15dans nos hôpitaux
13:16et
13:18dans le même
13:19table.
13:21Dans le budget
13:22de 2026,
13:24il est prévu
13:25une réduction
13:26drastique
13:27au sentier
13:28des budgets
13:29consacrés
13:29à l'achat
13:30des médicaments
13:31et des consommables
13:32dans nos hôpitaux.
13:34C'est dramatique
13:35de constater
13:36que,
13:38alors que chaque
13:38famille gabonaise
13:39aujourd'hui
13:39est touchée,
13:41il se passe
13:42par une semaine
13:42sans donner
13:43des décès
13:43et des deuils
13:44dans nos familles
13:44autour de nous
13:45et ce n'est pas
13:46donc,
13:48principalement
13:49sur des maladies
13:50nouvelles
13:51de la sédentarité
13:52qui fait
13:55attention
13:55à la sédentarité,
13:56les diamètres,
13:57les AVC,
13:58etc.
13:59Et c'est là
14:00que le gouvernement
14:01choisit
14:02de réduire
14:03les budgets
14:04consacrés
14:05dans les hôpitaux
14:06à l'achat
14:06des médicaments
14:07et les consommables.
14:08C'est dramatique.
14:09C'est dramatique
14:11parce que,
14:11dans le même temps,
14:13la CNAMGS,
14:15un fleuron
14:16qui aidait
14:18les populations
14:18de ce soir-lits.
14:20Les plus aisés,
14:21bien sûr,
14:21mais surtout
14:22les moins aisés
14:23d'entre nous
14:23qui bénéficiaient
14:25de soins de santé
14:26avec le ticket
14:27modérateur,
14:28qui bénéficiaient
14:28d'évacuation sanitaire,
14:30etc.
14:30La CNAMGS,
14:32aujourd'hui,
14:32affiche un déficit
14:34de plus de 100 milliards
14:35de francs.
14:36L'État gabonais
14:37est pour une quarantaine
14:38de milliards
14:38de francs
14:39et valables
14:39à la CNAMGS.
14:41Elle met une base
14:42structure de santé
14:43et pharmacie,
14:44notamment,
14:44plus de 8 milliards
14:45et aux hôpitaux.
14:47La CNAMGS
14:48est au bord
14:49de l'affix.
14:52Et si rien n'est fait
14:54en urgence,
14:55et on ne croit pas
14:56dans l'ordre de finance,
14:57ce qui est fait
14:57pour relever
14:59la CNAMGS,
15:01lui redonner
15:01son liste d'entente
15:02et lui dire
15:03que le fait
15:03des populations.
15:06Ainsi,
15:07sous la déficit
15:09de nos compatriotes,
15:11le gouvernement
15:11n'a rien prévu
15:12en ce qui concerne
15:14l'employation.
15:16Rien non plus
15:17pour ce qui est
15:17des filets sociaux
15:19des amortisseurs.
15:20Nous avons indiqué
15:21qu'il fallait
15:23essayer
15:24de prendre en compte
15:26la déficit
15:27des cabones.
15:28Et,
15:29par conséquent,
15:30de supprimer
15:31les institutions
15:31inutiles
15:32pour aider
15:33les familles
15:34les plus fragiles,
15:35pour aider
15:36les jeunes
15:36en train d'emploi
15:37à avoir
15:38une amortisseur sociale.
15:40Nous n'avons pas
15:40été entendus.
15:42On nous a répondu
15:42que pendant tout
15:43le septembre,
15:44il y aurait
15:4420 millions d'argent
15:45et on sort de là
15:46qu'on ne peut plus
15:46payer les bourses.
15:48Et on sort de là
15:48qu'on ne peut plus
15:49payer les médicaments.
15:50Et on sort de là
15:51qu'il n'y a pas de solution
15:52pour l'emploi des jeunes.
15:54Nous appelons à nouveau
15:55la réflexion
15:56sur ces sujets
15:58d'importance.
15:59Ce n'est pas parce que
16:00on a fini par reculer
16:03sur la question
16:05de la subvention
16:05du pétrolier
16:06que la vie chère
16:08est devenue une chimère.
16:09La vie chère,
16:09elle est là.
16:10et elle va s'amplifier
16:11comme on vient de le voir
16:12et le chemin
16:13va s'amplifier également.
16:15Et toutes les promesses
16:16d'emploi
16:16qui ont été faites
16:17depuis plusieurs mois déjà,
16:20le 30 décembre 2024
16:22à Maboukou,
16:24il a été annoncé
16:25la création 2025
16:26de 163 000 emplois
16:28dans trois projets.
16:30Le chemin de fer
16:31Béling à Mayumba.
16:33À ce jour,
16:34même les études
16:34n'ont pas démarré.
16:36Le or en haut profonde
16:37de Mayumba,
16:38il ne se passe rien.
16:38et le barrage
16:40de l'électrique
16:41de Bougoué
16:41ne se passe rien.
16:42Nous sommes en novembre,
16:44il reste moins de deux mois
16:45et les 163 000 emplois
16:47sont toujours attendus.
16:50Il a été indiqué
16:50qu'on avait découvert
16:53l'accès à la fonction publique.
16:56Les jeunes gabonais
16:56y ont cru
16:57et ont découvert
16:581501 000 dossiers
16:59à la fonction publique.
17:01À ce jour,
17:02on a une cacophonie
17:02gouvernementale,
17:04on a le ministre
17:04des Tens,
17:05en charge d'économie,
17:06des finances
17:06et la lutte contre
17:07la bichette.
17:08qui n'a toujours pas
17:09démissionné de BGFI
17:10et qui nous dit
17:12que la fonction publique
17:13est saturée
17:14et quelques temps après,
17:16la fonction publique
17:17fait des loupes
17:17et des larges
17:18pour indiquer
17:19qu'on a d'ailleurs
17:19depuis des années
17:20et des années
17:20et des années
17:20et des années
17:21et des années
17:21qui ont continué
17:21un peu.
17:22Je rappelle
17:22que la masse
17:24est passée sous mon gouvernement
17:27de moins de 700 milliards
17:29de fonds CFA
17:29à presque 1 000 milliards
17:31de fonds CFA
17:31aujourd'hui,
17:32en 2025,
17:34soit deux ans après.
17:35Il s'agit donc
17:37de constater
17:38que cette loi de finances
17:39ne repose pas
17:42sur les hypothèses
17:42crédibles.
17:44Et pour schématiser,
17:45faire simple,
17:46nous avons
17:47les recettes
17:48fiscales de l'État,
17:502 000 milliards.
17:51C'est un peu plus,
17:51je crois,
17:52je vous ronde,
17:52il faut que chacun
17:53convainc.
17:542 000 milliards.
17:55Nous avons
17:56l'achat salarial
17:58de l'État,
17:591 000 milliards.
18:00Nous avons
18:01l'achat de la dette,
18:021 000 milliards.
18:04Donc,
18:04les salaires
18:05plus la dette
18:05engoutissent
18:07des ressources fiscales
18:08de l'État.
18:09Où est-ce que
18:09l'État va trouver
18:10le reste
18:11pour investir
18:12et pour les autres
18:13chars de l'État,
18:14sinon pour l'emprunter ?
18:15Ils vont l'emprunter.
18:16Et donc,
18:16lorsque le ministre
18:17de l'économie
18:17nous dit
18:18qu'on n'empruntera
18:19pas pour financer
18:19le fonctionnement,
18:20ce n'est pas vrai.
18:21Il est obligé
18:22d'emprunter
18:22pour financer
18:23le fonctionnement.
18:24notamment les transphères,
18:26entre autres,
18:27et bien sûr
18:27les autres chars de l'État.
18:29Et ce,
18:29par exemple,
18:30nous ne verrons pas
18:31du tout
18:31comment l'État
18:32veut réduire
18:33son train de vie.
18:36C'est toujours
18:37plus pour les institutions,
18:39c'est toujours
18:39des voyages,
18:40sont durs
18:41aux détenus
18:42de la création
18:44des emplois
18:45pour les jeunes.
18:48C'est le premier point
18:49et nous y reviendrons
18:50si vous avez des questions
18:51sur ces sujets.
18:52Je voudrais d'ailleurs,
18:53avant de terminer
18:54sur ce point,
18:54faire constater
18:55qu'il n'y a rien
18:56dans le budget
18:56concernant
18:57la pénurité
18:57où les populations
18:59qui ont été déléguées,
19:00il n'y a pas de solution.
19:02Et qu'il n'y a rien
19:03non plus concernant
19:04le cas
19:04où les populations
19:06dorment toujours
19:06à la belle étoile
19:07et à zéro projet
19:08à ce jour.
19:09Mais par contre,
19:10on a des projets
19:11dispendieux
19:12et de prestige.
19:14La cité,
19:14la démocratie,
19:15il n'y a pas
19:15d'université,
19:16il n'y a pas
19:16de profit,
19:17mais il y a
19:17365 milliards de francs
19:19qu'on dépense
19:20pour assumer la démocratie.
19:22Vous avez là
19:22le projet
19:23de salle de conférence
19:24au Marbeau-Montipa,
19:26en redondance d'ailleurs
19:27avec le palais
19:27et le congrès
19:28de la démocratie.
19:29Là aussi,
19:30des dizaines de milliards
19:30vont être en outil
19:31alors qu'on n'a pas
19:32et c'est le conflit
19:33qui a été construit
19:34là-nous.
19:36Mes chers compatriots
19:37concernant
19:37le foncement
19:38de la justice,
19:41d'abord,
19:43dans notre pays,
19:46la justice apparaît
19:47de plus en plus
19:48loin des principes
19:50et de la loi,
19:52mais proche
19:54du pouvoir
19:55et de son dictat.
19:57Or,
19:59l'angle de la justice
20:00cesse de dire
20:02le droit
20:03en toute indépendance.
20:05C'est le règne
20:06de la lutte
20:06et de la peur
20:08qui s'installe.
20:10Depuis deux ans,
20:12la justice gabonaise,
20:13plus que par le passé,
20:15donne le sentiment
20:16de fonctionner
20:17à deux vitesses,
20:18au moins,
20:19sinon de multiples vitesses.
20:21Il y a d'un côté
20:22des citoyens ordinaires
20:24qui sont arrêtés,
20:28jugés,
20:29presque de façon
20:30expéditive
20:30et condamnés
20:32parfois
20:33pour l'exemple.
20:36D'autres sont menacés
20:37de poursuite
20:38pour avoir pris
20:39des positions
20:40contraires
20:40à la pensée
20:41du prince,
20:43comme l'a été
20:44M. Diabé
20:45Patrick Koppianga,
20:47qui a fait
20:47l'objet de poursuite
20:48sur une affaire
20:49remontant
20:50à plusieurs années
20:51et elle existe.
20:52Mais chacun
20:53a bien constaté
20:54que le poursuite
20:54moins était enclenché
20:55dès lors
20:56qu'il y avait
20:57une révolution
20:57contre le
20:58et le référendum
20:59donc en faveur
21:00du nom.
21:02Je peux également
21:03et je le fais
21:03avec honneur
21:04et plaisir
21:04citer le cas
21:06de M.
21:07Harold Léca,
21:08poursuivre
21:09opportunément
21:10dans une
21:11présumée affaire
21:12remontant
21:13à trois ans
21:14auparavant
21:15alors que ce contrat
21:17avait été
21:17renouvelé
21:18mais là aussi
21:19arrêté
21:21et jeté
21:21en prison
21:22au lendemain
21:24des positions
21:24prises par
21:25Cabo Media Time
21:26sur l'organe
21:27de presse
21:29et qui emploient
21:29le jeune
21:30compatriote
21:30et ce média
21:32a mis en lumière
21:33les pharmacies
21:34organisées
21:35par le camp
21:35du pouvoir
21:36lors des
21:37consultations
21:37électorales
21:38et dans
21:39cette concomitance
21:40ne peut tomber
21:42personne
21:42à Harold Léca
21:43et en prison
21:44pour sa liberté
21:44et nous demandons
21:46encore une fois
21:46que M.
21:47A.
21:47Léca soit jugé
21:48il n'a rien à faire
21:49en prison
21:49nous le demandons
21:50nous le décisions
21:51il peut rester sourd
21:52à cela
21:52il envoie des visages
21:54contradictoires
21:54il tente de rassurer
21:56il sortira demain
21:57il sortira après demain
21:58on demandera
21:59des commisérations
22:00sur le sujet
22:01c'est la justice
22:02qui est demandée
22:03et
22:05je voudrais
22:06rappeler que
22:09on ne peut pas
22:11donner d'illusion
22:11l'illusion
22:14qui consiste
22:14d'ajouter
22:15quelques-uns
22:15en prison
22:16pour l'exemple
22:16pour protéger
22:17les autres
22:18tous les jours
22:20les proches
22:21du chef
22:22de l'État
22:22sont mis en cause
22:24dans des dossiers
22:25qui font scandale
22:26mégatif
22:27et aucun n'est poursuivi
22:29et ça fait deux ans
22:30que ça dure
22:31et chaque fois
22:32on prend des dents
22:32puisqu'on jette en prison
22:33mais les proches
22:34du chef de l'État
22:35eux
22:35sont protégés
22:36cette justice
22:38qui pollue
22:39les demandues
22:40au nom du peuple
22:41gabonais
22:41elle est maintenant
22:42rendue au nom
22:43du prince
22:43et les magistrats
22:46moi je ne jetterai pas
22:48de preuve sur eux
22:49les magistrats
22:50sont soumis
22:51à des questions
22:52quotidiennes
22:53ils sont menacés
22:55ils sont intimidés
22:57ils sont contraints
22:59parfois
22:59nuitamment
23:00de rendre des décisions
23:01au père au prince
23:02et ça ne peut pas
23:04se poursuivre
23:05c'est un double standard
23:06qui nuit
23:07à la sérénité
23:09la justice
23:09c'est nous
23:10le standard
23:11qui dégrade
23:12notre pays
23:13et qui dégrade
23:14la confiance
23:15nécessaire
23:16que le citoyen
23:17doit avoir
23:17en sa justice
23:18et l'actualité
23:20nous fournit
23:22la parfaite
23:24illustration
23:24de cette justice
23:26aux ordres
23:27cette justice
23:28instrumentalisée
23:30pourra soumire
23:31ce qui a fallu
23:32désormais
23:32comme une vengeance
23:34mais
23:35l'état
23:36ne se venge pas
23:37l'état
23:39ne punit pas
23:40l'état corrige
23:42par l'application
23:43de la loi
23:44à laquelle
23:45l'état lui-même
23:47est soumis
23:48mesdames et messieurs
23:50le procès
23:52annoncé
23:52pour se tenir
23:53le 10 novembre
23:54prochain
23:55dans quelques jours
23:56devant la cour
23:58criminelle spéciale
23:59et qui doit afficher
24:00madame
24:01Sylvia Bongo Ndiba
24:02et son fils
24:03Nourini Bongo Valentin
24:04soulèvent
24:06de nombreuses questions
24:07dans l'opinion
24:07sur quoi
24:09après la diffusion
24:09d'une vidéo
24:10devenue virale
24:11sur les réseaux sociaux
24:12on se serait attendu
24:16à ce que
24:17le procureur général
24:19fait
24:19la cour de la télé
24:20qui nous a vus
24:22ces temps-ci
24:23à donner des conférences
24:24de presse
24:25viennent s'expliquer
24:26devant l'opinion
24:27sur ce qui se passe
24:29exactement dans ce pays
24:30mais il ne l'a pas fait
24:32au lieu de croire
24:35s'est tenu
24:35une réunion
24:36au bureau
24:37du ministre
24:37de la justice
24:38ces réunions
24:40elles étaient scandales
24:41lorsque
24:42l'avant-veille
24:43d'un procès
24:44le ministre
24:44reçoit dans son bureau
24:46pour signer les juges
24:48qui parlaient
24:48le procureur
24:49que celui siège
24:51le président
24:52de la cour
24:53la tête spéciale
24:54qui doit donc
24:54présider
24:55ce procès
24:57était dans le bureau
24:58du ministre
24:59le président
25:00de la cour
25:00l'appel du Peuville
25:01était dans le bureau
25:02du ministre
25:02que s'y faisait
25:03l'avant-veille
25:04d'un procès
25:05est-ce qu'on imagine
25:07dans des démocraties
25:08normales
25:09que la veille
25:10d'un tel procès
25:10est-ce qu'on imagine
25:11Gérard Garmanin
25:13en train de recevoir
25:14dans son bureau
25:15le président du tribunal
25:16qui doit juger
25:17Nicolas Sartouzi
25:18il y a un scandale
25:20et ce scandale
25:21aujourd'hui
25:22qui est l'auteur
25:23de cela
25:24qui est le ministre
25:25qui le fait
25:25un opposant
25:26qui hier
25:27donnait des leçons
25:27et qui maintenant
25:29à la main
25:30ne fait pire
25:30que ce qu'il a mis
25:31c'est hier
25:32c'est ce qui est inconcevable
25:33c'est ce qui perd l'opinion
25:35c'est ce qui fait
25:36que les gens se disent
25:37enfin plus confiance
25:37aux politiques
25:38parce que hélas
25:39sinon on s'est trompé
25:41mais ce que ceux
25:42qui nous ont dénoncé
25:43ont le droit
25:44peut également
25:44de se tromper
25:45de manière
25:46aussi radicale
25:47de faire pire que nous
25:48je n'ai aucun souvenir
25:50d'une telle réunion
25:52lorsqu'on est ton responsable
25:54surtout je n'ai aucun souvenir
25:56qu'une telle réunion
25:57peut être médiatisée
25:59ces médiatisations
26:01indiquent directement
26:02que ce procès
26:03il va se tenir pour rien
26:05c'est déjà écrit
26:06la bourse
26:07c'est une logique
26:08la abandonnation
26:08est écrite
26:09et donc c'est le procès
26:10pour rien
26:10mais malgré tout
26:12les questions sont soulevées
26:14et nous avons besoin
26:16d'avoir des explications
26:18claires
26:18sur cet angle de question
26:20que soulève
26:21le contenu de la vidéo
26:23qui a été diffusée
26:24première question
26:26est-ce que c'est bien
26:27le procureur général
26:29que l'on voit
26:30sur la vidéo
26:31c'est une première question
26:34peut-être qu'on doit se tromper
26:35si c'est bien lui
26:37qu'est-ce qu'il faisait
26:39au domicile
26:40de monsieur
26:41Ali Boumoudinba
26:42en présence
26:43de plus venu
26:44c'est une première raison
26:47deuxième question
26:49est-ce que c'est bien
26:51madame le président
26:52ou la belle
26:53que l'on voit
26:54sur la vidéo
26:55si c'est bien elle
26:58que faisait bien de là
27:00il faut quand même
27:03rappeler à l'opinion
27:04que cette vidéo
27:04elle était tournée
27:06clandestinement
27:07et qu'elle sort
27:09plusieurs mois d'après
27:10et que jusqu'à présent
27:12la gestion
27:12nous avait pas dit
27:13que ce monsieur et dame
27:16s'étaient rendus
27:16au domicile
27:17d'Ali Boumoudinba
27:18en présence
27:19des prévenus
27:20quelques heures
27:22avant qu'ils quittent
27:22le territoire
27:23la justice
27:25a dissimulé cela
27:26la justice
27:28a menti
27:29est-ce que
27:30une justice qui ment
27:31est libre de confiance
27:33ensuite
27:38les questions
27:39que se posent
27:40sans prendre
27:42le parti
27:42pour ou contre
27:43c'est de se demander
27:45finalement
27:46est-ce que ceci
27:49est autorisé
27:50par la loi
27:50nous sommes pas
27:53des juristes
27:53nous sommes pas
27:54nous sommes des citoyens
27:56combien de citoyens
27:57ont la possibilité
27:59d'accueillir
27:59un homme au domicile
28:00en tant que prévenu
28:02après 20 mois
28:05de détention
28:05accueillir à domicile
28:07le procureur
28:09le juge
28:10des avocats
28:12etc
28:13l'agence judiciaire
28:17de l'État
28:17c'est l'élection générale
28:19qui semblait
28:19conduire la délégation
28:20à quel tige
28:22est-ce qu'il n'y a plus
28:25séparation des pouvoirs
28:27les magistrats
28:28font quoi
28:28
28:29avec l'agence judiciaire
28:30de l'État
28:30quel était le contentieux
28:32de l'État
28:32qui est d'arriver
28:33à cet endroit
28:35c'était pas le contentieux
28:36de l'État
28:36on sait là
28:37sans cette vidéo
28:39les Gabonais
28:40peuvent savoir
28:41qu'un lit
28:42Bongo était un état suivi
28:43que son épouse
28:45et son fils
28:45étaient en détention
28:46un gros bouquet
28:48on l'a dit
28:49et qu'ils disent
28:50qu'ils étaient
28:50dans le sous-sol
28:51de la présidence
28:51la justice
28:52dont on dit
28:53quel était le lieu
28:53de détention
28:54exacte
28:55de madame
28:56Sylvia Bongo
28:57et son univers
28:57est-ce que la présidence
28:59est maintenant
29:00un lieu de détention
29:00officiel
29:01au Gabon
29:02s'il n'est officiel
29:04qu'est-ce qu'ils y faisaient
29:05c'est une question
29:06que nous sommes
29:07en loi de poser
29:08l'autre question
29:09c'est à gobre
29:11sans la vidéo
29:14est-ce qu'on aurait
29:15su qu'il y a eu
29:15un accord
29:16entre la famille
29:19d'Ali Bongo
29:19et le couvroir
29:21et donc
29:23la justice
29:24n'est pas très
29:25prenante
29:25qu'un accord
29:26mais la justice
29:28est l'un de nous
29:28au peuple gabonais
29:29pourquoi
29:29peut-elle énoncer
29:30un accord
29:31dans le sous-train
29:32du peuple gabonais
29:33il y a une problème
29:36est-ce qu'il y a eu
29:37un accord
29:37sur quoi exactement
29:39on entend dans la vidéo
29:40qu'une personne
29:41a démenti
29:42le contenu d'acquisition
29:42on entend
29:44Mme Sidiya Bongo
29:45dire
29:45vous m'avez dit
29:45je n'ai plus rien
29:47vous avez tout
29:47plus
29:48qu'est-ce qui a été
29:49plus exactement
29:50si c'est de l'argent
29:51combien
29:52et cet argent
29:54est où
29:55aujourd'hui
29:55où est la liste
29:57sur le procès
29:58de la banque
29:58de banque
29:59de vie
29:59n'est pas de brevier
30:00n'est pas du chier
30:01qui a agressé
30:02le procès de banque
30:03de salle
30:03quand
30:04si c'est des voitures
30:06uniques
30:07c'est lesquelles
30:07ce sont des maisons
30:09c'est lesquelles
30:10ce sont les emboutures
30:11c'est lesquelles
30:12la transparence
30:12n'est aussi nécessaire
30:14parce que c'est supposé
30:15être l'argent
30:16du Gabon
30:16dans le peuple gabonais
30:18puisque la justice
30:19est l'argent
30:19dans le peuple gabonais
30:20il faut que la transparence
30:2120 mois plus tard
30:2324 mois plus tard
30:25ainsi l'ambulat
30:26il faut la transparence
30:27l'autre question
30:29on a vu
30:30M. Ali Bongo
30:31signer ce protocole
30:32d'accord
30:32mais il est dit
30:35que lui n'est pas
30:36poursuivi
30:36dans cette affaire
30:37il n'est donc pas
30:39prévenu
30:39dans cette affaire
30:40à quel titre
30:41a-t-il signé
30:42le protocole
30:43d'accord
30:43ce protocole
30:44concerne l'ordre
30:45on a entendu
30:46M. Ali Bongo
30:46dire
30:47on m'a tout plu
30:48il a cité le nom
30:49du président
30:50d'un fait pour y
30:51il m'a tout plu
30:51il m'a demandé
30:52que signer
30:53mais lui
30:53c'est un stage à voix
30:54c'est ce qu'on a entendu
30:55on l'a entendu
30:57le procureur
30:58qui était présent
30:59doit au Gabonais
31:01une explication
31:01jusque là
31:02nous on ne savait pas
31:03qu'un procureur
31:04faisait des conférences
31:04de presse
31:05mais lui
31:06nous l'avut
31:07il a fait des conférences
31:08de presse
31:08mais on attend
31:10qu'il fasse
31:10une conférences
31:10de presse
31:10pour nous expliquer
31:11ce qu'il y a
31:12dans ce dossier
31:13exactement
31:13ce protocole
31:14d'accord
31:15mes chers compétences
31:18de dames et messieurs
31:19je sais que
31:20la facilité
31:22vous plaît
31:23qu'on dise
31:23que Mibu
31:24se défend
31:24Ali Bongo
31:25et sa famille
31:25j'aurais dû
31:27mais il se trouve
31:29que
31:30je ne le fais
31:31je défends
31:32les principes
31:33les principes
31:34de droit
31:35les principes
31:36d'état de droit
31:36qui concernent
31:37aujourd'hui
31:37que je suis à dit
31:38Bongo
31:38comme ils ont
31:39concerné
31:39d'autres personnes
31:40a dit hier
31:41et comme demain
31:42ça va concerné
31:44d'autres personnes
31:44et la justice
31:45ne doit pas
31:46avoir un visage
31:47elle ne doit pas
31:49être submentaliste
31:50elle ne doit pas
31:51être orientée
31:52elle doit être neutre
31:53elle doit être
31:54dite avec cérédité
31:55dans ce dossier
31:57notre justice
31:58montre
31:58son monde
31:59de ses règles
31:59dans ce dossier
32:01notre justice
32:02montre
32:02qu'elle est
32:04instrumentale
32:04et le simple
32:06que je fais
32:06de cette vidéo
32:07sans explication
32:08aucune de la part
32:09d'un état
32:10ni le procureur
32:11de la présidence
32:12ni le procureur
32:13du gouvernement
32:14ni le ministre
32:15de la justice
32:15ni le procureur
32:16général
32:17ni le procureur
32:18personne ne s'exprime
32:19sur ce dossier
32:19et on va faire
32:21un procès
32:21quelle est la valeur
32:22de son cause
32:22le procès
32:25on a déjà enlevé
32:25la vérité au Gabon
32:26la vérité
32:28c'est la terre
32:29c'est que la constitution
32:31adoptée
32:31a accordé
32:32de l'amnistie
32:33aux militaires
32:34ou des événements
32:35intervenus
32:36entre le 30
32:38le 29 août
32:40au 4 octobre
32:41c'est là
32:42qu'ils ont été arrêtés
32:43donc ceux qui les ont
32:44arrêtés
32:45sont amnistiers
32:45mais les faits
32:48pour lesquels
32:48ils ont arrêté
32:49ces gens
32:49sont jugés
32:51gagneraient
32:51l'autre problème
32:54c'est que
32:56la justice
32:56qui est en le nom
32:57de l'état
32:57au nom du peuple
32:58cabronais
32:59les actes
33:00ont été imposés
33:01
33:02en marge de la loi
33:03ce dont nous parlons
33:05
33:05s'est fait
33:05en marge de la loi
33:06et rien ne nous a
33:08indiqué
33:08de ce qui a été fait
33:10n'eût été la vidéo
33:11clandestine
33:12on n'aurait pas
33:12su ce qui s'est passé
33:13n'eût été la présidence
33:16angolaise
33:16on n'aurait pas su
33:17que monsieur
33:18sa femme
33:19et son fils
33:20ont quitté
33:20le gabon
33:21ils étaient censés
33:22être arrêtés
33:23en survie
33:23nous n'étions
33:25c'est curieux
33:25on n'aurait pas su
33:26que la question médicale
33:28est une question
33:28subsidiaire
33:29la question principale
33:30c'est que l'accord
33:31qui est dessiné
33:32on veut la vérité
33:34sur ses dossiers
33:34pour les explications
33:35pour ce qui
33:39concerne
33:40ces confrits
33:40de presse
33:40il reste une dernière
33:41question
33:42et je serai à votre disposition
33:43pour répondre
33:44si vous avez des questions
33:45je pose
33:45il me semble
33:48qu'il reste une question
33:48essentielle
33:49si
33:51monsieur Ali Bommou
33:52on ne dit pas
33:54qui a été le président
33:56pendant 14 ans
33:57dans la République
33:58gabonais
33:58n'est pas
34:00poursuivie
34:01comment comprendre
34:05que sa femme
34:05nous soit
34:06comment comprendre
34:09que son fils
34:09le soit
34:10si c'est des faits
34:13qui relèvent
34:13de la belleur
34:14pour le fils
34:15et qu'on a
34:15des affaires
34:16potentiels
34:16qu'on le dise
34:17mais
34:20le simple fait
34:21d'unité
34:22comme le soit
34:23Di Bommou
34:23n'est pas poursuivi
34:24et qu'on poursuive
34:26sa femme
34:26et son fils
34:27c'est exactement
34:28comme si chacun
34:29de nous
34:30était responsabilisé
34:31quelque part
34:31où il aurait posé
34:33des actes
34:33répréhensibles
34:34et on aurait jugé
34:35Madame
34:36quand d'indiquer
34:41la question
34:42c'est de dire
34:43que j'ai un pays
34:44j'ai deux responsabilités
34:46je pose trois questions
34:47c'est là
34:49que j'ai un pays
34:50parce que j'ai un pays
34:53c'est une institution
34:55qu'on gère un pays
34:55quelles sont les institutions
34:57qui vont aider
34:58à gérer le pays
34:58l'institution
34:59politique
35:00l'institution
35:02constitutionnelle
35:03c'est des guerres
35:04pour gérer un pays
35:06pour la sécurité
35:07c'est avec quelle
35:09sécurité
35:10qu'elle a géré le pays
35:11elle a donné
35:13cette institution
35:13a dit
35:14gérer le pays
35:15sur une place sécuritaire
35:16gérer le pays
35:18c'est l'argent
35:18gérer le pays
35:21c'est l'argent
35:22à quel gérer
35:23le trésor
35:23d'abord
35:23c'est lui
35:24avec qui
35:25à quel gérer
35:26l'économie
35:27d'abord
35:27c'est lui
35:27avec qui
35:28gérer le pays
35:30c'est la justice
35:30on en parle
35:31qu'est-ce que les magistrats
35:33qui recevaient
35:34ces inscriptions
35:35auprès de la gagne
35:37syrienne
35:37pour ne pas
35:38les questions essentielles
35:39qui ne seront pas posées
35:41dans le secret
35:42du procès
35:43mais qui vont résister
35:45dans l'opinion
35:45et tant qu'il n'y a pas
35:47de réponse réelle
35:48à ces questions-là
35:49ce n'est pas
35:50syrienne
35:51et nous lui
35:51en juge
35:52c'est la justice gabonaise
35:53qui est jugée
35:54dans l'opinion
35:55c'est ça
35:56l'enjeu de ce procès
35:56ce procès
35:58aurait dû être celui
35:58de la réhabilitation
35:59de la justice
36:00il va être
36:01le procès
36:01du procès
36:02d'injustice
36:03et chacun pourra
36:04une idée
36:04de ce qu'est
36:05la justice gabonaise
36:06désormais
36:06merci pour tout
36:07l'attention
36:08nous avions déjà
36:17indiqué
36:18que
36:19dans le cas
36:20du référendum
36:20et de la réforme
36:22des institutions
36:23il ne fallait plus
36:25que le président
36:25la réforme
36:26de la réforme
36:27de la réforme
36:28nous insistons
36:30si nous voulons
36:31une justice
36:32indépendante
36:33libre
36:33il faut absolument
36:35rompre le lien
36:36entre nos politiques
36:38interdicé par la
36:39juridique
36:39et la magistrature
36:41il faut rompre
36:42ce lien
36:42il faut que la magistrature
36:44soit organisée
36:45de sorte que la
36:46carrière du magistrat
36:47soit gérée
36:48par la magistrature
36:49quand c'est le cas
36:50dans les démocraties
36:51qui se respectent
36:52et donc il y a
36:52un conseil
36:53sur la magistrature
36:54en dehors du bonitique
36:55c'est là ici
36:56il faut s'en inspirer
36:58merci
36:58il y a les messieurs
37:01il y a la main
37:08la question
37:14le budget
37:18de l'identice
37:19il y a encore
37:21en au jeune
37:23il n'est pas encore
37:25on n'a pas encore
37:30commencé
37:30à l'exécuter
37:31mais vous
37:33vous en étrange
37:35vous
37:36est-ce que
37:36vos remarques
37:39ne sont pas
37:40hâtés
37:41mais le budget
37:43de l'autre finance
37:44a déjà été adopté
37:46par l'une des gens du monde
37:47il a été adopté
37:50déjà
37:50il a été adopté déjà
37:50par une première instance
37:52le conseil des ministres
37:53dès un instant
37:54il est déjà
37:56dans le circuit
37:57pour être adopté
37:58définitivement
37:59et donc
37:59les acteurs politiques
38:00peuvent se troncer
38:01sur le sujet
38:02du fait
38:03d'être observé
38:04que
38:04après que
38:07l'Assemblée nationale
38:08a voté ce sujet
38:10avec
38:12des ressources
38:13issues
38:14de
38:15la levée
38:16des infusions
38:17pour les pétrouliers
38:18ça veut dire que
38:19ce qui allait
38:21dans le budget
38:22comme dépense
38:24a été intégré
38:26comme ressources
38:27puisque le subvention
38:28n'est plus
38:28et là
38:30il y a quelques
38:31heures
38:31on nous annonce
38:33que c'est là
38:33que
38:34l'État
38:35va continuer
38:37à subventionner
38:37pour les pétrouliers
38:38et donc
38:38votre question
38:40m'amène également
38:40à préciser
38:41que
38:42ces milliards de francs
38:44plus de 100 milliards
38:45il faudra que les louer
38:46quelque part
38:47ils étaient prévus
38:48à ressources maintenant
38:50ils sont maintenant
38:51en défense
38:52il faut trouver
38:52cette ressource
38:53quelque part
38:53oui je critique
38:54ce budget
38:55parce que
38:55le fait qu'il ait été
38:56qu'il ait passé
38:57le visage
38:58du gouvernement
38:59qu'il était
39:00dans l'une des chambres
39:01du gouvernement
39:01il est déjà
39:03remettre
39:03et nous sommes
39:04en dehors
39:04de l'université
39:05une autre question
39:12c'est sur l'emploi
39:13vous vous faites
39:15paris
39:15de l'ancien pouvoir
39:17tous les démons
39:18se rappellent
39:19qu'il y a eu
39:21un gel
39:21au niveau
39:22du recrutement
39:23de la fonction publique
39:24qui a même mis
39:25assez longtemps
39:26qu'est-ce qui
39:28en votre temps
39:29a récipliqué
39:30ce gel
39:30et qu'est-ce qui
39:32aujourd'hui
39:33pourquoi
39:35est-ce que
39:35vous contestez
39:36ça
39:36alors que
39:38lorsque vous étiez
39:41au pouvoir
39:41cela est
39:42une lueur
39:42quelle évolution
39:45y a-t-il
39:45entre-temps
39:47ou que ça
39:48n'utilise pas
39:48quand
39:49je l'ai
39:49laissé
39:49merci pour
39:50cette question
39:51est essentielle
39:51je tue la peine
39:53qu'il y a eu
39:53un nombre d'États
39:54donc il n'y a plus
39:55une passation
39:56dans le rang
39:56du gouvernement
39:56il y a eu
39:57un nombre d'États
39:57et quand il y a eu
39:59ce coup d'État
40:00vous avez l'auteur
40:01du coup d'État
40:01président de la
40:02conscience du pays
40:03qui a dit
40:03ils avaient
40:04je vais
40:05empêcher les enfants
40:06d'avoir
40:07à placer la
40:07france
40:07en brûlée
40:08moi j'ai ouvert
40:09c'est ce qu'il a dit
40:10pourquoi
40:10il faut me dire
40:11encore
40:11nous avons été
40:13contraints
40:14non pas
40:15de stopper
40:16parce qu'il faut
40:16bien comprendre
40:17ce qui se passait
40:18nous avons été
40:19contraints
40:20de régler
40:21parce qu'on était
40:23en accord
40:24sous l'accord
40:25avec les familles
40:25et qu'il fallait
40:26réduire
40:27les dépenses
40:28publiques
40:29et une des postes
40:31qui avait été
40:31identifiée
40:32par le ministère
40:33de l'économie
40:34et c'est là
40:35le problème
40:35que nous avons
40:36c'est que
40:38un régime
40:39ce n'est pas
40:40que
40:41les tchans
40:42ministres
40:42et le chef
40:43malédien
40:43un régime
40:45c'est aussi
40:45la faute
40:46d'un est rasgui
40:47c'est aussi
40:48la sécurité
40:49c'est aussi
40:51tout ce qui rentre
40:52dans la gestion
40:53de l'état
40:54c'est pour cela
40:54que
40:55le gouvernement
40:56dispose
40:57de l'administration
40:58mais
40:59nous nous enrions
41:01nous sommes
41:02plus responsables
41:03mais les autres
41:04fonctionnaires
41:06qui sont
41:06l'état
41:06ils sont
41:07ceux qui sont
41:09en responsabilité
41:10et qui sont
41:11en négociation
41:11avec des références
41:12comme profondationnaires
41:13ils sont
41:14ils sont
41:15dans l'état
41:15et ils ramènent
41:16les mêmes recettes
41:17dans son gouvernement
41:19et qui avait dit
41:21aux gabonais
41:21ça y est
41:22maintenant
41:23l'accès
41:23est le fonction
41:23public
41:24est ouvert
41:24ils se rendent compte
41:25qu'ils n'ont pas
41:26tenu
41:26en deux ans
41:27la masse salariale
41:29s'est accrue
41:29on est bientôt
41:31à 1 000 milliards
41:32de masse salariale
41:32et je viens de rappeler
41:34que les ressources
41:35fiscales
41:35de l'état
41:35c'est 2 000 milliards
41:37un peu plus
41:382 000 milliards
41:38donc vous avez déjà
41:40les salaires
41:40qui prennent la moitié
41:41de ce fiscale
41:41de l'état
41:42et ça
41:43les directives
41:46de la CA
41:47ce n'est pas moi
41:48qui les ai inventées
41:49c'est entre en 5 et 45%
41:51là on est à peu de 60%
41:53donc ce n'est pas moi
41:54qui ai inventé ça
41:55et je ne dis pas
41:56que le gel
41:59n'a pas eu
42:00d'effet négatif
42:01par l'autorisation
42:02je rappelle
42:03que malgré le gel
42:04on a reculqué
42:05dans la fonction
42:06de l'éducation
42:07le secteur
42:08de la santé
42:09le secteur de l'éducation
42:11et que les rémunérations
42:12administratives
42:13et les rendues publiques
42:14en sont d'accord
42:15par ailleurs
42:16quand on dit
42:19qu'il y a eu reculter
42:19moi reculter
42:21toujours
42:21un effort de défense
42:22de la sécurité
42:23et bien en ce temps
42:25dans nos écoles
42:26il y a eu
42:27des choses d'affluence
42:27qui a zéro policier
42:28et a zéro gendar
42:29voilà les sujets
42:30et dans le même sens
42:32du juste
42:32de ce que vous en parlez
42:33sur 5 ans
42:35on va voir
42:35donner une liée
42:36consacrée à la défense
42:37mais combien
42:39consacraient la santé
42:40combien consacrer
42:42à la question
42:42de la création
42:43d'emplois
42:43voilà les deux sujets
42:44oui il faut créer
42:46des emplois
42:47j'ai seulement
42:47à la pression
42:48de l'engagement
42:48il a dit
42:50163 000 emplois
42:51qu'ils auront créé
42:52en 2015
42:53on lui rappelle
42:54ça demande
42:54quoi c'est
42:55l'engagement
42:55que vous avez pris
42:56en connaissance
42:57de comme ça
42:57à Port-Anti
42:59il a dit
42:59sur tout mon mandat
43:01il n'y aura pas
43:02un problème de budget
43:03il y a l'argent
43:04il est publiquement
43:05Port-Anti
43:06et donc
43:06il ne faut pas nous
43:07dire celui qui a vu
43:08l'argent
43:08pour occulter
43:09les gabonais
43:09à la fin de son juillet
43:10alors
43:14monsieur le premier ministre
43:15c'est le premier ministre
43:17ça va dire
43:17vous qui êtes au fait
43:19de la gestion
43:21un peu
43:22des processus
43:24de
43:24l'examen
43:26de la loi
43:27des suivances
43:27alors
43:28dans quelques jours
43:30on va dire demain
43:31aura lieu
43:32l'élection
43:34les élections
43:35sénatoriales
43:37l'Assemblée nationale
43:38a récemment
43:39adopté
43:39le projet
43:40de loi des finances
43:41est-ce que
43:42vous pouvez un peu
43:43éclairer
43:44comment ça va se passer
43:45parce qu'il y a
43:46une sorte
43:46de
43:48de
43:50de
43:50de
43:50dans
43:51le processus
43:53d'examen
43:54qui va
43:54qui va suivre
43:55avec
43:56avec le Sénat
43:57dans
43:58dans un
44:00exercice
44:00normal
44:01du respect
44:03des instituts
44:04le parlement
44:07doit adopter
44:09une loi
44:10tant qu'il est
44:11en fonction
44:12entière
44:13le texte
44:15passe par
44:15les chambres
44:16va ensuite
44:17dans l'autre
44:18chambre
44:18si la discussion
44:20d'anichinatine
44:22s'arrête
44:23dans une des chambres
44:24le texte
44:26repart à zéro
44:26on peut pas
44:28continuer
44:28les amis
44:29parce que
44:29la nouvelle chambre
44:30qui entre
44:30ne peut pas
44:31examiner
44:31ce texte
44:32et donc
44:33là ça fait
44:33partie
44:34des difficultés
44:35qu'on a
44:36avec ces
44:36constitutions
44:37qui a été
44:38adoptée
44:38sans que
44:39les gens
44:39aiment bien
44:40complir
44:40ces impacts
44:41et la mise
44:42en œuvre
44:42est là
44:43moi j'avais
44:43demandé
44:44que
44:45l'examen
44:46du budget
44:46soit
44:46suspendu
44:47et qu'on
44:48attend
44:49la nouvelle
44:50déchirature
44:50pour examiner
44:51le budget
44:51j'avais
44:52indiqué
44:53qu'il ne
44:53fallait
44:53pas
44:53lier
44:54une
44:54déchirature
44:55avec
44:56une loi
44:56de finances
44:57correctée
44:57examinée
44:58et adoptée
44:58par un
44:58pharement
44:59de transition
44:59on m'a pas
45:00évoqué
45:01mais voici
45:02une difficulté
45:03c'est que là
45:03le 17
45:04novembre
45:06on met en place
45:08l'assemblée nationale
45:09supposons
45:11que
45:12le Sénat
45:13adopte
45:14un état
45:15non identique
45:16et ce sera
45:16le cas
45:17puisque
45:17entre les deux
45:18la commission
45:22vice-parité
45:23va être mise
45:24en place
45:25entre guillettes
45:25donc
45:27comme il s'abrigole
45:28on lui connaît
45:29quelque chose
45:29mais ce ne sera
45:30pas tout à fait
45:31les gars
45:31c'est bon
45:35elles sont nos
45:36intentions
45:36sur la justice
45:37oui
45:37mais c'est moi
45:40qui est
45:40vraiment
45:41c'est ça
45:41pour les parents
45:42juste
45:42sur la justice
45:46oui
45:47juste
45:47vraiment
45:47très cool
45:48si
45:50on appelait
45:51le citoyen
45:52élusé
45:52à être
45:54témoin
45:55ou à répondre
45:57vous avez évoqué
45:58à votre dernier
45:59parti
46:00justement
46:00la question
46:01si
46:02il vient à gérer
46:03avec qui
46:04elle a géré
46:05si on vous appelle
46:06à la bar
46:06est-ce que vous avez
46:07mais moi
46:08j'ai toujours dit
46:09que ça est pour nous
46:09qui gère le pays
46:10j'ai toujours dit
46:13même lorsque
46:14il est dédié
46:15qu'a dit
46:16qu'on n'a signé
46:16plus
46:16j'ai dit
46:17que moi
46:18j'ai fait
46:18l'Ibongo
46:19signé
46:19de sa main
46:19je n'ai dit
46:20plus
46:20de l'euro
46:21on m'a demandé
46:22mais tant
46:23les parafos
46:23pas à la maison
46:24moi j'ai été
46:24à la maison
46:25mais moi
46:26j'étais au
46:26Bougo
46:26et j'ai vu
46:26comment
46:27signer
46:27de sa main
46:28je n'ai dit
46:29plus
46:29de l'euro
46:29ils ont fait
46:30l'Ibongo
46:31signé
46:31là également
46:32il se passe
46:33quoi
46:33donc
46:35moi
46:36je vous dis
46:36et c'est pour cela
46:37que nous avions
46:38demandé
46:38la mise en place
46:40d'une commission
46:41vérité
46:42justice
46:42et déconciliation
46:43pourquoi
46:44parce qu'il faut
46:45se poser
46:45les bonnes questions
46:46MDI
46:48est son
46:48je rappelle
46:50que ce qu'il y a eu
46:50à la conférence
46:51à 90
46:52c'est que
46:52le pays
46:53est son
46:53son
46:53est déjà
46:53plus
46:54très long
46:54et comment
46:56Bougo
46:56en 2007
46:57fait le délant
46:57lui-même
46:58de sa
47:00gouvernance
47:01la phrase
47:02est venue
47:02fameuse
47:03Dieu nous a
47:04donné le droit
47:04ils prennent
47:06cette phrase
47:06en s'adressant
47:07à sa classe
47:08politique
47:08qui auront
47:10va se créer
47:10une commission
47:11après
47:11quelques-uns
47:12et donc
47:13moi je continue
47:14à dire
47:14que les Gabonais
47:15doivent avoir
47:15la vérité
47:16sur ce qui
47:17s'écrater
47:17dans le pays
47:18qui a fait
47:19quoi
47:20je suis là
47:21à répondre
47:21pour ce qui
47:21me concerne
47:22moi
47:22le problème
47:24c'est que
47:24ceux qui nous
47:24ont dit
47:25que c'est
47:25Sylvia
47:25qui gouverne
47:26c'est eux
47:27qui étaient
47:27Sylvia
47:27moi je n'ai pas
47:28passé le
47:28d'avance
47:28à Tchê
47:29je n'ai jamais
47:31été avec
47:31madame
47:32son fils
47:33et le
47:33je les ai
47:35fréquentés
47:36dans le
47:36cas
47:36d'un
47:37officiel
47:37mais ceux
47:39qui les ont
47:39vus
47:40possibles
47:40officiellement
47:41qu'au
47:41fichier
47:42devant
47:42ils disent
47:43au
47:43Gabonais
47:43ce qui
47:43s'est
47:44passé
47:44exactement
47:44parce que
47:50nous
47:53parlons
47:53
47:54de
47:54notre
47:54pays
47:54et
47:56il
47:58faut
47:58pas
47:58que
47:59on
48:00dans
48:00le
48:00Gabonais
48:01le
48:02sentiment
48:02qu'on a
48:03réglé
48:03un problème
48:03parce qu'on a
48:04jugé
48:05condamné
48:05deux
48:05individus
48:06est-ce
48:07que
48:07ces deux
48:08individus
48:08incarnent
48:09un système
48:09est-ce
48:11qu'ils
48:11incarnent
48:11à eux
48:11seuls
48:12l'ensemble
48:12de la
48:13gouvernance
48:13d'avis
48:14Bongo
48:14si c'est
48:15à dit
48:15Bongo
48:15qu'il
48:15sache
48:16le pays
48:18a des
48:18problèmes
48:18d'euros
48:19quels sont
48:20ceux
48:20qui ont
48:20des
48:20ministères
48:21de
48:21vous
48:36depuis
48:38qu'ils
48:38sont
48:38
48:39elle a
48:39800
48:40milliards
48:40et
48:42
48:42on
48:42rembourse
48:4228
48:42milliards
48:43mais
48:44il nous a
48:46dit
48:46qu'il
48:47a
48:48que
48:48payé
48:48il
48:49y a
48:49plus
48:49de
48:49le
48:49ce
48:50qui
48:50a
48:50payé
48:51
48:51sont
48:51encore
48:51et
48:53donc
48:54sur
48:54ce sujet
48:55les
48:55Gabonais
48:55ont
48:56le droit
48:56à la
48:56vérité
48:57on
48:57le droit
48:57à la
48:57vérité
48:58la
48:59vérité
48:59de
49:00secréter
49:00la
49:00gouvernance
49:01d'Ali
49:01Bongo
49:01et
49:02c'est
49:03tout
49:03responsable
49:04pourquoi
49:04on
49:04n'en
49:05parle
49:05pourquoi
49:07on
49:07met
49:07ça
49:07sous
49:08le
49:08tapis
49:08je
49:10sais
49:10que
49:10quand
49:12on
49:12veut
49:12trouver
49:14en
49:14on
49:14n'a pas
49:15besoin
49:15de
49:15chercher
49:15on
49:15vient
49:16déposer
49:16et
49:17que
49:18moi
49:18je
49:19ne
49:19suis
49:19pas
49:19à
49:19l'appeler
49:20parce
49:21que
49:21comme
49:22je
49:22refuse
49:25on
49:25peut
49:25demeure
49:26infanter
49:27quelque
49:27chose
49:27contre
49:28un
49:28des
49:28liens
49:29pour
49:29me
49:29faire
49:29payer
49:29ça
49:30existe
49:30on
49:31peut
49:31le
49:31faire
49:32mais
49:32je
49:32dis
49:33que
49:33notre
49:34justice
49:34faut
49:34la
49:34libérer
49:35ou
49:37il faut
49:37la
49:37délivrer
49:38plus
49:39que
49:39même
49:39au
49:39feu
49:40la
49:40libérer
49:40
49:40il faut
49:41la
49:41libérer
50:11La mise en intention de certains leaders, c'était la manipulation, c'était la instrumentalisation.
50:18Et penser qu'aujourd'hui, ce n'est pas la manipulation, ce n'est pas la instrumentalisation.
50:21Ce n'est pas correct.
50:23Moi, j'ai vécu l'affaire Mambal.
50:25J'étais là.
50:26Mais ceux qui ont été en intention sur Mambal, je ne m'en connais pas beaucoup, qui ont dit qu'ils avaient été tortués.
50:32Les tortues, c'est ce scorpion.
50:34Et quand on nous demandait des scorpions, c'est à quel moment que les tortues l'ont commencé.
50:37Ils m'ont témoigné, ils ont écrit.
50:41Et maintenant, jugeons ensemble et disons non, il y a eu ces pratiques-là.
50:47On arrête.
50:48Et on rebâtit le garçon.
50:50Je n'ai jamais eu le point d'exemple de mettre en prison.
50:52J'ai dit au guérir, guérir, un harcèl, un harcèl, un harcèl, de le guider, il finira pas éclater.
51:01Mais quand il est éclaté, il faut maintenant le nettoyer, le guider, le purifier, l'assainir.
51:06Sinon, il ne se fasse pas.
51:11Il y a une réfection.
51:12C'est ici.
51:13C'est ici.
51:14Ça ne peut pas atteindre à monde.
51:16Et donc, ceux qui n'ont pas fonctionné dans notre pays, ayons le courage de l'accorder.
51:20Ayons le courage de l'accorder.
51:22Sans mettre les gens en prison.
51:24Pourquoi, pourquoi ça a été fait comme ça ?
51:26Peut-être que ça relève des hommes.
51:27On les change.
51:28Peut-être que ça relève des institutions.
51:30On les améliore.
51:31Peut-être que ça relève des lois.
51:33On les engorge.
51:34Mais ne lui tombe pas la poussière sur le tarif.
51:38Voilà.
51:39C'est la dernière question.
51:42En tant que vous seriez un premier ministre, vous pouvez être disponible au RÉtat.
51:49Est-ce que, en ce temps, ils ont ce signe aussi derrière moi, est-ce que le président de la UB nous a sollicité pour une consultation sur un sujet précis de la UB ?
52:02Autre, prendre l'attention, quel conseil vous donnez-vous pour asséir justement les ignaces de l'État, comparativement avec le train de l'État qui, jusqu'à aujourd'hui, quand même, est...
52:19Il faut commencer par ne pas les voir nos partenaires.
52:23Est-ce qu'on veut dire que ce voyage n'a pas été nécessaire ?
52:27Il y a eu des témoignons, vous savez, d'autres témoignons qui ont été signés au RÉtat.
52:30Donc, commençons, nous-mêmes, par rapport aux rigueurs, ce qu'il se rendra bon à faire.
52:35Bon, concernant vos premières questions, moi, je ne le rencontre pas, mais c'est un secret.
52:40Je l'ai rencontré, je lui dis que moi, il y a créé du même temps, c'est qu'il y a pour la direction, pour aller lui dire de repousser la direction.
52:45Il m'a fait écouter.
52:47Mais je ne l'ai pas rencontré depuis là.
52:48Je lui raconte pas en secret.
52:49C'est le soumis-ci d'une réflexion sur les sujets qu'il concerne le Gabon.
52:58J'ai été un généraliste, je n'ai pas porté pour que les Gabonais aient l'électricité.
53:03Pourquoi j'ai fait si je peux donner un conseil pour que nous avons l'électricité ?
53:07Pourquoi je m'enblie pas ?
53:09Mais je ne suis pas son collaborateur.
53:12Je ne le suis pas.
53:13Et je n'irai pas là-bas pour devenir quelqu'un qui travaille pour lui ou avec lui.
53:17Mais si je peux y aller à régler un problème pour le pays,
53:19pourquoi je ne le ferais ?
53:21Mais il faut que ce soit transparent.
53:22Ce n'est pas en secret.
53:24Il faut qu'on dise, bon, le monsieur me dit que c'est un homme d'excusé officiellement.
53:28Je ne sais pas ce que c'est vrai.
53:28Je ne sais pas mon élevement.
53:30Ça serait grave.
53:31Mais je n'irai pas à le voir en secret.
53:34Pour les finances publiques, si on donne la consolidation, je ne la ferai pas dans les cours.
53:39On m'a demandé ce que je pense officiellement.
53:41Je vais revenir sur ce que j'en pense officiellement.
53:43Ça, ça arrive.
53:45Merci d'être au début.
53:46Merci.
53:49Merci.
53:50Merci.
53:51Merci.
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire

Recommandations