00:00Il a raison d'être grave parce qu'on est à un moment terrible pour le pays et les premiers qui nous le disent, c'est les habitants dans nos circonscriptions qui sont très inquiets que la France n'ait pas de budget, qu'on n'arrive pas à se mettre d'accord, que nos entreprises sombres parce qu'on a beaucoup de commerces, d'artisans, de grandes entreprises qui sont en grande difficulté aujourd'hui.
00:19Et si la France est fragile, c'est la souveraineté française qui est fragile. On a aussi beaucoup de gens qui souffrent et qui voient les discussions budgétaires autour de suppression ou de gel d'une aide sociale ou des malades de longue durée et qui peuvent s'inquiéter.
00:38Moi, je crois qu'on est quand même dans un moment où on continue à avoir des débats qui nous font avancer sur le budget. On a des compromis qui sont parfois un petit peu cocasses entre des groupes politiques qui ne sont pas toujours ceux qu'on attend mais qui font qu'on avance à la fois dans le budget, dans le budget de la sécurité sociale.
00:55Donc il ne faut pas désarmer maintenant. Il faut, comme les partis un peu responsables que sont le Bloc central, le Parti socialiste, arriver à désormir autour de la suspension des réformes des retraites.
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