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  • il y a 5 jours
A suivre sur notre antenne Féminicides, suicides, cyber harcèlement et sextorsions…pourquoi autant de dérives ? La situation devient de plus en plus préoccupante. Malgré les dispositions légales, les récents cas de féminicides, suicides, cyber harcèlement et sextorsions chez les jeunes femmes interpellent plus d’un. L’occasion d’en débattre dans l’émission Tempo La So ce lundi après-midi. Jimmy Jean-Louis accueille : (i) Lindsey Collen, du Mouvement Liberasyon Fam (ii) Et Anishta Seesurrun, activiste féminine, de l’ONG Flame of Phoenix et Rotarienne. A suivre des entretiens de plusieurs personnalités qui se sont exprimés sur le sujet. Parmi :- (i) Anishta Babooram, Junior Minister qui parle des abus sur les réseaux sociaux ; (ii) Me Dashana Gayan, Senior Assistant Director of Public Prosecutions et responsable de la Cybercrime Unit, sur la campagne actuelle sur le cyber harcèlement et la sextorsion; (iii) Et bien évidemment les nombreux auditeurs de Lévé Maurice. Rendez-vous entre 17h30 et 19h00. Vos interventions sur le 213 7777, 213 7777. Emission live à suivre également sur notre application TOPFM TV et sur Parabole chaine 10

Catégorie

📚
Éducation
Transcription
00:00:00Où la voix ? Où s'y met la lumière ?
00:00:30Où la voix ?
00:01:00Où la voix ?
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00:02:30Où la voix ?
00:02:32Où la voix ?
00:02:34arrêter comment se prouver dans la vie et résultat qui ne finit gagné cinq enfants
00:02:39un des trois bananes à sept bananes et dix-sept bananes et une au félin au féline plein ça
00:02:46mon sac dans la case la même ça et qu'on dit protection odeur beaucoup de biais réhabilité
00:02:51en cours l'hypate sévère maï pour moi moi m'au dire et n'a aucune solution biais m'étendue même
00:02:58ça la loi biais téni ban démon démon pas biais exister d'achat de l'île maurice là c'est tout
00:03:05qu'il m'ouvait dire c'est qu'il m'a dit madame madame qui connaît ce que c'est violent c'est
00:03:10l'échange d'applications panique pour donner nos autres téléphones ne connaît qu'un téléphone
00:03:14de la police des fois c'est l'heure aussi les autres travaux je parlais dans le transport
00:03:18pour venir mais l'application est assez efficace c'est pas expérience qui m'ouvait dire ça
00:03:23voilà qui cette réaction face à ce sentiment d'indignation des mauriciens à nishka pour
00:03:41démarrer merci jumi bonsoir tous les auditeurs qui payent écoute nous je trouve qu'il n'y a pas
00:03:48une personne qui n'intervenir j'étais n'a raison dans cinq portions ça qui se peut dire mot pour
00:03:53rappeler au fait qui c'est pas la première fois au fait qu'ils m'ont mis de l'omplanteur mon
00:03:57pensée c'est pas la première fois qu'ils m'aiment au collègue à côté moi ils mis de l'omplanteur et
00:04:01c'est pas la première fois aussi qu'il n'a même les autres du monde qu'ils mis de l'omplanteur
00:04:04qu'ils ne causent sur la violence dans tous les contextes mais qui peut arriver
00:04:08aujourd'hui c'est qu'il ne peut trouver au fait qu'une situation les paix empirer les paix les mêmes
00:04:12qu'elle est la marche à suivre qui nous bise à faire comment nous bise à réagir la question est
00:04:18que nous d'une émission tu es un peu là sur comment nous bise à mon pensée au fait tu connais tu es un
00:04:22peu là quand chaque fois au fait l'issue lissue lissue lissue lissue comment souffler arrive un
00:04:26certain moment il pourrait exploser mon pensée il n'arriverait à la population mauricienne en
00:04:31entier toute catégorie c'est à dire professionnel social classe bise à mettre un stop et une bise à
00:04:38prend les commandes ya les taureaux pour les cornes et attaque c'est à dire le fléau kouma bise
00:04:44oublié c'est à dire appartenance politique oublié que c'est à dire c'est tel parti politique qui
00:04:53ne travaille dans le passé ou tel moi me donne le pouvoir je vais faire plus mieux non il faut savoir
00:04:59une conscientisation une sorte d'avancement et de travail mutuel avec tous les acteurs engagés pour
00:05:08mettre out qu'on va nous dire chaos à sa fléau à ben fléau qu'il n'y en a dans la société civile
00:05:14aujourd'hui il dit pourquoi les biens malheureux qui n'a pas une famille qui paie bise c'est bien
00:05:24comme à j'appelais bonnes enfants n'ont pas dix autres mamans dans le cas des madame récemment et
00:05:29en plus bonnes à l'année là mais nous en a aussi constaté qui nous en a une tendance à
00:05:36moussa bozini normal qui lit après sa conflit à l'intérieur la famille vint tellement violent
00:05:45qui qu'ils mourent bien bien bien bien blessé les à la société prend compte mais lille malheureusement
00:05:51il n'y a pas d'un moment cote bizarre prend compte vous connaît dans le mouvement libération
00:05:56femme nous en a ce qui nous appelle une résiste fémy cid une appelé fémy cid par fémini cid ça
00:06:02n'a inventé importé depuis la france vingt ans après nous n'ont pas cause fémy cid depuis bien
00:06:07longtemps et en fait lit une réalité qui nous nous suivent depuis bien longtemps ça veut dire
00:06:13mot pas c'est l'ip et augmenté mot pas c'est nous pffiez seulement quand nous et nasa résiste
00:06:22l'eau reportage dans la presse et que l'eau radio ça veut dire maintenant rempli lille à la nouvelle
00:06:28année l'eau en software nous tu fais envie travail l'eau là pour porter ainsi et publique mais il est
00:06:33trop déprimant qu'on travaille l'eau là du panne à une père c'est pas cinq ans l'eau à 40 ans là mais
00:06:40il est bien bien et comment j'y ai éprouvant pour lire comment j'ai savent et l'eara à cause à
00:06:48sa ban gros livre qui britannique à sauter great crime c'est pas que c'est cela oui et l'a on
00:06:53dirait pareil comment à cela nous peut réaliser quand nous gâte détaille des crimes à l'intérieur
00:06:59un espace intime l'idia mais il est pas de l'aider du vin comment j'ai dans un problème émotionnel et
00:07:07pas rationnel et moi quoi avec violence domestique nous tu fais un grand progrès quand un gouvernement
00:07:15à l'époque moi pas même si je me rappelle qu'ils sont là un ministre côté droit femme ou bien ce qu'il
00:07:21était appelé à l'époque 25 ans d'ici là tu y en a un expert nous tu dans le mouvement libération
00:07:26femme lundia si vous avez besoin d'experts pour aider avec comprendre violence domestique et qui
00:07:33ban ça fait institutionnel qu'avec diminuer l'i peut-être libre pour la pensée du côté
00:07:38australie sa l'époque là et effectivement gouvernement fait des morts c'est une femme qui en a beaucoup
00:07:45l'expérience là-bas appelé théa mendelsson tu vins ici tu travailles ici avec tout ban l'organisation
00:07:51avec ministère tout et l'île prépare un rapport et sa rapport là jamais pan publier et nous
00:07:58c'est mais il paraît une définitivement en bonne et du fond pédé il n'est pas ce qu'ils sont
00:08:03publiés ou qu'on dit pas même d'anti ou à l'île pédé mais en demande avec qui l'iline faire tout
00:08:10du monde comprend et qui d'ailleurs l'équipe ce qui tout du monde qu'ils aient à l'expérience là
00:08:15d'en réaliser en a espèce en tournant rond qui arrivait dans banca violence domestique en cycle et on
00:08:24dirait nous tout en colère dans un moment qu'ils n'ont pas trop aidé ça veut dire dans dans une
00:08:31coupe supposé et c'est normalement il y a une zone parce que société patriarcale il est bien
00:08:38content ce femme et il y a une ligne de miel comme à dire tout correct en bout là-dedans
00:08:44l'il y a la li commence ti à l'ay qui fait ou pa-de-mette assez du sel ou bien qui fait ou n'vin
00:08:50taur ou bien whatever on dirait une ban li irrité l'il y a la li vin vin violent qui
00:08:56vin insulte ble l'arme violent net vin andé au contrôle et l'il y a la femme la soit fini dans
00:09:04l'hôpital ou bien l'ipacarif soit toti tellement li ne blesse ou bien ban femme il rentre la
00:09:09dans une belle crise, comme je disais,
00:09:11elle a la boucle là, elle a regretté, net.
00:09:14Comme je disais, elle a la vie,
00:09:15tu m'as esquissé,
00:09:17elle a patié dans le temps,
00:09:18je suis encore content, en femme, tout ça là.
00:09:21Elle a doucement, doucement,
00:09:22ré-rent dans une espèce de tout beau,
00:09:25une ligne de miel, je ne sais pas ce qu'elle a fait.
00:09:27Mais on dirait,
00:09:28chaque fois qu'en famille, ou bien
00:09:30sa madame là, on vit à Asier.
00:09:33C'est Asier dans un moment, quand elle finit
00:09:35de perdre tout ce courage pour Asier.
00:09:38Alors, drôlement,
00:09:39on vit à Asier, quand tout
00:09:41est stabilisé, comment dire,
00:09:43vers la fin, sa ligne de miel,
00:09:44parce qu'elle peut connaître, ça peut réarvenir.
00:09:47Quand elle a envie de quitter, elle vit dans
00:09:48un moment là.
00:09:50Mais là, il y a eu un problème structurel,
00:09:53quand vraiment, quand l'État
00:09:54est responsable pour la violence domestique.
00:09:57Il faut qu'il y ait une case
00:09:59quand il y a une.
00:10:01Il faut qu'il y ait un travail
00:10:02pour qu'il y ait une location pour ça,
00:10:04la case là.
00:10:06Ça a été un travail qui a été capable d'aider.
00:10:08Alors, parfois, nous,
00:10:11comment dire,
00:10:11à cause de nous connaître vraiment
00:10:13ce qu'il y a de faire,
00:10:14il n'est pas facile pour faire ça,
00:10:17on dirait,
00:10:18nous néglise ça,
00:10:20et là, nous sommes coupables,
00:10:21alors nous réagir un peu trop,
00:10:23quand il y a des cas,
00:10:24il y a des cas qui,
00:10:25il y a des cas qui sont capables,
00:10:28qui sont capables d'empêcher.
00:10:29Qui sont capables d'empêcher.
00:10:30Qui sont capables d'empêcher.
00:10:31Il y a des drames qui,
00:10:32qui ont une mesure urgente,
00:10:34d'après vous,
00:10:35Anishtar,
00:10:36qui ont besoin de prendre,
00:10:37pour en faire ce qui,
00:10:37comme on a dit,
00:10:39il y a des drames à reproduire,
00:10:40ce qu'il y a pas de éviter.
00:10:41Pourtant, il y a surtout
00:10:43une telle cause d'application,
00:10:44les sports.
00:10:45Alors,
00:10:46moi,
00:10:46je parle un peu plus loin,
00:10:47là,
00:10:47dans le Jémi,
00:10:48au fait,
00:10:49il y a beaucoup d'application,
00:10:51il y a beaucoup de la loi,
00:10:52mais principal,
00:10:53c'est-à-dire,
00:10:55la bataille commencée
00:10:56suivie par la personne
00:10:58qui peut vivre
00:10:59sous le toit conjugal
00:11:00lui-même.
00:11:01Ok,
00:11:02ça,
00:11:02c'est une.
00:11:03Et suivie par les parents.
00:11:06D'accord?
00:11:06D'ailleurs,
00:11:07moi,
00:11:07tiens envie,
00:11:07adresse-moi à la population
00:11:09qui peut écouter-moi aujourd'hui.
00:11:10Si vous connaissez,
00:11:11justement,
00:11:12vos enfants,
00:11:14moi,
00:11:14je peux dire en général,
00:11:15parce que je peux dire
00:11:16ce madame,
00:11:17et une fois,
00:11:17qui est victime de violence,
00:11:19il y a aussi les messieurs,
00:11:20nous bien connaissons le cas.
00:11:22Donc,
00:11:22si vous connaissez,
00:11:23en fait,
00:11:24vos enfants,
00:11:25peuvent subir
00:11:27une atrocité,
00:11:31peuvent subir,
00:11:32ils sont victimes
00:11:33de violences conjugales.
00:11:36Ne pas essayer de guetter,
00:11:37parce que c'est là
00:11:39qui nous bloquons.
00:11:40Nous pouvons dire comme ça
00:11:41qu'avant que nos enfants
00:11:43viennent dans la maison,
00:11:45qu'est-ce que vous pouvez dire?
00:11:47Qu'est-ce que vous pouvez dire?
00:11:49Et c'est ça,
00:11:49en fait,
00:11:49nous devons arrêter,
00:11:51nous devons mettre
00:11:52un full stop là,
00:11:53en fait.
00:11:54Quand vous connaissez,
00:11:54en fait,
00:11:55que vos enfants
00:11:56peuvent subir
00:11:57une atrocité,
00:11:58ils peuvent gagner,
00:11:58ils battent.
00:12:00Et il y a une désaffinée
00:12:01aussi,
00:12:02comme dit l'expression,
00:12:05retourne à la case.
00:12:07Tu ne peux pas
00:12:07pas avoir de la case,
00:12:08c'est-à-dire parentale.
00:12:09Fais-le,
00:12:10parce qu'il est meilleur
00:12:11en fait,
00:12:11que vos enfants,
00:12:13certes,
00:12:14séparés,
00:12:15que vous trouvez
00:12:16vos enfants,
00:12:16c'est-à-dire,
00:12:17morts,
00:12:18et vous pouvez couvrir,
00:12:18c'est-à-dire,
00:12:19un cadavre,
00:12:19qui peut venir
00:12:20tout pour la suite.
00:12:21Ça,
00:12:21c'est la première,
00:12:22c'est-à-dire,
00:12:22étape qui nous gagne.
00:12:24Deuxième étape,
00:12:25parce qu'il nous l'a au terrain,
00:12:28plusieurs,
00:12:28c'est-à-dire,
00:12:29monsieur Sata,
00:12:29il y en a plusieurs
00:12:30mes collègues,
00:12:31mes camarades
00:12:31qui dansent,
00:12:32station de la police
00:12:33qui peut écouter nous.
00:12:34J'ai gagné,
00:12:35c'est-à-dire,
00:12:35beaucoup,
00:12:36c'est-à-dire,
00:12:36problèmes.
00:12:37Alors,
00:12:37il y en a deux qualités
00:12:38problèmes,
00:12:38c'est-à-dire,
00:12:39mais tout dans le même panier.
00:12:41Il y en a problèmes,
00:12:42c'est-à-dire,
00:12:43petits problèmes
00:12:44qui nous permettent
00:12:44de aller comme ça,
00:12:45qui sont capables,
00:12:46c'est-à-dire,
00:12:46résoudre avec,
00:12:47c'est-à-dire,
00:12:54même un grave problème
00:12:56dû à un fléau
00:12:57que tu lis vraiment
00:12:57les vignes en vignes
00:12:58les choses.
00:12:59Ça,
00:12:59c'est-à-dire,
00:12:59c'est-à-dire,
00:13:00en fait,
00:13:00je te retrouve par la suite,
00:13:02je te laisse ça sur la police.
00:13:04Je te laisse ça sur la police,
00:13:05je te mets soit l'entrée,
00:13:06ou soit quand la police
00:13:07dit à je te mette l'entrée,
00:13:08je pars faire lit.
00:13:10Qu'est-ce que tu fais?
00:13:12Ça aussi,
00:13:12il y a un souci.
00:13:14Je suis capable
00:13:14de demander une protection
00:13:15de la police aussi,
00:13:16c'est-à-dire,
00:13:16je peux rester dans la case là-même.
00:13:18Qu'est-ce que tu fais?
00:13:19Et ça,
00:13:19c'est la deuxième rectification
00:13:21qu'est-à-dire,
00:13:22la majorité des personnes,
00:13:23la majorité des victimes,
00:13:25ça qui n'ont gagné,
00:13:25je te dis comme ça
00:13:26qu'est-à-dire,
00:13:26oui,
00:13:27je vais investir dans la case là,
00:13:29je vais travailler,
00:13:30je vais mettre quelque chose
00:13:31dans la case là,
00:13:32je vais faire,
00:13:32je vais faire la case là.
00:13:34Mais,
00:13:35monsieur,
00:13:35madame,
00:13:36les enfants,
00:13:36ça qui payent,
00:13:37écoute-moi,
00:13:37qui vous pouvez,
00:13:38vous pouvez vous amener
00:13:40dans la case là,
00:13:41ou bien,
00:13:41vous pouvez faire tout la vie,
00:13:43ça qui vous pouvez.
00:13:45Donc,
00:13:45je pense que c'est
00:13:46une question fondamentale
00:13:49qu'ils ont dit,
00:13:49chaque personne,
00:13:52chaque citoyen,
00:13:53ils ont posé
00:13:54toutes la question.
00:13:55Et,
00:13:56après,
00:13:56ils ne viennent sur l'aspect
00:13:57éducationnel,
00:14:00à l'en est.
00:14:01Deuxième point,
00:14:04tout dix monde
00:14:04ça qui connaît au fait
00:14:05qu'ils sont voisins,
00:14:06voisines,
00:14:07collègues,
00:14:08camarades,
00:14:09peuvent subir,
00:14:10c'est-à-dire,
00:14:11une atrocité,
00:14:12elles peuvent être là.
00:14:14Les richesses,
00:14:14on dit malheureusement,
00:14:16et je crois que c'est global,
00:14:17ne peuvent trop,
00:14:18c'est-à-dire,
00:14:19personnels.
00:14:19On a tendance
00:14:20à oublier justement
00:14:21qu'on est entouré
00:14:22de personnes,
00:14:24qu'on vit dans une société
00:14:25et qui,
00:14:26nous,
00:14:26il y a un certain port
00:14:27de responsabilité aussi,
00:14:28civisme.
00:14:30Et,
00:14:30il faut aussi apprendre aux petits
00:14:32comment savoir vivre
00:14:35dans une société,
00:14:36comment savoir respecter
00:14:37ses prochains,
00:14:38comment savoir respecter
00:14:39nos aînés.
00:14:40Et,
00:14:40le plus loin encore,
00:14:42aujourd'hui,
00:14:43une pêcheuse violence
00:14:43conjugale,
00:14:45mais il y a aussi
00:14:46la violence domestique
00:14:47qui a le plus loin,
00:14:49qui attaque,
00:14:49c'est-à-dire,
00:14:50non seulement les enfants,
00:14:51mais qui attaque aussi
00:14:52nos aînés.
00:14:53Ça aussi,
00:14:54il fait partie de la société.
00:14:55Mais si nous restons tranquilles,
00:14:56non,
00:14:57il ne peut pas arriver.
00:14:58Donc,
00:14:58il y a un même cadre de loi,
00:15:00il y a des applications,
00:15:01mais il n'est pas enough
00:15:02parce que la volonté
00:15:04doit venir
00:15:04de la personne en elle-même,
00:15:06premièrement,
00:15:07et de la famille
00:15:07qui est en tout.
00:15:08Parce que les premières affaires
00:15:09du monde qu'il peut connaître,
00:15:10c'est sur la famille.
00:15:11Donc,
00:15:11les parents,
00:15:12les personnes qui sont proches
00:15:13doivent savoir conseiller
00:15:14ces personnes-là
00:15:15pour dire comme ça,
00:15:16qui te bougez,
00:15:16tu te bougez de société
00:15:17ou bien tu te bougez
00:15:18de la vie,
00:15:19tu peux avancer.
00:15:21Lise?
00:15:22Oui,
00:15:22moi,
00:15:22bien d'accord avec
00:15:23Bane Poué,
00:15:24qui a été soulevé.
00:15:26Vous connaissez
00:15:26dans le mouvement
00:15:26Libération Femme
00:15:27qui souvent conseille
00:15:29nous d'un,
00:15:30qui a un,
00:15:30qui a un vin envers nous
00:15:32et dit ça,
00:15:33soit,
00:15:33moi,
00:15:34je peux gérer
00:15:34un bâté,
00:15:35ou soit,
00:15:36je peux dire,
00:15:36mon maman
00:15:37peut gérer un bâté.
00:15:38Et qui a un bâté
00:15:39pour 20 ans,
00:15:39ou bien moi,
00:15:40mon maman gagne
00:15:40pour des ans,
00:15:415 ans,
00:15:425 mois,
00:15:42whatever.
00:15:43On dirait,
00:15:44un des mon premier conseil
00:15:45nous donner,
00:15:46c'est,
00:15:47nous disons,
00:15:47nous,
00:15:48on a un plan,
00:15:50dessine-le,
00:15:51qu'on a un cas,
00:15:52qu'on a resté en famille
00:15:53et qu'il s'en a
00:15:54tout en tout.
00:15:55Quand il finit raconté,
00:15:56tu vas nous,
00:15:57l'atrocité,
00:15:58comment on dir,
00:15:59qui est de plus si bien,
00:16:01il finit raconté ça,
00:16:02là,
00:16:02nous,
00:16:03fais un plan,
00:16:04qu'il y a un voisin
00:16:05là-bas.
00:16:07Là,
00:16:07nous,
00:16:07nous,
00:16:08dire,
00:16:08est-ce qu'il y a un
00:16:09qui a un petit bonjour
00:16:10ou bien,
00:16:11ou qu'il y a une relation
00:16:12ordinaire.
00:16:14Normalement,
00:16:14il y a un des monstres
00:16:15qui se connaît,
00:16:16de toute façon.
00:16:18Là,
00:16:18nous,
00:16:18ce qui est nécessaire,
00:16:21c'est pour informer
00:16:22chaque voisin
00:16:23qu'il y a un problème
00:16:24qui peut gagner,
00:16:26qui peut subir
00:16:27la violence physique,
00:16:29qui peut-être battre,
00:16:30ou bien maltraiter,
00:16:31de toute façon,
00:16:33et qui a envie
00:16:34de connaître.
00:16:35Et deuxième,
00:16:38aussi,
00:16:38si,
00:16:39est-ce qu'il est capable
00:16:41de faire,
00:16:41la police connaît
00:16:42qu'il s'attapasse
00:16:43et dérange
00:16:44sa voisin-là.
00:16:46Mette-le dans sa cadre-là.
00:16:47Nous donne sa conseil,
00:16:49là.
00:16:50Et dimanche,
00:16:50dimanche.
00:16:52Et l'alam,
00:16:52nous dire,
00:16:53mais,
00:16:53ou al-get,
00:16:54c'est-ce qu'il est plus facile
00:16:55pour gérer avant,
00:16:56parle tout seul,
00:16:57prend une autre famille
00:16:58en haut,
00:16:59et si,
00:16:59il y a une personne,
00:17:00un nous-mêmes
00:17:01qui reste là-bas,
00:17:01pour une haut.
00:17:02Mais,
00:17:03il est plus bon,
00:17:03c'est-ce qu'il est plus
00:17:04pour le même,
00:17:05pour d'accord avec ça.
00:17:06Parce qu'il y a un
00:17:06pour vivre là-bas.
00:17:07Si,
00:17:08il y a un an,
00:17:08une cousine,
00:17:09une ma tante,
00:17:10qui commence à l'il,
00:17:11il y a un gère,
00:17:12pas tout,
00:17:13ou,
00:17:14un port,
00:17:15un sartèque,
00:17:16d'étoazou.
00:17:18Gert,
00:17:19si mouns ki ou,
00:17:19estime,
00:17:20pli facile,
00:17:20pou gèete,
00:17:21zis,
00:17:22un fôm li,
00:17:23el dj'elle li,
00:17:23kang en an,
00:17:24tapaz,
00:17:24ve la polis koné,
00:17:26tapaz la pète derang zou.
00:17:27Lè a la,
00:17:28li pli facile,
00:17:28pou la polis,
00:17:29vini sa,
00:17:30un grand drame.
00:17:32Et,
00:17:32lè a la,
00:17:33guèze,
00:17:34ki ou trouve,
00:17:35pli difficile,
00:17:35pou gète,
00:17:36pou kit raison.
00:17:37Et,
00:17:37zapa ki,
00:17:38important,
00:17:39ne moutouva,
00:17:39Nisem,
00:17:40in cause,
00:17:40de la low protection order,
00:17:42nous prend le cas de...
00:17:43Pour qu'avec-ci, c'est fini ça, parce qu'il n'est pas encore arrivé ce point.
00:17:46Ce point, c'est
00:17:47quand souvent,
00:17:50assez souvent, plus qu'il y a moitié de la fois,
00:17:52quand tout le bon voisin connaît
00:17:54dans ce problème-là, parfois
00:17:56le problème-là
00:17:58diminue ou bien le boucle a quitté.
00:18:01Et il n'est pas
00:18:01qu'il y a de ce qui fait. Il est supposé
00:18:03qu'il y a de ce bon voisin,
00:18:06il y a de ce qui fait
00:18:08qu'il y a un problème
00:18:10et qu'il n'est pas réussi
00:18:11à régler le problème, les hommes-là.
00:18:14Alors, ça, c'est étonnant.
00:18:16Et là aussi, la police est plus facile
00:18:18quand il connaît des deux voisins.
00:18:21Mais nous avons un résultat
00:18:23assez bon avec ça. Ça veut dire
00:18:24que nous avons un coup de main pour
00:18:26les gens tous les voisins.
00:18:28Nous, une madame, nous nous dit
00:18:30quoi? Peut-être qu'on dit
00:18:32« Ah, qué mania ! »
00:18:33Tout le bon voisin dit « Qué mania ! »
00:18:35Là, quand il y a un coup,
00:18:36il y a un bonjour.
00:18:39Il finit à connaît.
00:18:40Et en même temps, nous dire
00:18:41« Madame la, mais il a dit
00:18:42que ça, c'est qu'il y a de ça,
00:18:44c'est qu'il y a de ça. »
00:18:44Il a dit qu'il y a de ça.
00:18:46Il a dit qu'il y a de ça
00:18:47et qu'il y a de ça.
00:18:49Mais il a paraît un mot.
00:18:50C'est-à-dire nous retournons pour voir à cette madame-là avec ce l'entourage, si il y a des peines qui viennent pour donner l'écoute, mais nous, les membres qui restent prêts à faire cette visite pendant l'époque de trois semaines.
00:19:04Saurien?
00:19:34En fait, c'est là qu'ils viennent, c'est-à-dire que nous avons un manquement dans nos cadres juridiques.
00:19:39Juste pour ajouter un point, nous avons une cause de la violence, donc ce n'est pas uniquement de la violence physique, nous avons aussi de la violence psychologique, de la violence financière et de la violence émotionnelle, ok?
00:19:51C'est-à-dire qu'il y a des gens qui connaissent, d'accord?
00:19:54Les insultes, ou une madame qui n'est pas de travail, qui est une femme au foyer, ou pas de travail, c'est-à-dire moyen pour vivre, ok?
00:20:02C'est-à-dire qu'il y a des gens qui travaillent, mais il n'y a pas de nous, il n'y a pas d'argent pour vivre, il y a une violence économique.
00:20:08Il y a une violence.
00:20:09Les insultes, il y a une violence.
00:20:11Il y a une violence, il y a une violence.
00:20:13C'est-à-dire qu'il y a des gens qui n'ont même sorti depuis toute la case, qui n'ont même pas de visite, c'est-à-dire toute la famille.
00:20:20Ça, c'est un signe que la société doit être au courant.
00:20:25Pour nous vivre, c'est-à-dire que nous avons la protection au-delà, et c'est là, en fait, qu'ils nous trouvent côté de notre manquement.
00:20:31Première affaire, ils pourront dire vous, comme ça, protection au-delà, et la majorité des cas, ils sont applicables, et la dame pour rester sous le toit conjugal.
00:20:42Ok?
00:20:43Mais qui protection au-delà peut-être que c'est-à-dire qu'il y a un cadre légal qui peut protéger vous quand vous restez sous le même toit que vous pourrez rester?
00:20:55Ça, c'est d'une.
00:20:56Et comment nous dire?
00:20:57Aujourd'hui, je ne sais pas comment nous mettons à l'entrée de la police sur la violence conjugale.
00:21:05La personne est arrêtée par la police.
00:21:08Ok?
00:21:08La personne est arrêtée par la police, il passe la cour, elle est là, c'est-à-dire ce qu'il appelle liberté conditionnelle.
00:21:16Et ça, c'est le deuxième, c'est-à-dire, manquement qu'il faut analyser.
00:21:19Parce qu'il nous trop donne, c'est-à-dire, la liberté conditionnelle trop facilement.
00:21:24Et la majorité, c'est-à-dire, si on analyse les statistiques, on peut trouver, justement, que ça n'est pas une personne qui arrive à un état, c'est-à-dire, extrême.
00:21:37Donc, finit là, c'est-à-dire, ils ont répliqué, pas une fois, pas deux fois, pas trois fois, ils sont connus.
00:21:42Donc, protection order, oui, mais qu'ils m'ont fait, ils m'ont resté dans la case la même, qu'ils font.
00:21:49Et si je prends, c'est-à-dire, l'exemple de la première victime de 35 ans, c'est-à-dire, finit à être tuée par son époux, devant son enfant, si je ne me trompe pas, en plus de ça.
00:22:00Ma maladie a comme ça qu'ils ont dit, oui, mes enfants, ils ont payé, bah, t'es bien dommage, mes condoléances à la famille, s'ils ont payé, écoute-moi.
00:22:07Ainsi que toute autre victime qui ne finissent subir, ben, ces atrocités.
00:22:14Mais, finit là, quand ils peuvent rester, madame, là.
00:22:20Et deuxième point, aussi, quand la police intervenir, nous connaissons les cas.
00:22:24La police dit comme ça, ok, madame, on a une guerre battée, donc, nous avons le choix, c'est-à-dire, pour mettre tout,
00:22:29ou bien, dans un shelter, ça aussi, c'est possible.
00:22:33Du moment, là, ils peuvent aller, ils peuvent rester avec la famille, là, un des jours.
00:22:37Oui, ils peuvent, évidemment, parler de la famille, là, aussi.
00:22:39Voilà, un, deux jours, donc, après, ils ré-retournent dans la case, là, sans qu'ils t'informent de la police.
00:22:47Fini là, ça, dans le passé.
00:22:48Donc, ça, ce sont des manquements qui, aspects juridiques, qui m'ont pensé au fait que les personnes concernées,
00:22:59les stakeholders concernés, le gouvernement, les ministres concernés, et la forme juridiciaire, surtout,
00:23:05doivent travailler en collectivité pour faire apporter des changements de ce genre-là.
00:23:09Il y a un peu plus carré-carré, comment dire,
00:23:13conditions, liberté conditionnelle, quand il y a une famille pour violences, c'est d'une part,
00:23:18il y a trop, c'est-à-dire, lenteur aussi administrative.
00:23:21Il y a un peu de rassaut, c'est-à-dire, lenteur aussi administrative.
00:23:25oui mais quoi nous est dans un problème quand nous réaliser qu'il y en avait qui tourne en
00:23:32rond qu'il y ait un cycle léa là ça veut dire tu vas l'institution aussi bizarre réaliser qui
00:23:38quand un femme et qu'elle m'arrive india oui je t'aimerais bien ensemble capable de lèvres protection
00:23:44order qui lit quelque chose qui pli tôt on hold n'est pas un de chez ferme mais nous
00:23:50a connu les on hold mais nous a aussi connaît qui tant qui société pas réalisé qui vous connaît
00:23:59qui m'a liéte quand elle a leusement pour tout du monde misère femme et la famille les restes de
00:24:04la famille vous avez un a leusement pour tout du monde même les quelque chose modeste vous avez
00:24:08une place que sa madame avec mes enfants capable d'aller pour qui vous connaît pour moi ce qui
00:24:14est un émotion livré pour tous les camarades ou bien sœurs ou bien maman qui vous connaît
00:24:18dans la famille ou bien camarades que c'est bien violence conjugale c'est posé se dire est ce
00:24:26qu'ils se cravent et ce que moi il difficile parce qu'ils mou connaît que tout peut aller après
00:24:30même les mamas la même mou en courant je moune pour prendre du monde mais beaucoup
00:24:35du monde pour faire l'île facile s'il est ou connaît l'île pour des trois semaines l'île là
00:24:39en a un leusement si oui mais dans maurice mou quoi problème leusement l'autre ça fait
00:24:45qu'ils nous sous-estiment l'île nous sous-estiment l'île et en plus et n'a beaucoup
00:24:51femme qui peine à un travail fixe ou bien suffit pour est tout seul et ça des problèmes là
00:24:56si nous pas faire face à ça mais au comment dire panic button ou tout pour une l'ambulance
00:25:02même à l'olip ou bans panne tourneront qu'au lit je moune fini d'or banca grave parfois
00:25:08perdre l'hôpital et parfois qu'il pire peut perdre la vie et là là nous tous sentis en culpabilité et
00:25:15mou pas quoi culpabilité mise à tomlo famille tout seul l'île aux sociétés en général qui coupable
00:25:22parce qu'il n'est pas possible quitté en a lundi 25 cas de féminicide ou bien féminicide comme
00:25:29on a appelé depuis 2020 est-ce qu'il se définition dans la loi à besoins c'est ce qu'il est la définition
00:25:34légale pendant même une définition légale de féminicide dans la loi ou de la commande
00:25:39pour appeler qu'est-ce qu'ils a enjeu pour amener ça et mêlent parce qu'il n'a dit
00:25:42qu'il n'y a pas de fémicide là il y a un homicide direct avec préméditation oui il y a un homicide oui
00:25:51mais ce qui est important là-dedans c'est l'attire l'attention l'eau on dirait moi mon mette l'emphase
00:25:58l'eau nécessité tout le monde capable d'un leusement et une rente quitte qualité rentre pour le
00:26:03grave c'est pareil même mari qui peut faire violence là si l'île est capable bouser facilement dans
00:26:09l'autre place qui convenable ça aussi que par un certain nombre marie préfère quitter et ça
00:26:17l'est important pour nous garder en tête mais elle a l'autre inégalité qui pas économique mais il
00:26:22est dans ça l'histoire patriarcie qui comme à dire patriarcie l'autre qualité hier aussi maman
00:26:29trouve les plus bons pour mazini comme à la police on dirait un commissaire l'élan assistant commissaire
00:26:35l'élan s'entendant l'élan an chief inspecteur l'élan il a les mêmes jusqu'à caporal et que constable
00:26:43et comme à dire une pyramide comme ça mais sa pyramide là on dirait nous appelé patriarcie une
00:26:49société patriarcale et quand on dit fémicide ou bien féminicide c'est qu'il nous peut attirer l'attention
00:26:55c'est l'eau les faits qui en a ban façon qui femme peut trouver l'amour dans une façon violente et une
00:27:02façon bien l'autre à cause d'une femme ça veut dire à travers ban violique violence dans société en
00:27:08général ban violique violence qui arrive l'amour dans ban place semi semi prothésés comme à ban relation qui
00:27:19dans travail ou bien qui d'orban relation fort mais l'antenne professeur que nous élèves ou bien
00:27:26une relation relation professionnelle et nous aussi gagne l'appli par violence lille à l'intérieur
00:27:33structure familiale mais il prend une forme patriarcale il attire l'attention l'eau là et l'eau là
00:27:40nous trouvait finalement dérive en fait dans mouvement libération femme et dans la lettre séparément dans
00:27:46commencement sa nouveau gouvernement n'outil écrire madame ministre pou en rendez-vous pou dis
00:27:52kit sa manza fait plus général mais ministère n'est plus capable parce qu'il est dans bout bout
00:27:57li en a trois enfants djende et elle a la famille et même dans ce section djende l'ibisa ça ou bien
00:28:07pape en place qui gait patriarces comment quand l'ici ministre droit femmes l'a l'a l'a l'inti en
00:28:16ministre pou protése femme compte ban particularité patriarces mais quand ça n'est sans
00:28:22est comme matière en focus en perdu qui rend lui difficile pour reconnaître ça voilà le débat
00:28:28est lancé nous pour moi qu'elle n'a première pause à mon rappel qui venait en studio anishtar
00:28:32si c'est un et que l'insiculé n'oupait débattre le banca féministe féminicide et également
00:28:38l'eau de cibère renseillement sextortion et tout cela nous prévenu juste après
00:28:41d'un coup là c'est où la voix aussi mélanie
00:28:52je m'y deployed beaucoup, la voix aussi et je vais t' underestiner
00:29:07la voix aussi, ma voix aussi, toi on est, toi on est là 질문.
00:29:12informing, question, la voix aussi au ch Soci omtir il est
00:29:18et je suis venu à la chaleur et la chaleur et la chaleur en concert
00:29:35on
00:29:59on
00:30:0023rd
00:30:00November
00:30:01Sunday
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00:30:04ou grab your tickets now. Namaskar
00:30:34Qu'il y a 4G, 5G au film, plus qu'un million Mauritien faire nous confiance.
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00:33:21Comment dire, la préméditation dedans.
00:33:23Qu'est-ce que vous pensez, Lola ?
00:33:25Tout à fait, Jimmy.
00:33:28Déjà, c'est un acte qui nous condamnait.
00:33:30Ce qui est malheureux, au fait, dedans, c'est qu'il finit dans un certain travail qui finit de commencer et qui bisait de continuer.
00:33:38D'accord ?
00:33:39Nous, pour prendre en considération, par exemple, on connaît dans le passé, Finina, c'est-à-dire un atelier de travail pour faire un ticket et un blocage, que ce soit en termes, c'est-à-dire sur des plateformes comme Facebook, comme WhatsApp, etc.
00:33:52Mais les pannes finaient de continuer sur les autres plateformes.
00:33:56Donc, première solution, si nous avons un dialogue constructif, ce que le gouvernement doit engendrer, c'est-à-dire une sorte d'atelier, de rencontre avec ces personnes, c'est-à-dire Telegram, par exemple, ou autre, c'est-à-dire l'application, c'est-à-dire des documents.
00:34:14Deuxième, au fait, nous ne bisait qu'on, c'est-à-dire qu'on tâcle ça bien, parce qu'il y a une affaire, c'est-à-dire qu'on ne paye que, c'est-à-dire le portage des informations.
00:34:23Et nous connaît, au fait, que l'île Maurice nous très à cœur, par exemple, nous mène liberté, c'est-à-dire de communication.
00:34:28Donc, parce que quand nous arrivons à un dérapage, nous ne pouvons rien que, c'est-à-dire dans le passé, comment nous entendons les expressions comme sniffing, comme ça, donc c'est ça.
00:34:37Mais où commence notre responsabilité et où s'arrête notre responsabilité ?
00:34:42Ces premières affaires qui nous proposent nous-mêmes la question, s'il ne peut pas avoir accès à une plateforme de ce genre de type pour pouvoir partager des informations,
00:34:52à la personne qui a cette conscientisation, le devoir est la responsabilité de savoir qu'est-ce qu'il doit partager et comment est-ce qu'il doit le partager.
00:35:03Aujourd'hui, il y a la possibilité, le savoir-faire technologie est là, il faut savoir, c'est-à-dire qu'il faut qu'il y ait une volonté.
00:35:12Et une volonté proactive, rapide, efficace.
00:35:16Ce n'est pas le manque qui est en absence, c'est la volonté qui est design.
00:35:22Qui fait mon pédié à Lisa parce que dans les autres pays, nous prenons l'exemple de la Chine, d'accord ?
00:35:29Là-bas, tout autre moyen de télécommunication, il n'y en a pas.
00:35:32Nous servis WeChat.
00:35:33Et WeChat est crypté par le gouvernement.
00:35:35Nous allons à côté, beaucoup de personnes voyagent à Dubaï.
00:35:42Dubaï n'est pas capable de faire call, de WhatsApp, de vidéo, de voice call.
00:35:46Le gouvernement contrôle.
00:35:49Qu'est-ce que c'est ?
00:35:50Pour éviter justement qu'il y ait un dérapage.
00:35:53Dans d'autres pays où il y a, c'est-à-dire, dans d'autres pays, beaucoup de pays européens,
00:35:57l'utilisation de Facebook, c'est-à-dire un paramètre, c'est-à-dire, dès qu'il y a un jimoune, met un content,
00:36:07qui est un, c'est-à-dire, droit à nudity ou bien illicite content,
00:36:13lis step-down.
00:36:15Première affaire, il est enlevé directement.
00:36:17Et le, c'est-à-dire l'organisation, pour retracer la personne directement.
00:36:23Et il y a des changes.
00:36:25Qui fait mon reste, nous ne pouvons pas faire lire.
00:36:27Maurice, nous ne pouvons pas faire lire.
00:36:29Nous n'arrives justement l'étape.
00:36:30Nous ne pouvons pas, c'est-à-dire, amplifier, c'est-à-dire, sa main d'action-là.
00:36:34L'autre télégramme, l'événement de l'autre façon.
00:36:36Parce que l'autre télégramme, quand nous parlons plus loin, quand nous parlons analyser,
00:36:39l'événement, c'est-à-dire, comment l'enregistrer sur le télégramme ?
00:36:42L'enregistrer, c'est-à-dire, sur, à travers un numéro pour table.
00:36:46Or, dans le passé, et ça a été dit dans un survey,
00:36:51que la majorité, c'est-à-dire des comptes,
00:36:53que t'énais s'extension, que t'énais en acte,
00:36:57que t'énais portage de ces contenus, c'est-à-dire, malsaines et illégales,
00:37:04le numéro n'est pas enregistré sur la personne.
00:37:07Quand on peut le checker, au fait, on peut le checker que soit,
00:37:09c'est une personne qui n'est plus là,
00:37:12donc, l'infinie est décédée,
00:37:14donc, comment nous rétrasser ?
00:37:16Ou, la personne est, c'est-à-dire, comment je vais dire,
00:37:20si c'est une autre personne qui, un petit pays n'allait,
00:37:23ou bien, un troisième, sorry, nous peut aller comme ça,
00:37:26un vieil du monde sur PCAV, c'est-à-dire,
00:37:29il y en a ce SIM card, il y en a ce SOS,
00:37:30mais c'est ce numéro, au fait, qui peut être retracé,
00:37:33qui peut être utilisé, c'est-à-dire, sur Telegram.
00:37:35Donc, il y a tout ça, même paramètre, là,
00:37:37à prendre en considération technique.
00:37:39Mais nous reviendrons, c'est-à-dire, à la question fondamentale,
00:37:41le PECO, c'est-à-dire, sur le partage des informations,
00:37:44sur la liberté d'expression.
00:37:46Mais il en est, c'est-à-dire, de la responsabilité citoyenne.
00:37:49Il en est, c'est-à-dire, de la responsabilité de la personne
00:37:52pour connaître, au fait, qui te peut pas entaser,
00:37:53comment te peut-être entaser.
00:37:55Et supposer, au fait, qu'il y ait un contenu,
00:37:58c'est-à-dire, illégal, illicite, qu'il ne vienne,
00:38:00c'est-à-dire, sur Facebook.
00:38:03OK ?
00:38:03Facebook, pourquoi qui, pour mettre les down ?
00:38:06Mais aujourd'hui, avec la rapidité qu'on a,
00:38:08nous ne pouvons pas juste screenshot-les,
00:38:09ou bien nous ne pouvons pas juste sauvegarder,
00:38:11c'est-à-dire, le document, ou bien la photo,
00:38:13et nous circule, again.
00:38:16Le contenu.
00:38:18Le mal est refait.
00:38:20Et c'est ça qui fait l'arrivée.
00:38:22Donc, quelle est la solution ?
00:38:24La solution est qu'il, comme Amati dit,
00:38:26est-à-dire, il y a un même paramètre
00:38:28qu'il fait qu'on travaille.
00:38:30Aujourd'hui, lorsqu'on regarde, c'est-à-dire,
00:38:31l'adolescente de 17 ans,
00:38:33je n'ai pas capté l'âge, c'est-à-dire,
00:38:36de son ex-petit ami.
00:38:38Donc, encore mineur.
00:38:40OK ? Encore mineur.
00:38:43La personne mise en cause,
00:38:44il dit que c'est pas l'équipe de faire ça.
00:38:45Donc, nous n'avons pas de parler dans ce...
00:38:47Moi, je ne sais pas...
00:38:48Je ne sais pas qu'il ne peut faire, c'est-à-dire,
00:38:50bien sûr, il est...
00:38:52On va la présumer innocent.
00:38:55Mais moi, le plus loin, au fait,
00:38:56sans qu'il me pointe les doigts XYZ,
00:38:59c'est le paramètre qu'il faut retravailler.
00:39:01D'accord.
00:39:02Il faut, c'est-à-dire,
00:39:03les organisateurs et tous les stakeholders de l'IT
00:39:06doivent avoir une consentisation générale
00:39:10pour venir, c'est-à-dire,
00:39:11mettre des paramètres légaux
00:39:13pour pouvoir, c'est-à-dire,
00:39:14diriger nos jeunes
00:39:16dans qui sont les paramètres,
00:39:18qui sont les sites de capa-valet,
00:39:20qui sont les sites de pas capa-valet.
00:39:22Il est à rappeler, au fait,
00:39:23et ça, moi, pensais, au fait,
00:39:24Mauritien a une fois oublié,
00:39:26que la loi, c'est-à-dire pénale,
00:39:28l'engagement pénal d'un adulte
00:39:30est venue à 16 ans aujourd'hui.
00:39:32Donc, il ne faut pas paramétrer
00:39:34ces mêmes affaires-là.
00:39:35Aujourd'hui, il n'est pas capable
00:39:36de permettre, c'est-à-dire,
00:39:37un jeune, c'est-à-dire,
00:39:38qui est 12 ans, 13 ans, 14 ans
00:39:41et n'a accès, certes,
00:39:44à la technologie, qui est bien,
00:39:46mais il faut savoir l'utiliser.
00:39:48Donc, il y a, c'est-à-dire,
00:39:50la responsabilité de l'enfant,
00:39:51il y a la responsabilité parentale aussi,
00:39:53et il y a la responsabilité de la société.
00:39:55Voilà.
00:39:56Il y a un téléphone qui a envie
00:39:57de poser une question.
00:39:58Nous prenons cette question
00:39:59et puis, écoute,
00:39:59nous essayons de leur seul problème.
00:40:02Issa, bonsoir.
00:40:04Bonsoir.
00:40:05Écoute, moi, je vous.
00:40:06Quand un djumoun,
00:40:08il ne tue sur madame,
00:40:09il y a un criminel.
00:40:11Et il faut montrer qu'il est d'accord
00:40:13qu'il faut faire crime là.
00:40:16Est-ce qu'il y a un djumoun
00:40:17dans la société ?
00:40:19Quand on peut condamner là,
00:40:22il coûte 350 000 roupies
00:40:24pour bananer
00:40:25pour qu'il y ait nourri là.
00:40:27Est-ce que je te connais ?
00:40:29Si un djumoun,
00:40:30il y a un djumoun,
00:40:31il y a un crime.
00:40:33Il y a un criminel.
00:40:34Il y a avoué
00:40:34qu'il y a un fait sa crime là.
00:40:36Faut depa,
00:40:36centaine djumoun,
00:40:37centaine instit Johnson,
00:40:38centaine journalistes
00:40:39qui ne défendent sa djumoun.
00:40:40dja ou pa kapa passe de pandi
00:40:43pandi c'est en la loi bondi
00:40:45ou pa gain droitier
00:40:47la vie en dimoun
00:40:48jamais la loi pandi tu bord bord
00:40:50sa vous êtes rencontré
00:40:51li dja ou pa met la côte
00:40:53la côte ou tôtier li
00:40:55la côte ou tôtier li
00:40:57li pou gain doulè
00:40:58parce que l'in comète un crime
00:41:02un criminel
00:41:02la société l'in dire
00:41:05qui l'in fait sa crime la
00:41:06alo bizadou ni tapive d'ou
00:41:08alo senten zounan li fouda ou non
00:41:10l'innocent non
00:41:11et ken dimoun il comète un crime
00:41:13même li dja ou pa dit
00:41:15qu'il ne fait sa crime la
00:41:16ou bizadouver un avocat
00:41:17bizadouver qu'il est un criminel
00:41:19d'après ton l'enquête
00:41:20qu'il te donne ton coupable
00:41:22alo ban dimoun koumcha
00:41:24fait un référendum
00:41:25ou greté trois corps du moun
00:41:27ou d'accord
00:41:28qui ka ou tôtier
00:41:29ou tôtier ou madame
00:41:32bizadou passe pour la loi pandi
00:41:34la loi pandi
00:41:35jamais ti la loi borbosa
00:41:37la loi lédi
00:41:38d'accord
00:41:38non comprend vous
00:41:39permette à l'inésie
00:41:40d'un élément de réponse
00:41:41oui
00:41:42l'eau question
00:41:43penne des mots
00:41:44gett se problème moral
00:41:47michel Isaac
00:41:48sa michel la
00:41:50kin tui se madame
00:41:52un convain ki ki
00:41:53li coupable
00:41:54kapav
00:41:55li coupable même
00:41:56en a boukou ka
00:41:57kot société
00:41:58en plizou moins si
00:41:59a li coupable
00:41:59me lélai
00:42:00me lélai
00:42:01est-ce ki nou
00:42:01envie
00:42:02vive
00:42:03dan en léta
00:42:04kot gouvernement
00:42:06parmi ban
00:42:07servis civil
00:42:08li emploi ban
00:42:10burro
00:42:10ki zo
00:42:12travail san kutla
00:42:13se puti a la
00:42:14vidjum
00:42:15Alors, on dirait qu'il y a une tendance pour augmenter la violence dans la société,
00:42:23et ne pas diminuer la société.
00:42:25Alors, en général, ce qui nous disait, c'est une situation que nous évitons au maximum
00:42:33sa qualité de violence conjugale et les autres violences aussi dans la société.
00:42:38Toutes formes de violences.
00:42:39Toutes formes de violences.
00:42:40Et ça a un côté important pour comprendre ce qui est patriarcal, parce qu'il y a plus
00:42:47de pouvoir à l'État et à le gouvernement et à la police, plus il y a aussi une structure
00:42:54qui est un parti responsable de cette violence-là.
00:42:58Alors, ça, il y a une affaire juste pour réfléchir, est-ce qu'il y a un petit peu content qu'il
00:43:03reste à côté ou bien il y a une famille ou bien… Ce travail, c'est un bourreau.
00:43:09C'est un bourreau qui rentre, tout ça, c'est un implément pour tout le monde.
00:43:12Il y a une société qui est violente.
00:43:15Là, il y a un temps, ça tourne en rond, qui ne peut pas dire, mais il n'y a plus l'âge.
00:43:21Alors, c'est ce que j'ai pensé, c'est la peine des mots.
00:43:24Oui, nous avons discuté ça beaucoup parce que dans la société moderne, on dirait,
00:43:34surtout avec le réseau social, il y a un problème immense pour la société en général.
00:43:41Il y a plusieurs pays, même l'Australie, le Danemark, si je ne me trompe pas, l'autre
00:43:54pays n'est pas un problème, il y a une technologie tactile, etc.
00:44:00Ça fait un bourreau, il y a complètement l'autre, il y a des affaires là et l'Australie
00:44:04disait même un minière dans certains pays, ils n'avaient pas accès aux réseaux sociaux.
00:44:09Oui, il est vrai.
00:44:10Et on connaît les réseaux sociaux et l'écran là-même.
00:44:13L'écran tactile.
00:44:14Alors, on connaît, même avant le gouvernement asiatique, il y a un top dans sa technologie
00:44:20même.
00:44:21Il y a un top manager autour de la cyber, comment dire, l'usine partout, les autres enfants
00:44:27sont dans l'école avec les bandes et souvent, ils ne sont pas interdits dans l'école, les
00:44:33parents ont interdits dans la case, dans la rue partout, jusqu'à 18 ans parce qu'ils
00:44:38ne peuvent pas danser.
00:44:39Mais nous ne pouvons pas danser, on aime beaucoup danser.
00:44:42Mais une parmi de danser, c'est qu'il y a un publisher, normalement nous disons ça,
00:44:48un publisher, comme un qui tient la gazette, c'est parce qu'il y a deux dans la litre, nous
00:44:52tient la gazette.
00:44:53Il y a des gens qui tient le garant pour ça, la gazette là, pour ce contenu, il y a un
00:44:57rédacteur, elle est là pour ce firme là-même, il y a un directeur, vis-à-vis de l'État,
00:45:04nous responsables pour ceux qui nous publient.
00:45:06Mais quand les réseaux sociaux, les réseaux sociaux sont développés, sa responsabilité
00:45:15publique les nils.
00:45:16On ne peut pas dire qu'il y a un épisode total comme dans la gazette, mais les nils,
00:45:20ils payent la responsabilité.
00:45:22Et je connais beaucoup de gouvernements qui essaient, comment dire, de mettre le contrôle.
00:45:28Mais en même temps, c'est un patron qui sort sa data qui est amassé là.
00:45:33Nouveaux formes de data, il n'est pas tellement de là ou bien là, il est dans le data.
00:45:39Mais ça, là, c'est tellement puissant que le gouvernement gagne une difficulté pour
00:45:44mettre l'autre.
00:45:45Alors, ça, c'est un niveau que nous avons mis l'autre.
00:45:48Un deuxième niveau que nous avons constaté, c'est que les enfants, nous avons une limite
00:45:54à ce accès en général qui entrave ce développement en relation avec le monde autour des autres.
00:46:03L'autre humain, l'autre enfant, on dirait la nature, les outils, tout cela.
00:46:08Toutes les qualités, ça fait pas ce swipe.
00:46:12Et aussi, je me suis posé, quand, à cela, nous voulons nos questions aux enfants, ce exposure,
00:46:22nous avons une autre affaire qui est bien drôle en réseau social.
00:46:27Les comandiennes ne nous pas connaissent pas les affaires privées ou bien publiques.
00:46:32Les comandiennes, elles ont fait qu'il paraît une correspondance dans Facebook,
00:46:36qui est un élément privé, qui est un peu qui est un individu.
00:46:41Mais, comme je dirais, ils ne connaissent pas que le public, là, aussi, il y a accès.
00:46:46Qui est le monde qui est propriétaire de sa software, là,
00:46:52qui est le Facebook ou bien TikTok ou bien Telegram.
00:46:56Il y a une quantité de monde, là-bas, qui a accès à ça.
00:47:00Et, en plus, le gouvernement, il y a la porte arrière pour qu'il y a accès à ça.
00:47:05Back door.
00:47:06Back door.
00:47:07Alors, nous, il y a beaucoup, comme si je dirais, l'espace, ça, pour un adulte, il y a un problème.
00:47:13Mais, pour les enfants, il y a un problème plus grave.
00:47:15Parce que, vous connaissez, nous, l'âge, pour le consentement sexuel, les 16 ans.
00:47:20Ça veut dire, en bas, ça nous fait cause illégalité.
00:47:24Pour un acte sexuel.
00:47:25Oui, oui.
00:47:26Il y a un enfant de 16 ans, 16 ans et demi.
00:47:30Il n'est pas encore un adulte.
00:47:32Allons-nous dans une place bien difficile pour ces enfants-là.
00:47:35D'accord.
00:47:36Ça veut dire, une sexualité encore assez taboue dans la société.
00:47:40Tout le monde n'a pas trop cause leur sexualité.
00:47:42Et tout le monde, il y a de la vie sexuelle, dans un pays-là, presque.
00:47:46Nous tous, il y a de la vie sexuelle.
00:47:49Et, comment dire, il est dans l'ombre.
00:47:53Un peu trop.
00:47:54Et, les gens, ils gagnent ça dans un réseau social, qu'ils ne connaissent pas dans l'ombre ou bien dans la lumière.
00:48:00Et, comment dire, dans un espace qui vacillait.
00:48:03Alors, les enfants sont exposés à ça.
00:48:06Alors, une danger et, côté, augmente les possibilités de suicide.
00:48:12Et, aussi, automutilation, qui est une forme de suicide.
00:48:17L'ange.
00:48:18L'ange.
00:48:19Alors, ça, tous les défis, il y a une responsabilité qui résout ce châle, il y a pour sa qualité des problèmes-là.
00:48:27Il y a une madame qui est avec nous pour le point de question, madame.
00:48:32Oui, bonsoir à tous les invités sur le plateau.
00:48:35Oui.
00:48:36Il y a un programme très intéressant.
00:48:38Mais, maintenant, actuellement, ce qu'il nous fait prendre en considération, c'est qu'il nous fait compter combien qu'il y a.
00:48:44Mais, combien qu'il y a de résoudre ? Moi, mon avis de mon docteur, combien qu'il y a de résoudre ?
00:48:49Cybercrime, qui peut faire ?
00:48:51La population derrière, qui peut faire ?
00:48:54Les instances qui méritent prendre en action, qui peut faire ?
00:48:58Mais, vous continuez à compter, combien du monde qui est une victime de la société, combien du monde qui est une victime de l'enseignement ?
00:49:05Mais, actions, combien est-ce qu'il y a ?
00:49:07Est-ce qu'il y a de publier ? Est-ce qu'il y a de comptabilité ?
00:49:10Le temps chiffre, tant qu'il y a de résoudre, tant qu'il y a de résoudre, tant qu'il y a de résoudre.
00:49:18Mais, non !
00:49:19Il faut juste ce qu'il y a de comptabiliser, comptabiliser le mot, comptabiliser le viol, comptabiliser les médecines.
00:49:24Il ne faut comptabiliser pas.
00:49:25Comment est-ce qu'il y a de résoudre ?
00:49:27Mais, comment est-ce qu'il y a de résoudre ?
00:49:29Quelle solution est-ce qu'il y a de trouver tout ça ?
00:49:31Qui peut faire pour ça ?
00:49:33Cybercrime, qui peut faire ?
00:49:35D'accord.
00:49:37Je ne comprends pas vos questions.
00:49:41Peut-être pour donner un élément de réponse,
00:49:43nous allons écouter ce qu'il y a du bureau du DPP pensé.
00:49:45L'Otus avant le cas-là,
00:49:46M. Doshana Gayani,
00:49:48Senior Assistant Director of Public Prosecution et Responsable Cybercrime Unit.
00:49:52Puis, d'accord, nous allons entretiens mon collègue Rodivira Mundo,
00:49:55dans le cadre de la campagne actuelle,
00:49:57qui est le bureau du DPP pour mener le cyber-henseignement et ses extorsions.
00:50:00à nous écoutes-les.
00:50:03Qui nous motive le bureau du DPP pour faire sa campagne de sensibilisation par rapport à la cybersécurité ?
00:50:09Alors, d'abord, M. Béramadam, merci de nous donner cette plateforme.
00:50:12Le cybercrime unique du bureau du DPP peut trouver une augmentation de 24 ans pour les enfants,
00:50:18qui, parfois, ont seulement 8 ans, qui peuvent être victimes de cyber-harcèlement ou sextortion.
00:50:24Donc, nous allons réaliser nos précauses pour les enfants de l'école primaire.
00:50:28Et sa constat-là fait un interpellement et c'est dans ce cadre-là qu'il nous propose sa campagne de sensibilisation
00:50:34à l'équipe du Cybercrime Unit au bureau du DPP.
00:50:37Et quel est le but principal par rapport à sa campagne ?
00:50:39Le but principal, bon, c'est qu'il a un double objectif lors de cette campagne.
00:50:44D'abord, c'est de sensibiliser à un danger du numérique
00:50:47et, deuxièmement, de partager un outil pratique pour qu'il nous capable de comprendre,
00:50:51détecter et réagir, mais aussi, plus important, peut-être,
00:50:55protéger nous-mêmes contre un cybercrime.
00:50:57Et nous trouvons qu'il, dans cette campagne, il y a une très présence de réseaux sociaux.
00:51:01Par exemple, Facebook, LinkedIn aussi.
00:51:04Il y a beaucoup de « artworks » que nous faisons faire.
00:51:06Il y a des définitions par rapport à des thèmes comme sextortion,
00:51:10comme on fait dire, et des scénarios concrets.
00:51:14Donc, est-ce qu'on explique comment nous faisons cela ?
00:51:16Bon, l'approche, d'abord, c'est qu'on veut vraiment rendre le contenu le plus accessible possible.
00:51:23Parce que cybercrime est non banthème qui est assez technique,
00:51:26comme phishing, spoofing et tout.
00:51:28Donc, nous choisissons pour faire une définition aussi simple et claire que possible,
00:51:32pour que tout le monde comprenne la définition.
00:51:38Ensuite, les scénarios concrets, c'est vraiment pour faire le lien avec la réalité.
00:51:44Pardon.
00:51:45Parce que quand nous trouvons comment un cybercrime est capable d'arriver dans la vie tous les jours,
00:51:50nous sommes plus prêts à reconnaître les.
00:51:52Nous sommes capables d'être plus vigilants.
00:51:54Et aussi, nos envies vulgarisent les réflexes pratiques.
00:51:58Parce que pour nous, il est temps que nous mettons en place un réflexe pour protéger nous-mêmes.
00:52:04Et l'autre aspect de cette campagne, c'est de le faire au trilingue, en créole, en anglais et en français,
00:52:12justement, pour tout ce plus grand nombre, y compris les enfants.
00:52:16Parce que pour nous, nous essayons de rendre le contenu le plus accessible, le plus simple possible pour tout ce plus grand nombre.
00:52:22Donc, il y en a sextantion, il y en a harcèlement, il y en a également l'excroquerie numérique et en ligne.
00:52:29C'est le cas plus fréquent actuellement qui peut monter, vous pouvez dire ?
00:52:32Alors oui, effectivement, la campagne qui nous, au bureau du DPP, dans le Cybercrime Unit, nous peut faire,
00:52:38c'est vraiment ancrée dans le travail qu'il nous peut faire au niveau du unit.
00:52:42Il y a une différence entre les cas qui rapportent à la police et les cas qui viennent dans le bureau, dans le Cybercrime Unit, chez nous.
00:52:49Et donc, ce travail qui nous nous peut faire, il peut refléter la réalité qui nous nous peut trouver.
00:52:54Et c'est une réalité qui, malheureusement, peut-être vraiment douloureuse, parce que nous connaît, nous sommes deux jeunes
00:53:00qui nous mettent face à la vie après qu'ils se mettent victimes de Cybercrime.
00:53:04Donc, pour nous, c'est trop et il est temps d'agir.
00:53:07Et nous trouvons également qu'ils proposent un quiz interactif.
00:53:12C'est quand même une grande première pour le bureau du DPP.
00:53:15En tout cas, vous expliquez-nous un petit peu de l'eau là ?
00:53:17Effectivement, c'est une première.
00:53:19Et le quiz est travaillé avec certains jeunes de Maurice pour le développement, au niveau du développement.
00:53:28Et le quiz est structuré en trois parties.
00:53:30D'abord, il y a une question et une mise en situation.
00:53:32Et quand nous faisons le quiz pour chaque réponse, qu'il est bon ou pas bon,
00:53:36nous pouvons donner une exploitation pour les bonnes réponses.
00:53:39Ensuite, il y a une section pour relever certaines choses qui nous devraient faire attention,
00:53:48qui nous devraient penser peut-être quelque chose là, faire attention.
00:53:53Et la troisième section, ce n'est finalement pas un conseil pratique.
00:53:57Par exemple, il y a un password, passer les mêmes passwords pour tous les comptes.
00:54:02C'est un conseil pratique.
00:54:04Moi-même, moi-même, j'aime mon service.
00:54:06Très souvent, pas une password très similaire si ce n'est pas le même.
00:54:09Donc, l'objectif, c'était vraiment d'informer et de renforcer à travers le quiz,
00:54:16donc pour le rendre ludique et accessible.
00:54:19Et donc, le plus facile possible, c'était le quiz online, sur les réseaux sociaux.
00:54:25Un outil qui aide le public là, être très familier ou qui protéger un peu cliché.
00:54:30Effectivement.
00:54:31Non, parce que quand on nous donne une définition qui est très simple, qui est vraiment à l'essentiel,
00:54:37l'aide à comprendre qu'est-ce que c'est que sextortion, qu'est-ce que c'est que grooming, qu'est-ce que c'est que cyberbullying.
00:54:45Mais aussi, pour nous, il était important pour aller vers le public et aussi, surtout,
00:54:51aller vers nos bandes jeunes, parce que nous avons 82,2% de nos bandes jeunes, d'après un recensement qu'il nous fait récemment,
00:54:58de bandes jeunes qui est entre 5 et 11 ans, qui servit pour Tabard Maurice.
00:55:02Et donc, nous, nous avons choisi cette démarche pour aller aux autres rencontres,
00:55:06que des autres étés, leurs bandes réseaux sociaux,
00:55:08et nous espérons que ça peut être à prendre un bon réflexe d'une façon interactif et rapide.
00:55:14Et ce qui est très positif, c'est qu'en bas, nous avons produit 8 ans qu'il nous fait le quiz,
00:55:20et il nous demande pour refaire le quiz plusieurs fois.
00:55:22Donc, nous nous trouvons ça très positif.
00:55:24Donc, ce qu'on parle à PMC ?
00:55:26Ben, on pense que oui.
00:55:29On va étudier les données un peu plus près maintenant.
00:55:32C'est un bon premier pas, nous qu'on va dire.
00:55:34Merci, c'est gentil.
00:55:36Alors, qui conseille ou demande internet pour justement,
00:55:39part en demande pièce, demande cybercriminel ?
00:55:42Alors, mon papou est dans toutes les réponses et les suggestions,
00:55:47et dans beaucoup, beaucoup de suggestions pour ne pas tomber dans les pièges des bandes cybercriminels,
00:55:52mais peut-être, certaines des suggestions les plus importantes, c'est surtout la vigilance.
00:55:57Nous, très souvent, quand on utilise open wifi dans les malls, etc., dans les restaurants,
00:56:05ça, c'est une des façons que nous sommes capables d'être vulnérables,
00:56:09de par nos cyber security.
00:56:11Ensuite, garde nos bandes settings nos privates, parce que quand nous mettons les publics,
00:56:16il n'y a pas qui est capable d'avoir accès, et c'est ça qui, souvent,
00:56:19les cybercriminels servent pour prendre nos bandes données, nos bandes photos, vidéos,
00:56:24et utilisent ça pour faire que ce soit cyberbullying, ou extension, ou peu importe.
00:56:31Et aussi, et surtout, beaucoup de réflexes qui nous connaissent, mais ne pas mettre en pratique.
00:56:36Donc, peut-être, mettre en pratique nos bandes réflexes qui nous connaissent énormément,
00:56:41et vraiment mettre en pratique pour qu'ils nous capables vraiment de rester en sécurité en ligne.
00:56:45Je pense que, peut-être, ça commence par ça.
00:56:48On peut faire aussi, peut-être, des bonnes idées qui,
00:56:51il y a des images qui permettent de faire des photos, des vidéos,
00:56:54ou bien qu'ils peuvent faire un cyberbullying,
00:56:56ou des plateformes numériques.
00:56:57Pourquoi c'est une idée qui n'est pas impuni ?
00:57:00Effectivement, ce n'est pas impuni.
00:57:03Tout banne action qui nous fait en ligne,
00:57:06capable, être potentiellement, donne-lui à banne poursuite judiciaire.
00:57:11Ce n'est pas parce qu'il y arrive en ligne qu'il n'est pas affecté la vie réelle.
00:57:16Et donc, les textes de loi qui nous est non aujourd'hui,
00:57:19adressent ça, et nous capables, et non banne poursuite,
00:57:22et banne peine sont conséquentes.
00:57:24Et non, c'est-à-dire qu'il y a jusqu'à un million de roupies d'amende,
00:57:29et un terme d'emprisonnement.
00:57:31Donc, c'est une structure légale qui est assez forte,
00:57:38et il est important que nous comprenons que ce que nous faire,
00:57:42enfin, je reprends ce mot-là,
00:57:44ce que nous faire en ligne,
00:57:46il y a une énorme conséquence directe, parfois, dans la vie réelle.
00:57:51Et enfin, qui message ou souhaiter faire passer à la population mauricienne,
00:57:55à travers sa campagne, qui le bureau du WPP fait faire ?
00:57:58Le message, c'est que nous réaliser de plus en plus que
00:58:05un cybercrime n'est pas juste une affaire virtuelle,
00:58:08mais un mot est un effet, et affecter vraiment la vie des personnes,
00:58:13parfois de façon vraiment dramatique.
00:58:15Et donc, nous, penser que la cybersécurité est la responsabilité de tout un chacun,
00:58:21et aussi la solidarité.
00:58:24Ce n'est pas parce qu'en quoi concerne nous,
00:58:28qu'il ne nous a pas à partager une photo, une vidéo,
00:58:31et affecter quelqu'un quelque part.
00:58:33Donc, c'est ça le message, c'est que nous devons être vigilants,
00:58:36et solidaires, et protèges nous-mêmes.
00:58:40Et aussi responsables ?
00:58:41Et aussi responsables, absolument.
00:58:43De toutes les façons, la cybersécurité, c'est notre responsabilité à tout un chacun.
00:58:47En tant qu'adulte, aujourd'hui, quand on ne trouve pas nos enfants
00:58:50qui, peut-être, peuvent être exposés à une contenue inappropriée,
00:58:55que ce soit à l'école, dans un centre médical, à la maison, dans la famille,
00:59:00nous aussi, en tant qu'adultes, nous n'avons un devoir prendre action.
00:59:05Parce que nous aussi, nous n'avons cette responsabilité-là.
00:59:08Nous les uns protègent les uns les autres.
00:59:12Voilà, bien sûr, des explications claires.
00:59:15L'impide est simple de Doshan Nagaian,
00:59:18un des meilleurs officiers au niveau du bureau du DPP.
00:59:21Nous prenons l'occasion, cause l'eau là, juste après la pause pub.
00:59:24Entre-temps, juste me signaler à notre mobiliste
00:59:26et qui, le prix de l'essence, a baissé de 2,75 € le litre.
00:59:31Il est passé de 61,20 € à 58,45 €.
00:59:35Mais par contre, le prix du diesel reste inchangé.
00:59:39Pause pub, la suite, c'est juste après ceci.
01:00:05Nous, mighty content, nous, mighty content.
01:00:09Tout, tout, tout football au DSTV Stream pour 6,9,199 €.
01:00:13Normal, tout fin de football pour mighty content.
01:00:16FG du pack pour DSTV Stream, Compaq Plus,
01:00:18et Eulier paye 1,500 € pour moi.
01:00:20Ou pour payer 9,199 € pour moi.
01:00:22Et ça a abandonné des ans avant l'orbite soufflé fini.
01:00:25Dégasez, profite de sa promo.
01:00:27DSTV Stream, l'allô, mighty.mu ou call 890D.
01:00:30Conditions applicables.
01:00:35Hello, Mauritius.
01:00:48Hello, Mauritius.
01:00:49I am Kailash Khair.
01:00:50I am Kailash Khair.
01:00:51I am with my band Kailash Khair.
01:00:52I am with my band Kailash Khair.
01:00:53On is 23 Ventre,
01:00:59You very good Kailash Khair.
01:01:00Hello Mauritius,
01:01:01my Kailash Khair hون.
01:01:02Alors, je suis venu au 23 novembre du 23 novembre dans un pays très proche, très proche, très proche.
01:01:21Voilà, ce qui m'a retenu dans l'intervention de Mme Gayane, c'est qu'il y avait dit depuis 8 ans, il n'a pas enfant, l'eau, les réseaux sociaux, une victime.
01:01:29Et puis, l'initiative, tout à l'heure, tu t'en as sa auditeur, tu peux demander qui peut faire, madame, tu peux demander qui peut faire, qui solution, qui c'est le programme, qui a mené, qui veut se lancer par rapport à une réaction.
01:01:42Alors, je trouve que l'initiative du DPP est une excellente initiative, certes, mais elle n'est pas complète.
01:01:49Ok, donc, ce qu'il faudra venir compléter, moi, tu finis d'y dire au tout début, donc, venir avec ce framework de tout bon support de l'internet.
01:01:59Donc, là, moi, c'est-à-dire les tours opérateurs qui existent, Amitel, Mauritius, Telecom, Chili.
01:02:03Oui, parce qu'il me rappelle au fait, tu finis là, et après moi, tu travailles, pour mettre le contrôle sur l'accessibilité d'internet pour nos enfants.
01:02:15Donc, il faut faire sa vie dans la réalité, et il faut être capable de contrôler.
01:02:18Donc, ça, c'est d'une part. En deuxième, pour venir faire, c'est-à-dire, en ajout avec ce que le DPP est en train de faire, c'est venir remettre en place.
01:02:28Malheureusement, dans le système éducatif, aujourd'hui, nous, la majorité de nos établissements scolaires, on est focus uniquement académique.
01:02:37On est en train d'oublier, justement, le savoir-faire et le savoir-vivre.
01:02:40Donc, il faut justement réinsérer. Pas une période de 45 minutes, peut-être deux périodes à trois périodes, je ne saurais vous dire.
01:02:47Et utiliser ces périodes, que ce soit en primaire, parce que, si je comprends bien, la personne du DPP, Mme Gaïan, a précisé que même les enfants de 5 ans sont des appâts, et ce sont des appâts faciles.
01:03:05D'accord ? Donc, aujourd'hui, et surtout, on va dire qu'on est en train de vivre dans une société moderne.
01:03:10Pour nous, avant, dans un certain temps, la sexualité était tabou, mais aujourd'hui, je suis désolée, la sexualité n'est plus tabou, et ce n'est plus tabou aussi, surtout pour la génération des étudiants, ou surtout pour la jeunesse.
01:03:22Donc, il faut emmener, c'est-à-dire, ces sujets, et les traiter, justement, cru, comment dire, dans l'école.
01:03:33Dans l'école même, comment c'est, et comment, c'est-à-dire, faire bonne session d'awareness.
01:03:38Non pas, c'est-à-dire, parler et devier, non. Il faut venir face à la réalité, faire face à la réalité du jour.
01:03:43Donc, arrêter caché, c'est-à-dire, pour les yémenes, comment dire, les yémenes jolies, c'est-à-dire, voilà, boîte de coton, ou whatever it is, n'est plus existé, ça, il faut aller, cri, cri.
01:03:53Plus il y a au fait qu'il y a les enfants d'aujourd'hui, c'est pour qu'on prend plus la réalité d'aujourd'hui par rapport à certains adultes.
01:03:59Oui, mais quoi, ça est bien, bien important, pour qu'ils peuvent causer leur sexualité d'une façon ouverte.
01:04:06Les enfants, entre eux-mêmes, et avec les adultes, l'école est idéale pour faire ça.
01:04:12Mais aussi, moi, je suis content.
01:04:14Peut-être juste avant, parce qu'on oublie, peut-être même si nous finis avec ces affaires si bien en ce moment-là,
01:04:21nous faisons que les enfants de 14 ans qui ne suicident les de un pont flyover à Paille, juste après.
01:04:30Oui, moi, je suis content aussi d'un conseil à des enfants et des enfants qui peuvent écouter.
01:04:38C'est important pour discuter des affaires qui m'ont servi le réseau social.
01:04:44Ça veut dire qu'il y a des affaires pour avoir des messages qui sont privés, ou bien des affaires semi-privés, semi-publics, comme Facebook, etc.
01:04:53Comme je disais, ils sont capables de discuter ouvertement à qui point le public et à qui point le privé, pour être conscient.
01:05:00Et il est là pour imaginer qu'il y a des affaires qui sont impliqués dans les affaires sexuelles qui volontairement nous mettent,
01:05:13ou bien permettent qui qu'ils mettent, il y a des façons qu'ils peuvent servir, dans une façon pour faire beaucoup de choses contre eux-mêmes.
01:05:21Un, c'est, on dirait, des gens qui partagent ça avec eux, ils sont capables de s'encher, dans la vie, ils sont capables de s'encher, ils sont vexés, ils sont capables de s'encher.
01:05:33Ou bien, les autres gens peuvent avoir accès dans les affaires qui croient qu'ils comprennent les privés.
01:05:40Alors, ils sont capables de s'encher, et de s'encher peut-être avec un des gens qui vous connaissent, qui ont un des bananes plus d'expérience.
01:05:49Prends ça à courage pour s'encher.
01:05:51Quand ils s'encherent, ils ne sont pas nécessairement des réponses, mais ils sont ouverts pour réfléchir d'une façon naturelle.
01:06:00Ça, c'est une affaire.
01:06:01Deuxième affaire, le plus important en termes de sauver la vie dans les enfants,
01:06:07Si jamais ça arrive ou, ou trouve ou dans les cas,
01:06:11Quand j'irai, ou en exemple, 13 ans, 14 ans,
01:06:14Et qu'il y a un bout de film de ou qui ont été nette ou pas les papas trouvées ou quoi les putous,
01:06:19Qui ça fait ou pas les personnes connaissent, mais ils finissent arriver.
01:06:25Mais dans un certain sens, même mon pédia n'a pas fait un film ou bien photo comme ça tant qu'ils sont capables.
01:06:33Mais si ils finissent arriver, ils ne sont pas la fin du monde.
01:06:37Il n'est pas la fin du monde.
01:06:39Ils réalisent ça aussi.
01:06:40Ils sont capables de discuter de ça aussi.
01:06:43Ils ne sont capables de discuter de pas jusqu'à ce qu'ils sont suicidés.
01:06:46Mais là, nous pouvons réaliser qu'ils n'ont pas,
01:06:51Pas seulement la vie qui vient en question,
01:06:54A cause d'un erratisme qu'ils font.
01:06:57Et tout le monde est dans l'écho, tout le monde est dans la vie sexuelle,
01:07:01Il n'est pas, comment dire, quand il finit d'arriver,
01:07:05Dans ce moment-là, il est dédramatisé.
01:07:08Avant l'arrivée, peut-être, il est dédramatisé.
01:07:12Il nous a fait dans des sens.
01:07:13Il nous a réalisé ce danser.
01:07:15Quand il finit d'arriver, il nous a tout connu qu'il,
01:07:19Enfin, il est embarrassant, il est grave, qu'il a fait.
01:07:23On appelle ça un peu la banalisation.
01:07:25Oui, pas extrêmement, mais une acceptation avec une banalisation.
01:07:29Et l'eau, là, je suis tout à fait d'accord avec mon collègue.
01:07:32C'est ça, manquement, là, justement,
01:07:33Quand l'éthupédiate, elle est la mortalité société,
01:07:35Il est bien évolué dans un sens, là, justement, l'acceptation.
01:07:39Quand elle a fait nous flotter.
01:07:40Oui.
01:07:41Et souvent des cas qui font une parole retournée,
01:07:47Parce qu'il y a un jugement.
01:07:48Ou bien, il y a un point de causer.
01:07:50Donc, et ça, c'est l'état d'esprit qui est bien,
01:07:53Qu'on est censé, qu'on est bizarres au travail.
01:07:55Donc, oui, il finit d'arriver en cas.
01:07:57Donc, pas réajouter, comme on le dit,
01:07:59Pas remettre de l'huile en cours, l'eau sur ce qui se passe.
01:08:03Mais essayer de trouver, comme on le dit,
01:08:05Une solution pour qu'il y ait à travailler ensemble.
01:08:09Et là, peut-être, me donner un chiffre, peut-être, Lindsay, pour réagir.
01:08:11C'est meilleur, seulement, et suicide chez les Aïns.
01:08:13C'est 138 vies perdues en 2024.
01:08:16Déjà, 102 et 143 tentatives en 2025.
01:08:20Et là, peut-être, qui mourissent, face à la montée du mal-être juvénile,
01:08:26Qui fait un mot que ça, pour un petit fait 14 ans,
01:08:28Montre-lui une fly-over à Paris, et c'est tout le monde.
01:08:31Il y a un problème, là, les amis.
01:08:32Oui, il est bien grave.
01:08:34Mais, encore une fois, je ne connais pas à qui point le peut aggraver.
01:08:39Mais, je gagne l'impression qu'en général, dans la société,
01:08:43Ça, mal-vivre, comme on appelle le, Jimmy,
01:08:47On dirait une forme d'épression, presque.
01:08:51Il peut aller avec nos sociétés, pour le moment.
01:08:55Dans Maurice et ailleurs aussi, hein, mais laisse-nous cause pour Maurice.
01:08:59Ça veut dire, mon père ne trouve pas du vent pour lui imaginer sur l'avenir.
01:09:03Alors, il y a un enfant qui n'est pas capable de imaginer
01:09:06Qui peut dormir dans, s'il y a un 16 ans, dans 5 ans,
01:09:10À peu près, quand il peut être.
01:09:12Il n'y a plus de possibilités pour imaginer.
01:09:15Ça veut dire, un emploi pas stable et pas imaginable.
01:09:20Et nous avons des qualités, comme on peut dire,
01:09:22L'hystérie, qui tout le monde peut faire face.
01:09:26Une, c'est, oh, il y a une population vieillissante.
01:09:31Il n'y a pas assez de travailleurs pour faire travail,
01:09:34Pour payer sa banne pension, là.
01:09:36Un côté, nous avons ça, une panique nette,
01:09:38Tout le monde rentre là-dedans nette.
01:09:40L'autre côté, c'est, je dis,
01:09:42L'AI peut venir.
01:09:43Il n'y a pas de travail pour personne,
01:09:46Pas besoin de travailler.
01:09:47Mais si tout le travail peut faire,
01:09:50Et nous avons un contrôle social,
01:09:51Ce profit, mais tant mieux.
01:09:54Mais la question, je dis,
01:09:56Qui tout le monde a besoin de mettre dans le monde, là,
01:09:59C'est,
01:09:59Kod tout sa sirplis, tout sa profit,
01:10:02Tout sa lausant en plis, là,
01:10:04Pe aller dans nos sociétés.
01:10:06Si nous gèt ça,
01:10:08L'e la nous ka faire progrès.
01:10:10Nous bizèr gèt sociétés,
01:10:11Dans un façon,
01:10:13Ki fer en a autant inégalité.
01:10:16Et mou papi,
01:10:16Kod zis ant,
01:10:18En djoumoun ki tous minimum vital,
01:10:21Koma dire, salaire minimum,
01:10:23En tjoumoun,
01:10:23Pizki 20,000 roupi,
01:10:24Et ban djoumoun ki nou pe kwa,
01:10:26Koma djoumoun,
01:10:27Minis et député,
01:10:28Kod zout moyen,
01:10:28Kapab 200,000,
01:10:30Mou pe koz djoumoun ki gèng,
01:10:31Des millions,
01:10:33Par mois,
01:10:35Dans o dividan,
01:10:36Sa an milliarder,
01:10:37Kin souse d'un pays.
01:10:39Li pa acceptab,
01:10:40Sa an milliarder,
01:10:41Sa an milliarder,
01:10:41Sa an milliarder,
01:10:43Ndi souse d'un pays,
01:10:43Koma djoumoun ki minis,
01:10:44Pérod,
01:10:46Ndi souse d'un pays,
01:10:48Pou saban li,
01:10:48Mais normal,
01:10:49Mou e la corruption.
01:10:50Ndou nuk konaj,
01:10:51Foumi la dam,
01:10:51Foumi,
01:10:52Bize arrêt de fer,
01:10:53Foumi.
01:10:53Sa an milliarder,
01:10:55Ndi souse d'un pays,
01:10:56Mette en question,
01:10:57Sa inégalité,
01:10:59Ante saban,
01:10:59Sipiris,
01:11:01Et la masse,
01:11:02Mou.
01:11:02Et là,
01:11:03Mou,
01:11:03Pou proposet,
01:11:04L'on sa question,
01:11:06L'on sa question,
01:11:09De,
01:11:09de, bien sûr, abus qui n'ont pas les réseaux sociaux.
01:11:14C'est souvent l'anonymat,
01:11:16de la servir les réseaux sociaux pour faire du mal aux autres.
01:11:18A nous écouter ce que l'adjoint au ministre Anishtab Abouram
01:11:20fait nous dire cette question-là.
01:11:23Peut-il dire la liberté d'expression, oui, mais responsabilité.
01:11:27Je pense que c'est un cas de trop, encore une fois.
01:11:30Ça a fait le télégramme là.
01:11:31C'est une affaire qu'ils ont adressé.
01:11:33Et je crois que le ministre Ramdouhel
01:11:35est en cause de l'eau et de l'âge.
01:11:37Il y a une bonne mesure qui nous prend
01:11:40par rapport à ce genre de problème.
01:11:43Mais ça soulève un autre type de concern.
01:11:47Parce qu'il y a des audits qui ont réalisé
01:11:49qu'en fin de compte,
01:11:51il y a un abus de l'utilisation des réseaux sociaux.
01:11:56Parce que certaines personnes ont servi
01:11:59les réseaux sociaux, ils ont mal servi.
01:12:01Et ils ont servi d'une telle façon
01:12:04qu'ils ont réalisé qu'ils ne peuvent pas atteindre
01:12:06à la vie privée des autres du monde.
01:12:09Donc, nous dire la liberté d'expression,
01:12:11bien bon, nous toujours énalis,
01:12:12nous pouvons tout le temps énalis
01:12:13parce qu'ils nous donnent l'état de droit
01:12:14et non, les droits humains
01:12:16qui deviennent respectés.
01:12:17Mais il ne faut pas oublier,
01:12:18ils deviennent balancés aussi
01:12:19avec le respect de la vie privée des autres.
01:12:22Eh bien, les autres droits qui vivent ensemble.
01:12:24Voilà, réaction, Anishtababouane,
01:12:29Anishtababouane,
01:12:30par rapport à Anishtababouane.
01:12:32Déane, que je salue d'ailleurs.
01:12:36Oui, elle a raison.
01:12:38Elle a raison, non ?
01:12:39Comment nous dire ?
01:12:40C'est la responsabilité de tout un chacun.
01:12:43Comment nous dire ?
01:12:43Ce sont des mots qui nous répétaient
01:12:44tout au long de l'émission.
01:12:47Mon poil un peu plus loin,
01:12:48l'on s'en cas de l'adolescente
01:12:50qui malheureusement a perdu la vie
01:12:51avec un suicide, 14 ans uniquement.
01:12:55Malheureusement, aujourd'hui,
01:12:56la société mauricienne,
01:12:58en globalité, ne peut souffrir.
01:13:00Qu'est-ce que ça ?
01:13:01Parce que la cellule familiale
01:13:04n'est plus stable.
01:13:05Donc, ils y ont en réalité des choses.
01:13:07Aujourd'hui, les deux parents
01:13:09sont en train de travailler
01:13:10dans la majorité, c'est-à-dire des foyers.
01:13:12Ce qui a amené que les parents
01:13:14n'ont plus en allaitant.
01:13:16Ils n'ont plus en allaitant.
01:13:17Et ça, c'est ce manquement-là, au fait,
01:13:19qui commence cette maladie.
01:13:22Il a commencé là.
01:13:23Donc, ça manque de temps-là.
01:13:25Et ils n'ont pas assez de temps
01:13:26pour qu'ils soient capables
01:13:27de guérir leurs enfants.
01:13:29Je suis sûre et c'est à tard, au fait,
01:13:31peut-être que si nous tu pouvons faire,
01:13:32c'est-à-dire un rétro sur la jeune fille,
01:13:35peut-être qu'elle a eu,
01:13:36c'est-à-dire,
01:13:37une fin passe peut-être,
01:13:38un signal
01:13:40qui n'est pas un récit,
01:13:41c'est-à-dire détecté, malheureusement.
01:13:44Et encore une fois,
01:13:46donc, nous réagir trop tard.
01:13:49Donc, la question est que faire.
01:13:52Je dis que tous les parents
01:13:54peuvent faire travail,
01:13:55parents peuvent souffrir,
01:13:57peuvent sacrifier pour l'avenir,
01:13:59c'est-à-dire leurs enfants.
01:14:00Et il est très chagrinant, au fait,
01:14:02c'est-à-dire qu'ils peuvent sacrifier,
01:14:04qu'ils peuvent travailler,
01:14:05qu'ils peuvent amener,
01:14:05c'est-à-dire le bonheur pour leurs enfants.
01:14:07Et malheureusement, au fait,
01:14:08c'est leurs enfants qui perdent,
01:14:09c'est-à-dire d'automne avant,
01:14:10c'est-à-dire les parents.
01:14:11Donc, c'est très déchirant, ça.
01:14:12C'est-à-dire qu'il y a des affaires qui nous ont remoré,
01:14:14peut-être là, tous les démons,
01:14:15que nous avons dit ça,
01:14:16souvent, nous avons dit qu'on arrive,
01:14:18qu'on a dit qu'on a dit qu'un féminicide,
01:14:19ou qu'on a dit qu'un jeune-là suicide,
01:14:22à cause de telles affaires.
01:14:23Mais nous avons dit qu'on a dit qu'il est venu.
01:14:26Qu'on a dit qu'il est venu.
01:14:28Il est plus désagréable et plus blessant,
01:14:30ignorant la douleur de la famille,
01:14:32dans ce moment-là,
01:14:33ou bien de la victime,
01:14:34ou bien de la protagoniste.
01:14:35Et ça se fait en toute impunité
01:14:40au nom de la liberté d'expression.
01:14:42Cette qualité de liberté d'expression-là,
01:14:45les bizarres,
01:14:46il y a une liberté d'expression,
01:14:47comme Anish Tashirom,
01:14:49Anish Tashababuram,
01:14:49c'est nous,
01:14:50mais quand même,
01:14:51il y a une issue.
01:14:53Vous comprenez ?
01:14:53Il y a un problème,
01:14:55mais il y a un commentaire qui est là,
01:14:57mais il est inacceptable.
01:14:58Mon pensée, au fait,
01:15:00les médias aussi ont une certaine responsabilité,
01:15:02j'ai mis le bon fait qu'ils nous abordent,
01:15:04c'est-à-dire que ces sujets
01:15:04et dans ces cas,
01:15:05on va dire,
01:15:06de ces publications
01:15:07qu'ils trouvaient au fait
01:15:08qu'ils nous amènent à un,
01:15:10on m'appelle un troll,
01:15:11qu'ils publient,
01:15:12c'est-à-dire avec un commentaire,
01:15:14c'est-à-dire de bullying,
01:15:15sexiste,
01:15:16souvent des cas,
01:15:17ou n'importe qui,
01:15:19qu'ils a faire.
01:15:20Donc,
01:15:20mon pensée, au fait,
01:15:21que le publicateur du journal en question,
01:15:23que ce soit,
01:15:24c'est-à-dire,
01:15:25pointé,
01:15:26qui est de droit,
01:15:27ni du droit aussi,
01:15:29ne capave limite,
01:15:30c'est-à-dire le comment.
01:15:31Nous,
01:15:32nous,
01:15:32nous pensons dans certains,
01:15:33c'est-à-dire publications,
01:15:34et c'est les limites,
01:15:35c'est-à-dire les commentaires carrément,
01:15:37pour ne pas,
01:15:38justement,
01:15:39infliger plus de douleurs.
01:15:40Parce que,
01:15:40again,
01:15:41Satifila,
01:15:43s'il ne m'a pas trompé,
01:15:43avant qu'il y ait décédé,
01:15:44donc l'étianko vivante,
01:15:46elle a été hospitalisée.
01:15:48Donc,
01:15:49et,
01:15:49donc,
01:15:50on ne sait toujours pas
01:15:52quelle est la raison,
01:15:53justement,
01:15:53du suicide qui est passé.
01:15:55Peut-être qu'elle a emporté son secret avec elle.
01:15:57Donc,
01:15:58la question est de savoir
01:15:58quels sont les signaux
01:15:59qu'il nous nous a fait
01:16:01en tant que citoyen.
01:16:02ne pas pécho,
01:16:03c'est-à-dire x, y, z, là,
01:16:05ne pécho,
01:16:05tout là.
01:16:06Et là,
01:16:06c'est toutes les personnes
01:16:07qui sont concernées.
01:16:09Qu'il y ait petit,
01:16:09qu'il y ait grand,
01:16:10qu'il y ait ministre,
01:16:11qu'il y ait pas ministre,
01:16:11qu'il y ait député,
01:16:12qu'il y ait simple citoyen,
01:16:15qu'il y ait maire,
01:16:16père,
01:16:16ou qu'importe,
01:16:18tout le monde est concerné
01:16:19par ces problèmes-là.
01:16:20Oui,
01:16:21moi,
01:16:22quand j'ai un commentaire
01:16:23dans le blog
01:16:25qui allait en bas
01:16:26dans la presse écrite,
01:16:29c'est un petit bizarre,
01:16:30j'ai un editing
01:16:31pour les affaires
01:16:31qui est blessant.
01:16:33Moi,
01:16:33je trouve un niveau,
01:16:35un espèce de commentaire
01:16:37sadique,
01:16:37carrément,
01:16:39manque d'empathie totale.
01:16:42Et parfois,
01:16:43même l'on a une banalité,
01:16:44là,
01:16:45nous avons un cas grave,
01:16:46là,
01:16:47il est un plus grave,
01:16:48mais même
01:16:49un commentaire ordinaire.
01:16:50Ordinaire.
01:16:51Et aussi,
01:16:52parfois,
01:16:52il y a un fausse nom,
01:16:53par exemple,
01:16:54dans un journal,
01:16:56quelqu'un,
01:16:57il y a un service
01:16:57qui est un homme
01:16:58qui est un homme
01:16:58qui est un homme
01:16:59qui est assez blessant,
01:17:02quelqu'un,
01:17:03dans un blog
01:17:05ou dans la gazette.
01:17:06Et dans un form
01:17:07au rédacteur,
01:17:08il n'y a aucune réponse.
01:17:09Il n'y a aucune réponse.
01:17:11Alors,
01:17:11nous n'y a pas de suivre
01:17:12les lois
01:17:12qui est un service
01:17:13non,
01:17:14est-ce qu'il y a un
01:17:14djoumoun qui est un même nom,
01:17:16est-ce qu'il y a une
01:17:16telle enquête
01:17:17qui est un peu réussie,
01:17:18ou whatever.
01:17:19Mais,
01:17:20il y a une affaire bien,
01:17:22comment dire,
01:17:23il paraît
01:17:24être un quelque chose
01:17:26en de haut contrôle social
01:17:28à cause djoumoun
01:17:29qu'on est anonyme.
01:17:30Et,
01:17:31en partie,
01:17:31beaucoup de ces commentaires,
01:17:32il y a un peu
01:17:33un anonyme.
01:17:34Il y a un djoumoun
01:17:35qui est un fausse nom.
01:17:37Alors,
01:17:37il y a une certaine
01:17:39lâcheté
01:17:39qu'il y a une affaire
01:17:41face-à-face
01:17:43qui est capable
01:17:44de dire
01:17:44soit dans un message
01:17:48ou bien
01:17:49dans un post.
01:17:50comment dire,
01:17:51il y a une affaire
01:17:52qui est capable
01:17:53de faire
01:17:53des affaires
01:17:54qui est normalement
01:17:54face à face.
01:17:55Ça,
01:17:55il n'y a pas pour faire.
01:17:57Mais,
01:17:57je ne connais pas
01:17:58une société
01:17:58pour contrôler ça,
01:17:59mais il y a beaucoup,
01:18:00beaucoup,
01:18:00beaucoup de défis.
01:18:02Mais,
01:18:02ce qui est important,
01:18:04c'est qu'il y a une affaire
01:18:05qui est capable
01:18:07tout le temps
01:18:07de faire
01:18:07de faire de faire de faire.
01:18:08Même quand on est
01:18:09dans un bus
01:18:09ou bien un métro,
01:18:11il vaut mieux
01:18:11de faire de faire
01:18:11de faire de faire
01:18:12de faire de faire de faire.
01:18:12pour ne pas trouver
01:18:16l'écran-là
01:18:18plus il vaut la peine
01:18:19de causer.
01:18:21Du coup,
01:18:21tu as le voyage
01:18:22pour la table
01:18:22de l'homme.
01:18:23Oui,
01:18:23on trouve trois
01:18:24du monde
01:18:24pour manger
01:18:25ou pour boire
01:18:25un café ensemble
01:18:26et tous les trois
01:18:27pour avoir
01:18:27un bout
01:18:28de faire de faire.
01:18:30C'est bizarre,
01:18:31c'est bien,
01:18:31comme on dit
01:18:32un mot nécrophile,
01:18:34amoureux
01:18:35avec des affaires
01:18:35qui sont inertes,
01:18:36qui sont morts.
01:18:38Alors,
01:18:39nous,
01:18:39il y a une fausse
01:18:40forme narcissiste,
01:18:41sadiste,
01:18:42tous les affaires
01:18:43qui existent
01:18:43dans un psychologue
01:18:44qui connaît,
01:18:45parce qu'ils connaissent
01:18:47et malheureusement,
01:18:49les gens
01:18:50qui sont zen
01:18:51et qui manquent
01:18:51de l'expérience
01:18:52sont bien exposés à ça.
01:18:55Alors,
01:18:55je crois que
01:18:55la première chose
01:18:56c'est que les gens
01:18:56disent
01:18:57ce qu'ils sont
01:18:57dans les affaires,
01:18:58les camarades
01:18:59et les autres du monde
01:19:00et aussi
01:19:00les gens
01:19:01qui sont capables
01:19:02d'analyser
01:19:03les affaires
01:19:03quand ils vivent
01:19:04graves après.
01:19:05Alors,
01:19:06la société
01:19:07a un grand problème
01:19:08pour trouver.
01:19:09Donc,
01:19:10un autre,
01:19:10un qui se dit
01:19:11nous,
01:19:11tous les étudiants
01:19:12sans l'émission,
01:19:13mais nous n'avons pas
01:19:13terminé sans l'émission,
01:19:14sans nous penser,
01:19:15surtout quand nous pensent
01:19:16le premier,
01:19:16le cas
01:19:17de
01:19:17le lien
01:19:17de la drogue
01:19:22jeudi et que c'est
01:19:24le lieu de violence
01:19:25qui amène
01:19:25de la société.
01:19:27Il est malheureux
01:19:28de dire
01:19:29et je crois
01:19:29au fait
01:19:29que si nous
01:19:30l'amènent
01:19:30statistiques
01:19:31et monsieur
01:19:31il s'attend
01:19:32au fait
01:19:32que la majorité
01:19:33des statistiques
01:19:33qui pouvent
01:19:34prouver
01:19:34au fait
01:19:34que tout cas
01:19:35c'est-à-dire
01:19:35de meurtre,
01:19:36de violence
01:19:37qui finissent
01:19:37d'arrivée
01:19:38ont dû être liés
01:19:40directement
01:19:41ou indirectement
01:19:42à un cas de drogue.
01:19:43Il est malheureux
01:19:44au fait de constater
01:19:45au fait
01:19:45que c'est un temps
01:19:47comme a même
01:19:48le ministre junior
01:19:49Anishla Baburam
01:19:50fait mentionner.
01:19:51oui,
01:19:51on a un certain sens
01:19:52c'est-à-dire
01:19:53de la liberté
01:19:53mais cette liberté
01:19:55a tendance
01:19:55c'est-à-dire
01:19:56à trop
01:19:56c'est-à-dire
01:19:57comment je vais dire
01:20:00s'exciter
01:20:01un peu
01:20:02dans ces derniers temps.
01:20:04Donc
01:20:05oui,
01:20:06on respire
01:20:06la liberté
01:20:07peut-être grâce
01:20:08certains vont le dire
01:20:09au fait
01:20:10juste au changement
01:20:11c'est-à-dire
01:20:11qui finir
01:20:11mais
01:20:12liberté
01:20:13à qui point ?
01:20:14Aujourd'hui
01:20:15je ne sais pas
01:20:15si nous pouvons constater
01:20:16au fait
01:20:17lorsqu'on regarde
01:20:17c'est-à-dire
01:20:18les réseaux sociaux
01:20:19donc on m'a ouvert
01:20:20pour un tabl
01:20:20un gramata
01:20:21où on va aller
01:20:22un gramata
01:20:22où on trouve un accident
01:20:23où on va aller
01:20:24midi où on retrouve
01:20:24un autre accident
01:20:25où on réveille
01:20:25et on retrouve
01:20:26un autre accident
01:20:27encore.
01:20:27Et ce ne sont pas
01:20:28des accidents
01:20:28qui comme à dire
01:20:29banales
01:20:29c'est un accident
01:20:30que finir
01:20:30c'est-à-dire
01:20:31le terrain déviré
01:20:32ou bien le terrain
01:20:32dérapé
01:20:33ou finir
01:20:34un même mot d'homme
01:20:35comme à dire
01:20:35accident
01:20:36comme à dire
01:20:36après
01:20:37il ne se passe
01:20:37à deux
01:20:37trois fois
01:20:37pour un jour.
01:20:39Et
01:20:39la violence
01:20:40la drogue
01:20:42peut amplifier
01:20:44mais d'une manière
01:20:46c'est-à-dire
01:20:46extraordinaire
01:20:49dans le sens
01:20:50négatif
01:20:51c'est-à-dire
01:20:52aujourd'hui
01:20:52la sécurité
01:20:53même
01:20:54du citoyen
01:20:55est à se demander
01:20:56est-ce qu'ils ont
01:20:56sécurité
01:20:57au fait
01:20:57dans nos propres pays
01:20:58nous n'est plus capables
01:21:00c'est-à-dire
01:21:01moi je l'ai vécu
01:21:02je l'ai vu devant moi
01:21:03finir un accrochage
01:21:04c'est un petit accident
01:21:06mais qui fait
01:21:06nous n'a
01:21:06l'assurance
01:21:08nous n'a l'assurance
01:21:09tiens
01:21:09il n'y a l'amiable
01:21:10mais non
01:21:11j'ai vu
01:21:11c'est-à-dire
01:21:11la personne
01:21:12il n'y a
01:21:12coup de sable
01:21:13mais
01:21:15quand nous
01:21:15nous n'avons pas
01:21:16les autres
01:21:16et pourtant
01:21:17nous n'avons pas
01:21:17c'est dans ça
01:21:17donc
01:21:18mal plus loin
01:21:20au fait
01:21:20les mauriciens
01:21:21connus
01:21:21au fait
01:21:21tellement une île
01:21:23très sympathique
01:21:24qui est connue
01:21:25c'est-à-dire
01:21:25au niveau international
01:21:27et nous-mêmes
01:21:28mauriciens
01:21:29nous n'avons pas
01:21:30la réputation
01:21:31de nos propres pays
01:21:31et ça n'est pas bon
01:21:33parce que
01:21:34plus nous n'avons pas
01:21:35la réputation
01:21:36de nos pays
01:21:37plus nous n'avons pas
01:21:38la porte
01:21:39à des investisseurs
01:21:40plus nous n'avons pas
01:21:41la porte
01:21:42à des développements économiques
01:21:43et les malheureux
01:21:44au fait
01:21:44qui nous n'avons pas
01:21:46retrouve c'est-à-dire
01:21:47sa sens de responsabilité
01:21:48la liberté certes
01:21:50liberté certes
01:21:51mais ma liberté s'arrête
01:21:52où mon prochain commence
01:21:53oui pour une l'eau
01:21:57sa question
01:21:58la drogue
01:21:59et ce rôle
01:21:59dans la violence
01:22:00qui amène
01:22:01le problème
01:22:03de la société
01:22:04en général
01:22:05la violence
01:22:07intrafamiliale
01:22:08nous sommes capables
01:22:10de dire que
01:22:10dans maurice
01:22:11mon épée
01:22:12d'ici
01:22:12au nouveau gouvernement
01:22:15sur l'incapacité
01:22:17pour venir
01:22:17avec
01:22:17une façon
01:22:19pour
01:22:19le problème
01:22:21de la drogue
01:22:23dans une façon
01:22:24posée
01:22:24déjà nous
01:22:25en a un problème
01:22:26qui ne nous
01:22:27pas trop reconnaître
01:22:28quand on fait
01:22:29aboli
01:22:30on dirait
01:22:32ou bien
01:22:32interdit
01:22:33le fait
01:22:33qu'il y a
01:22:34de la bière
01:22:35en bas
01:22:36la vare
01:22:37dans la boutique
01:22:38ou bien
01:22:38en bas
01:22:38un pied
01:22:38près
01:22:39contre la boutique
01:22:39ou bien
01:22:41quand on peut
01:22:41jouer
01:22:41un simple
01:22:43jouer
01:22:44quatre hommes
01:22:45en bas
01:22:45un pied
01:22:46li
01:22:47en
01:22:47encha
01:22:47tradition
01:22:48moris
01:22:48bien
01:22:48sous
01:22:49contrôle
01:22:49social
01:22:50et
01:22:50ça
01:22:50ne
01:22:51mousse
01:22:51à la
01:22:51merveille
01:22:52pour
01:22:52300
01:22:53bananes
01:22:53plus ou moins
01:22:55un peu
01:22:56alcoolique
01:22:56mais pas
01:22:57trop
01:22:57beaucoup
01:22:57quand
01:22:58il
01:22:58a
01:22:59fait
01:22:59l'hôtel
01:23:00WTO
01:23:02friendly
01:23:03ça
01:23:03veut dire
01:23:03pas
01:23:04droit
01:23:05servir
01:23:05l'alcool
01:23:06sans
01:23:07qui
01:23:08comme
01:23:09j'ai
01:23:09ou
01:23:09un
01:23:10d'étoile
01:23:10et
01:23:10je ne
01:23:11connais
01:23:11qui
01:23:11encore
01:23:12il
01:23:13a
01:23:13fait
01:23:13un
01:23:15règlement
01:23:15pareil
01:23:15pour
01:23:16tout
01:23:16il
01:23:17a
01:23:17un
01:23:18problème
01:23:18qui
01:23:18l'alcool
01:23:19n'est
01:23:20plus
01:23:20servi
01:23:21en plus
01:23:22de ça
01:23:23la loi
01:23:24est trop
01:23:24atroce
01:23:25pour
01:23:25le
01:23:25drinking
01:23:27pour
01:23:28le
01:23:28driving
01:23:28trop
01:23:29atroce
01:23:29presque
01:23:30pas
01:23:30boire
01:23:30une
01:23:31bière
01:23:31pas
01:23:34de
01:23:34si
01:23:34bizarre
01:23:34faux
01:23:35alors
01:23:36nous
01:23:36avons
01:23:36tout
01:23:37un
01:23:38zen
01:23:38pas
01:23:38ne
01:23:38qu'à
01:23:38pas
01:23:39rentre
01:23:39dans
01:23:39un
01:23:39s'appel
01:23:40pour
01:23:40relax
01:23:40après
01:23:40stress
01:23:41travail
01:23:41tout
01:23:42ça
01:23:42
01:23:42ça
01:23:43n'est
01:23:44pas
01:23:44répré
01:23:45contre
01:23:45l'alcool
01:23:46en même
01:23:47temps
01:23:47qu'il y a
01:23:48répré
01:23:48contre
01:23:49cannabis
01:23:50contre
01:23:50tout
01:23:51des affaires
01:23:51autour
01:23:52de
01:23:52ganja
01:23:53et
01:23:53la chimie
01:23:54qui
01:23:54vient
01:23:54pour
01:23:55manger
01:23:55alors
01:23:56nous
01:23:57crée
01:23:57des affaires
01:23:58terribles
01:23:59pour
01:24:00un
01:24:00un
01:24:01bois
01:24:02un
01:24:02c'est
01:24:03un
01:24:03film
01:24:04ganja
01:24:04tous
01:24:05les
01:24:05des
01:24:05qui
01:24:06capables
01:24:07sous
01:24:07contrôle
01:24:08social
01:24:08assez
01:24:09facilement
01:24:09beaucoup
01:24:09de
01:24:10ménager
01:24:10la drogue
01:24:10c'est
01:24:10mais
01:24:11qui
01:24:12mange
01:24:12aujourd'hui
01:24:13Oui, dans un certain sens, oui.
01:24:15Et il est tellement rentré dans la société
01:24:16qu'il m'a senti qu'il est bien important
01:24:19qu'il nous résoudre des problèmes
01:24:21sans dire de répression, répression, répression, répression.
01:24:25Il n'y a pas la police qui peut résoudre ça.
01:24:27On dirait que nous pouvons dire
01:24:28que nous sommes capables
01:24:29d'assouplir la loi qui interdit l'alcool
01:24:32et d'assouplir la loi normale
01:24:35qui interdit l'alcool
01:24:36tous les deux en même temps.
01:24:38Parce que tous les deux
01:24:39sont capables de contrôler ce charme.
01:24:41Et comment vous trouvez?
01:24:43Je vais prendre l'exemple de la Thaïlande.
01:24:45La Thaïlande, au picot d'alcool,
01:24:47la bière va de l'eau se met.
01:24:48Je ne sais pas si elle te patente.
01:24:50Deuxième affaire, le cannabis
01:24:53en vente libre,
01:24:55l'eau se met même partout.
01:24:56Et on ne trouve pas de la foule
01:24:58ni de l'eau se met.
01:25:00Outright, outrun, l'eau se met.
01:25:03Et il y a même le floating market
01:25:05et une petite place où aller au Capavale.
01:25:07Mais, moi, je ne sais pas.
01:25:09Quel est l'enjeu économique
01:25:10qu'on puisse faire ce qu'on a fait là?
01:25:12Il y a l'enjeu économique aussi.
01:25:13Et aussi, il y a...
01:25:14Dans l'eau de Californie,
01:25:15il y a une tournée de l'histoire.
01:25:17Totalement, on comprend, oui.
01:25:19Il y a un problème dans mon risque
01:25:21que, comment dire,
01:25:23il y a un problème qui est capable
01:25:24de résoudre le problème.
01:25:25Pas la masse, il y a un problème.
01:25:27Politicien qui est capable
01:25:28de résoudre le problème
01:25:28pour mettre une loi,
01:25:30une loi plus stricte,
01:25:31une pénichette plus faute.
01:25:3260 ans en prison.
01:25:3360 ans en prison,
01:25:34peine de mort,
01:25:35castration.
01:25:36On dirait,
01:25:37il y a des affaires violents,
01:25:38nets.
01:25:38Tandis qu'il y a absolument
01:25:41les contraires.
01:25:42Ça veut dire
01:25:42permettre un contrôle social.
01:25:44Vous connaissez,
01:25:44une grande belle-sœur
01:25:45qui a mis en l'eau
01:25:46dans beaucoup de affaires
01:25:47de violences domestiques.
01:25:49Une grande-cousine,
01:25:50il y a un conseil,
01:25:51une zen.
01:25:52Comme dire,
01:25:52il y a sa qualité
01:25:54enchaire,
01:25:55un contrôle social
01:25:56qui nous ne tient
01:25:57pour les revenus.
01:25:58parce qu'il n'y a pas
01:25:58d'aller là.
01:25:59Il y a encore là.
01:26:00Il y a encore là.
01:26:00Je connais mon reste
01:26:01dans une village.
01:26:02Vous connaissez
01:26:03quand il y a un problème
01:26:04social familial
01:26:05dans la village.
01:26:06Assez souvent,
01:26:07il y a un vide
01:26:08qui ne connaît.
01:26:08Parfois,
01:26:09il y a un arrive moins aussi.
01:26:10Il y a un problème
01:26:11qui nous a fait
01:26:14une longue histoire.
01:26:15Est-ce qu'il peut venir
01:26:16faire une réunion familiale
01:26:17ou venir
01:26:17comme on voit ça?
01:26:18Il peut venir
01:26:19ou encore un tel.
01:26:21Il y a un dans la famille
01:26:22qui travaille
01:26:23en service civile
01:26:23en ville.
01:26:25C'est correct.
01:26:26Là,
01:26:27j'ai réflécié,
01:26:27mais si elle concerne
01:26:29un enfant,
01:26:30est-ce qu'il peut
01:26:30avoir besoin
01:26:31de l'enfant avant?
01:26:32Avant,
01:26:33pour l'être
01:26:33si elle a accepté.
01:26:35Là,
01:26:35si elle dit oui,
01:26:36comme ça,
01:26:37comment dire,
01:26:38comme ça
01:26:39qu'elle vit
01:26:40extra.
01:26:41Et ça,
01:26:42dans maurice,
01:26:42elle a sa capacité.
01:26:44Nous,
01:26:45nous devons reconnaître
01:26:46qu'elle existait
01:26:47parmi la masse
01:26:48du monde,
01:26:49si elle est de la misère.
01:26:50Dans la ville,
01:26:51dans la cité,
01:26:51tout ça,
01:26:52il y a des opérés.
01:26:53Ça,
01:26:54nous devons aider
01:26:55pour revenir.
01:26:56Et dans la ville,
01:26:58partout,
01:26:58quand elle a fait
01:26:59une femme,
01:27:00tout ça,
01:27:01pour avoir
01:27:01un labir
01:27:02en pied,
01:27:03il faut faire
01:27:05travail
01:27:06qu'elle ne l'a jamais
01:27:07la police
01:27:07plus elle veille.
01:27:09Parce que quand elle a fait
01:27:10tout ça,
01:27:11la femme,
01:27:11tout ça,
01:27:12il faut travailler
01:27:13tard.
01:27:14Vous êtes là,
01:27:14vous êtes là,
01:27:15un gardien,
01:27:15on s'est là croisé
01:27:16pour quand vous venez
01:27:17un soir.
01:27:18Mais à ce temps-là,
01:27:19quand ça a supprimé,
01:27:21les contrées arrivent.
01:27:22Il y en a
01:27:22de l'effet contré.
01:27:23Quelque chose à ajouter?
01:27:24Je suis tout à fait d'accord
01:27:25avec Lindsay.
01:27:28Le fait de pouvoir,
01:27:29c'est-à-dire,
01:27:30emmener,
01:27:31c'est-à-dire,
01:27:31certains parrainages,
01:27:32si nous sommes capables
01:27:33d'y aller à travers,
01:27:34c'est-à-dire des adultes
01:27:35ou bien même des personnes
01:27:36qui sont expérimentées,
01:27:37ils servient.
01:27:39T'as-à-dire,
01:27:39là,
01:27:39mon rappel,
01:27:40le fait nasser,
01:27:40tu poses une question,
01:27:42la loi Pondi.
01:27:43Isaac,
01:27:44voilà.
01:27:45Et,
01:27:45mon pensée,
01:27:47la loi cancérale
01:27:49dans Maurice,
01:27:50nous devons changer un peu.
01:27:52Il est trop...
01:27:5350% du monde
01:27:54le monde pour la drogue.
01:27:55Oui,
01:27:55tu es à moi.
01:27:56Il est trop,
01:27:57c'est-à-dire,
01:27:58comme dit que c'est souvent
01:27:59des cas,
01:28:00nous trouvons l'expression
01:28:00là sur Facebook.
01:28:02Oui,
01:28:02nous devons
01:28:03une prison,
01:28:04c'est-à-dire,
01:28:04l'hôtel 5 étoiles.
01:28:05Mon pensée,
01:28:06nous devons dégrader
01:28:07l'eau,
01:28:07il faut effectivement
01:28:08une étoile,
01:28:09quitte à même,
01:28:10c'est-à-dire
01:28:10peine une étoile.
01:28:11Donc,
01:28:12mon pensée,
01:28:13pour des crimes,
01:28:14c'est-à-dire,
01:28:14extrêmes,
01:28:15comme un une que zé.
01:28:16Ah,
01:28:16vous êtes plein de nils ?
01:28:18Vous êtes travaillé là-bas ?
01:28:19Là,
01:28:19qu'ils se pouquenaient,
01:28:20justement,
01:28:20donc,
01:28:20c'est quoi,
01:28:21par exemple,
01:28:23la fatalité,
01:28:24un peu.
01:28:25Et,
01:28:25il y a une,
01:28:27comme on dit,
01:28:27responsabilité de tout
01:28:28chacun.
01:28:30Et,
01:28:30quoi d'autre ?
01:28:32Voilà,
01:28:33nous ne c'est pas
01:28:33une contribution
01:28:34dans ce débat,
01:28:35féminicide,
01:28:36suicide,
01:28:36cyberharcèlement,
01:28:37sexe-tension,
01:28:38pourquoi autant de dérives ?
01:28:40Et,
01:28:40pour me penser,
01:28:40nous ne causons trop
01:28:41beaucoup,
01:28:41dix politiques politiques
01:28:42dans un pays-là,
01:28:43pas de cési comme ça,
01:28:44pas trop du bon.
01:28:45Malheureusement.
01:28:46Mais,
01:28:47depuis le matin,
01:28:47on a gagné beaucoup du bon
01:28:48qui est quand même
01:28:49très bon,
01:28:50nous ne prenons un thème là.
01:28:51Et,
01:28:51nous n'avons de même,
01:28:52on rappelle les autres,
01:28:53pour parler,
01:28:53on ne peut pas animer demain,
01:28:56donc,
01:28:56ce sera réforme des pensions,
01:28:57bilan et perspective
01:28:58économique et sociale
01:29:00de 2025.
01:29:01Nous prenons à
01:29:01Ashwin Goudaï,
01:29:02syndicaliste et négociateur
01:29:03de la GWF,
01:29:05et Amit Bakhieta,
01:29:06fondateur et CEO
01:29:07d'Anneur Economist,
01:29:08qui pour analyser,
01:29:09moi je rappelle,
01:29:10je quitte demain,
01:29:10le comité Lola Pension
01:29:12pour une conférence de presse
01:29:14et nous pourrons dire
01:29:15par rapport à cela,
01:29:16pour nous garder un coup de code
01:29:17pour aller,
01:29:18par rapport à ces affaires
01:29:19Pension.
01:29:21Merci à nos invités
01:29:22et bonne soirée.
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