Le 15e Forum national de la recherche scientifique et des innovations technologiques (FRSIT) a officiellement ouvert ses portes, le mercredi 22 octobre 2025 à Ouagadougou, en présence du Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ.
Placée sous le thème : « Quelles contributions des technologies, inventions et innovations dans un contexte de relance d’industrialisation au Burkina Faso ? », cette édition ambitionne de mettre la science et la technologie au cœur du développement économique et industriel du pays.
Le FRSIT 2025 s’annonce ainsi comme plus qu’un simple rendez-vous scientifique. C’est un appel à l’action collective pour faire de la recherche et de l’innovation les leviers d’un développement souverain et durable.
00:00Le 15e Forum national de recherche scientifique et des innovations technologiques First Aid a officiellement ouvert ses portes ce mercredi 22 octobre 2025 à Ouagadougou sous le très haut patronage du président du FASO, le capitaine Ibrahim Traoré.
00:25Placé sous le thème « Quelles contributions des technologies, inventions et innovations » dans un contexte de relance d'industrialisation du Burkina Faso, cette édition ambitionne de mettre la science et la technologie au cœur du développement économique et industriel du pays.
00:43Il faut clairement reconnaître que le thème déjà qui met l'industrialisation au cœur des activités de recherche permet donc aux chercheurs de s'interroger sur sa place dans ce processus d'industrialisation du Burkina Faso.
01:00Nous nous sommes rendus compte qu'au Burkina Faso, comme dans beaucoup de pays africains, nous avons des chercheurs talentueux.
01:09Il y a des résultats de recherche originaux.
01:12Et la vision de ce panel, c'est de créer un cadre régional AES et Toubou, pour qu'ensemble, nous puissions fédérer nos énergies, nos efforts, mais surtout nos expériences, pour pouvoir répondre aux préoccupations des différentes populations.
01:27En ouvrant les travaux, le chef de l'État a salué l'engagement des chercheurs et innovateurs qui, selon lui, portent la renaissance africaine par le savoir et le travail.
01:38Il invite donc les jeunes chercheurs à se mettre au travail pour attraper le rétat technologique du pays.
01:44J'ai invité la jeunesse à revoir beaucoup de choses, à inviter sur vos réseaux sociaux, vos plateformes américaines, pour faire des choses inutiles.
01:56Il y a des pages, il y a des canaux, où on apparaît la science, où on apparaît la réchauffe.
02:02Vous avez tout fait des indiens, des makistanais.
02:05J'ai envie de vous, ça fait plaisir que la famille va fabriquer des outils élémentaires.
02:09Je pense que si vous êtes intéressés, vous intéressez-vous à ça, vous pouvez vous revoir ici.
02:14J'invite la jeunesse à se donner.
02:16La scientifique, la chercheur, le métier, vous êtes à disposition pour pouvoir accompagner.
02:21Cette année, le Mali est à l'honneur en tant que pays invité spécial aux côtés du Niger et du Togo,
02:34illustrant la volonté d'unir les efforts au niveau sous-régional pour une Afrique plus innovante et plus résiliente.
02:42Le FRCIT interroge trois défis majeurs.
02:46Le premier défi, c'est le défi de l'organisation et de la structuration de la recherche dans les pays membres de l'AES.
02:52Le deuxième défi, c'est le défi du financement de la recherche.
02:55Et le troisième défi, c'est le défi de l'allumage de la recherche et de l'industrie.
03:02Par rapport à la structuration, je pense que chaque pays est en train de travailler
03:05pour créer les infrastructures de recherche précesseurs dans les pays,
03:10de recruter et former les chercheurs.
03:12Il n'y a pas de recherche sans chercheur de qualité.
03:19Le FRCIT 2025 s'annonce ainsi plus qu'un simple rendez-vous scientifique.
03:24C'est un appel à l'action collective pour faire de la recherche et de l'innovation
03:29les leviers d'un développement souverain et durable.
03:33Dans un contexte où le Burkina Faso aspire à une véritable transformation industrielle,
03:39le Forum apparaît comme un symbole fort de renaissance intellectuelle et technologique
03:44porté par la conviction que l'Afrique doit désormais écrire elle-même son avenir.
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