- il y a 7 semaines
- #gladiator
- #empathie
- #thomasngijol
Gladiator, Training Day, Heat, Rocky III.. Depuis le fauteuil de MAGNETO, l'humoriste, acteur et réalisateur, Thomas Ngijol revoit et commente ses films préférés.
▶️ Retrouvez-le dans la série "Empathie" actuellement dispo sur l'application CANAL+ : https://urlr.me/zhB7M9
👉 Si vous aimez cet épisode avec Thomas, on vous invite à découvrir d'autres épisodes avec Jérémy Ferrari ou Gringe : https://urlr.me/RSGFHr
📚 Les films :
00:00 Intro
00:33 Rocky III
03:08 48 heures
06:37 Gladiator
09:48 Training Day
10:33 Heat
12:31 Bloosport
15:13 Son top 3
💬 À quels autres films et séries auriez-vous aimé que Thomas Ngijol réagisse ? Dites-nous en commentaires 👇
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00:33 Rocky III
03:08 48 heures
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09:48 Training Day
10:33 Heat
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Catégorie
😹
AmusantTranscription
00:00Bonjour, c'est Thomas N. Géjol.
00:01On va regarder ensemble des scènes de films qui m'ont marqué.
00:07Peut-être que je mets les pieds dans le plat,
00:09mais je pense que c'est le moment le plus fort de toute l'histoire du cinéma.
00:13Maximus, moi, c'est pas du Cameroun, mais c'est mon frère.
00:17Il faut respecter Jean-Claude.
00:21Il a sa tête de cabille.
00:23Tu sais qu'il est cabille de Némoire.
00:24Je suis seul à avoir ces références, là.
00:26Je vois tout le monde qui me regarde.
00:27Oh là là, le ringard, là, avec ces films de ringard.
00:57Ben là, les gars, vous mettez des extraits de films, là, c'est ma vie, ça.
01:13L'histoire de l'œil du tigre, c'est Rocky qui s'est embourgeoisé.
01:15C'est fini.
01:16Il a battu Apollo, il est champion du monde,
01:19il fait des petits combats pour la santé.
01:21Il s'est embourgeoisé, c'est fini.
01:23Et puis, il y a un autre mec qui vient d'en bas, qui a la dalle.
01:26Il vient, il lui met KO, quoi, c'est fini.
01:28Et il est obligé de repartir à la base,
01:30de retrouver qui il était
01:31pour reconquérir le trône.
01:35Et c'est l'histoire de la vie.
01:37T'arrives à ton objectif, qu'est-ce qui se passe
01:38quand t'as touché à ton objectif ?
01:40T'assois, tu prends tes pantoufles,
01:41tu commences à regarder France 5 toute la journée,
01:44et c'est fini.
01:44Symboliquement, il est magnifique, ce film.
01:55Maintenant, on peut le dire,
01:56il le sait de manière Stallone.
01:58Il a donné une inspiration au cinéma
02:01à des jeunes à travers le monde
02:04incomparable à travers Rocky.
02:06C'est un loser qui réussit,
02:08qui perd même, Rocky.
02:09Il perd, il ne gagne même pas le combat.
02:11Après, il continue.
02:13C'est magnifique.
02:14Ce que ça raconte sur la vie Rocky,
02:16c'est waouh !
02:18Et ça me parle, forcément.
02:19Moi, j'ai un parcours un peu d'autodidacte.
02:22Je viens de la scène.
02:23Quand je fais, par exemple,
02:23Cave Départ, qui est le premier film
02:25que je fais avec Fabrice Eboué,
02:26c'est aussi des années d'errance
02:29qu'on combine pour faire quelque chose.
02:33Donc, c'est vrai que les parcours d'autodidacte
02:35comme ça, de mecs en tout cas,
02:37qui se disent non, je ne veux pas attendre qu'eux,
02:39je vais me prendre en charge.
02:41Parce que si je reste là à attendre,
02:43peut-être qu'il ne se passera rien.
02:44Il a pris son courage à deux mains,
02:45il s'est relevé les manches,
02:47il a fait un truc extraordinaire.
02:49Et c'est même des fois comme ça
02:51que les plus belles choses arrivent.
02:52C'est ça qui est magnifique dans Rocky,
02:54c'est que c'est un mec du peuple.
02:55Ce n'est pas pour rien qu'il y a des films populaires
02:56aussi dans notre pays qui marchent.
02:58On a besoin aussi de connecter
03:01à des gens qui nous ressemblent,
03:04à des valeurs qui sont populaires.
03:06Je pense que c'est cette scène qui a fait de l'une star.
03:21Je pense que c'est cette scène qui a fait de l'une star.
03:33C'est trop.
03:34C'est à l'époque où ça sort.
03:36Ça, c'est politique, c'est marrant,
03:40c'est punk, c'est...
03:41Alors certes, on l'a insulté de négro avant,
03:44mais dire qu'il n'aime pas les blancs
03:46et que c'est une bande de ploucs blancs
03:49ou je ne sais pas quoi,
03:50c'est terrible, c'est fou.
03:52Je me rends compte qu'à l'époque,
03:53il n'y avait pas beaucoup de stars noires.
03:56En tout cas aux États-Unis,
03:57il y en avait beaucoup dans le sport et autres.
03:59Mais en France, il y avait Wallou.
04:01Il n'y avait que dalle.
04:03Symboliquement, un noir qui arrive dans un bar de redneck
04:06et qui le met tous à la mante, c'est...
04:09Non, non, c'était fort.
04:10Eddie Murphy, oui, c'est l'une des plus gros...
04:13Enfin, même, je crois que c'était la plus grosse star d'Hollywood à l'époque, clairement.
04:16Ça rejaillit sur la communauté afro-américaine là-bas
04:19et ça donne de...
04:20Je ne veux pas dire de l'espoir,
04:21parce que je ne me projetais pas du tout en tant que comédien
04:24ni quoi que ce soit,
04:24mais à l'époque, quand j'étais petit,
04:26il est noir, ce n'était pas à la mode.
04:27C'était pas... On n'était pas en 2025
04:29où les mecs ont des locks et ils sautent en l'air
04:32et on trouve qu'ils sont cools.
04:34À l'époque, on n'avait pas de locks,
04:36il n'y avait pas de rap.
04:38Donc, tu vois, on était marginalisés
04:41de notre présence, de notre existence, limite, quoi.
04:44Et quand tu vois un mec comme Eddie Murphy,
04:45même s'il est aux États-Unis,
04:47tu dis, ah, tu bombes un peu le temps,
04:50c'est vrai qu'en vrai, on a du flow.
04:54Voilà, quoi.
04:55Tu vois, il n'y a pas que les chansons pour l'Éthiopie
04:58qui nous représentent, en fait.
04:59Il y a plein d'autres choses.
05:00Petit, ouais, je regardais beaucoup de films.
05:23Enfin, quand on a eu un magnétoscope,
05:24ça a changé ma vie, quoi.
05:26Au début, évidemment, il y a la télé,
05:28mais le magnétoscope,
05:29et puis après, il y a eu un truc...
05:31Alors, je ne sais pas s'il faut le dire.
05:32Non, je ne peux pas le dire.
05:33Ouais, il y avait des trafics.
05:36Il y avait des trafics et j'avais un frère
05:38qui était un peu dans le trafic.
05:40Donc, il a ramené un objet
05:41qui nous permet de trafiquer des trucs à la télé,
05:44qui me permettait de voir une certaine chaîne.
05:46Je ne vais pas dire la chaîne.
05:48Je peux dire la chaîne, cette fois ?
05:49Je vais montrer les doigts.
05:51C'est une chaîne qui était...
05:52Là, je peux là ?
05:54Ouais, après, c'est un peu...
05:56Bon, c'était une époque, hein.
05:58Aujourd'hui, je ne le fais plus.
05:59Mais à l'époque, ouais,
06:00pendant Facile 2 ans,
06:02on avait d'autres petits trucs, là.
06:04Je peux te dire, je me suis régalé.
06:06Il y a le DVD ou pas ?
06:07Ah, ben non.
06:08C'est pas le même.
06:09Qu'est-ce que c'est que cette émission ?
06:12Vous me présentez DVD intérieur,
06:14il y a 15 minutes.
06:14C'est un film sordide de De Niro.
06:17Même lui, il ne doit même pas en parler.
06:19Tu lui dis ça, 15 minutes.
06:20Allez, on arrête l'interview.
06:22Il n'y a même pas un distributeur.
06:23Si, un distributeur.
06:24Attends, c'est marqué quoi ?
06:25Attends, je n'ai pas mes lunettes.
06:27Vertigo, je ne sais pas quoi.
06:29Il y avait, il n'y a même pas de paramètres.
06:30Celui-là, il l'a fait pour les impôts.
06:33Horrible.
06:34Mais en tout cas, dans celui-là, magnifique.
06:36Mon nom est Maximus Decimus Meridius.
06:45Commander des armées du Nord.
06:47General des Félix Legions.
06:50Loyal servant au vrai Emperor, Marcus Aurelius.
06:55Father to a murdered son.
06:57Husband to a murdered wife.
06:58And I will have my vengeance.
07:02In this life or the next.
07:05C'est fini.
07:06Là, tu pouvais arrêter tout.
07:10Le film, il est fini en fait.
07:11À ce moment-là, avec du recul.
07:12Tu sais que c'est fini.
07:13Il a gagné.
07:15Il a tout affronté.
07:16L'autre, il a la mort devant lui.
07:18Il a la honte devant lui.
07:19Il a sa lâcheté devant lui.
07:21Je ne sais pas si dans l'histoire du cinéma,
07:23on a un moment aussi fort que ça.
07:25C'est terrible ce que je viens de dire.
07:26Peut-être que je mets les pieds dans le plat,
07:28mais je pense que c'est le moment le plus fort
07:30de toute l'histoire du cinéma.
07:32Tu as souffert avec lui.
07:33Tout, il revient.
07:35Il revient face au mec.
07:36Il n'y a pas de violence.
07:37Il lui parle français.
07:38On n'est pas dans un mauvais remake
07:41de film de banlieue en disant
07:42« Ah ah, je suis là maintenant.
07:44Je vais te niquer ta mère. »
07:45Non.
07:45Il lui parle français.
07:47Il enlève son masque.
07:49Il lui dit qui il est.
07:50Il lui dit que même si tu me tues là-haut,
07:52je t'attends.
07:53Et on va discuter.
07:55Thomas !
07:58Tu vois, en faisant une espèce
08:04d'analyse psychologique
08:06un peu de comptoir,
08:07je pense que ça touche à l'honneur.
08:08Ça me parle beaucoup,
08:09donc du coup,
08:10enfin, ça me parle beaucoup
08:11d'un emploi que je me projette en Maximus.
08:13Je n'aurais pas fait le quart
08:14de ce qu'il a fait.
08:14Le film avec moi,
08:15il dure à 20...
08:16Dès la première bagarre.
08:17Avec les Germano,
08:18là, je les vois venir,
08:19je vais voir César,
08:20je lui dis « frère,
08:21on est quand même à une époque
08:22où il y a beaucoup de fouines,
08:24beaucoup de lâcheté,
08:26beaucoup de fourberies,
08:27beaucoup de coups en douce
08:29et de voir un Maximus.
08:30Et ça rappelle à l'humanité
08:33qu'il existe des gens
08:34qui ont pour adage
08:36force et honneur.
08:37Je suis la police,
09:02je suis la police,
09:03je roule de merde ici,
09:04tu juste vivres ici.
09:07Yeah, that's right, you better walk away.
09:09Go and walk away, because I'm going to burn this motherfucker down.
09:13King Kong ain't got shit on me.
09:16Eh ben.
09:19Eh ben, ouais.
09:21Qu'est-ce que je veux que je te dise ?
09:22Quelle performance.
09:24Il est intense, il est méchant, il est drôle, il est brut, il est vulgaire.
09:31Moi, je n'ai pas le fantasme du gangster,
09:33mais je pense qu'il parle à plein d'endroits,
09:37dont moi le comédien, dont moi le réalisateur,
09:40dont moi le mec issu d'un quartier un peu populaire.
09:43Il y a plein de trucs à lesquels il connecte,
09:45et puis, je ne sais pas, il y a une sorte de magie dans ce film.
10:03Moi, je l'ai vu au cinéma, ce film, j'avais raté la séance,
10:14enfin, je n'ai pas raté la séance, j'étais avec un ami,
10:16on a raté une seconde du film.
10:18On a raté les bandes-annonces, on est rentré dans le film,
10:20en fait, c'est la première image du film,
10:22c'est Ethan Hawke, tête qui se réveille,
10:24et en fait, on est rentré à ce moment,
10:26et je me suis dit, je ne sais pas ce que j'ai raté, on sort.
10:28Et on a attendu une heure et demie, deux heures,
10:30pour voir la même image.
10:33Il n'y a pas de phrase et tout est dit, regarde sa tête.
10:54Oh, cette tête de cabile.
10:56Tu sais qui les cabiles de négros pour moi ?
10:58Et paf, fini.
11:01On est encore dans l'honneur.
11:03Moi, j'ai un problème, je viens de vous rendre conscience
11:06que j'ai un problème avec l'honneur.
11:07Franchement, ça me feucoue, quoi.
11:09Je me dis, mais putain, ce n'est pas possible.
11:11Mille fois, tu regardes le film, ça, en fait,
11:13c'est le deuxième film que si je tombe dessus,
11:15je le regarde en boucle.
11:16Mais mille fois, tu regardes ce film,
11:18mille fois, à ce moment-là, tu te dis,
11:21peut-être qu'à ce moment-là, en fait,
11:22il va avoir un nouveau montage,
11:24il va aller à l'aéroport et c'est fini.
11:26Et mille fois, quand il tourne, tu te dis...
11:29Et en fond, tu le comprends.
11:31Et là, le sourire.
11:33Ça, c'est des nuances incroyables,
11:34ce que fait Faz qui rend des personnages vivants, en fait.
11:37Il existe.
11:38Il est particulier, ce film.
12:01Moi, je ne l'ai pas aimé tout de suite.
12:03J'étais jeune, peut-être, quand il est arrivé.
12:05Tu avais 17 ans quand il est sorti.
12:07J'avais 17 ans ?
12:08J'étais dans ma période Jim Carrey.
12:10Il me fallait un temps de digestion.
12:12Je pense que je l'ai digéré plus vers la vingtaine
12:16parce qu'à l'époque, il me fallait du foodie reine,
12:18des choses un peu, voilà.
12:19Le réalisateur a fait...
12:20Je crois, je ne sais pas, c'est son chef-d'oeuvre.
12:23Mais sûrement, les purées, ils diront non.
12:25Il y a toujours un mec de cinéma pour dire non,
12:27le chef-d'oeuvre de Michael Mann n'est pas it,
12:28mais c'est un chef-d'oeuvre.
12:37C'est terrible parce que je ne veux pas réduire ce film à ça.
13:00Mais c'est important pour moi-même.
13:02Il y a tellement de pépites racistes dans l'histoire du cinéma
13:05que c'est important de valoriser certaines de ces pépites.
13:08Les types, ils font un tournoi
13:10avec les plus grands experts d'arts martiaux au monde,
13:14le représentant de l'Afrique.
13:16La technique du combat est inspirée d'un singe.
13:23Qu'est-ce que je te dise de plus ?
13:25Quand je suis petit et que je découvre ce film,
13:26je ne vois pas du tout ça.
13:28Je ne le vois pas.
13:29Il dit « Ah ouais, il fait une technique africaine. »
13:31Et quand je m'en dis,
13:33je dis « Mais il ne fait pas du tout une technique africaine,
13:35il est en train de faire un singe. »
13:37Et c'est violent.
13:38Je dis « Putain, les mecs, vous êtes des adultes
13:40avec toute une perception de la vie. »
13:42Mais bon, passez ça, vas-y.
13:44On ne va pas rester sur ces douleurs-là
13:45parce que Bloodsport,
13:50Van Damme, quand même.
13:51Il faut respecter Jean-Claude.
13:53Moi, j'aime beaucoup Van Damme.
13:54Enfin, en second degré, quand je dis ça.
14:12Non, non, non.
14:13Bloodsport, il faut savoir.
14:13Moi, j'ai découvert Bloodsport en VHS, c'est moi.
14:16J'avais, je ne sais pas, 9-10 ans.
14:18Écoute-moi bien.
14:20J'étais dans mon salon.
14:21J'ai fini la VHS, j'ai respiré.
14:25J'ai écarté la table de la salle à manger, tout.
14:28Je me suis mis de porte-se nu avec mon corps chétif,
14:32ce jeune noir de 10 ans.
14:33J'ai fait du karaté une demi-heure, voire une heure.
14:36Pour moi, c'était Dieu qui m'avait envoyé ça.
14:38Je me suis dit « C'est écrit.
14:40Je vois déjà l'histoire.
14:41Il découvre à travers une VHS. »
14:43Donc, j'ai fait du karaté comme un timbré.
14:45Bon, ça n'a rien donné, évidemment.
14:47Mais c'était un truc, un moment de ma vie incroyable.
14:51Si je dois garder 3 films de tout ce que je t'ai montré ?
15:17Si je prends des sujets, on se dit « Quel tebe ! »
15:20Non, ouais, Vendamme, on me met de côté.
15:24Ah, putain !
15:25Allez, quand même, celui-là.
15:27Je le rends quand même hommage.
15:28Je n'ai pas choisi ni 48 heures, ni Training Day.
15:33Mais bon, j'ai pris quand même « It ».
15:35Et ne me demandez pas pourquoi.
15:38J'ai pris « Rocky » parce que c'est ma vie,
15:42parce que c'est nos vies,
15:43parce qu'il faut prendre « Rocky 3 ».
15:48J'ai pris « Gladiator ».
15:50Parce que Maximo, ce film, c'est trop.
15:55Il meurt même à la fin.
15:58Il spoile maladroitement, mais tout le monde le sait de manière.
16:02Non, mais c'est trop beau.
16:03Ce film, il est trop beau, quoi.
16:05Moi, je vais essayer d'envoyer un mail à Ridley Scott.
16:07« Pourquoi vous rigolez ? »
16:10Non, mais le caméraman a fait du jour, on va à un mail.
16:15Il a fait « Ouais, bien sûr. »
16:17Il manquerait plus que tu joues.
16:18Et tu sais quoi ?
16:19On se revoit dans deux, trois ans.
16:21On va rigoler.
16:22Quand tu vas me voir avec une Jellabac comme Denzel Washington dans le 2,
16:25tu vas moins rigoler, je te le dis, moi.
16:27Mais non, « Gladiator », je ne sais pas.
16:31Certains diront « Oui, ce n'est pas le meilleur film. »
16:34Moi, dans les émotions, c'est ce que je cherche dans la vie.
16:38Les émotions avec les gens, avec mes enfants, avec le théâtre, avec le sport et avec le cinéma.
16:44Et celui-là, il touche à mes émotions.
16:46Maximus, moi, c'est...
16:49Il n'est pas du Cameroun, mais c'est mon frère.
16:53C'est un peu auquel phrase de merde.
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