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Actualités : Infos du Jour Emmanuel Macron nomme encore Sébastien Lecornu (France,13 Octobre 2025)

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00:00Et attention, accrochez-vous, on est reparti pour un tour.
00:03Il avait remis sa démission lundi matin, le voilà renommé par Emmanuel Macron vendredi soir.
00:07Mais combien de temps va-t-il pouvoir tenir ?
00:10Sébastien Lecornu est donc de retour au poste de Premier ministre.
00:13Et là, disons les choses, on va être fixé assez vite sur la question de la survie de ce gouvernement.
00:17On va donc aujourd'hui essayer d'analyser ce choix d'Emmanuel Macron,
00:20voir aussi évidemment toutes les réactions de l'opposition
00:22et voir à quel point le pari est très risqué pour le Président de la République.
00:26Salut c'est Hugo, j'espère que vous allez bien.
00:28Et c'est donc en voix off, aujourd'hui et sans la caméra,
00:30le sujet à la une de ses actualités du jour sur YouTube et en podcast audio.
00:34Vous êtes au passage de plus en plus nombreux en podcast,
00:37que ce soit sur Spotify, Apple Podcast, bref sur toutes les plateformes.
00:40Merci pour votre confiance et pour tous les nouveaux, je rappelle au passage
00:42qu'en podcast, ça vous permet aussi d'avoir accès rapidement à la fois aux actus du jour,
00:45mais aussi aux actualités culturelles et aussi aux interviews que je fais régulièrement
00:49avec des personnalités ou alors des chercheurs.
00:51Il y a une autre interview d'ailleurs qui sort demain.
00:53Bref, vous pouvez taper Hugo Descripts sur votre application de podcast et penser à vous abonner.
00:57Alors on va voir dans un instant les réactions de l'opposition,
00:59puisqu'elles disent évidemment beaucoup sur ce qui pourrait se passer,
01:02mais déjà comment expliquer ce choix de nommer à nouveau Sébastien Lecornu.
01:06En effet, Sébastien Lecornu lundi avait démissionné,
01:08puisqu'il considérait que les conditions pour gouverner n'étaient pas remplies.
01:12Parmi les problèmes, il y en avait beaucoup,
01:13mais il y avait notamment le fait que son propre gouvernement était en train d'imploser.
01:17Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur,
01:19à la tête du parti de droite Les Républicains,
01:22était furieux d'apprendre que Bruno Le Maire, ancien membre de son parti
01:26et devenu proche d'Emmanuel Macron,
01:28était de retour au gouvernement.
01:29Et au-delà de ça, Bruno Retailleau estimait aussi
01:31qu'il n'y avait pas assez de membres du parti Les Républicains au sein du gouvernement.
01:36Et Gabriel Attal, qui est lui à la tête du parti Renaissance,
01:38donc le mouvement d'Emmanuel Macron,
01:40avait de son côté dénoncé, je cite,
01:42« un spectacle affligeant ».
01:44Bref, déjà que l'opposition était sur les starting blocks
01:46pour pousser ce gouvernement à la démission,
01:49mais même en interne,
01:50eh bien c'était pas très beau à voir non plus.
01:52Pour rappel, pour ceux qui n'ont pas suivi,
01:53le risque toujours pour un gouvernement en France,
01:56c'est de faire face à une motion de censure.
01:58Si une motion de censure est votée
02:00par la majorité des députés à l'Assemblée nationale,
02:03eh bien le gouvernement est automatiquement poussé à la démission,
02:06et c'est donc toujours la menace qui pèse
02:08sur les gouvernements qui se succèdent depuis des mois maintenant.
02:11Et là, rapidement, si on fait les comptes,
02:12les votes de la gauche et du Rassemblement national
02:14auraient poussé probablement le gouvernement à la sortie.
02:18Et là, en plus, donc, avec les tensions en interne,
02:20c'était plutôt mal barré.
02:21Alors, si c'est le cas,
02:22comment expliquer qu'Emmanuel Macron
02:24renomme une nouvelle fois Sébastien Lecornu ?
02:27Bon, là, c'est ce que demandent beaucoup de monde,
02:28et spoiler, on n'a pas de réponse très précise là-dessus.
02:31Certains estiment qu'Emmanuel Macron
02:32se trouve aujourd'hui dans une forme d'impasse,
02:34d'autres estiment que depuis le début,
02:36tout ça est calculé,
02:37et dans les plans d'Emmanuel Macron,
02:39dans l'objectif de court-circuiter
02:41une démission potentielle du ministre Les Républicains
02:43et de garder la main sur la situation politique.
02:46Bon, maintenant, tout ça, ça vaut ce que ça vaut.
02:48La réalité, on ne va pas se mentir,
02:49c'est qu'on ne sait pas très bien.
02:50Par contre, ce que l'on sait,
02:52c'est que la situation, elle est très délicate,
02:54et on le voit dès maintenant avec les réactions.
02:56Une nouvelle fois, donc,
02:56Emmanuel Macron n'a pas nommé de Premier ministre
02:58issu de la gauche,
03:00ce qui est réclamé par la gauche
03:01qui est arrivée en tête des élections législatives
03:03en 2024,
03:04puisque le nouveau Front populaire
03:06était l'alliance de partis arrivés en tête,
03:08même si, évidemment,
03:09ces partis n'avaient pas de majorité absolue.
03:12Mais la gauche, donc, continue à évoquer
03:13un déni de démocratie,
03:15alors qu'Emmanuel Macron
03:16nomme depuis près d'un an et demi maintenant
03:19des Premier ministre issus de son camp,
03:21qui ne tiennent pas longtemps
03:22avant d'être renversés.
03:23Et en parallèle, donc,
03:24Emmanuel Macron refuse de nommer
03:25un Premier ministre de gauche
03:27sous prétexte que ça ne tiendrait pas,
03:29mais sans essayer.
03:30Tout cela, c'est donc ce qui est dénoncé
03:31par la gauche depuis des semaines,
03:33mais ça va désormais au-delà,
03:34puisque, on l'a dit,
03:35la France Insoumise, par exemple,
03:36ne demande même plus à avoir
03:38un Premier ministre de gauche,
03:39mais souhaite l'organisation
03:40de nouvelles élections,
03:41l'initiative et le départ d'Emmanuel Macron.
03:43On en reparle juste après.
03:44Si on prend donc aujourd'hui
03:45la position de tous les partis
03:46sur tout le spectre politique
03:47pour bien comprendre
03:48les rapports de force
03:49d'un point de vue très factuel,
03:50du côté des écologistes,
03:52du parti communiste
03:53ou encore de la France Insoumise,
03:54pour l'instant,
03:55on est clairement sur un vote
03:56de la censure,
03:57donc un vote pour pousser
03:59à la démission
03:59ce nouveau gouvernement,
04:01avec des petites nuances,
04:02tout de même,
04:02qu'il faut noter dans les discours.
04:03Chez la France Insoumise,
04:04c'est très clair,
04:05même chez les écologistes,
04:06même si le discours
04:07est un poil différent.
04:09Eh bien, Marine Tondelier,
04:10tout de même,
04:10du côté des écologistes,
04:12déclare qu'il n'y a aucun argument,
04:14je cite,
04:14pour ne pas censurer
04:15le gouvernement pour l'instant.
04:17En fait, en réalité,
04:18on en a déjà parlé
04:18il y a quelques jours,
04:19la position qu'il va falloir observer,
04:21c'est celle du parti socialiste.
04:23Est-ce que le parti socialiste
04:24va voter la motion de censure ?
04:26Ou est-ce qu'ils vont laisser
04:27le gouvernement en place,
04:28ne serait-ce qu'en ne votant pas
04:30la motion de censure,
04:31mais sans le soutenir non plus ?
04:32Tout dépendra très probablement
04:34des négociations
04:35dans les prochaines heures.
04:36Le parti socialiste
04:36réclame notamment
04:37la suspension
04:38de la réforme des retraites
04:39qui était portée
04:40par Emmanuel Macron.
04:41C'est un sujet
04:41qui semble sur la table
04:43aujourd'hui,
04:43mais est-ce que ça va être
04:44réellement accepté
04:45par Sébastien Lecornu ?
04:46Sous quelles conditions ?
04:47À quoi ça va ressembler ?
04:49Et est-ce que ce sera suffisant
04:50pour le parti socialiste
04:51ou est-ce qu'ils vont demander
04:52davantage ?
04:53Disons les choses aujourd'hui,
04:54le parti socialiste,
04:55c'est près de 70 députés,
04:56donc ils peuvent clairement jouer
04:58sur la survie
04:59ou non du gouvernement.
05:00C'est pour ça que ça va être
05:01très important de voir
05:02à quoi ça ressemble
05:03dans les prochaines heures.
05:04Alors ça c'est pour ce qui est
05:04de la gauche,
05:05maintenant à droite
05:06du côté des Républicains.
05:08La situation a pas mal évolué
05:09là au cours de la journée.
05:10A l'origine donc,
05:11Bruno Retailleau avait déclaré
05:12qu'il ne souhaitait pas
05:13participer à un nouveau gouvernement
05:15et il appelait son camp
05:16à ne pas participer non plus.
05:18Mais il y avait des formes
05:18d'interrogations en interne.
05:20Finalement,
05:21la réponse est tombée là
05:22aux alentours de 14h ce samedi.
05:24Les Républicains ne participeront pas
05:26au prochain gouvernement
05:27de Sébastien Lecornu.
05:28Ils ne vont apporter
05:29qu'un soutien,
05:30je cite,
05:31texte par texte.
05:32Autrement dit donc,
05:32pas de participation au gouvernement.
05:34Ils vont voter éventuellement
05:35tel ou tel texte en fonction.
05:37A priori donc,
05:38ça veut dire qu'il n'y aura pas
05:39de vote de motion de censure
05:40de la part des Républicains.
05:42Ça paraît très peu probable
05:43aujourd'hui.
05:43Évidemment,
05:44on suivra tout ça
05:44dans les prochains jours.
05:45Enfin,
05:45du côté du Rassemblement National,
05:47là aussi on en a beaucoup parlé
05:48cette semaine,
05:49la position actuelle
05:50du Rassemblement National,
05:51c'est celle d'un vote
05:52d'une censure.
05:53Sachant que,
05:54comme la France Insoumise,
05:55il réclame aussi
05:56le départ d'Emmanuel Macron.
05:58Bon,
05:58mais il faut aussi noter
05:59qu'au sein des alliés historiques
06:00d'Emmanuel Macron,
06:01eh bien,
06:01il y a des tensions
06:02assez importantes.
06:03Gabriel Attal,
06:03par exemple,
06:04à la tête du parti
06:05d'Emmanuel Macron,
06:06estime qu'il y a,
06:07je cite,
06:07une forme d'acharnement
06:09à vouloir garder la main
06:11du côté du président
06:11de la République.
06:12Il considère,
06:13je cite,
06:13que le président
06:14a essayé trois fois
06:15la même chose
06:16depuis un an,
06:17en référence donc
06:18à des premiers ministres
06:19qui sont issus
06:20globalement de son camp.
06:21De son côté,
06:21on en parlait cette semaine,
06:22Édouard Philippe,
06:23ancien premier ministre
06:24d'Emmanuel Macron
06:25qui a depuis créé
06:26son propre mouvement Horizon,
06:27estime qu'il faut
06:29un vote du budget
06:30mais qu'ensuite,
06:31il faut un départ
06:32d'Emmanuel Macron.
06:32Et encore une fois,
06:33il ne faut pas être dupe,
06:34il y a évidemment
06:34des situations
06:35de perspective
06:36de la présidentielle
06:37de 2027.
06:38Ça peut intéresser
06:39Gabriel Attal,
06:40ça peut intéresser
06:41Édouard Philippe.
06:42Ils ont aussi intérêt
06:42à se détacher
06:43en quelque sorte
06:44d'Emmanuel Macron.
06:45Dans tous les cas,
06:45on y verra probablement
06:46très clair assez vite.
06:48Pourquoi ?
06:48Parce qu'il y a
06:49un calendrier
06:50qui approche
06:50et qui arrive très très vite.
06:52Il y a en fait
06:52la question du budget,
06:53donc du budget de l'État
06:54pour l'année 2026.
06:55Et si la France
06:56ne veut pas se retrouver
06:57à devoir appliquer
06:59en 2026
07:00le budget de 2025
07:01au moins sur une partie
07:02de l'année,
07:03eh bien la France
07:03doit voter un nouveau budget
07:05au Parlement
07:05avec donc les recettes
07:07et les dépenses
07:08qui doivent être déterminées
07:09pour l'année à venir.
07:10Or, je vous passe
07:10tous les détails
07:11mais pour être dans les temps
07:12d'ici la fin de l'année,
07:13Sébastien Lecornu
07:14va devoir nommer
07:15ses ministres d'ici lundi.
07:17Il doit aussi tenir
07:17un conseil des ministres lundi.
07:19Et ensuite,
07:19il doit y avoir des débats
07:20à l'Assemblée
07:21qui doivent débuter
07:22à partir du 15 octobre.
07:23Bref, a priori,
07:24et je dis bien a priori
07:25puisque vous l'aurez compris,
07:26il y a très peu de certitudes
07:27dans la situation actuelle.
07:29On devrait connaître
07:30donc les prochains ministres
07:31assez vite.
07:32On devrait connaître aussi
07:33assez vite
07:33ce qui est porté
07:34par le gouvernement
07:35pour ce budget.
07:36On devrait savoir aussi
07:37assez vite potentiellement
07:38qui va voter
07:39une motion de censure
07:41et en gros
07:41si le gouvernement
07:42va tenir ou non.
07:43Et si ça ne tient pas,
07:44la perspective
07:45d'une dissolution
07:46de l'Assemblée nationale
07:47et de l'organisation
07:48de nouvelles élections
07:48législatives
07:49devient plus probable
07:51que jamais.
07:52Vous l'aurez compris,
07:52en parallèle,
07:52certains partis continuent
07:54à faire pression
07:54pour une démission
07:56du président de la République
07:57et la France Insoumise
07:58de son côté
07:58souhaite déposer
07:59une motion de destitution
08:01pour tenter de pousser
08:02Emmanuel Macron
08:03vers la sortie
08:03même si dans l'immédiat
08:05avec les rapports
08:06de force au Parlement
08:07c'est quelque chose
08:07qui paraît peu probable.
08:09Dans tous les cas,
08:09vous l'aurez compris,
08:10on suivra ça
08:10dans les prochaines heures
08:11et le format des actus du jour
08:13on ne le fait pas le dimanche
08:14parce qu'on essaie quand même
08:14de se reposer malgré tout
08:15mais du coup,
08:16on va continuer à vous informer
08:17directement sur Instagram.
08:19Le nom du compte
08:19sur Instagram
08:20je pense que vous le savez
08:21c'est Hugo Descryptes
08:22vous êtes plus de 5 millions là-bas
08:23et vous avez été d'ailleurs
08:24des millions à connaître
08:25le nom du nouveau
08:26ou en quelque sorte
08:27on va dire
08:28nouveau Premier ministre
08:29directement sur notre compte
08:30quand on l'a annoncé.
08:31Allez,
08:31je vous laisse avec Brice
08:31pour le reste de l'actualité
08:32importante du jour
08:33et je reviens juste après.
08:34Merci Hugo et bonjour à tous.
08:36On commence avec 7 actus.
08:37Le président américain
08:38Donald Trump
08:39a annoncé le licenciement
08:40de 4000 fonctionnaires
08:41aux Etats-Unis ce vendredi
08:42alors que le pays
08:43fait face à un shutdown.
08:44Si vous voulez en savoir plus
08:45sur le shutdown,
08:46on vous a fait une vidéo dessus
08:47la semaine dernière
08:48on vous met le lien
08:48en description.
08:49Mais globalement,
08:50un shutdown
08:50c'est un arrêt des activités
08:51du gouvernement américain
08:53faute de budget.
08:53Depuis le 1er octobre donc,
08:55des centaines de milliers
08:56de fonctionnaires
08:56ont été automatiquement
08:57mis au chômage technique
08:58donc ils ne sont pas payés
08:59mais gardent leur travail.
09:00La raison,
09:01ils sont considérés
09:02comme occupant
09:02des fonctions non essentielles
09:03au fonctionnement du pays
09:04contrairement par exemple
09:05à la sécurité nationale,
09:06le contrôle aérien
09:07ou à une partie
09:08de la justice fédérale.
09:09Mais 4000 d'entre eux
09:10ont donc finalement
09:11été licenciés par Donald Trump.
09:12Il a aussi déclaré que,
09:13je cite,
09:13il y en aura beaucoup
09:14et cela va viser
09:15ceux proches de démocrates
09:16car nous estimons
09:17qu'ils sont la cause
09:18de la paralysie budgétaire du pays.
09:20Le syndicat AFL-CIO
09:21a immédiatement saisi
09:22un tribunal fédéral
09:23pour empêcher le gouvernement
09:24de renvoyer plus de personnes.
09:25Deuxième actu,
09:26à Madagascar,
09:27les militaires du corps
09:28d'administration des personnes
09:29et des services de l'armée de terre,
09:30dit Capsat,
09:31ont appelé ce samedi
09:32les gendarmes,
09:33policiers et militaires
09:34à désobéir aux ordres
09:35du gouvernement.
09:35Pour rappel,
09:36les malgaches manifestent
09:37depuis le 25 septembre
09:38pour dénoncer
09:38leurs conditions de vie,
09:39notamment de nombreuses
09:40coupures d'eau et d'électricité
09:41depuis des années.
09:42Dans une vidéo publiée
09:43sur les réseaux sociaux,
09:44les militaires ont aussi
09:45déclaré refuser de tuer
09:46et de tabasser
09:47les manifestants et la jeunesse
09:48à l'origine
09:49du mouvement de protestation.
09:50Depuis le début
09:50des manifestations,
09:51la répression a déjà tué
09:5222 personnes,
09:53selon l'ONU.
09:54Le chiffre est contesté
09:55par le pouvoir en place.
09:56Selon le président
09:56Andri Rajot et Lina,
09:57la crise aurait fait
09:58une douzaine de victimes,
09:59principalement des casseurs
10:01et des pilleurs.
10:01Ce vendredi,
10:02il avait aussi annoncé
10:03démissionner d'ici un an
10:04si les problèmes du pays
10:05n'étaient pas résolus.
10:06Et on termine avec cette info,
10:07la chaîne de stream
10:08Le Local est visée
10:09par une nouvelle enquête
10:10du Parquet de Nice
10:10pour des faits
10:11de violences volontaires
10:12en réunion
10:12et diffusion d'images
10:13d'atteintes volontaires
10:14à la personne,
10:15selon Mediapart.
10:16A noter que cette chaîne
10:17est déjà visée
10:17par deux enquêtes
10:18datant de décembre 2024
10:20et d'août 2025.
10:21Pour rappel,
10:21c'est sur Le Local
10:22que le streamer
10:23Jean Portmanov
10:23est décédé en direct
10:24le 18 août.
10:25A l'époque,
10:26la chaîne diffusait ses streams
10:27sur la plateforme Kik,
10:28d'où elle a été bannie
10:28après les faits.
10:29Mais en septembre,
10:30la chaîne et une partie
10:31de l'équipe du local
10:31sont revenus
10:32sur la plateforme Twitch.
10:33Toujours selon Mediapart,
10:34on peut voir
10:34dans cette nouvelle version
10:35du local
10:36les participants
10:37échanger des insultes,
10:38des coups et des rires
10:38sont aussi entendus
10:39quand la caméra est coupée
10:40car contrairement à Kik,
10:42la modération de Twitch
10:42ne permet pas
10:43de diffuser
10:44des scènes de violences.
10:44Ce vendredi,
10:45le lieu de tournage,
10:46toujours basé
10:47dans les mêmes locaux
10:47à Nice,
10:48dans les Alpes-Maritimes,
10:49a été perquisitionné
10:50et le matériel informatique
10:51saisi.
10:52La chaîne est temporairement
10:53indisponible sur Twitch.
10:54On vous tiendra donc au courant.
10:55Merci beaucoup Brice
10:55pour ces actualités
10:56et voilà donc pour aujourd'hui.
10:58Je le disais,
10:58rendez-vous sur Instagram
10:59ce week-end,
10:59le nom du compte
11:00c'est HugoDécrypte.
11:01Passez un excellent week-end.
11:02Prenez soin de vous,
11:03prenez soin de vos proches
11:03et puis on se dit
11:04à demain
11:04pour une nouvelle vidéo.
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