- il y a 3 mois
Emission TV : TPMP sur C8 Thierry Ardisson Dérape en Direct (France,2025)
TPMP Site officiel : https://tpmp.tv/
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00:00Et on va parler de Thierry Ardisson.
00:03Thierry Ardisson, l'image numéro 1 de ce soir,
00:05c'est Sarah Salman dans ses Médias de Dix sur France 5.
00:07Elle a fait front face à Thierry Ardisson.
00:10Thierry Ardisson, il m'a fait de la peine.
00:11Je ne le trouve pas bien.
00:13Mais vraiment, je vous jure que c'est vrai, je ne l'ai trouvé pas bien.
00:16Il m'a fait de la peine.
00:17Et Sarah, vraiment, bravo à vous,
00:20parce que ça devait être compliqué.
00:22Parce qu'il était énervé.
00:24En fait, je venais pour parler d'un documentaire
00:27et lui d'un livre.
00:28On n'a pas entendu parler de son livre
00:30ou parce que ça n'intéresse personne, manifestement ?
00:32Alors, regardez.
00:33Regardez le premier exemple.
00:34C'est pas mon client.
00:37Oui, ça peut le devenir.
00:38Ce n'est pas mon client.
00:39Vous voyez, à chaque fois, vous remettez une pièce sur Thierry Ardisson.
00:42Il vous obsède.
00:44Mais il ne m'obsède pas.
00:45En fait, à chaque fois que vous parlez de lui, vous avez un article.
00:47C'est pour ça que vous le faites.
00:48Simplement, je vous ai expliqué la base du différent.
00:52On l'a compris, vous en parlez à chaque fois.
00:54J'ai obligé de vous la répéter.
00:55La base du différent, c'est qu'il a pris un melon,
00:58mais un, comment on sera...
00:59Mais là, je parlais d'autre chose et vous me reparlez.
01:00Non, mais quand il parle de mes émissions,
01:01il indique des conneries.
01:03Alors qu'il n'a jamais rien fait.
01:04Mais il n'a jamais rien fait.
01:05Il fait 2 millions de personnes.
01:05Il a créé l'émission star.
01:07Il est clair et télévue au suffrage universel.
01:08J'ai essayé.
01:10Bon, alors il fait de la peine.
01:11Après, il n'arrête pas de dire...
01:12Il dit que le truc de la différence,
01:14parce qu'on a dit que son émission sur France 3,
01:17Hôtel du Temps, n'était pas bonne.
01:19Et malheureusement, il n'a pas aimé.
01:20Et puis en plus, c'est vrai que Thierry Ardisson,
01:22il n'arrêtait pas de nous défoncer partout.
01:25Est-ce qu'on peut changer la photo ?
01:26Parce que je suis pas à mon avantage.
01:26Oui, monsieur, vous êtes très bien.
01:28Vous êtes très bien.
01:29Alors, cette séquence arrive après une première passe d'armes
01:31entre Sarah et Thierry.
01:32Un peu plus tôt dans l'émission.
01:34Regardez.
01:35Mais ils ont très mal loupé.
01:35Moi, quand Bolloré m'a viré,
01:36moi, c'était pas si grave,
01:37mais ça a mis pratiquement 100 personnes sur le carreau.
01:40Donc là, on parle de 300 personnes.
01:42Enfin, Bolloré, ça le dérange pas, ça.
01:43Non, vous pouvez pas dire ça.
01:44Ah bon ?
01:45Vous êtes avocate de Bolloré ?
01:46Pas du tout, je ne l'ai jamais rencontré.
01:48Mais vous pouvez pas dire,
01:49Bolloré, ça le dérange pas.
01:50Moi, il a viré 100 personnes quand il m'a viré.
01:52Ça ne l'a pas dérangé.
01:53Là, c'est par 3.
01:55Alors, ça nous a permis de ressortir une archive de 2016
01:57où à l'époque, il comprenait que l'actionnaire
01:59demande des comptes à C8
02:00et il défendait même la vision de Vincent Bolloré.
02:02Regardez.
02:03Je comprends que Vincent Bolloré ait envie de faire des économies.
02:06Canal, c'est une chaîne quand même
02:07où il n'était pas tellement question d'argent, la vérité.
02:10C'est-à-dire qu'en fait, bon, il y avait les abonnés,
02:13mais on n'a jamais entendu parler des actionnaires.
02:16C'est-à-dire qu'aujourd'hui, tout le monde à Canal réalise
02:18que finalement, bah oui, Vivendi,
02:20c'est des gens qui ont des actions Vivendi,
02:22que M. Bolloré est là juste pour que les actionnaires
02:24gagnent plus d'argent,
02:26ce qui est le principe du système capitaliste.
02:28Après, si on n'accepte pas ça,
02:30il faut aller faire de la télévision en Corée du Nord.
02:32Oui, la chaîne est là pour gagner de l'argent, c'est tout.
02:34Après, il y en a plein qui sont juste virés,
02:36parce qu'ils ont échoué.
02:38Vous savez, la télé, c'est comme le rodéo.
02:39Si on tombe du cheval, on est mort.
02:41Ah, là, c'est ça.
02:42Et ouais, donc, ouais, c'est...
02:44Là, il a raison.
02:46Déjà, bravo à Sarah Salman d'avoir commisité.
02:48Alors, on va voir tous les extraits
02:49parce qu'il est très mal coupé dans l'équipe.
02:52Regardez, il y a d'autres extraits.
02:54On a regardé, il a même parlé de vous.
02:55Mais d'abord, on va...
02:56Vous dites souvent qu'il n'existe plus de stars.
03:01Cyril Hanouna est une star.
03:03Oui, c'est une star, mais dangereuse.
03:04Vous voyez ce que je veux dire ?
03:05Non, je ne suis pas d'accord.
03:05C'est la seule personne,
03:07une des seules personnes du PAF
03:08qui donne la parole à tout le monde.
03:09Arrêtez-vous.
03:10Mais ce n'est pas des conneries, c'est la réalité.
03:12Donner une émission politique à Cyril Hanouna,
03:15c'est comme donner une mitrailleuse à un gosse de 12 ans.
03:17Non, parce que vous dites ça...
03:18Parce qu'il dit n'importe quoi.
03:18Il n'y a aucune culture.
03:20Vous lui dites Munich,
03:21il pense que c'est la capitale de la Bavière.
03:22Vous n'avez pas le monopole de la culture
03:24et vous semblez mépriser
03:25les 2 millions de téléspectateurs qui regardent ça.
03:27Oui, je l'ai méprisé.
03:28Non, mais attendez,
03:29vous ne pouvez pas mépriser
03:292 millions de personnes qui regardent cette émission.
03:31Je peux mépriser 5 millions.
03:32Et je trouve que ça traduit une forme d'aigreur.
03:34Thierry, mon chéri,
03:37Munich est vraiment la capitale de la Bavière.
03:39Non, mais c'est vrai.
03:40Ce n'est pas une vanne.
03:41Mais c'est incroyable.
03:42Parce que ça, c'est le pire dans le truc.
03:43C'est que Munich est vraiment la capitale de la Bavière.
03:45Mais moi, alors je vais vous dire,
03:46il y a plein de gens qui m'ont appelé,
03:47qui m'ont dit oui, tout ça.
03:48J'ai dit la vérité.
03:49Franchement, je vous jure,
03:51moi, Thierry Ardisson,
03:52il était très gentil,
03:54il était avec nous sur C8.
03:56J'ai fait énormément en plus
03:57pour qu'il reste sur C8.
03:58J'ai essayé de le sauver maintes et maintes fois,
04:00sachez-le.
04:01Mais il vous remercie bien.
04:02Donne de la confiture à Jean
04:03et te la rendra en chiant.
04:04Non, mais c'est vrai.
04:05Et voilà, donc moi, il est parti.
04:07C'est vrai qu'aujourd'hui,
04:08je n'ai pas de haine contre lui.
04:12Il me fait beaucoup de peine pour lui.
04:13Je n'ai pas de la peine pour lui
04:14parce que je trouve que Thierry Ardisson,
04:16ça représentait quand même quelque chose.
04:17C'est quand même quelqu'un qui avait fait…
04:19On s'est parlé au téléphone rapidement
04:20et vous m'avez dit une chose tout de suite,
04:22c'est moi, je m'en fous,
04:22mais qu'il méprise mes téléspectateurs.
04:24Ça, je ne l'accepte pas.
04:26Après, je pense que mes téléspectateurs
04:27s'en fichent totalement de l'avis de Thierry Ardisson.
04:30Je pense qu'il veut juste un peu exister Thierry.
04:34Et moi, ce qui me dérange plus,
04:36je vous jure,
04:37c'est l'attitude des gens autour.
04:39C'est plus l'attitude des journalistes autour.
04:41Ils sont quand même dans une émission sur le service public.
04:43En plus, je vous dis la vérité,
04:44cette émission,
04:45et c'est pour ça que je vous dis,
04:46c'est quand même incroyable ce métier,
04:47c'est qu'ils m'avaient supplié
04:49d'être le parrain de leur émission.
04:50Ils ont fait la première et j'avais dit oui.
04:51J'avais dit bon, allez.
04:52Ils m'avaient demandé.
04:54J'ai dit d'accord.
04:54Je ne fais jamais l'émission.
04:55J'ai dit d'accord.
04:56Et derrière, regardez quand même
04:57le comportement de ces gens.
04:58C'est incroyable parce que
04:59c'est vrai que leur émission ne marche pas.
05:01Ils invitent tout le monde.
05:01Ils m'ont quand même invité.
05:02Oui, oui, je sais.
05:03Mais c'est vrai que leur émission ne marche pas
05:04et qu'ils essaient de faire du mieux.
05:06Je voudrais vous montrer un truc.
05:07Grâce à cette séquence,
05:08c'est Médiatique qui a fait un joli score
05:09avec un pic d'audience.
05:11Regardez le pic d'audience quand ça parle.
05:12Regardez, c'est incroyable.
05:13Regardez, c'est Rémi Jacob
05:15qui est un très bon journaliste.
05:17Regardez le pic d'audience.
05:18C'est incroyable.
05:19Pour vous dire,
05:20chacun trouve son compte.
05:22Surtout eux.
05:23Nous, on n'a pas besoin de ça.
05:25Mais c'est vrai que Thierry,
05:27moi, je n'en veux pas.
05:30Il me fait un peu de peine.
05:31Voilà, je trouve que, voilà,
05:33je trouve que, j'imagine mon père
05:35qui a son âge, voilà.
05:38Je me dis, il n'aurait jamais parlé comme ça.
05:39C'est vrai qu'il fait un petit peu de peine
05:40à égrener quand même les plateaux télé comme ça
05:43et à être dans la haine.
05:45Il me fait de la peine
05:45parce qu'il a fait beaucoup de choses en télé.
05:47Ça me fait plus de peine qu'autre chose.
05:48Alors, il s'en est pris à vous, aux chroniqueurs.
05:52Et Raymond, il a pris une petite cartouche.
05:54Regardez, je crois.
05:55Une balle perdue.
05:56Le jour où il dit à la télévision
05:58l'émission de Thierry Ardisson
05:59telle du temps, c'est nul.
06:01C'est à chier.
06:02Je ne comprends pas qu'on dépense l'argent
06:05du contribuable pour faire ça.
06:06Alors que lui, la seule idée qu'il a eue,
06:08c'est de mettre quatre connards autour d'une table.
06:09Mais ce n'est pas quatre connards.
06:10Arrêtez de parler comme ça déjà.
06:11Raymond n'est pas un connard, par exemple.
06:12Non, mais aucun de ces personnes
06:14ne sont des connards, vraiment.
06:15Vous bossez pour le groupe Bolloré.
06:16Et alors ?
06:17Et continuez.
06:18Et alors ?
06:18Et j'en suis fier.
06:19Le groupe Bolloré, avec tout le monde,
06:20c'est le groupe de la liberté.
06:21C'est la chaîne de l'extrême droite.
06:24Mais pas du tout, monsieur.
06:25C'est vous qui racontez n'importe quoi.
06:26Mais c'est pas n'importe quoi.
06:26Vous êtes tellement aigri
06:27d'avoir été viré
06:28que vous dites n'importe quoi.
06:28Mais je m'en fous d'avoir été viré.
06:29Bah non, vous en parlez tout le temps.
06:31Alors, donc, il dit que c'est nous
06:31et la chaîne de l'extrême droite.
06:33Il dit que c'est 8.
06:33Il n'y a que des chroniqueurs
06:34qui sont des connards, comme il dit.
06:37C'est vrai que moi,
06:37quand je le vois comme ça,
06:38je vous jure,
06:38il me fait une peine immense.
06:40Mais vraiment.
06:40Vraiment, il me fait de la peine.
06:41Il me fait, Raymond,
06:42alors toi, tu as pris une balle perdue, mon chéri.
06:43Ouais, c'est pas.
06:44Moi, ça me fait plus chier.
06:46C'est comment il parle des gens
06:47qui vont se faire virer.
06:49Genre, c'est bien fait pour leur gueule.
06:50Moi aussi, on m'a viré 100 salariés.
06:52Sauf que lui, il a pris 800 000 euros par canal.
06:54Il a été dédommagé, lui.
06:55Il s'en fout.
06:56En fait, il a pris 800 000 balles.
06:57On parlera de l'avenir de la chaîne.
06:59Après, moi, ce qui me dérange,
07:01ce qui m'a dérangé,
07:01c'est pas qu'il me traite de connard.
07:02Parce que moi, j'ai l'habitude
07:03qu'on me traite de connard.
07:04C'est ma vie.
07:05C'est juste que quand il te compare à Hitler
07:07et personne ne bouge autour du...
07:09Non, j'ai réagi.
07:10Vous ne pouvez pas dire que je n'ai réagi.
07:11Mais ce n'est pas toi de réagir.
07:12Toi, tu as invité.
07:13C'est pas toi de réagir.
07:14Moi, ici, quand je suis venu faire de la télé,
07:15on m'a dit, fais gaffe,
07:16que tu n'es pas au bistrot ici.
07:17Il faut que tu fasses attention
07:18parce qu'il y a une maîtrise de l'antenne.
07:19Il faut que tu fasses attention
07:20à tes mots,
07:20aux mots que tu choisis.
07:22Cyril, parfois, après les émissions,
07:23il me dit, fais attention
07:24de ne pas dire ce mot-là.
07:25Est-ce que c'est une insulte ?
07:25Alors, regardez ce qu'a fait l'animatrice.
07:27Après, elle a repartagé des tweets
07:28qui félicitaient Thierry Ardisson.
07:30Et c'est toujours sur Twitter,
07:31les extraits.
07:31Bien sûr, regardez.
07:32C'est plus ça qui est chiant.
07:33C'est très grave.
07:33Et ça, c'est vrai que ça peut être...
07:34On se pose la question d'attaquer
07:36France Télévisions,
07:37forcément, avec mes avocats
07:38parce que c'est vrai.
07:39Voilà.
07:39Donc, tic-tac, rendez-vous dans 12 heures.
07:41Voilà.
07:42Et puis là, regardez.
07:43Excellent Thierry Ardisson
07:44dans ses médiatiques.
07:44Elle a reposté.
07:46Voilà.
07:46Et c'est vrai qu'elle est incroyable
07:50parce que c'est vrai que c'est quand même...
07:52Ce n'est pas tenu, excusez-moi.
07:54Je suis désolé.
07:54Ce n'est pas tenu, Gilles Verdez.
07:55Non, elle doit réagir.
07:57Et c'est vrai que personne ne réagit
07:59sur le plateau.
08:00C'est vrai que là,
08:01la présentatrice qui like des tweets
08:03concernant la sortie de Thierry Ardisson,
08:05Thierry Ardisson, c'est vrai que là,
08:07moi, je trouve qu'il y a une non-maîtrise
08:08de l'antenne.
08:08Excusez-moi de dire ça.
08:09Mais je le pense vraiment, Gilles Verdez.
08:11On ne peut pas laisser passer Hitler
08:13comparer quelqu'un à Hitler.
08:14C'est purement et simplement scandaleux.
08:16Et j'invite des téléspectateurs,
08:18et je ne le fais jamais,
08:19à signaler cette séquence à l'ARCOM.
08:21Je suis désolé.
08:21Ben oui.
08:22Ah oui, je suis désolé.
08:22C'est diffamatoire totalement.
08:24Il y a de l'injure publique aussi.
08:26C'est scandaleux.
08:27Et c'est incroyable
08:28qu'il n'y ait pas une réaction massive
08:30de tous les gens.
08:30Bien sûr.
08:31Une contradiction.
08:31Même de France Télévisions,
08:32j'aimerais bien quand même
08:33qu'ils fassent un communiqué.
08:34Bien sûr.
08:34On ne peut pas laisser passer ça.
08:36C'est strictement impossible.
08:37Et vraiment, il faut signaler ça à l'ARCOM.
08:40En tout cas, on va le faire, nous,
08:41tous ici.
08:42Parce que c'est vrai que c'est compliqué.
08:43Si c'était l'inverse,
08:44si c'est moi aujourd'hui
08:45qui disais la même chose
08:45de chroniqueur de France Inter,
08:47qu'est-ce qui se passerait d'après vous ?
08:48L'ARCOM sera saisi
08:50dans les heures qui viennent.
08:50L'ARCOM, oui.
08:51Mais ce serait normal en même temps.
08:53Sinon, on insulte quelqu'un.
08:54Si moi, j'insulte quelqu'un ici,
08:56le mec, d'abord,
08:57il va m'attaquer, je pense, au tribunal.
08:58Un jour public.
08:59Un jour public.
09:00Et même la chaîne,
09:01ils vont me dire.
09:02Lui, il va m'engueuler dans les loges
09:03pour en trois quarts d'heure
09:03pour quoi t'as dit ça,
09:04maîtrise de l'antenne.
09:06Eux, ils ont le droit de tout faire, en fait.
09:07Ils ont le droit de comparer
09:08un animateur télé à Hitler.
09:10Et ça passe.
09:11Et l'animatrice,
09:12auquel elle n'a pas vu le coup,
09:13elle n'a pas vu le coup venir
09:14parce que c'est en direct.
09:15Derrière, tu ne t'amuses pas
09:16à reposter.
09:17Et surtout, tu ne mets pas la séquence
09:18sur les réseaux sociaux.
09:19Tu dis, je n'enlève
09:20des réseaux sociaux, cette séquence-là.
09:22Normalement, le français-là
09:22doit dire un truc.
09:23Il est extrêmement jaloux, surtout.
09:24Déjà que vous avez...
09:25On est critiqué,
09:26c'est en émission
09:27qui, c'est vrai,
09:27n'a pas marché.
09:28On a le droit de critiquer.
09:29Il a très mal pris.
09:30Et le coup de Hitler,
09:31pour info,
09:31il l'avait déjà fait en 2001
09:32en parlant de ce qu'il y a
09:33à la série culte
09:34qui est sortie sur Love Story.
09:35Il y a la séquence dedans.
09:36Le Loft est le carton
09:37de la décennie.
09:39Et il dit,
09:39oui, mais le Loft,
09:40regardez, Hitler,
09:41il faisait beaucoup d'audience aussi.
09:42Il faisait le même truc.
09:43Mais ce n'est pas pareil
09:44avec un nom.
09:44Non, je sais.
09:45A coller deux noms
09:46il faut parler à Hitler.
09:47Je pense aussi
09:49que Thierry...
09:51Alors moi,
09:51sachez-le que moi,
09:52il m'adorait.
09:52Il m'a même invité à son mariage
09:53alors que je l'avais vu deux fois
09:54dans ma vie.
09:54Vous êtes venu ?
09:55Oui, je suis allé
09:56parce qu'il était gentil.
09:58Il m'a invité
09:58donc je suis passé à son mariage.
10:00Et c'est vrai que voilà.
10:01Donc il invite quelqu'un
10:01qui est dangereux
10:03et qui est très grave
10:04pour la démocratie
10:05à son propre mariage.
10:06À l'époque,
10:07il mangeait ici à l'époque.
10:09Bien sûr, exactement.
10:09Alors c'est vrai
10:10que quand il était dans le groupe,
10:11c'est vrai qu'il mangeait
10:12dans la main.
10:13On ne va pas se le dire.
10:13C'est la séquence
10:14où on a vu.
10:15Oui, s'il vous plaît.
10:15Vous le savez aussi.
10:16C'est vrai qu'il me mangeait
10:18dans la main
10:18parce qu'il savait
10:19que j'avais quand même
10:20un poids dans le groupe
10:21forcément.
10:22Donc voilà,
10:22c'est vrai qu'il me demandait
10:23souvent mon avis, etc.
10:24C'est vrai que ces émissions
10:25coûtaient très cher au groupe.
10:26Sachez-le.
10:27Sachez-le, je le dis.
10:28Thierry Ardisson,
10:29le samedi et le dimanche,
10:30c'était 160 000 euros
10:31le samedi et le dimanche.
10:34Sachez qu'aujourd'hui,
10:35face à Nuna
10:35qui fait plus d'audience
10:36que Thierry Ardisson
10:37le dimanche par exemple,
10:39coûte la moitié.
10:41Donc forcément,
10:43oui, il y a quand même
10:44la chaîne à un moment
10:46ils prennent des décisions.
10:49Et il y a un autre truc
10:49sur Thierry, je pense.
10:51Il s'est fâché aussi
10:52avec Laurent Ruquier.
10:52À un moment,
10:53il avait dit
10:53que mon émission
10:55que j'avais produite
10:56n'a pas marché
10:56c'est à cause de Laurent.
10:57Laurent qui est un mec
10:58des mecs droits en télé
10:59comme il y en a beaucoup d'ailleurs.
11:01Et c'est vrai que Thierry,
11:02je crois qu'il a aussi
11:02un complexe
11:03de ne jamais avoir réussi
11:03en quotidien.
11:05Donc c'est vrai
11:05qu'il a un peu ce complexe
11:08de ne pas avoir réussi
11:08en quotidien à la télé.
11:10Donc c'est forcément
11:11je crois qu'il rêvait
11:12un jour de faire du direct.
11:13Il ne veut pas être en direct.
11:15Il est en direct.
11:15Il s'énerve sur Sarah Saran.
11:18En montage,
11:18on l'aurait coupé.
11:19Il ne peut pas faire de direct.
11:20C'est jamais de sa faute en plus.
11:21Vous allez nous dire
11:22ce qu'il vous a dit en off.
11:24Et puis on va faire rentrer
11:25mon bébé là-moi,
11:26Fabrice Divino.
11:27Juste Pascal Proust,
11:28c'est ma...
11:28C'est-ce que c'est...
11:29C'est-ce que c'est...
11:31C'est-ce que c'est...
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