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Dans le cadre d’une campagne de sensibilisation sur les #arnaques et #fraudes dans le secteur du mobile money au #Sénégal, Wave Sénégal a contribué à l’instar des autres acteurs de l’écosystème à ce documentaire pour contribuer à la lutte contre ce fléau croissant de #cybercriminalité.
Selon une enquête nationale menée par l’Observatoire de la qualité des services financiers, 90 % des utilisateurs sénégalais ont été exposés à des risques liés aux Services #Financiers #Numériques.

En 2022 Wave Mobile Money a enregistré un volume de 12000 milliards de transaction avec un taux 0,00056% de cas de fraudes enregistrées. Un chiffre qui témoigne de la volonté de la vague bleue d’être une passerelle de confiance avec des services financiers inclusifs et abordables.

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00:00Cet outil a changé la vie de beaucoup de Sénégalais.
00:08Entre paiement de factures, livraison, achats en ligne ou encore une simple course,
00:14le mobile money est désormais ancré dans la vie de l'économie sénégalaise.
00:20Selon la BCAO, le Sénégal est une locomotive pour les services financiers mobiles.
00:24En 2021, les pays enregistraient plus de 21 millions de comptes de monnaie électronique.
00:32Le Sénégal, à l'instar de beaucoup de pays africains, a connu une transformation digitale,
00:41donc une révolution numérique, plus précisément dans tout ce qui est transactions financières par voie électronique, c'est-à-dire la fintech.
00:48Cette nouvelle industrie a vraiment impacté de façon positive le quotidien des Sénégalais
00:55en rendant les services financiers plus accessibles.
00:59Donc aujourd'hui, grâce au mobile money, vous avez un phénomène des gens qui ne veulent pas aller à la banque,
01:03qui aujourd'hui, grâce au mobile money, peuvent faire des transactions,
01:07peuvent aujourd'hui payer pour acheter beaucoup de choses.
01:11Et quand vous prenez aujourd'hui, au niveau mondial, le nombre de transactions,
01:15vous avez presque 85 milliards de volumes de transactions.
01:20Sur ces 85 milliards-là, vous avez plus de 83% qui viennent de l'Afrique.
01:25Mais, dans l'ombre de cette révolution, un fléau silencieux est en ses racines.
01:32Il s'appelle Amadou.
01:34Chaque matin, il quitte la banlieue pour son lieu de travail.
01:37Dans sa boutique, les transactions via le mobile se font presque toutes les 10 minutes.
01:44Depuis qu'il a démarré ses activités, il a perdu plus de 2 millions de francs CFA.
01:48Ce jour-là, il a reçu un appel d'un anonyme qui se faisait passer pour un opérateur.
01:54Mais Amadou ne pouvait pas s'imaginer qu'il vivrait le plus gros cauchemar de sa vie.
01:59Quand j'ai parlé à Amadou, j'ai envoyé Zoom.
02:05J'ai eu le code qui est venu sur le téléphone pour m'envoyer.
02:09Mais quand j'ai lu le code, j'ai vu mon compte.
02:12J'ai vu tout ce que j'ai fait venir.
02:14J'ai acheté 2 millions de francs CFA.
02:19J'ai perdu depuis que je n'ai pas eu de l'argent.
02:23J'ai vu que j'ai fait un petit peu de travail.
02:28Parce que je suis jeune, je travaille, je travaille, je travaille, je travaille, je travaille.
02:32Je n'ai pas vu que je ne le dis pas.
02:34J'ai vu que j'ai donné le code, j'ai vu que j'ai vu que j'ai vu que je n'ai pas eu de l'argent.
02:38C'est ce qui n'est pas bon.
02:40En fait, il y a eu une arnaque de la Diancontelle.
02:43A l'avance de cette personne qui a venu.
02:44Les gens qui ont eu mon place,
02:47Quand je suis venu à ma place, je suis venu retirer une valeur de 2,99 millions d'euros.
02:55Quand je suis venu, je vais me scanner.
02:58Mais quand je me scannerai, je n'ai pas compté les enfants.
03:05Je n'ai pas compté les enfants.
03:07Il faut garder les enfants.
03:09Dans un contexte où le mobile money prend de l'ampleur avec une croissance accrue des transferts d'argent,
03:14les arnaques ou fraudes financières, principales formes de cybercriminalité, ont fini par prendre des proportions d'un véritable fléau.
03:21C'est à cause du blanchiment d'argent aujourd'hui et aussi de la perte de capitaux
03:25qui ont poussé beaucoup de régulateurs, beaucoup de pays à imposer le plus rapidement possible l'identification des abonnés.
03:32Donc aujourd'hui, au Sénégal par exemple, on ne peut plus ouvrir un compte de mobile money si on ne donne pas sa carte d'identité.
03:40Donc, certains même sont arrivés à contourner.
03:43C'est-à-dire qu'ils ont plafonné le volume d'argent, le volume de transactions que vous pouvez faire
03:48tant que vous n'avez pas confirmé votre identité.
03:51Aujourd'hui au Sénégal, si vous voulez dépasser 200 000 francs CFA,
03:55il faut que vous alliez montrer votre carte nationale d'identité pour confirmer votre numéro.
04:01Chaque année, plus de 2 000 plaintes sont traitées par les agents de la division spéciale de cybercriminalité.
04:07Selon la loi sénégalaise, une arnaque ou fraude est synonyme d'une amende sévère.
04:13La loi sénégalaise, elle est carrément, je dirais, satisfaisante, complète,
04:18puisque dans le cadre, je dirais même de la loi de 2016-29 portant le code pénal du Sénégal,
04:26mais à la section 3 de ce code pénal-là, il y a un article 431 qui traite de tous les cas d'infraction en matière électronique.
04:35Et au niveau, en fait, de l'alinéa 29 et suivant de la loi de l'article 431,
04:45il est prévu effectivement des sanctions.
04:48Et ce sont des sanctions énergiques qui sont des emprisonnements
04:54qui peuvent aller d'un an à cinq ans de prison
04:57et qui sont également des amendes qui peuvent être de 5 millions à 10 millions.
05:01Pourtant, malgré l'arsenal juridique, l'escoquerie ou l'arnaque financière dans le secteur du Malmeny
05:07augmente chaque année au Sénégal.
05:10On a pu localiser que certaines régions du Sénégal, comme la région de Kaulak,
05:15la fraude, l'arnaque, est plus prégnante dans cette zone,
05:22après la région de Dakar, naturellement,
05:26mais sur le plan du nombre d'arnaques en termes de nombre et en termes de volume,
05:35c'est la cybercriminalité qui centralise ces informations.
05:39Mais ce que nous savons, c'est qu'il y a une adaptation des arnaqueurs,
05:47c'est-à-dire qu'il y a de nouvelles formes d'arnaques qui, jadis, n'étaient pas prévues
05:53par les émetteurs de monnaie électronique dans leurs plateformes.
05:56C'est la raison pour laquelle ils ont fait beaucoup d'efforts pour contrer cela.
06:00Mais comment alors les escrocs parviennent-ils à berner leurs victimes?
06:05Pour comprendre ce phénomène, nous plongeons au cœur de leur stratégie.
06:09Salaam, alaykoum Sarnassi.
06:11Je t'ai vérifié l'agent.
06:13Tu as fait ta facture.
06:14Je l'ai vu, je l'ai envoyé.
06:17Un appel, un message et aussitôt l'arnaque est en place.
06:23Vous avez d'autres arnaques et ça, il faut qu'on arrive à former,
06:29à communiquer avec les populations.
06:31Aujourd'hui, vous avez des gens qui peuvent vous appeler
06:33pour vous dire que vous avez gagné un prix,
06:35pour vous dire qu'on veut vous envoyer de l'argent
06:37et vous allez communiquer votre mot de passe.
06:39Ils vont vous dire de faire une séquence
06:41et ça, vous allez voir que votre argent
06:43qui était dans votre porte-monnaie électronique va disparaître.
06:46Ils ont plein de techniques.
06:48À la fin, on n'arrive même pas à les retrouver.
06:50Au Sénégal, l'erreur de transfert d'argent est une technique courante,
06:54mais loin d'être la seule.
06:56En raison de l'absence de compétence de la CDPR en matière pénale,
07:00la plupart des plaintes qui ont une connotation pénale
07:03sont transférées soit au parquet,
07:06soit à la division spéciale de la civil sécurité
07:09ou à la gendarmerie.
07:10Par contre, nous avons des dossiers qui concernent
07:12cette fois-ci l'utilisation des données à caractère personnel.
07:15Là, nous avons eu deux gros dossiers.
07:18Le premier dossier a concerné le consentement justement de la personne
07:22lors de l'enrôlement.
07:24Donc, tout ce qui concerne les wallets de manière générale,
07:28le consentement de la personne reste fondamental
07:30et une plainte a permis de mettre en lumière
07:34les modalités de recueil et de protection du consentement.
07:37Ce phénomène a pris de l'ampleur du fait que le mobile money reste une activité lucrative
07:41pour mot de l'économie sénégalaise.
07:43Cependant, selon l'expert Daoudedem,
07:46ce secteur se cherche encore surtout au niveau de la réglementation.
07:50La collaboration entre les fintechs, les banques, les autorités de régulation,
07:56aujourd'hui c'est important parce que c'est une collaboration
08:00qui permet aux transactions d'être sûres, sécurisées et résilients.
08:06Aujourd'hui, on a un problème de régulation parce qu'il y a un vide.
08:09Parce que beaucoup pensent que la régulation du mobile money,
08:12c'est dévolu aux régulateurs des télécoms.
08:15Donc ça, aujourd'hui, c'est une question, on doit faire des assises
08:19pour dire quel est le périmètre de chaque régulateur.
08:22Pour moi, vous avez deux régulateurs.
08:24Vous avez le régulateur des télécoms
08:26qui doit s'occuper de tout ce qui est infrastructures,
08:28de qualité de service technique.
08:30Et vous avez le régulateur, la BCAO pour l'Afrique de l'Ouest,
08:34les pays de l'UMOA qui s'occupent du contenu, c'est-à-dire de l'argent.
08:39Donc aujourd'hui, il faut que la BCAO et ensuite l'ARTP s'asseillent
08:44pour faire de la régulation.
08:46La réglementation mise met la prime de réussite
08:50beaucoup plus sur les moyens de lutte
08:53que sur également les moyens de réparation.
08:55Et je crois qu'à ce niveau, il est essentiel de rappeler
08:59tout le dispositif et toute la réglementation,
09:02aussi bien de la banque centrale que de l'ARTP,
09:05de l'autorité de régulation des télécommunications du Sénégal,
09:08qui préconise à l'ensemble des établissements financiers
09:12intervenant dans le domaine des services numériques
09:16de mettre en place un dispositif
09:19qui puisse permettre d'assurer la sécurisation des données,
09:23la sécurisation également des opérations
09:26qui sont demandées par les usagers des services financiers numériques.
09:30Une enquête nationale sur les risques liés à l'utilisation du service financier numérique
09:35menée par l'Observatoire de la qualité des services financiers
09:38révèle que 90% des utilisateurs ont été exposés à des risques.
09:43Ces 90% sont exposés à l'arnaque, sont exposés.
09:49Mais il est difficile d'avoir un chiffre exact pour l'ensemble des arnaques.
09:54La cybercriminalité nous aide dans ce sens,
09:58la commission des données personnelles aussi,
10:01nous accompagnons le régulateur, la banque centrale,
10:05pour leur permettre d'avoir une meilleure visibilité
10:09et lutter en amont,
10:11éviter en amont le découragement des populations
10:15vis-à-vis de l'utilisation des services financiers numériques.
10:18Pour faire face à ce fléau, des FinTech tentent de trouver des solutions.
10:22C'est le cas par exemple de WEF Digital Finance.
10:25La FinTech qui a révolutionné les secteurs du transfert d'argent au Sénégal
10:29a adopté une stratégie de lutte.
10:31Tout d'abord, je vais commencer par citer une étude nationale
10:35que la Banque mondiale a effectuée en collaboration avec l'OQSF,
10:40l'Observatoire de la qualité des services financiers.
10:43Une étude qui nous apprend en 2022
10:46que 43% des utilisateurs des services financiers numériques
10:50sont victimes de tentatives de fraude.
10:53Cet état de fait nous enseigne que tout simplement
10:56ce n'est pas un phénomène qui est isolé au niveau d'un acteur ou d'un autre,
11:00mais plutôt que c'est quelque chose qui touche le secteur du mobile money.
11:04Donc en connaissance de cause,
11:06WEF a mis en place aujourd'hui un certain nombre de mesures
11:09qui partent déjà de la sécurisation de la plateforme.
11:13Donc aujourd'hui, la plateforme qui héberge toutes les opérations de WEF
11:17est une plateforme qui est certifiée ISO 27001.
11:21Donc en pratique, qu'est-ce que ça veut dire ?
11:23Ça veut dire que c'est une plateforme qui répond à toutes les bonnes pratiques
11:28mondialement reconnues en matière de sécurité informatique.
11:33En 2022, WEF a enregistré un volume de 12 000 milliards de transactions
11:38avec un taux de 0,00056% des cas de fraude enregistrés.
11:43Un chiffre qui témoigne de la volonté de la vague bleue d'être une passerelle de confiance
11:48entre les services financiers inclusifs et abordables.
11:51Tout d'abord, ce qu'il faut comprendre, c'est que chez WEF,
11:56le taux de fraude sur le volume de transactions est inférieur à 1%.
12:02Et j'ai l'habitude de dire qu'il faut prendre souvent référence sur la santé publique.
12:06Un cas égale une épidémie.
12:08La prise en charge et la diligence accordée à un cas est le même accordé à plusieurs cas observés.
12:14C'est pour cette raison que nous avons tenu à ouvrir le partenariat à notre écosystème,
12:20c'est-à-dire nos partenaires de mise en œuvre,
12:23autour d'une feuille de route avec comme objectif d'accroître le facteur d'utilisation des services financiers numériques.
12:30Subdivisé en trois composantes.
12:32La première, c'est un accord de partenariat conclu avec la Direction Générale de la Police,
12:38où nous allons travailler autour des mécanismes de signalement et de coopération rapide
12:43pour anéantir les nouvelles tendances,
12:45mais également aller jusqu'au bout des résultats fournis par les opérateurs
12:50qui permettent à ces forces de sécurité d'aller démanteler les réseaux de fraudeurs.
12:55Pour limiter les dégâts, d'autres acteurs se sont également engagés pour mener des campagnes de sensibilisation.
13:01La CDP intervient et doit intervenir à différents niveaux.
13:05Il y a d'abord le niveau de la prévention, c'est-à-dire la sensibilisation et l'éducation numérique,
13:10où la CDP attire l'attention des usagers, mais aussi des opérateurs de plateformes de paiement,
13:15sur les droits, les obligations, les exigences à respecter pour être en conformité avec la loi.
13:20Ensuite, la CDP intervient dans le contrôle de l'activité des plateformes de mobile money
13:27quant à l'utilisation des données des citoyens sénégalais.
13:30En aval, la CDP intervient dans la gestion du comptantier
13:33qui peut opposer les opérateurs de plateformes de mobile money avec les usagers,
13:39notamment tout ce qui concerne les failles de sécurité, les escroqueries
13:43ou l'absence de consentement dans l'utilisation de ces services.
13:48La seconde composante est un programme de valorisation de l'expérience utilisateur,
13:58à travers lequel nous allons mettre en place un accord avec les associations de consommateurs
14:05autour de la promotion des bonnes pratiques de porte-mollet électronique au Sénégal.
14:11La dernière composante, ce sont la corbeille des réformes
14:14où l'opérateur tente de s'aligner sur des questions importantes
14:19comme la gestion des données à caractère personnel,
14:23mais également la question lancerante de l'enregistrement définitif de nos usagers au niveau du Sénégal.
14:31Aujourd'hui, vous savez, un consommateur qui a été arnaqué et qui se voit son compte piraté,
14:38soit des centaines de milliers, voire un million de francs,
14:41je pense que quotidiennement, il va vivre de l'angoisse, de l'ancienneté.
14:45Et ça peut même créer une méfiance par rapport à l'opérateur.
14:50Je pense que si ce coup-là, notre association fait ce qu'on appelle la gestion des réclamations,
14:55des remontées d'informations à l'attention de l'opérateur.
14:58Quand on reçoit ces réclamations, on fait une remontée au niveau des opérateurs.
15:03Et là, du coup aussi, on organise des séances de sensibilisation et d'information
15:09à l'attention de ces usagers par rapport à ces arnaques-là.
15:12Pourtant, des gestes simples peuvent aussi sauver et protéger les utilisateurs.
15:17Quand on a un téléphone, on a un téléphone, on a un code,
15:20on a un téléphone, on a un code, on a un téléphone, on a un téléphone, on a un code,
15:24on a un téléphone.
15:25En plus, il n'y a pas de l'argent, on a un téléphone pour, par exemple,
15:31pour le faire et le faire.
15:33Parce qu'il y a beaucoup de personnes qui l'ont rendu compte.
15:41Une personne qui t'a dit,
15:43on a un téléphone avec un code de cartes chiffres et les gens qui nous ont appelés
15:47et le liker votre code.
15:49Ne t'en prie.
15:51C'est ce qu'on peut faire juste.
15:53Mais si tu fais tout ça,
15:55ou si tu t'en prie, tu as une télévision,
15:57ou si tu t'en prie des questions de piège,
15:59tu t'en prie.
16:00Les recommandations que nous faisons aux populations, c'est de garder son code secret, c'est d'éviter d'envoyer quelqu'un pour des transactions et au niveau des fournisseurs de services et de produits, nous leur demandons d'alléger le circuit tout en évidemment protéger le circuit pour effectuer une transaction.
16:27Il faut former les gens et former, et comme je dis toujours, il faut que ce soit pas uniquement en français ou en anglais, on a des gens qui parlent d'autres langues. Il faut qu'on puisse les former, les sensibiliser pour qu'ils puissent après utiliser ces différentes innovations en étant vraiment rassurés et sans contrainte.
16:45La lutte contre la fraude à WAVE est portée par une équipe d'ingénieurs, d'opérationnels qui travaillent main dans la main tous les jours sur cette problématique.
16:54On a beaucoup d'efforts de sensibilisation qui sont effectués aujourd'hui à travers des campagnes sur tous les médias, sur les réseaux sociaux, etc.
17:05C'est également aujourd'hui un dispositif automatisé qui a été mis en place au niveau de WAVE pour identifier toutes les opérations à caractère suspect.
17:14Dans cette ère du digital où le mobile money est devenu essentiel à l'économie, la vigilance et l'éducation sont cruciales.
17:22Grâce aux initiatives des FinTech à l'image de WAVE, adopter des mesures sécuritaires sont des étapes clés pour sécuriser les utilisateurs.
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