FILM TRAHISION DIOMAYE SONKO 02

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Transcript

00:00Dégoulou, on a commencé à l'adresse de Dégoulou en direct.

00:05Nous faisons très bien tous les cours.

00:10Je sais que nous sommes venus à avoir eu la parole de Dégoulou.

00:15Les Dégoulou, le président de la Sérou Diomaye,

00:18a été appelé à l'adresse de la politique de PASTEF.

00:23Il a eu les cadres de Dégoulou.

00:27Mais nous avons fait beaucoup de choses.

00:29C'est lui qui l'a misé par rapport à son rapport.

00:34Parce qu'aujourd'hui, j'ai l'impression qu'il s'est misé par le président de Sirou Diomay Diahar Faye.

00:42Merci beaucoup Sokna Minata.

00:44Nous avons beaucoup d'autres coupures.

00:46Donc, par rapport à ce qu'on a parlé dans le rapport,

00:51je ne l'ai pas dit que l'IGE est une banque de présidence.

00:56Et nous avons appris que le président de la république a beaucoup d'informations sur le Sénégal.

01:01Aujourd'hui, si nous avons appris à l'école, nous avons appris que l'on a informé.

01:07Le conseil économique, social et environnemental, nous avons appris que l'IGE a fait un rapport.

01:16Si nous avons appris un rapport, je l'ai dit dans l'extrait que nous l'avons diffusé.

01:21C'est ce qu'on a fait.

01:23Si nous l'avons publié ou pas, parce que c'est le destinataire.

01:26Si nous l'avons publié depuis Paris, nous l'avons envoyé.

01:28Je l'ai dit dans l'extrait que nous l'avons diffusé.

01:30Si nous l'avons diffusé, nous l'avons diffusé.

01:32Si nous l'avons publié, nous l'avons publié.

01:34Nous l'avons publié et nous l'avons publié.

01:39Mais il y a une règle qui a épinglé l'Idriss Asek dans le chantier de Tiersy.

01:43Donc, c'est la logique de la logique.

01:45Et nous l'avons protégé.

01:47Nous l'avons peut-être pour nous l'avons appris à l'appli.

01:51Nous l'avons dit que le président a un pouvoir de grâce à des personnes.

01:55Donc, nous devons protéger les personnes.

01:58Mais ce qui nous intéresse, c'est que le président Basir Diomaï Diakhar Fay.

02:05Parce que si nous l'avons commandité,

02:08le rapport avec le président de la république,

02:12c'est une personne.

02:13Mais si nous l'avons regardé, on verra.

02:15Comme ce que je l'avons dit,

02:17mais nous l'avons libéré Farbongom en attendant, on verra après.

02:23Nous l'avons libéré Tahiroussard, on verra.

02:25Nous l'avons libéré tous les personnes.

02:27Nous l'avons libéré tous les gens.

02:29Nous l'avons libéré tous les rapports.

02:32Donc, nous l'avons libéré.

02:34Pour moi, ce n'est pas la vérité.

02:37C'est pour moi qu'il n'y ait pas de l'élu.

02:41Il n'y a pas de l'élu.

02:43Il n'y a pas de l'élu.

02:45Il n'y a pas de l'élu.

02:47Il n'y a pas de l'élu.

02:48Il n'y a pas de l'élu.

02:52Il n'y a pas de l'Élu.

02:54C'est pour moi que la sâche,

02:56vous devriez prendre des questions.

02:58Le problème c'est qu'il faut que nous l'avons libéré.

03:00C'est l'épisode qui s'appelait à partir du 11 novembre.

03:07C'est l'épisode qui s'appelait à l'épisode qui s'appelait à l'épisode.

03:12Il y a des déclarations que l'homme qui a fait dans le gouvernement.

03:18On a dit qu'il n'y a pas attaqué le leader.

03:21Il y a des déclarations qui s'appelait à Abdurrahman Diouf.

03:25Pour moi, il faut écarter l'épisode qui s'appelait à l'épisode.

03:30Il faut se battre sur la partie roast pour des déclarations.

03:33Au fond, il a été commis sûr que le président de la tâche se déroule.

03:39Il a été épargé par l'épisode d'Aberuso.

03:42Il est reparti pour l'épisode qu'il n'a plus rien à cause de la chose.

03:47Si le président est appartenant à l'épisode, il me déroule des études pour écarter Mimie Touré pour la Mime Touré.

03:53ou nous avons publié le rapport de la paix d'un épingle au jour.

03:57Pour moi, nous avons dit une paix durable pour nous.

04:01Si nous aimons aller, nous avons vu que nous devons nous dérouler.

04:04Nous devons nous dérouler.

04:06Nous devons nous dérouler.

04:07C'est que Abdurrahman Diouf nous a pris le gouvernement.

04:12Aminato Touré, nous avons publié le rapport.

04:16On a tous le droit de l'exprimer.

04:18Si nous avons des arguments, nous avons le droit de l'exprimer.

04:22Il est libre de faire la situation de la coalition.

04:27Ou pas, le président est en train de battre.

04:29Tu es au représentant.

04:31Ou pas, le président est en train de lui donner le pouvoir.

04:36Il est décidé.

04:38Mais nous n'avons pas de problème.

04:40Nous devons nous battre en opposition.

04:42Nous devons nous le défendre.

04:44Parce que Macky Sall, qui a été venu dans les rapports de ma tête avec sa tête?

04:47Qui a été venu dans l'opposition?

04:49Qui a été venu dans l'opposition?

04:51Donc, si nous sommes venus dans l'application,

04:53nous devons nous parler de ce que nous avons dit.

04:55Sur les principes.

04:56Sur le pouvoir.

04:58Et si nous l'avons dit, nous pouvons l'appliquer à beaucoup de choses.

05:04Parce que, aujourd'hui, même si le président Diomaï

05:07n'a pas dit directement sur les cartes,

05:09mais moi, j'ai répondu.

05:11Tout ce qu'on a dit au nom de PASTEF,

05:13dans la campagne, dans l'opposition,

05:15a été engagé.

05:17Parce qu'à l'époque, il n'a pas dit que je n'ai pas d'accord avec ça.

05:21Aujourd'hui, si j'étais président de la république, je n'ai pas d'accord avec ça.

05:23Mais tout ce qu'on a dit,

05:25je n'ai pas dit que je n'ai pas d'accord avec ça.

05:27Si je n'ai pas accès au pouvoir,

05:28c'est parce qu'il était d'accord avec ça.

05:29Si je n'ai pas d'accord avec ça,

05:31il n'y a pas d'accord avec ça.

05:33Il y a une autre chose qui s'applique.

05:35On va lui parler de la question du mandat.

05:37Il s'est dit qu'en 2019,

05:39il n'y a pas d'accord avec ça.

05:41C'est vrai, nous tous,

05:43qui ne connaissons pas que de 2019,

05:45qui ne connaissons pas.

05:47Mais il y a des choses qui sont pour moi,

05:49il n'y a pas d'accord avec ça.

05:51Il ne faut pas qu'on se déroule dans le chemin

05:53qui est normalement,

05:54on va se faire oublier comme ça.

05:55Est-ce qu'il y a des choses qui sont pour l'Ouva ?

05:57Et quand on s'appelle Macky Sal,

05:59où est-ce qu'on s'appelle Macky Sal,

06:01il est là où il y a des 5 ans.

06:03Il est là où on s'appelle au 7 ans.

06:05Il n'y a pas d'accord avec ça.

06:07Il y a des 5 ans.

06:09Il faut qu'on s'appelle la juristique.

06:11Je n'ai pas d'accord avec ça pour moi.

06:13Pour moi, il n'a pas fait pas les mandats.

06:15Il est là où il y a des 7 ans.

06:17Ils sont tous à partagés dans le Conseil constitutionnel.

06:19C'est un débat qui ne connaît pas où on a fait le droit de l'avis avec les décisions.

06:24Il est devenu un référendum.

06:26Il est devenu un mandat qui a été dit qu'il était un mandat qui a été faite.

06:30Il était devenu un mandat qui a été faite.

06:32Il était devenu un grand débat et il était devenu un grand débat.

06:36Mais ce qu'on voulait dire, c'est qu'on était en train de dire que c'était entre frères de parti.

06:42Il était possible d'avoir pris le casquette du président.

06:45Il était devenu entre frères de parti.

06:47C'est ce que j'ai dit.

06:49C'est ce que j'ai dit.

06:51Qu'est-ce que vous voulez partir de 2009?

06:53C'est ce que vous voulez dire.

06:55Mais il y a une communication un peu claire.

06:58Il n'y a pas d'interprétation à ce que vous voulez dire.

07:03Donc pour que vous puissiez faire des pions.

07:07Ou pour que vous puissiez faire des pions.

07:09Il y a quelque chose de solide pour que vous puissiez faire.

07:12Pour que vous puissiez faire des pions.

07:14C'est ce que j'ai dit.

07:16C'est ce que j'ai dit.

07:17Et c'est ce que j'ai dit.

07:18Il y a beaucoup d'interprétations.

07:20Et c'est ce que j'ai dit.

07:22Il y a beaucoup d'interprétations.

07:24Donc j'ai le droit avec elle.

07:26C'est tout ce qu'on a dit.

07:28Mais comme on le dit toujours.

07:30L'allou est d'écrire.

07:32Il n'y a pas de schéma.

07:34Il n'y a pas de calculs politiques.

07:36Ce que nous savons pas.

07:38Mais tant que nous le gardons dans la pire.

07:40Il faut aller en méfiance.

07:42Il faut aller en prendre la tête.

07:44C'est ce que j'ai fait.

07:46Et moi je pense que c'est le bénéfique du Sénégal.

07:48C'est ce que nous voulons faire.

07:50C'est tout de suite.

07:52Franchement, quand j'ai dit de la présence.

07:54Il y a beaucoup de choses.

07:56Il y a beaucoup d'entreprises.

07:58Il y a beaucoup de choses.

08:00Il y a beaucoup de choses.

08:02Mais il y a beaucoup d'entreprises.

08:04Il y a beaucoup d'entreprises.

08:06Il y a beaucoup d'entreprises.

08:08Alors, ils ont pu le dire,

08:10C'est une question que nous avons posée aujourd'hui.

08:14Nous avons vu beaucoup d'actes sur le pays.

08:18Il y a des actes qui peuvent se battre vis-à-vis.

08:23Les gens se battent contre les opposants.

08:27Les médias se battent contre le pouvoir.

08:30Mais nous avons vu des actes qui peuvent se battre vis-à-vis.

08:35Mais ils se battent sur le pouvoir.

08:40Qui part de la mouvance présidentielle?

08:42Il y a seulement des gouvernants.

08:44Mais la coalition, l'organisation politique qui est au pouvoir et ses alliés.

08:49Ils se battent sur les cadres.

08:52Ils se battent sur les cadres.

08:54Ils se battent sur la mouvance présidentielle.

08:57Et ils se battent sur les médias contre le pouvoir.

09:00Et ils se battent sur les opposants.

09:03Et ils se battent sur le premier ministre actuel.

09:06Qu'est-ce qu'il y a?

09:08Nous avons vu des manoeuvres.

09:11C'est pourquoi nous n'avons pas ce qu'ils se battent sur les médias.

09:14Ils se battent sur les médias.

09:15Notre devoir n'est qu'un lanceur d'alerte.

09:20C'est-à-dire qu'ils ne se battent sur l'histoire.

09:23Les gens se battent sur les 80 morts.

09:26Ils se battent sur le même milieu.

09:29C'est ce qu'ils se battent sur l'art.

09:31C'est ce qu'ils sont connus.

09:33Ce sont les gens qui ont manoeuvrés.

09:34Et ils se battent sur le même élément de langage.

09:36C'ils se battent sur la famille de Damone et Maki.

09:38Cela se battait en 2021.

09:39Après les événements qui ont été en a وقت d'un février 24.

09:44Et nous lesançaons d'identifier.

09:46Les politiques qui sont situés.

09:49Ces médias.

09:51Nous disons qu'ils y ont des médias.

09:53Mais il y a des gens qui ont été convaincés dans cette nouvelle nouvelle nouvelle.

09:55On a demandé à personne d'une nouvelle nouvelle,

09:58qui était Mdjambal Diagne.

09:59Parce que si on avait tous les yeux,

10:02on avait des intérêts ou des intérêts à l'épreuve.

10:05On a demandé à personne de Mdjambal Diagne,

10:07Mdjambal Diagne, ce qu'on a dit.

10:09Il a manœuvré dans le souffle,

10:11le plus tard, il a eu l'entretien téléphonique.

10:16Il était un jour un entretien qui était à sa famille.

10:19J'ai fait l'affaire Adjissar.

10:21qui est en comploterie.

10:24Il peut y avoir un tour de la République

10:27et il peut y avoir un autre parti

10:29mais il peut y avoir un autre parti

10:31qui doit être présenté pour les gens

10:33et qui doit être présenté pour les informations

10:35et qui doit être présenté pour le président de la République

10:39Basirou Djamay Fay.

10:41Nous avons fait un autre parti

10:43pour les manoeuvres

10:45qui sont venus à la plateforme.

10:47donc d'alman m'a mis à l'âge d'abri à l'âge

10:55le ménage de l'eau parce que la liberté d'or moi c'est moi qui m'a moulin au

11:04bien au progrès j'aime l'impact j'aime le baguette et j'aime

11:12mais c'est également l'impact n'y a pas d'appel

11:18bohman tini la nette de go sec gérin sur le gochement et tout le coup c'est

11:23agi sa de bingou qui baisse d'une logement d'un côté dac parce qu'un

11:26goulac au jour pour quelques raisons la suite des événements ya carnaval

11:30dossier agi sa ramelle look au ral à kenan qu'on ne connaît qu'un commune

11:33mignan président moum amouta gyao samawaj amouta gyao ben le problème

11:38Ma voix a dit au président Diomay.

11:41Cela dit que ce qu'on a fait,

11:43nous n'avons pas le président de la République.

11:46Il y a des gens qui veulent faire office

11:49de représentant du président.

11:52Il y a des choses qui veulent faire

11:54des documents et rapports pour le dire

11:57qu'ils veulent le président.

11:59Pour quel objectif ?

12:01Nous allons faire un sujet

12:03pour faire un sujet

12:05pour faire un sujet

12:07pour faire attention.

12:09Il faut que tu me dises

12:11pour que tu fasses ce que tu veux.

12:13Pour que tu fasses le temps

12:15et que tu fasses le temps

12:17et que tu te fasses le temps

12:19pour que tu te fasses le temps.

12:21Dans tous les cas,

12:23personne ne s'est fait

12:24pour que tu puisses faire attention.

12:26Parfois,

12:27on peut faire attention sur le sujet

12:29et faire attention

12:30à la question.

12:32C'est-à-dire,

12:34c'est-à-dire qu'on doit faire attention.

12:36La suite des événements, la personne cible c'est Ousmane Sonko et on a créé des dossiers, monté des rapports, créé des documents.

12:46Et après, il y a quelque chose qui a été fait dans la peinture.

12:53Et quand il a fait l'interview avec Maïmoun Ndour le 28 octobre 2025, il a été censuré l'interview.

13:02Il y a quelque chose qui a été fait dans la peinture.

13:05Je te disais que tu l'as vu.

13:08D'abord, tu sais la gravité.

13:10Tu sais la sensibilité à l'état.

13:13Tu le peux vérifier.

13:15Tu sais qu'il y a une meilleure place.

13:19C'est un document.

13:21J'ai dit que je suis chrétienne.

13:23C'est ce que je disais.

13:25C'est ce que je disais.

13:27C'est ce que je disais.

13:29C'est ce que je disais.

13:31C'est ce que je disais.

13:32Si je disais que le président m'a fait pas.

13:33Je disais que je disais que le président m'a fait pas.

13:35Il n'a pas de me dire.

13:36Je disais que le président m'a fait pas.

13:37Dans le cadre de cette carte, il a dit un document.

13:39Il a dit que ce qui a été fait dans quelques documents.

13:41Il a dit que le président de l'affaire d'état.

13:45Il a dit que le président m'a fait pas.

13:48C'est-ce qui a été fait.

14:16C'est un bureau de force spéciale.

14:18Il n'y a pas d'accord avec lui.

14:20Avant, on l'a dit dans le plateau.

14:22L'après, on l'a dit dans le plateau.

14:24Ousmane son a fait une sortie.

14:26Parfois, on l'a dit.

14:28On l'a dit.

14:30On l'a dit.

14:32On l'a dit.

14:34On l'a dit.

14:36On l'a dit.

14:38On l'a dit.

14:40On l'a dit.

14:42On l'a dit.

14:44On l'a dit.

14:46On l'a dit.

14:48On l'a dit.

14:50On l'a dit.

14:52On l'a dit.

14:54On l'a dit.

14:56On l'a dit.

14:58On l'a dit.

15:00On l'a dit.

15:02On l'a dit.

15:04Il y a des personnes.

15:06Ils sont dans des plateaux de télé.

15:08Ou à l'Assemblée nationale.

15:10Ils sont dans des terroristes.

15:12Je suis vraiment touché par ton témoignage et puis j'ai demandé ce que tu parles au Sénégalais.

15:30Nous avons été prises à l'Ousmane Sonko et à tous les médias qui ont été prises et qui ont été prises.

15:39Nous avons vu le capitaine Dziehi.

15:42La sortie en mars 2021, au moment où il a été pris un procès ou un dossier,

15:50il a été pris tout le temps de faire en place d'une organisation terroriste.

15:55Tous les militants sympathisants ont apporté une force spéciale.

15:58Tous les militants ont été considérés comme un terrorisme.

16:03C'est la suite des événements.

16:05Nous avons vu quelqu'un qui est le Capitaine Djeye.

16:08C'est le même Capitaine Djeye.

16:11C'est en 2021.

16:13C'est le même Capitaine Djeye.

16:15C'est le même Capitaine Djeye.

16:17C'est ce qu'il s'est dit.

16:19C'est ce qu'il s'est dit.

16:21Il faut comprendre les choses.

16:25Ils ont fait des affaires et ils ne connaissent pas.

16:29Ils ont fait des titels.

16:33Ils ont fait des livres.

16:36Ils ont fait des révélations.

16:41Ils ont fait des affaires et ils ont fait des dépassés.

16:43Ils ont fait des dépassés.

16:45Ils ont fait des situations très bien.

16:49Ils ont fait des dépassés.

16:51Ils ont fait un appel au président.

16:53À Makisal.

16:54C'est lui qui l'a dit.

16:55Il est venu au Capitaine Djeye.

16:57Il s'est venu en mars 2021.

16:59Il a fait une émission sur cette TV.

17:01Il a fait des émissions pour moi.

17:03Il a fait des événements.

17:05Il a fait des événements.

17:07On le connait.

17:09Il a fait des événements.

17:11On l'a fait des affaires et le président Djeye.

17:13Il a fait des événements.

17:15Il a fait des affaires.

17:17au suivant des événements, le même capitaine Dié, qui a rejoint l'appareil.

17:22Ce qui était la même chose que je lui ai dit, il a été rejoint à l'appareil.

17:28Ce moment-là, il a été rejoint à l'appareil.

17:31Il a eu la même chose de voir, qui a eu le faire.

17:35Et cette cible, c'est Ousmane Sonko.

17:38A la fin de son intervention, le journaliste a été rejoint au premier ministre.

17:43Il y a des gens qui ont dit que le pouvoir ne se partage pas dans une publication.

17:47Il y a des gens qui ont appris à l'écart.

17:50L'idée c'est que Makisal revienne à la réunion.

17:54Il y a des gens, des politiciens, des médias,

17:58qui ont approuvés et qui ont appris à la réunion.

18:03Je vais regarder Facebook et voir TFM.

18:07Le pouvoir ne se partage pas dans une publication.

18:11wasabacar gay est lancuré de la confirmation.

18:12C'est le nom d'un nouveau ministre.

18:14Il faut se prononcer la confirmation.

18:16Il est au président du mouvement.

18:19Il est aussi le président du mouvement.

18:21Il est beaucoup plus vertical au Sénégal.

18:25Mais on voit que ces donsurent inscrits

18:29s'ils comptent sur la même dynamique que le capitaine Dié.

18:32Il est inscrit entièrement par le même dynamique qu'il ne signifie pas.

18:37Pour que nous aurons l'écrit?

18:40semble-t-il, d'après les informations, vous êtes des journalistes, vous avez des collègues journalistes qui en parlent,

18:46il y a des divergences profondes sur la situation sécuritaire du pays.

18:52Informations, vous savez peut-être que nous, le président de la République,

18:55vous savez que mon propre capacité de recevoir ce rapport, vous savez que nous avons donné les renseignements,

19:00ce qu'on dit, c'est ce que nous pensons par rapport à la région, à la région de notre parti sud.

19:06C'est ce que je commence à entendre et bien le temps que vous connaissez à la région,

19:11c'est ce que vous savez de faire, c'est ce que nous savons à l'Ousmane.

19:14Nous sommes en train de soutenir la région de Mme et Mme, depuis la France,

19:18nous avons eu des accusations à l'avoir des données,

19:19nous avons eu des raisons de gravité pour savoir que ça mérite des éclaircissements,

19:24les opinions de la région de Mme et Mme.

19:27C'est ce qu'il faut que nous avions ton mal à patience.

19:30L'État, c'est ce que nous faisons de la sécurité.

19:37C'est la sécurité.

19:39C'est la question de la sécurité.

19:41Nous avons parlé de Babacar Gaye.

19:44Nous avons vu que le même cadeau est dans la TV,

19:48le même cadeau est dans la TV, le même cadeau est dans la RFM,

19:50le même cadeau est dans la TV.

19:52C'est très bien structuré, c'est très bien coordonné

19:56et nous utilisons les mêmes éléments de langage.

19:59Le Président est en danger.

20:01Qui est le danger? C'est Ousmane Sonko.

20:03Mais pourquoi est-ce qu'il s'est interpellé?

20:05Et pourquoi il s'est interpellé?

20:07Parce que tout ce qui a rejoint l'extrait d'Ismaïla divisé 5,

20:11c'est qu'il y a 7 ans.

20:13C'est-à-dire que le Premier ministre,

20:15dans des plateaux de télévision,

20:17il y a 7 ans que l'on connaît.

20:21Et le pire de l'affaire,

20:23c'est qu'on l'a dit et qu'on l'a répété.

20:26Il n'a pas de dépasser les opposants,

20:30il n'a pas de dépasser les médias contre le pouvoir.

20:32Mais il n'a pas de dépasser les deux,

20:34même qu'on est dans une coalition,

20:36c'est qu'on l'a dit.

20:38Il n'a pas de dépasser les

21:02C'est ce qui est le président, le chef.

21:06Mais c'est ce qui est plus grave.

21:08Et pourquoi il s'est interpellé?

21:10Tout ce qu'on a dit, on l'a dit dans des groupes WhatsApp.

21:14On l'a dit dans des SMS.

21:16On l'a dit dans des appels téléphoniques.

21:20Mais on l'a dit dans des médias.

21:22C'est-à-dire que ce qu'on a dit,

21:24c'est que le complot,

21:26c'est parce qu'il y a des médias,

21:28c'est parce qu'il y a des médias.

21:30C'est ce qui est le meilleur.

21:32Un homme qui a été fait dans un service état,

21:34le TDS,

21:36a été coupé à deux médias qui ont pris les relais.

21:38Ce complot,

21:40le dossier,

21:42c'est qu'il faut que le réunir.

21:44C'est qu'il faut que le réunir.

21:46Ils les ont déjà coupé.

21:48Ils ont été coupés à la même chose.

21:50Mais ce qui est,

21:52c'est que le patronne de presse,

21:54c'est qu'il faut faire une sorte.

21:56La patronne de presse a fait une sorte.

22:01C'est-à-dire qu'elle a été dit à TDS et à la ministre de la communication.

22:06Vous n'êtes pas à couper les médias.

22:09Comment entendez-vous l'élément de la directrice de TDS?

22:12C'est pour cela que j'ai invité la directrice de TDS.

22:16Elle a rétabli les signaux de la TFM et de la CETV.

22:20C'est ce qu'il a fait.

22:23Le ministère de la communication a fait une injonction.

22:28Il a signé à la télévision ou à la cour de médias.

22:32Le conseil national de régulation de l'audiovisuel.

22:36C'est-à-dire qu'il a le droit de faire cela.

22:40On a écouté les signaux de la TFM et de la TV.

22:47Le ministre de la communication a été député.

22:52Le ministre de la communication a été député.

22:54Il est le premier ministre.

22:56Ils ont été députés.

22:59Ils ont été députés directement à Senera.

23:02Pourquoi Senera? Parce que Senera est la présidence de la république.

23:05C'est un service que vous savez.

23:07Dans la répartition des services, des directions, Senera,

23:11qui a été député à Senera.

23:13C'est pourquoi la dame interpellée directement à Senera?

23:17Est-ce qu'elle avait des garanties?

23:19Si elle interpellait Senera, elle aurait eu une issue favorable.

23:22La suite des événements.

23:24Les médias ont été députés.

23:26Les médias ont été députés en tant que relais.

23:28Les médias ont été députés.

23:30Les médias ont été députés.

23:32Les médias ont été députés.

23:33Les médias ont été députés entre eux et leurs signes.

23:37Les médias ont été députés dans leur déclaration.

23:40Et puis, lui, nous l'avons nous accepté.

23:42Il existe une déclaration, elles ont été députés dans les médias.

23:44Puis, vous l'avez conscience,

23:46vous avez appris un dossier de talon,

23:48au Sénégal, au 2013-2024.

23:50Les médias ne sont pas que les médias ont été députés.

23:52Il s'est fait à nous et n'aura pas de quoi les complots.

23:55Ils ne le font que,

23:57Mais il a l'autorité de TDS sur le ministère de la communication

24:02Le ministère de la communication est le premier ministre

24:04Quand ils ont pris leurs responsabilités

24:06Ils ont pris un service de la présidence

24:09Un organe

24:10Ils ont communiqué

24:11Ils ont fait un délai des médias

24:12C'est ce qui est le problème

24:15Maintenant la question est

24:18Qu'est-ce qu'on doit arrêter

24:20Et qu'est-ce qu'on doit arrêter

24:22Cette suite logique

24:23Parce que ce qui est en train de dire

24:26Si on ne l'a pas pris dans les événements de 2021-2024

24:30Je n'ai pas besoin de faire justice

24:31Les gens qui ne l'ont pas

24:33C'est-ce qu'on doit arrêter

24:35C'est-ce qu'on doit arrêter

24:36C'est-ce qu'on doit arrêter

24:37C'est-ce qu'on doit arrêter

24:38C'est-ce qu'on doit arrêter

24:39Il y a des rapports

24:39Qui est-ce qu'on doit viser

24:41C'est-ce qu'il est le premier ministre

24:42C'est-ce qu'on doit cibler les gens

24:43Et ce qui est le plus dézolant

24:44C'est-ce qu'on doit mériter

24:46C'est-ce qu'on doit cibler une communauté

24:50Si on entend Babakar Gaye

24:54C'est-ce qu'on doit cibler

24:56C'est-ce qu'on doit cibler

24:56Une communauté

24:57Et'a sa communauté

24:57C'est-ce qu'on doit cibler

24:58C'est-ce qu'on doit cibler

24:59Les mêmes pratiques

25:00Les mêmes déclarations

25:01« La vie de qui est la dame »

25:02Et la même chose

25:03« C'est-ce qu'on doit faire

25:04C'est-ce qu'on doit faire

25:05C'est-ce qu'on doit faire

25:07C'est-ce qu'on doit faire

25:08C'est-ce qu'il y a

25:10Il pourrait nous dire

25:10Il pourrait est-ce qu'on doit

25:12C'est-ce qu'il le dei

25:14Ou il pourrait passer

25:14C'est-ce qu'il faut

25:15S'il se concentrer

25:16Amna Solaou Touburi

25:18Ismaïle

25:18Ce qu'on voit

25:26pour les gens en plus ?

25:30Il y a un herein qui s'est passé avec nous.

25:34C'est un et c'est-à-dire qu'il faut que les gens prennent en place et qu'on a signé

25:37pour retourner la vidéo sur le site d'Oussman Sanke.

25:41Le premier ministre de l'Oussman Sanke a demandé que tout cela se passe.

25:45Il ne faut pas que les gens ne l'ont pas.

25:47Pourquoi arrêter l'histoire ?

25:49C'est une autre question.

25:51Mais le problème c'est que j'ai toujours aimé parler de l'ancien président Macky Sall qui lui a dit que l'objectif est de venir au pouvoir le plus rapidement possible.

26:04On sent qu'il voulait perdre le pouvoir et qu'il savait qu'il était menace pour détruire les menaces en face.

26:17Et alors, on s'est venu à utiliser les mêmes éléments de langage pour détruire les obstacles pour qu'il soit au pouvoir.

26:27Et quand on l'a fait, ils ont fait la même chose, elles ne sont pas prises et maintenant.

26:33Ils ne sont pas prises à paire.

26:36On a donné les mêmes discours avec les menaces.

26:40Ils sont prises à paire et je vous en considère comme on s'est venu à l'opposition.

26:45un meilleur de coalition d'un président de la réplique mon goutier d'une équipe de

26:50tenir les mêmes éléments de langage dit une date la même chose guise en tient encore

26:55cinq bouillards d'offres les n'aider gloire bon à les moeurs monétaire bourgage du pouvoir

26:58bilan est qu'ils veulent qu'ils sont villes en mouvance but la perra m'a dit là non c'est

27:03le meeting des terriers un dinatibéné des balades et il met de mâton le terrain

27:09c'est une meeting de terriers.

27:11Le meeting de terriers c'est que les jeunes qui ont fait le bonheur

27:15ont dit que l'on a répondu à nous pour l'établir.

27:18Par contre, les gens ne sont pas vraiment capables de se faire.

27:23Pourquoi tu m'as l'impression de ne pas faire un peu ?

27:25Non !

27:26Parce que si les jeunes sont des millions de personnes,

27:28les gens ont fait le bonheur,

27:29ils ont fait le bonheur,

27:30ils ont fait le bonheur,

27:31ils ont fait le bonheur...

27:34ils ont fait le bonheur,

27:36ils ont fait le bonheur,

27:37ils ont fait le bonheur.

27:38C'est faux.

27:38Donc, on peut parler des gens,

27:41que la Ko醒,

27:42au Sénégar,

27:43à Dakar,

27:43nous n'avons pas ça.

27:45Mais c'est là qui est quand même un meeting?

27:47Nous avons un meeting.

27:49C'est le meeting d'étrier.

27:50est-ce que l'objet ?

27:53L'objectif,

27:55est-ce que c'est ?

27:56Il y a un projet.

27:57Il devrait déstabiliser le Etat.

28:00Elles vont être des victimes.

28:01Ils devront on diriger une personne.

28:03Mais nous nous devons tout en plus.

28:05Fais la notion d' 201 ?

28:07Je ne le disais pas.

28:09Ce fait est le plan de le terrain de Dakar.

28:11Il ne sera pas le plan du terrain de Dakar.

28:13Vous entendez que le terrain de Dakar soit vraiment comme ça.

28:17Il devait dire que la sécurité est de la sécurité.

28:21On a aussi des gens qui ont été libérés et qui sont en Sénégal.

28:27Cela a été dit que la sécurité devienne.

28:29On a aussi des gens qui sont en Sénégal.

28:33Nous sommes au Sénégal.

28:35Ce qu'on a fait, c'est le dégare-pismayé.

28:38Qui a-t-il déclenché?

28:40Maître Bambassissé.

28:41Il était le ministre de l'Intérieur.

28:43Il était un avocat de Diégué Niali Ousmane Sonkou.

28:47Il a été orchestré avec des gens qui ont été l'orchestrés.

28:52Mais avec des propos graves,

28:55nous sommes en train de faire des mouvances présidentielles.

28:59Les gens qui ont dit que c'était l'objectif du terrain.

29:03Ils ne l'ont pas encore.

29:05Ils ne l'ont pas encore.

29:07Il n'y a pas de gravité.

29:11Le procureur s'est autosaisir.

29:13L'émission n'est pas encore plus.

29:17Il n'y a pas d'écart à la justice.

29:19Il n'y a pas d'écart à l'écart.

29:21Il n'y a pas d'écart à l'écart à l'écart.

29:23Il s'est dit que c'est très bien orchestré.

29:27Il enfin a une cible.

29:29Il n'a pas d'écart à l'armada.

29:31Il a été écrit les personnages qu'ils le font.

29:33Ils ont tous les mêmes éléments de la ligne.

29:36Il n'est pas toujours le paix.

29:39Ceci est immédiat,

29:41et c'est parce que nousões l'éloioureux.

29:43Pourquoi le premier ministre n'a pas de pouvoir ?

29:45Pourquoi il n'est pas faible ?

29:49Et le président de la République a dit que il devait renforcer les pouvoirs du premier ministre.

29:55Il faut que si on veut que l'on soit en droit, il faut que l'on soit en droit.

30:00L'on soit en droit, on doit le faire.

30:04On doit faire des preuves, pas de temps, mais de faire des preuves.

30:07Parce que les personnes qui sont bonnes sont dans la région,

30:10et qui ne sont pas dans la région, parce qu'ils ont vu des gens qui sont là,

30:12et qui sont là, qui sont là, qui sont là et qui sont là.

30:15Donc il faut faire des éléments de preuves.

30:18Mais si on a l'impression qu'il se fait, il n'y a pas de temps.

30:22Tu vois ce que tu as vu de l'emploi contre Ousmane Sonko.

30:26Parce que dans le même temps, il était là.

30:29C'était lui et il était là.

30:31Il n'y avait pas de pause.

30:33Il n'y avait pas de pause.

30:34Il n'y avait pas de pause.

30:35On l'aura de déclencher.

30:38Les médias ont été déclenchés, ils ont été déclenchés.

30:41Et les gens se sont partis, ils ont été déclenchés.

30:44Et toujours, ils ont été observés.

30:46Ils ont été déclenchés.

30:47Donc, quand on se trouve dans le registre de Ousmane 5,

30:50Ousmane On ne l'aura pas de jeunesse.

30:52Ce qu'ils ont dit, est ce que les gens se sont prêts et les gens se sont prêts.

31:00Ils se sont prêts.

31:00Et on ne vous inquiète pas.

31:02Ils demandent des preuves à ce qu'ils ont dit.

31:04Ce qu'on a insinué, c'est qu'on a parlé à des personnes qui ont été créées à des personnes qui ont été créées.

31:09Et tout ce qu'on a créé, c'est qu'on a créé 7 ans.

31:14On a créé 7 ans, il y a des personnes qui ont été créées, mais les médias ne l'ont pas créé.

31:19Les gens ne l'ont pas créé 7 ans, il n'y a pas créé 7 ans le journal.

31:24Mais on l'a dit qu'on a créé beaucoup de répartitions de services.

31:29Aujourd'hui, on a vérifié, contrôlé, coupé, et on sait où on a créé le pouvoir.

31:36C'est ce que je peux faire.

31:38Il s'est interpellé le Sénéra directement pour dire que le Sénéra a été créé et qu'il a fait cela.

31:45Parce qu'on a dit que le Sénéra a fait un gain de cause et c'était le cas.

31:49Le Sénéra a fait un droit de couper les médias et il n'a pas eu le problème.

31:55Alors qu'il n'a pas eu le problème, il n'y a pas eu le problème, il n'y a pas eu le problème, il n'y a pas eu le cas.

32:00Le Sénéra a dit que le Sénéra a prononcé le Sénégal, il n'y a pas eu le problème.

32:06Mais je pense qu'il y a autant de questions que nous devons les prendre avec beaucoup plus de sérieux.

32:10Il ne faut que nous les prendre à la légère.

32:13Parce qu'il n'y a pas eu le mandat.

32:15Il n'y a pas eu le caleur.

32:16Si on n'en a pas eu le problème sur le Sénéra.

32:19Donc, il n'y a pas eu le problème du Sénéra, il n'y a pas eu le problème du Sénéra qui a été la sécurité pour le Révelé.

32:25Le Premier ministre doit vous y répondre, on dit que les questions ne sont rien.

32:29C'est à dire que ce sont des choses qui sont à l'heure de l'honneur de Gouvernier.

32:36Il faut qu'on ne le déroule pas.

32:40Il faut qu'on ne le déroule pas.

32:43Il faut qu'on ne le déroule pas.

32:47Il faut qu'on ne le déroule pas.

32:52C'est ce que je disais, c'est que le président de la République a été fait pour les manoeuvres.

33:03Pourquoi est-ce que Jemmy Ousmane Sonko a été déranger à la femme?

33:08Pour savoir ce que tu as identifié,

33:10quand je suis tombé dans ce que tu as fait,

33:14je suis tombé dans ce que je suis tombé.

33:16Ce qui doit être fait, c'est que la femme est en train de se faire.

33:20Il a été déranger à la femme de la femme de la femme de la femme de la femme.

33:26Ce n'est pas que ça.

33:28Personne ne savait pas de ça.

33:30Mais je suis tombé dans le cadre de la femme de la femme de la femme de la femme de la femme de la femme.

33:36Il a été vendu plusieurs milliards de dollars.

33:40Il a été vendu des transactions,

33:43il a été vendu à la France.

33:46Il a été vendu à la France,

33:48il a été vendu à la France,

33:50et il a été vendu à la France de l'Europe.

33:52Il a été vendu à la France,

33:54et il a été vendu à la France.

33:56Nous avons attaqué à la France.

33:58On a fait une façon de faire quelque chose.

34:00On a l'impression qu'on a deux médias qui ont tous fait un problème sur les deux médias.

34:09Les deux médias ont tous fait un problème sur les deux médias,

34:11c'est la TV et la TFM.

34:15Pourquoi ont-ils été mis en place avec les deux médias ?

34:20Pourquoi ont-ils été mis en place avec les deux médias ?

34:23C'est pour ça qu'ils ont fait un problème.

34:28Ce sont les mêmes médias, les gens qui parlent sont les mêmes médias.

34:35Le Capitaine Dié m'a dit que c'était la TV.

34:39Le Babacar Gaye m'a dit que c'était la TV.

34:42Le Mdiamal a dit que c'était la TV et que c'était la TV et que c'était la TV et que c'était la TV et que c'était la TV.

34:46Les gens qui regardent ce sont les responsables d'Imbiri.

34:49Quand tu regardes les rapports du groupe GFM, il s'agit d'un rapport pour définir la dette fiscale de l'État du Sénégal.

35:00Quelques semaines avant qu'il allait, ou quelques jours avant qu'il allait,

35:05il a eu la patronat pour leur pardon pour leur dire qu'ils n'ont pas besoin d'un impôt.

35:11Laissez-les les impôts.

35:13Avant qu'il allait vous protéger, il voulait vous protéger.

35:16Il voulait vous protéger et protéger les médias pour leur pardonner votre dette fiscale.

35:21Il n'y a pas de droit.

35:23Parce que même effacer une dette fiscale, il y a des chocs.

35:29Qu'est-ce qui peut justifier les médias pour leur dette fiscale?

35:32Il y a des problèmes économiques.

35:34On a vu tous les marchés publicitaires.

35:37C'est-à-dire des médias rentables.

35:40C'est-à-dire des médias rentables.

35:42Le président n'a pas le droit pour pardonner.

35:43C'est-à-dire des médias.

35:44On a dit qu'il allait déstabiliser toutes les médias.

35:47On a dit qu'il allait déstabiliser toutes les médias.

35:50On a dit qu'il allait tout ce qu'il allait faire.

35:54C'est ce changement-là.

35:56Il y a quelqu'un qui a apporté à l'ouzomance.

35:58C'est-à-dire qu'il allait se battre dans le régime.

36:01En 2024, on l'a dit qu'il allait se battre.

36:04C'est-à-dire qu'il allait se battre dans le régime.

36:06C'est-à-dire qu'il allait se battre dans l'hérarchie.

36:09Il allait se battre au cœur des événements.

36:12C'est-à-dire qu'il allait se battre.

36:15Donc, il faut l'écraser.

36:17Il faut l'éliminer par la propagande, par la manipulation, par la désinformation.

36:21Et il y a beaucoup de choses qui ont dit qu'il allait se battre dans le premier ministre.

36:27Et qu'il allait se battre au premier ministre.

36:30Est-ce qu'il allait se battre au second plan ?

36:32Il ne peut pas être.

36:34Mais tu le dis.

36:35Pourquoi est-ce qu'il allait se battre ?

36:37Ca dit que l'ouzomance, si on avait tout le monde sur le premier ministre,

36:42il allait se battre dans le premier ministre.

36:45Il n'a pas vraiment eu de l'éliminer.

36:48Il n'a pas eu de l'éliminer.

36:49Si on a eu de l'éliminer,

36:51en 2009, personne n'a pas eu de l'éliminer.

36:55Cela dit que, avec la vie,

36:57nous l'éliminerons.

36:59On n'en attaquait pas le président.

37:02Le premier ministre m'a attaqué.

37:04C'est-à-dire que mon premier ministre

37:05est le comptable sur le bilan

37:08et qu'on doit le rendre contre en 2009.

37:11Pour la première fois au Sénégal,

37:14il n'en attaqué pas le président.

37:16C'est un premier ministre qui a été attaqué.

37:18Donc ce n'est pas un premier ministre simple.

37:20Donc il devait prendre des responsabilités.

37:22Parce qu'à ce moment-là, il devait être attaqué.

37:26Parce qu'il est attaqué.

37:28Il est attaqué.

37:30Il est attaqué.

37:32Donc ce n'est pas un premier ministre simple.

37:34Parce qu'il devait être attaqué.

37:36Mais on ne l'a pas renforcé.

37:38Ce n'est qu'à ce moment-là.

37:40Qu'est-ce que la suite?

37:42Est-ce que le président a un volontaire d'accueil?

37:44Si le président a un volontaire d'accueil.

37:46Si on regarde les faits.

37:48On a vu que le président.

37:50Il s'est dit.

37:52Et pour la première fois.

37:54Dans l'histoire politique du Sénégal.

37:56Le président s'est dit.

37:58Il s'est dit.

38:00Il s'est dit.

38:02Parce que le président.

38:04Il s'est dit.

38:06Le chef suprême des armées.

38:08Aujourd'hui, la magistrature.

38:10Il s'est dit.

38:12Il s'est dit.

38:14Si on parle la moto.

38:16Il s'est dit.

38:18Si on parle la sécurité.

38:20Il s'est dit.

38:22L'exemple des armées.

38:24C'est ce que le président est dit.

38:25Mais pour la première fois.

38:26C'est paradoxal.

38:28Il ne l'a pas impliqué dans rien.

38:30Il n'a pas été impliqué dans la nature.

38:32Il n'a pas été impliqué dans la nature.

38:34Après, il a été indiqué le premier ministre.

38:38Il a été observé que le premier ministre

38:42a été utilisé le langage de balézard

38:46et a été le fait de leur faire.

38:50Le premier ministre a été le fait de leur faire.

38:54Laissez-le la justice, les médias, les opposants,

38:58laissez-le les chroniqueurs,

39:00laissez-le tous les attaquer.

39:02C'est ce qu'on a dit.

39:04La suite des événements,

39:06on va le définir.

39:08Tout ce qui nous a dit,

39:10c'est que la rupture

39:12a été faite depuis 2 ans.

39:16Mais ce qu'on a dit,

39:18c'est ce qu'on a dit.

39:20C'est une seule question.

39:22La rupture

39:24et tout ce qu'on a dit

39:26n'a pas des taux

39:28des écoles,

39:30des dalles,

39:32des mbakhane,

39:34des tapis rouges,

39:35des rétans,

39:36des actes qui s'affrontent.

39:38On n'a pas besoin de faire un système

39:40comme un anti-système.

39:42Ce système a été soudé en tant que l'homme,

39:44des femmes qui l'entendent,

39:46des hommes qui l'entendent.

39:48Tu as des erreurs pour les personnes qui ont fait des choses que les gens ont fait.

39:51D'ailleurs, ils ont fait des erreurs de la vie au cœur des affaires,

39:54pour éviter les affaires de leur système.

39:56C'est pourquoi ?

39:57Pour éviter les affaires de ce système.

39:59Pour que nous apprennent tout ce que nous avons dit,

40:01il faut que nous ailles.

40:02Nous devons nous réparer.

40:04On s'en va se dire, on s'en va se faire un système.

40:06Ils sont tous les humains.

40:08Les médias qui ont fait des affaires,

40:11et nous devons faire des affaires qui ont fait une affaire.

40:13Il faut être exempt de reprises.

40:16Il faut être exempt de reproche pour pouvoir avoir une erreur dans cette erreur.

40:21Et nous avons beaucoup d'eux qui peuvent les reprocher.

40:23C'est-à-dire qu'il y a une erreur dans tous les gens qui doivent avoir l'espace public.

40:29Il y a une erreur dans l'espace public.

40:32Il y a une erreur dans l'espace public.

40:36C'est ce qu'on doit faire.

40:38Tout ce qu'on doit faire, c'est qu'on peut le faire.

40:41Mais tant qu'il y a une erreur dans cette erreur,

40:43Il y a une erreur dans cette erreur.

40:48Le Premier ministre nous l'attaqué tous les jours.

40:53Le premier ministre nous l'attaqué tous les jours.

40:54Il n'en a jamais fait.

40:55Il n'y a jamais fait.

40:57Il n'y a jamais fait.

40:59Cela est plus grand.

41:02Nous l'abandonnions sur cette erreur.

41:05Je vais voir une autre personne qui l'a fait une diffusion de l'audi.

41:10Il s'agit de tout ça.

41:12C'est une bonne chance d'être.

41:14Au lieu d'une bonne chance, on le se sent.

41:17« La première ministre a une bonne chance du tout. »

41:21« Il a une chance d'embrasser l'électronique. »

41:23« C'est une chance d'avoir une chance de prendre une chance. »

41:25« Quand on parle, le premier ministre. »

41:27« Si je lui ai dit, il ne me faut pas. »

41:30« On lui s'en déclenche. »

41:32« On le laisse, on l'a dit. »

41:34« Ce n'est pas très pour rien. »

41:36« Mais tant qu'on arrête, on le fait. »

41:38Les gens sont dans l'impunité, ils attaquent les gens, les calomniers, les dépassent sa personne et les engagerent la sécurité interne du pays.

41:51Pour moi, il faut des actes forts.

41:53Les actes forts sont d'attacher à tous les fans, à tous les brefs, à tous les blocages.

41:59Les actes sont d'attacher à la communication.

42:03Les actions s'reachent les mains pour les protéger.

42:08Les actes forts sont consolidés à la politique de la ville, les ans sont très bons.

42:12Ils ne sont pas touchés à nous parce qu'ils s'appellent tous les jours et à tous les jours, à tous les jours.

42:20Les gens ne sont pas envers les professionnels, à tous les jours.

42:26Ils ne sont pas envers les moments, à tous les jours.

42:30Nous devons voir les gens de la situation.

42:34Tout simplement, nous devons dire qu'il n'y a pas de volonté de redresser les choses.

42:39Il n'y a pas de volonté de faire un système.

42:41Tout le monde s'est passé.

42:43Il n'y a qu'aucun homme s'est passé au pouvoir.

42:46Il n'y a qu'aucun homme ne veut pas être en retard.

42:50Nous devons dire qu'il faut avoir un changement radical.

42:57Je vous remercie à Ismaël.

43:02Il faut savoir qu'il n'y a pas de pouvoir pour porter plainte.

43:06Il faut savoir qu'il n'y a pas de pouvoir pour porter plainte.

43:10Même si nous portions une plainte,

43:12c'est-à-dire qu'il n'y a pas d'autre.

43:15Qu'est-ce qu'il n'y a pas d'autre?

43:17Quand il y a eu des cartes,

43:20il n'y a pas d'autre.

43:23Est-ce qu'il n'y a pas d'autre?

43:26Il n'y a pas d'autre.

43:28Quand on parle de l'État,

43:30il n'y a pas d'autre.

43:32Il n'y a pas d'autre.

43:34Il n'y a pas d'autre.

43:36Il n'y a pas d'autre.

43:38Il n'y comptait pas d'autre.

43:40Mais l'État n'a rien de pouvoir à l'éteinte.

43:52Parfois, j'ai vu un homme, s'il n'y a jamais été mal,

43:58mais le Premier ministre ne le le dit pas.

44:03C'est-à-dire qu'il n'y a pas d'accord avec l'acte de Ousmane Sonko, il a dit, il a posé des actes, il a posé des actes et il a posé des actes.

44:10C'est-à-dire qu'il n'y a pas d'accord avec l'acte de Ousmane Sonko, il a posé des actes et il a posé des actes.

44:22Il a posé deux actes forts.

44:25C'est-à-dire qu'il n'y a pas d'accord avec l'acte de Ousmane Sonko.

44:35Il a posé un conseil pour qu'il n'y ait pas d'accord avec l'acte de Ousmane Sonko.

44:42Il n'y a pas d'accord avec l'acte de Ousmane Sonko.

44:46Il n'y a pas d'accord avec l'acte de Ousmane Sonko.

44:50Il a vu que les gens se trouvent à l'acte de Ousmane Sonko pour les deux.

44:53Mais ils étaient victimes, ils se trouvaient des victimes,

44:56ils étaient coupables et occupaient les médias.

44:59Ce n'est pas le cas.

45:00Il n'y a pas d'accord avec cette histoire, il n'y a pas d'accord avec l'acte.

45:03Il n'y a pas d'accord avec la politique, il n'y a pas d'accord avec la communication.

45:06Il n'y a pas d'accord avec l'acte de Ousmane Sonko.

45:08Il a parlé à l'acte de Ousmane Sonko, il a dit que je n'ai pas d'accord avec l'acte.

45:10C'est-à-dire qu'il n'y a pas d'accord avec l'acte de Ousmane Sonko.

45:12Il n'y a pas d'accord avec l'acte de Ousmane Sonko.

45:18Il n'y a pas d'accord avec l'acte de Ousmane Sonko.

45:22Il n'y a pas d'accord avec l'acte de Ousmane Sonko.

45:24Il a rencontré les députés.

45:26Parce que le dernier remparant, actuellement,

45:30qui a une personne qui a laissé sur le plan législatif,

45:34il n'y a pas d'accord avec les députés.

45:36Il n'y a pas d'accord avec l'acte de Ousmane Sonko.

45:40Il n'y a pas d'accord avec l'acte de Ousmane Sonko.

45:43Mais j'ai parlé avec l'acte de Ousmane Sonko.

45:45Et ce n'est pas souvent qu'il n'y a d'accord avec l'acte.

45:50C'est-à-dire qu'il n'y a pas la première chose à recevoir.

45:53Je ne peux pas rester sur le plan législatif.

45:56On a fait d'accord avec l'acte du Ousmane Sonko.

45:59Et ce n'est pas vraiment la même chose à proposer.

46:02Les deux députés ont fait une position à Ousmane Sonko.

46:07Si je suis plus fort dans mon soutien, je dois attendre l'internet de l'info,

46:12je conseille que tu n'avais pas eu le soutien d'Ousmane Sonko.

46:17Je suis dit que tu devais croire Ousmane Sonko.

46:21Si tu devrais croire les actes, tu devrais croire si tu devrais croire ce qui s'est passé.

46:27Tu vois les actes qui se posent à la fin, et j'appuie que Ousmane Sonko.

46:35C'est ce qui s'est passé.

46:37C'est que tout ce qui s'est battu n'a jamais été battu.

46:41Il y a deux recours, l'Assemblée nationale et le peuple sénégalais.

46:45C'est ce qui s'est entendue.

46:46Et ce qu'ils souhaitent, c'est que...

46:51Ce qu'ils souhaitent, c'est que ce qu'ils ont dit,

46:54c'est que ce qu'ils ont dit, c'est que ce qu'ils ont dit,

46:57c'est que ce qu'ils ont dit.

46:59Parce que je le répéterais et je le répéterais.

47:02Djamay a eu le pouvoir.

47:05Je pense que le président n'a pas la même mise de la justice pour toi.

47:13Mais le président, il n'a pas la même justice pour toi.

47:17Mais ce qu'ils voulaient faire, c'est ce qu'ils voulaient faire.

47:21Le président n'a pas la même mise de la justice pour toi.

47:25Donc Djamay a eu un pouvoir, Ousmane Sanko a eu un pouvoir.

47:29Et tu vois l'affrontement d'Amey,

47:32parce que l'affrontement n'est pas politique.

47:33C'est-à-dire que l'affrontement n'est pas politique.

47:36L'affrontement n'est pas politique.

47:40Aujourd'hui, Ousmane Sanko a eu lieu au sein du gouvernement.

47:42Mais le gouvernement,

47:44il y a des gens qui ont été découpés pour lui dire la vision de ce qu'il y a en tant que chef du gouvernement.

47:50C'est ce que vous avez vu dans l'arrivée.

47:52Il y a un chef du gouvernement,

47:54mais un homme qui est en train de se faire.

47:56Il faut savoir que le président Diomay a des conseils.

48:01Le président Diomay a des conseils.

48:06Il faut savoir que le président Diomay a des conseils.

48:11Il faut savoir que le président Diomay a des conseils.

48:27Il faut savoir que le président Diomay a des conseils.

48:31Le président Diomay a des conseils.

48:41Le président Diomay a des conseils.

48:45C'est la décision politique.

48:47Il faut savoir que le président Diomay a des conseils.

48:52Le président Diomay n'a pas démissionné.

48:57Il faut savoir qu'il faut divine.

49:02Il a dit que le président Diomay a élu politiquement.

49:04Il n'a pas été dit que tu me souviens.

49:07Mais si tu dois parler de la mauvaise politique.

49:10Tu devrais savoir que, comme ce n'est pas la mauvaise politique.

49:15Il faut savoir que le président Diomay n'était pas posée pour ça.

49:18L'estime que je ne devrais pas démissionner.

49:21Si tu demandes un petit député, tu me reviendras.

49:25Si je fais des décisions, je ne vais pas le voir et voir ce qu'ils me font.

49:31C'est une décision politique.

49:33Maintenant, si on a une co-dénéité,

49:36on a créé sa coalition et si on entend le discours,

49:41on n'a pas d'accord pour qu'il n'y ait pas.

49:42Mimie a donné la faveur et Mimie a accéléré.

49:46Parce qu'on a créé deux coalitions au sein du pouvoir.

49:50Quand est-ce qu'on a créé le Sénégal?

49:53Quand est-ce qu'on a créé le Sénégal?

49:54Quand est-ce qu'on a créé les projets?

49:56Quand est-ce qu'on a créé le Sénégal?

50:00Quand est-ce qu'on a créé le Sénégal?

50:03On assistera à une longue période de Sénégal.

50:07C'est un mandat politique.

50:10C'est pour cela que nous pouvons régler.

50:12Personne ne peut siffler la feuille de la récréation.

50:15C'est le Président de la République.

50:17Je pense que la place du Président de la République

50:19c'est qu'il faut mettre fin à cette récréation.

50:23Comment faire?

50:24Nous sommes des Présidents de la République

50:27et nous devons le remercier de la République.

50:30Je pense qu'il n'y a rien.

50:32Parce qu'il n'y a rien à faire.

50:34Il ne peut qu'il y ait pas d'autres minutes.

50:37C'est un parti de famille.

50:38C'est un parti de famille.

50:40C'est un parti de famille qui n'a pas voté.

50:42Il n'y a rien à garantir.

50:43Il n'y a rien à faire.

50:45Il n'y a pas d'autres opposants.

50:46Il n'y a aucun chômage.

50:55Je ne vous remercie pas.

50:58C'est un parti de papa et de maman.

51:00Nous ne pouvons pas vous apporter de rien.

51:02Si nous étions un discours,

51:04il y a des gens qui se trouvent.

51:08Qu'est-ce qu'il a gagné?

51:12Ismaïla n'a pas d'une affaire.

51:14Pourquoi est-ce qu'il y a un Premier ministre?

51:16Si Makisala n'a pas été pris,

51:18il n'a pas d'une garantie qu'Ousmane Sanko

51:22qu'il puisse être le premier ministre.

51:25Ça me trouve que le premier ministre était en train de me la présenter.

51:27Il est utile.

51:29Donc il a été présenté.

51:31Il a été développé afin de le faire.

51:33Lorsqu'on a des besoins et nous toutes les événements.

51:35Ce qui se trouvait par le gouvernement,

51:37on n'a pas eu une solidarité

51:39de son projet.

51:41Ils ne l'ont pas beaucoup.

51:43Les rapports ne sont pas des rapports.

51:45Ils ne peuvent pas être centré parce qu'ils pourraient participer.

51:49Et Aime Bir avait des faits

51:51ou qu'ils occupaient ces postes

51:53Nous l'avons transmetté, nous l'avons publié, nous les journalistes, nous l'avons publié,

51:58nous l'avons publié, nous l'avons publié, pour savoir ce rapport.

52:01Parce que si nous l'avons publié, le président ne me dit pas que nous devons faire des rapports.

52:06Parce qu'avec ce rapport de l'IGE,

52:08avec le rapport de l'IGE,

52:11vous savez que c'est l'air de Petro Team,

52:14et le premier qui a été dans le meeting,

52:16nous l'avons classifié.

52:18C'est ce que nous avons posé.

52:20C'est pas trop tard pour rattraper.

52:23C'est-à-dire qu'il faut faire comprendre au président,

52:26c'est trop tard pour rattraper.

52:28Parce que Gai,

52:30c'est juste que nous sommes en train de se faire,

52:32c'est le numéro 2.

52:33Si vous le savez,

52:35vous voyez que Gai,

52:38vous ne pouvez pas faire une femme,

52:40mais si nous avons un acte fort,

52:42nous devons revenir à la raison.

52:44Donc c'est pas trop tard.

52:46Et je vais vous interpeller,

52:48je l'avons publié.

52:50C'est le conseil du président.

52:51Jouer son rôle,

52:52c'est le conseil du président.

52:53C'est le conseil du président.

52:54Parce que je me disais,

52:55c'est le conseil du président.

52:56Ils devraient mieux comprendre ce projet-là.

53:00Mais si nous voyons que le président,

53:02nous devons dire que nous devons dire

53:04que le président a été sólo par rapport à la politique

53:07et le projet nous a fait en sénégalais.

53:09C'est que nous avons pu accéder au pouvoir

53:13de manière radicale.

53:14On se gouverne de manière radicale.

53:15Si nous voyons que nous ne devons aller,

53:17c'est parce qu'on est le plus grand

53:19perdant de l'histoire.

53:21Parce qu'on peut regarder et remarquer.

53:25remarqué ni de nous sénégalais dix neuf élections 2024 guerre non sanctionner

53:31sénégalais de nous sanctionner c'est une sanction bouillonne contre les

53:37pouvoiristes n'y a qu'un pouvoir que l'un gomme l'ancien système sénégalais

53:40de l'une sanctionner on est mis doug et les filles n'y a pas que ça le bimoufalo

53:44de votre système mieux pour voler l'intigroup bien au bokeh niop ps

53:49n'y a pas mis à antoniole et moussa vannes a fait à pèses d'aujourd'hui j'arrêta

53:54parce que moussa vannes de meron moteur mou guéné ps abou d'aujourd'hui abou d'aujourd'hui

54:01de cojinder ou ce matin aujourd'hui moumou guide d'empré à effet n'y aura ni moussa

54:06n'y arrêtent à bofoller c'est une rouleau sa moto en 2012 ou les digues de 2011 et 2012

54:11mais un problème au sein de beno s'il sénégal qu'elle beaucoup samourou d'huile parce

54:14que c'est des frais des ennemis nous n'y a pas du système bobe magie sale de

54:17d'aujourd'hui on a une belle occasion d'une petite diapos social ici et libéraux

54:25d'un billet lille sénégalais voté en mars 2004 la déception moins sénégalais

54:31tôt qu'à d'assister ces mêmes personnes nous revenira d'accord d'accord aux affaires

54:35c'est même personne n'y a occupé un nombre taki c'est même personne là nous

54:39vous ne voulez vous ni vous ne voulez continuer à water ni perpétuer ou at les mêmes

54:42pratiques les mêmes pratiques moi t'es quoi login au président

54:46parti parce qu'il y a eu la popularité élection législative et fin de l'élection

54:54de tout l'eau du cotopoulou à système de moyens que c'est vital ismail du

54:56n'est pas au coeur qui achat de conscience boy d'emferme boba n'est

55:02cool euro un responsable du bafane et qui mer n'allait d'agir une

55:06C'est à dire qu'il n'est pas touché pour nous.

55:10Et le Premier ministre a dit qu'il n'y ait pas de la bonne prouver.

55:15Il n'y a pas de la bonne prouver pour que le président ne soit pas de la bonne prouver.

55:22Ce n'est pas une très bonne prouver.

55:25Il n'y a pas d'eux, il faut régler une popularité et une popularité artificielle.

55:33Ce n'est pas une popularité idéologique mais c'est une popularité d'une politique à travers des fonds politiques qui peuvent l'injecter dans des trans-humains et d'une coalition.

55:45C'est ce que nous devons revenir avec les mêmes pratiques que nous devons vivre dans le régime passé.

55:50Et je veux une usi qui n'ont rien dit parce que je pense que c'est un patriote et sympathisant.

56:05Le président Bouchoyoun a fait un problème à la situation.

56:11Les pouvoirs du Premier ministre ont le renforcé à ce qu'ils ont fait.

56:17Ce sont des décisions fortes que les gens devraient revenir à des meilleurs sentiments.

56:23Les gens ne peuvent pas dépenser sur eux.

56:27Les militants devraient publier leurs actions.

56:31Les militants devraient publier leurs actions.

56:35Les militants devraient publier leurs activités gratuites.

56:39Le gouvernement devraient me partager et me partager.

56:42Ce n'est pas la force de passer dans l'opposition.

56:46Les militants devraient faire la communication.

56:50Ils devraient faire un relais entre la communication et l'application.

56:55Ce n'est pas la force de passer.

56:58La force est de terrasser le système.

57:01Le conseiller président devraient aller au top pour un politicien professionnel.

57:06Il ne veut pas le faire.

57:09Il n'a pas le droit de parler.

57:11Il est en train de faire des besoins.

57:12Il n'a pas le droit de parler.

57:16Il n'a pas le plaisir de remercier les gens.

57:20Ils ont fait la paix pour les coupures.

57:23C'était une pente technique.

57:25C'est donc Ismael.

57:26Il est en train de faire des deux oublages.

57:29Il est tout à fait.

57:30Il est en train de faire des rendez-vous.

57:31Il est en train de faire des rendez-vous.

57:33Il a été accueilli.

57:34Il a été accueilli.

57:35Il est en train de faire des commentaires par Ismael.

57:37Bon, on a fait la suite de cette émission Takou Samo Khalat, Inch'Allah, vous avez aussi sa parole à papa Samba,

57:42et vous avez aussi le juriste papa Maudoumbaye, Inch'Allah, à partir de 16h, vous avez aussi l'attention,

57:49vous avez aussi une nouvelle fois qui vous aurez un peu de temps, vous avez aussi des experts,

57:52vous avez aussi l'attention de vous voir, Inch'Allah, à 17h, ce soir sur Takou Samo Khalat TV.

57:58Donc je vais vous donner, Inch'Allah, rendez-vous à un ami à 17h.

58:02Sous-titrage Société Radio-Canada

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