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[#Exclusif] Locales 2025 : Edgard Moukoumbi, le pari du PDG pour moderniser Lébamba

Aux élections locales 2025, Edgard Moukoumbi, ministre des Travaux publics et tête de liste du PDG à Lébamba, met en avant une campagne de proximité. Connu pour son ancrage local et son engagement social, il défend un programme axé sur les infrastructures, l’eau, l’électricité, la santé et la voirie. Entre héritage familial de service public et vision de développement communal, il appelle à l’unité et au vivre-ensemble pour transformer Lébamba en modèle de décentralisation et de modernisation.


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00:003, 2, 1, ça tombe.
00:30Dans la commune de Lébamba, M. Moukoumbi, merci de nous recevoir dans votre résidence de Lébamba.
00:38Bienvenue chez vous, c'est chez moi, c'est pour la famille et c'est pour la population de Lébamba.
00:45Merci bien. Alors vous êtes candidat au local dans la commune de Lébamba, je l'ai dit.
00:51Les populations de cette commune vous connaissent comme un cadre du secteur privé.
00:55Pourquoi avoir décidé de vous lancer maintenant ?
00:59Écoutez, j'estime non seulement que dans la vie, il y a des combats que l'on mène d'abord pour son existence.
01:12Il y a le fait que lorsque un enfant naît et grandit, la première des choses qui l'importent, c'est celle de se réaliser.
01:20Et vous savez que naturellement, chacun de nous a son idée dans ce qu'on pourrait appeler la réussite.
01:31Et lorsque vous vous estimez avoir pu remplir le minimum qu'il fallait et que vous commencez à vous occuper d'abord de vos familles,
01:40vous vous rendez bien compte que ça va aller au-delà.
01:43Et quand ça commence à aller au-delà, c'est comme un appel que vous ressentez.
01:50Et cet appel, c'est Dieu.
01:52C'est Dieu qui vous appelle désormais à les servir le plus grand nombre.
01:56D'abord à votre petite famille, la famille élargie, et la communauté, la communauté, la nation.
02:02Et donc vraiment, je pense que c'est un appel, mais en même temps, ce n'est pas non plus un hasard.
02:10Ce n'est pas non plus un hasard parce qu'on va dire qu'un enfant apprend et est involontairement préparé à faire certaines choses
02:28dès lors qu'il vit dans un certain entourage.
02:31Et donc, mon entourage familial est un entourage, c'est une famille toujours au service des autres,
02:37non seulement de par les parents que j'ai eus, mais également aussi, il est clair que nous avons enregistré déjà dans cette famille
02:45aussi bien notre père, aussi bien l'une de nos mamans, donc notre maman et notre grand frère
02:52ont déjà été au service de la population de l'Abitiwamon.
02:57Et je crois qu'involontairement, c'est en vous, et vous voulez répéter ce que vous avez toujours vu faire.
03:03Dès lors que vous avez commencé à ouvrir votre maison, vous avez commencé à accueillir les populations,
03:09elles aussi, elles se demandent quand est-ce que vous allez venir pour porter leur voix.
03:14Alors, sinon, vous êtes engagé dans cette campagne depuis l'ouverture, et comment elle se déroule ?
03:21Et que vous disent les populations au regard des nombreux besoins que rencontre cette localité ?
03:29Les populations sont heureuses de me voir alignée dans cette bâtard, alignée pour cette élection.
03:41C'est un bonheur également pour moi d'aller à leur rencontre, parce que ce sont mes familles,
03:48ce sont les familles de l'Abitiwamon, qui me connaissent particulièrement,
03:53et que je connais pour la plupart, et naturellement, à leur contact, en allant à leur contact,
04:01les attentes sont énormes, mais vraiment énormes.
04:04Et les bambas assoisent le développement, puisque je suis cantonné au niveau de la commune,
04:10vous savez que je n'ai pas le droit d'aller au département, parce que ma description, c'est la commune,
04:14même si j'ai bien vu que d'autres ne m'en tiennent pas compte,
04:18mais je suis cantonné au niveau de la commune, et je veux dire qu'au niveau de la commune,
04:22les attentes sont énormes.
04:24Les attentes de voirie, les attentes de l'électricité et d'eau,
04:27les attentes effectivement de développement, de manière globale.
04:29Alors, les attentes sont énormes, on vous a vu récemment,
04:33vous êtes allé à l'hôpital de Bambolo, où vous avez appuré une dette de 86 patients démunis,
04:42pour plus de 4 millions de francs CFA.
04:45Ce geste a suscité admiration, devoir de compassion,
04:49prolongement d'un héritage familial ou signal politique ?
04:54Je suis dans une démarche toujours suffisamment logique.
04:59Lorsqu'après avoir été nommé au premier gouvernement,
05:04dans le premier gouvernement de la cinquième république,
05:07par le président république, chef de l'État,
05:09chef du gouvernement, son excellence, vice-président,
05:11l'Église de l'État, je suis venu à la rencontre des populations,
05:15trois mois après, et quand je suis arrivé, naturellement,
05:19la seule chose que je pouvais leur apporter,
05:22au minimum, c'était l'Église.
05:23Je suis arrivé avec des médicaments,
05:28donc des cartons de médicaments d'une valeur de 11 millions de francs CFA
05:32et pour le centre médical de Bambolo,
05:36et pour les dispensaires des villages de l'Église de Bambolo.
05:40Et naturellement, donc, je n'avais pas été à l'hôpital de Bambolo.
05:44J'aurais pu en fait aller avec des médicaments aussi à l'hôpital de Bambolo.
05:48Mais comme vous le savez, l'hôpital de Bambolo,
05:52les médicaments qu'ils administrent là-bas,
05:55ils les font venir des États-Unis.
05:56Donc je ne peux pas me rapporter des médicaments.
05:58Et naturellement, le geste que j'avais déjà fait pour le centre médical de Bambolo,
06:04il fallait faire quelque chose.
06:05Et c'est pour ça que je suis, j'ai pensé,
06:07aller leur donner de la trésorerie
06:09en soldant naturellement la dette
06:12des personnes vulnérables,
06:16que les personnes vulnérables ont vis-à-vis de cette structure.
06:19ça permettait de régler des choses.
06:21Ça permettait donc de faire en sorte que les populations en question
06:25puissent repartir à nouveau à l'hôpital parce qu'elles ne pouvaient pas repartir
06:28parce qu'il y avait la dette.
06:29Et en même temps aussi, ça permettait aussi de soulager l'hôpital en termes de trésorerie.
06:34Donc voilà, j'ai réglé en une seule fois, on va dire,
06:37les problèmes des deux pensées.
06:38Alors, vivre ensemble, présence sur le terrain,
06:44mais également, écoute.
06:49On a droit de vos cris d'eau, comment entendez-vous mettre cela en oeuvre
06:52en tant que maire de l'hôpital ?
06:55Ah, ben, je n'ai pas dit forcément...
06:58Je serai conseiller municipal.
07:00Le maire de les Bambas, nous en déterminerons qui sera.
07:03Les populations, on a écouté déjà, on sait.
07:06On sait plus ou moins quelles sont les orientations.
07:08On verra lesquelles.
07:10Mais il est clair que ce sont les conseils municipaux qui gèrent la cité.
07:16Et il nous faut être très, très attentifs à la détresse des populations,
07:22mais également aux attentes.
07:24Parce que vraiment, ce sont les attentes de développement.
07:26Nous rentrons de plein pied dans la décentralisation
07:29et il nous faudra nous-mêmes pouvoir porter le développement
07:33et, comment dire, faire en sorte que les projets communautaires,
07:39les projets que nos populations attendent,
07:43puissent être inscrits.
07:44Sinon, aller chercher des partenariats
07:46qui nous permettront effectivement de réaliser,
07:47développer nous-mêmes ces projets-là.
07:49Alors, les préoccupations sont nombreuses, on l'a dit,
07:52dans la commune de Les Bambas.
07:55En tant que conseiller,
07:57quelles seront vos priorités
07:59et quels sont les projets que vous allez défendre de manière prioritaire,
08:02en fonction également de ce que vous disent
08:04les populations lors de vos provis?
08:06Le côté sanitaire, il est toujours là,
08:11donc l'hôpital.
08:14Mais cette question, en réalité,
08:16je n'avais même pu en faire un problème.
08:19Je crois que la solution, nous l'avons.
08:20Nous avons la chance de ce que la première dame
08:23est en train de finaliser la construction de l'hôpital,
08:27donc du centre, pas du centre, mais plutôt de l'hôpital,
08:31de Les Bambas,
08:32l'hôpital, donc,
08:34Dwanam Zita ou Lidyingema.
08:35Donc, nous allons voir un hôpital
08:37avec quasiment tous les plateaux techniques.
08:40Donc, ça, c'est le volet, on va dire, médical.
08:43Maintenant, l'autre volet
08:44sur lequel les populations nous attendent,
08:47c'est le problème d'adduction d'eau
08:48et donc du réseau et de l'électricité.
08:51Là également,
08:52on va dire, le peu que nous étions là
08:55et quand nous avons eu la chance d'avoir le chef d'hôpital
08:57venir visiter ces chantiers,
09:00c'est un sujet
09:01qui est quasiment déjà solutionné.
09:03je l'ai annoncé aux populations
09:05puisque, dès le début octobre,
09:08on aura l'entreprise qui a déjà été retenue
09:10et qui reviendra quand il va démarrer les travaux.
09:13Donc, nous avons,
09:14donc, le deuxième volet
09:16qui est plus ou moins finalisé.
09:18Le troisième volet, ce sont les voiries.
09:20Les voiries, et puis, à ce niveau,
09:23également, nous avons quasiment finalisé
09:25toutes les études.
09:25Nous allons repartir sur Libreville
09:28avec les équipes qui étaient là jusqu'à,
09:29avant hier,
09:30donc jusqu'à,
09:31non, jusqu'à hier matin,
09:33qui sont repartis, donc,
09:35sur Libreville
09:35pour qu'on puisse,
09:36in fine,
09:38arriver à une convention
09:39avec la société
09:40qui a déjà commencé,
09:42effectivement,
09:42l'ouverture,
09:42donc, de ces voies-là,
09:43les voies de contrôle.
09:44Donc, ce sont les voies-là
09:46qu'il faudra suivre.
09:47Et puis,
09:48nous avons,
09:50on va dire,
09:51les équipements collectifs.
09:52Ça, ce sont des projets
09:53pour lesquels il faut trouver
09:55des emplacements,
09:55des terrains,
09:56pour pouvoir,
09:57effectivement,
09:59les mettre en place
10:00parce que la population,
10:02la jeunesse,
10:02a besoin, donc,
10:03des occupations.
10:04Donc, il faut des plateaux sportifs.
10:06Mais je pense qu'avec l'appui
10:07du chef d'État
10:08et de la première dame,
10:09une fois, on a trouvé des...
10:10Nous, en tant que...
10:11Une fois élus
10:12conseillers municipaux,
10:13c'est un autre devoir en nous
10:14de trouver les terrains,
10:15les espaces,
10:16et après, aller chercher
10:17les financements
10:17et les partenaires
10:20et les messènes.
10:21Alors, parlons politique,
10:23si vous voulez.
10:25Vous êtes tête de liste locale
10:27pour le compte
10:29du Parti démocratique
10:30à l'ONN,
10:30mais vous ferez face
10:31à neuf listes concurrentes
10:34quand même
10:34dans le RPM,
10:36mais aussi
10:36l'Union démocratique
10:37des bâtisseurs.
10:39Ne craignez-vous pas
10:40qu'au final,
10:41cet éclatement de voix
10:42vous desserve ?
10:45D'abord,
10:45c'est une preuve
10:46de vitalité
10:47démocratique
10:48dans la lue Tijuana.
10:50Donc,
10:51ça veut dire
10:54qu'autant que nous sommes
10:55fils de la lue Tijuana,
10:58nous avons des expectations,
10:59nous avons des ambitions,
11:00donc à nous d'aller
11:00donc se recommander
11:02et solliciter
11:02le souffle
11:02de nos populations.
11:04Mais il est clair,
11:05comme je le dis,
11:06il y en a qui ne reviennent
11:07au village
11:07que lorsque
11:08on arrive aux élections.
11:10D'accord ?
11:10Nous,
11:11on est ici au village.
11:12Vous êtes chez moi.
11:13Je n'ai pas attendu
11:14de devenir ministre
11:16pour être installé
11:16chez moi.
11:17Vous voyez que
11:18je peux vous accueillir.
11:19Il y en a qui sont
11:20naturellement
11:21tête de liste.
11:23Il y en a qui sont
11:24les candidats.
11:26Je ne sais même pas
11:26s'ils ont des domiciles.
11:29Donc,
11:29comment on leur accorde
11:30les souffleurs ?
11:32Non,
11:32je n'ai pas besoin
11:33de s'y dire,
11:33non.
11:33Donc,
11:34j'estime que ce sont
11:34des touristes.
11:35Ils viennent en tourisme
11:36et si sur la dixième
11:38des listes,
11:40on va dire peut-être
11:41qu'il y en a quatre listes
11:42qui pourront sortir
11:44là avec les conseillers.
11:45Donc,
11:46c'est pas un problème.
11:46Et en plus,
11:47on a besoin d'être ensemble.
11:49D'accord ?
11:49Le PDG va engranger
11:51ses nombres de conseillers.
11:53On parlait donc
11:53du RPM va engranger
11:54ses nombres de conseillers,
11:55l'UDB.
11:56Mais ça fait qu'il y a
11:57plusieurs visions
11:59qui vont se mettre ensemble
12:00pour finalement regarder
12:01dans un seul sens
12:02et qui concerne
12:03le développement
12:04de la localité.
12:05D'ailleurs,
12:05dans le cadre
12:06des probables arrangements
12:08qui auront nécessairement
12:09lieu au moment
12:10de désigner
12:12les maires et autres,
12:15y compris au sein
12:16du conseil déferlemental,
12:18est-ce que vous envisagez
12:19des alliances
12:20avec des formations
12:22politiques alliées ?
12:24Vous savez qu'après le coup
12:28de la libération,
12:31il y a très peu de partis
12:32qui peuvent se réclamer
12:34comme étant des partis
12:35de la libération.
12:37Le gouvernement
12:38dans lequel j'ai la chance,
12:40la grâce de siéger
12:40uniquement par la bienveillance
12:43et le bon vouloir
12:44du grand chef de l'État,
12:45chef du gouvernement,
12:47dans ce gouvernement,
12:48nous avons au moins
12:49quatre tendances.
12:50Nous avons,
12:53aujourd'hui,
12:53maintenant,
12:54des membres du gouvernement,
12:54quand on est AIT,
12:56il y avait très peu
12:56qui étaient estampillés.
12:58Mais, in fine,
13:00avec la mise en place
13:00comme l'Union démocratique
13:02des bâtisseurs,
13:03nous avons des ministres
13:04du gouvernement
13:04qui sont issus
13:08désormais
13:09de l'Union démocratique
13:11des bâtisseurs.
13:13Nous avons
13:13quelques ministres
13:14aussi au gouvernement
13:15qui sont
13:16du Parti démocratique
13:17d'Abonne.
13:18Nous avons aussi
13:18d'autres ministres,
13:21je crois,
13:21un ou deux,
13:22qui sont,
13:24on a dit,
13:24le vice-président
13:26du gouvernement
13:27du RPM.
13:29Et nous avons aussi,
13:30par exemple,
13:30le ministre de l'Ombien,
13:33qui a aussi
13:33d'une autre tendance.
13:34Vous ne pouvez pas
13:34tous les citer.
13:35Donc, ça veut dire
13:36que nous avons là,
13:38en réalité,
13:39des partis
13:40qui, déjà,
13:42travaillent ensemble
13:43au niveau du gouvernement.
13:44Donc, si demain,
13:47il n'y a besoin,
13:47effectivement,
13:48s'il n'y a pas de majorité
13:49et qu'on a besoin,
13:49effectivement,
13:50d'alliances,
13:51je pense que ces partis-là
13:52sont naturellement
13:53la bienvenue
13:54pour pouvoir travailler ensemble.
13:55Alors,
13:56quittons votre département
13:57et allons-y un moment
13:58dans la DOLA.
13:59certainement,
14:01l'un des duels
14:01les plus attendus
14:02aux législatives.
14:03On vous a vu
14:04aux côtés
14:04de Yves Fernand-Morfoumbi.
14:06Au-delà du fait
14:07que vous soyez
14:08ici d'un membre politique,
14:10le Parti démocratique
14:11à mon âme,
14:12quel message
14:13souhaitiez-vous
14:14faire passer
14:15et quel message
14:17votre présence
14:17aux côtés
14:18de Yves Fernand-Morfoumbi
14:19renvoie
14:19du point de vue
14:20de la solidarité gouvernementale ?
14:22Je vais préciser ma question,
14:24d'autant plus
14:24que dans le même temps,
14:26on a vu
14:26des membres
14:27du gouvernement
14:28de la tendance
14:30du DB
14:30défiler dans cette localité
14:32pour soutenir
14:32l'adversaire
14:33de Yves Fernand-Morfoumbi.
14:36Vraiment,
14:37j'ai eu l'occasion
14:39un peu de m'exprimer
14:39sur cette question.
14:41j'ai pris,
14:44on va dire,
14:46on va dire,
14:48en termes d'exemple,
14:51on va dire
14:51le championnat national
14:53d'un pays
14:53et la sélection nationale.
14:56Donc,
14:57le championnat national
14:58se joue
14:58entre
14:59les équipes
15:01et la sélection nationale,
15:03ce sont les joueurs
15:04issus de ces équipes
15:05qui jouent en championnat.
15:08Et donc,
15:09moi je suis
15:10candidat investi
15:12au Parti démocratique gabonais.
15:13J'ai à côté
15:14Andende
15:15le deuxième vice-président
15:17du Parti démocratique gabonais
15:18qui est également engagé.
15:19Et vous pouvez pas penser
15:20que moi aussi,
15:22j'aurais pas bien voulu
15:23qu'il vienne me voir.
15:25Mais comme j'ai pas prévu
15:26faire de grands meetings,
15:27parce que c'était
15:28un grand meeting
15:29de lancement
15:29de sa campagne.
15:30Moi j'ai pas prévu
15:31faire de grands meetings
15:32de lancement de campagne,
15:32encore moins
15:33des meetings de culture.
15:34J'ai privilégié
15:35donc la proximité,
15:35donc les causeries
15:36dans les quartiers.
15:38Donc moi je suis allé
15:38à l'occasion
15:39de ces grands meetings,
15:39on va dire
15:40c'est de grands rassemblements.
15:41Ma simple présence,
15:42c'est vraiment
15:43lui apporter
15:43un peu de force
15:44et de courage.
15:45Mais il est clair
15:46que je ne vais pas aller
15:47influencer
15:47l'électorat
15:49de la DOLA.
15:51Mais en même temps,
15:53j'estime que
15:54c'est cela
15:57être,
15:58on va dire,
15:59être fidèle
16:00à ses engagements.
16:00où j'affirme
16:02où j'affirme
16:03que je suis bel et bien
16:04du parti
16:04de la politique gabonais
16:05où je ne le suis pas.
16:07Et comme le dimanche
16:07en question,
16:08mais je n'avais
16:09aucune activité,
16:10me rendre
16:10dans DND,
16:11aux côtés
16:11de mon vice-président
16:13ayant eu
16:13au fernand
16:13m'enfoumi,
16:14ne me posaient
16:15aucun problème.
16:16Je n'ai pas fait
16:17déplacer des populations.
16:18Moi,
16:18j'avais juste mon équipe
16:19de coordination générale
16:21de campagne
16:21qui m'a accompagné,
16:23estimant que je ne
16:23pouvais pas y aller seul.
16:24On est allé
16:25et on a vu
16:26comment il pouvait
16:27démarrer
16:28sa campagne
16:29dans la localité
16:31de la DOLA.
16:31Vous parliez
16:33de diverses tendances
16:36politiques
16:37au sein
16:37des équipes
16:37gouvernementales.
16:38Comment ça se passe ?
16:39Vous êtes membre
16:40du gouvernement,
16:41du conseil,
16:41des ministres.
16:42Est-ce que
16:43ces questions politiques,
16:44vous les mettez
16:45à la porte
16:46au moment d'entrer
16:47dans la salle du conseil ?
16:48Comment ça se passe ?
16:49Je peux vous assurer
16:51que jusqu'à maintenant,
16:54nous n'avions pas eu
16:54de tensions
16:55ou encore
16:56des situations
16:58qui pouvaient
16:59sembler ambiguës.
17:00Non.
17:00Nous travaillons
17:01entre collègues
17:02la mettre dans la main
17:03et je peux vous assurer
17:05en tant que ministre
17:06de TP par exemple,
17:08mes collègues
17:09membres du gouvernement
17:10engagés
17:11dans ces batailles
17:12électorales,
17:13je n'ai pas lésiné
17:14et je n'ai pas hésité
17:16à les accompagner
17:17sur le plan
17:17des infrastructures,
17:18des petites routes
17:19à ouvrir,
17:20du côté de Mouila,
17:21du côté de Fougamoum
17:23Ikobé,
17:25du côté de DLD,
17:27donc la route
17:28Mbadi
17:29et Nyangayungu,
17:31non,
17:32je suis dans mon devoir
17:33régalien
17:34et ce sont d'abord
17:35mes frères,
17:36ce sont mes collègues
17:36dans le gouvernement,
17:37Edgar,
17:37nous avons telle situation,
17:39du côté de la Nyangayungu,
17:39c'est pareil,
17:40j'ai mis en mouvement
17:41les engins,
17:42les équipes
17:42et parfois même
17:44les collègues
17:46ont dû débourser
17:48un peu de carverne
17:49parce que j'étais coincé,
17:50j'avais la logistique
17:51matérielle,
17:52malheureusement,
17:53les moyens,
17:54la chose,
17:54je n'en avais pas,
17:55je leur présentais la situation,
17:56ils mettaient la main
17:57à la poche
17:57et on réglait le problème.
17:58Parfait,
17:58Gabon d'abord.
17:59Voilà,
17:59Gabon d'abord
18:00du côté où l'intermonde
18:01en a fait pareil.
18:02Alors,
18:02revenons dans votre département,
18:05un message
18:05à l'endroit
18:05de vos électeurs
18:07qui vont se déplacer
18:08aux urnes ce samedi.
18:10Mais le message,
18:11il est simple,
18:12je leur ai dit
18:13qu'il faut faire le choix
18:16uniquement
18:18du bon vivre,
18:19du vivre ensemble.
18:21Nous sommes tous
18:22fils et filles
18:23de la ville,
18:23tu vois nous ?
18:24Fils et filles
18:25de la commune
18:26puisque je suis à la commune.
18:27Il n'y a pas de raison
18:28qu'il puisse y avoir
18:29des tensions
18:30au sortir de cette élection.
18:32Le message est simple,
18:33qu'ils aillent voter
18:34pour la personne,
18:36au-delà
18:36des appartenances politiques,
18:38qu'ils aillent voter,
18:39que les professions
18:39aillent voter pour la personne
18:41qu'elles estiment être
18:42celle-là
18:43qui peut développer
18:45cette proximité
18:45et qui peut porter
18:46le développement.
18:48Ce n'est pas le seul,
18:48il ne sera pas le seul
18:49à apporter le développement
18:50dans la localité
18:51mais qui va être
18:52peut-être le seul chef du fil
18:53pour qu'après,
18:54avec les autres
18:55issus des différents mouvements,
18:57donc des différents partis politiques,
18:58ensemble,
18:59ils puissent effectivement
18:59se mettre ensemble
19:00pour pouvoir travailler
19:01au développement
19:02de la localité
19:03et ce développement
19:04pour lequel nous avons
19:05déjà la chance
19:06de voir les impulsions
19:08du président de la République
19:10et de la Première Dame
19:10dans notre localité.
19:12Il y a beaucoup de projets
19:12qui se développent.
19:13Il faut pouvoir,
19:14au contraire,
19:15les accompagner
19:15et les superviser.
19:16Merci,
19:17merci pour ces éclairages.
19:19Je rappelle que nous étions
19:21avec Edgar Moukoumbi,
19:23tête de liste au local,
19:26pour le compte
19:26du Parti démocratique gabonais
19:28dans la commune
19:29de Lebamba
19:30et nous enregistrons
19:32depuis sa résidence
19:33de Lebamba.
19:34Avant de nous quitter,
19:37Edgar Moukoumbi,
19:38j'ai peut-être
19:38une petite question.
19:40C'est mon joker,
19:41en quelque sorte.
19:42Le général de Gaulle
19:43a quitté le pouvoir
19:44après avoir perdu
19:46le référendum en France.
19:49Quelles conséquences
19:49diriez-vous
19:51en cas d'échec
19:52au ministère ?
19:53Je ne pense pas
19:56que je vais perdre,
19:57déjà,
19:57c'est une réalité.
19:59Je vous ai dit
20:00que je joue à domicile,
20:02je suis sur des terres
20:03que je connais très bien.
20:06J'ai été cantonné,
20:07on va dire,
20:08le parti m'a investi
20:10au niveau de la commune.
20:14Je ne peux pas perdre,
20:15ça veut dire quoi ?
20:15Je ne sais même pas,
20:16au niveau,
20:16comme c'est un,
20:18comment dire,
20:18c'est une élection,
20:20une élection à liste,
20:20je ne peux pas
20:22perdre cette élection.
20:24Je ne peux être minoritaire.
20:25Je ne pense pas
20:26pouvoir être minoritaire.
20:27Merci.
20:27Si je ne suis pas
20:28en tête dans le nombre
20:30de conseillers,
20:31au pire des cas,
20:32je serai des jeunes.
20:33Parce qu'il n'y a pas
20:34de foudre en face de moi.
20:36Merci,
20:36Éclat Bokoubi.
20:37Merci beaucoup.
20:42C'est bon ?
20:43Merci à vous,
20:44chers internautes,
20:45merci à vous,
20:46chers internautes,
20:47pour votre écoute.
20:49Et je vous rappelle
20:50que nous tournions
20:51depuis Les Bambas,
20:52c'est dans le département
20:53de la Luitiwano.
20:55Bonne soirée chez vous.
20:57Merci.
20:58Voilà.
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