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[Interview] Législatives 2025 : Bilie Bi-Emane veut transformer le 5ᵉ arrondissement de Libreville


Professeur, cadre administratif et homme politique, Dieudonné Patrick Bilie Bi-Emane, place la fidélité et le service au cœur de sa candidature. Candidat PDG au 5ᵉ arrondissement de Libreville, il dévoile ses priorités : eau, électricité, emploi des jeunes et unité politique. Une candidature bâtie sur la fidélité et le service aux populations.

Découvrez sa vision pour rapprocher l’Assemblée nationale des citoyens et améliorer la vie des habitants du 5ᵉ arrondissement de Libreville.



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Transcription
00:00Le cinquième arrondissement aujourd'hui fait partie des grands soutenus, je crois,
00:04le deuxième arrondissement en termes de démographie et même en termes de superficie.
00:08Bon, en tant que fils du cinquième arrondissement, là, là, là, aujourd'hui, il y a un problème.
00:12C'est celui de l'eau, l'addiction d'eau.
00:15C'est véritablement un problème.
00:17Je suis heureux, déjà, que le président de la République en a fait une priorité.
00:21Le problème de l'électricité reste aussi d'actualité.
00:23Et nous allons nous les forcer à rentrer, ou du moins à participer objectivement avec détermination
00:30pour que les projets de loi qui rentrent dans cette optique, qui s'inscrivent dans cette logique,
00:35aboutissent pour le bien-être des populations.
00:38Bonjour à tous et à toutes et bienvenue dans Candidat à vous la parole.
00:42Aujourd'hui, nous recevons un visage politique qui veut se présenter sous un nouveau jour.
00:46Candidat du Parti démocratique gabonais aux élections législatives pour le deuxième siège du cinquième arrondissement de Libreville,
00:55Dieudonné Patrick Bilié-Biémane vient partager avec nous son parcours, ses motivations et surtout sa vision pour l'avenir.
01:03Pendant 15 minutes, nous allons tenter de mieux comprendre l'homme derrière le candidat
01:06et les engagements qu'il souhaite porter à l'Assemblée nationale.
01:13Dieudonné Patrick Bilié-Biémane, bonjour.
01:16Bonjour.
01:17Merci d'être sur cette émission. Pour commencer, qui êtes-vous ?
01:23Merci de me donner cette opportunité. Je suis Bilié-Biémane, dieudonné Patrick Edmond.
01:29Je suis enseignant de profession, professeur certifié de lycée et collège, professeur associé à l'IPN.
01:37C'est ma profession.
01:39Sur le plan administratif, j'ai été, tôt à tôt, chef de cabinet du maire du cinquième arrondissement.
01:45Ensuite, directeur de l'assistance aux municipalités, au ministère de la ville, soit à Mourumba.
01:55Ensuite, j'ai été coopté par le maire en 2008, le maire de la commune de Libreville, monsieur Jean-François Antutoumémane,
02:04qui a fait de moi directeur général adjoint de la culture.
02:07Ensuite, toujours Antutoumémane, m'a promu au poste de directeur général adjoint des finances chargé du patrimoine.
02:13Madame Ossouka, en arrivant, m'a gardé pendant trois ans.
02:18Ensuite, j'ai dû retrouver l'école, c'est-à-dire le lycée.
02:22Je suis parti à l'IPN, où je suis professeur associé au département d'histoire et géographie.
02:29Par la suite aux élections, je crois, de 2018, monsieur Adrien Guimamba,
02:32le tête de liste actuelle PDG du cinquième arrondissement,
02:36m'a fait l'honneur de me nommer conseiller du maire auprès du troisième maire adjoint.
02:39Lorsqu'est arrivée la déchéance, ou bien le départ de l'échange de Jésus,
02:46il a fait de moi l'arrivée de l'égenre bas.
02:51J'étais promis conseiller, vous voyez.
02:54Et par la suite, nous sommes partis au ministère du Travail,
02:56où j'ai été nommé directeur de cabinet du ministre du Travail,
03:00donc de monsieur Adrien Guimamba.
03:03Et le président de la République, en mai 2025,
03:07a envoyé monsieur Adrien Guimamba à la mairie des Libre V comme délégué spécial.
03:13Et aujourd'hui, je suis conseiller technique de monsieur Adrien Guimamba dans son cabinet.
03:17Voilà succinctement présenté qui je suis, sur le point administratif et professionnel.
03:23Vous avez quand même une riche expérience au regard de ce que vous venez de décliner.
03:26Est-ce que vous pouvez nous dire quelle valeur ou expérience de vie vous ont le plus marqué
03:32et forgé votre engagement aujourd'hui ?
03:34Alors, la valeur principale, c'est la fidélité.
03:37La fidélité parce qu'on m'a toujours appris qu'en politique,
03:40on ne peut rien faire si on n'est pas fidèle.
03:43Malgré les toupitudes que j'ai pu connaître, n'est-ce pas,
03:47au sein du Parti démocratique gabonais,
03:49parce qu'il faut le rappeler, en 2023,
03:52la nouvelle équipe à l'époque,
03:53que j'étais membre du Conseil national est arrivé avec une méthode très peu orthodoxe.
03:58Après plus d'une dizaine d'années comme membre du Conseil national à la Fédération Ressavo,
04:05on m'a éjecté sans raison apparente.
04:07Et puis bon, je suis resté calme, sans vague,
04:10et j'ai assumé le fait de faire la politique.
04:13Et que ce sont également les aléas de la politique.
04:16Je suis resté au PDG,
04:17et avec le coup de la libération,
04:20avec tout ce qui s'est dit,
04:22quant à, j'ai envie de dire,
04:25à la suppression du PDG,
04:27nous sommes restés calmes.
04:29Mon leader, moi, Adrien Guémamba,
04:30nous sommes restés au PDG.
04:31On n'a pas fait de vague, nous sommes restés.
04:33Alors, tout ça, ce sont des valeurs de la fidélité
04:36qui ont fait en sorte que nous restons là.
04:38Et au revu de ça,
04:39je crois que ça a été un élément déterminant
04:42quant à mon choix en tant que candidat
04:45du PDG au deuxième siège
04:46de la commune de Libreville,
04:47le cinquième arrondissement.
04:49Et aujourd'hui, qu'est-ce qui vous a convaincu
04:50de briguer le deuxième siège
04:53du cinquième arrondissement de Libreville ?
04:55Une simple raison.
04:56Je suis natif du cinquième arrondissement,
04:58là, là, là, à la gauche.
05:00Et je suis plus ou moins, j'étais,
05:04j'ai fait la politique depuis,
05:06il faut le dire,
05:06depuis 90, j'étais étudiant,
05:10tour à tour, j'étais au RNB à l'époque.
05:11Vous savez, quand on est étudiant,
05:12là, on est toujours amené par cette vague
05:15de rénonciation à ce qu'on considère
05:18comme abus du système mis en place.
05:21Et j'ai fait la carrière au sein du PDG.
05:25J'accompagne beaucoup d'ennies
05:26que je rends hommage aujourd'hui.
05:28Un comme M. Mavungundo Mitegé,
05:30Joseph Landry,
05:31a été pour moi quelqu'un d'encadreur
05:34sur le plan politique.
05:36Et à cette époque,
05:37la politique, on la voyait autrement.
05:39C'était le respect des aînés,
05:40le respect des valeurs.
05:42Mais depuis cinq années,
05:44je suis outré
05:45par l'attitude de désinvolture
05:47qui frise
05:48l'indécence, n'est-ce pas,
05:52politique,
05:53et qui se matérialise
05:54par des comportements,
05:57je veux dire,
05:59totalement aux antipodes
06:01de ce que moi je vois à la politique.
06:02Parce que la politique, pour moi,
06:03ce n'est pas se servir,
06:06mais de se servir la population.
06:08Et lorsqu'on sert la population,
06:09on doit être courtois
06:10et non discourtois.
06:12Donc, c'est expliqué
06:13d'amener,
06:14d'inculquer d'autres valeurs politiques
06:16qui m'amènent aujourd'hui
06:17à poser ma candidature.
06:18C'est d'ailleurs
06:19pour la raison pour laquelle
06:20je prône
06:21un environnement apaisé
06:23au cinquième moment.
06:24Parce que
06:24nous avons constaté,
06:26ce pour la regretter,
06:28que les jeunes
06:28utilisent les réseaux sociaux
06:30comme un exuctoire.
06:31Un exuctoire
06:32qui leur permet
06:34de verser le vénin
06:35sur leurs adversaires,
06:37tenir des insultes,
06:39ça devient insupportable.
06:42Qu'est-ce qu'on peut faire
06:43si les gens sont désunis ?
06:45Je n'en pense pas.
06:46Vous savez,
06:47il y a cinq ans derrière,
06:48et ça je l'ai toujours dit,
06:49j'assume la perte,
06:51je veux dire,
06:53mes propos.
06:54À l'époque,
06:55j'avais décrié
06:55avec force et détail
06:56le fait que
06:57le PDG ait imposé
06:59la tête de la mairie
07:00du cinquième arrondissement.
07:02Un gamonais, certes,
07:03mais un sirop-libanais d'origine.
07:04Bon, écoutez,
07:06on veut bien être ouverts,
07:08mais moi je pense
07:08que les collectivités locales,
07:11c'est d'abord
07:11une affaire d'autocitoire.
07:13J'assume.
07:13Vous comprenez ?
07:15Et aucun arrondissement
07:16n'a subi une telle
07:18outrance.
07:20Je pèse mes mots.
07:21Et tout simplement
07:22parce qu'à l'époque,
07:22nous étions divisés.
07:24À cause, justement,
07:25de l'indécence,
07:26du comportement,
07:27de désinvolture totale.
07:29Alors c'était une forfaiture
07:31que je n'ai jamais acceptée,
07:32parce que tout simplement,
07:33nous étions divisés.
07:34C'est pour cela,
07:35avec cette élection,
07:38c'est l'occasion
07:38de conscientiser davantage
07:39notre classe politique locale
07:41pour que les gens comprennent
07:42l'impérieuse nécessité
07:43de tout de là,
07:44qu'on s'arrête
07:45un moment
07:45et qu'on regarde
07:46comment développer
07:47la LAL,
07:48le cinquième arrondissement,
07:49le deuxième siège
07:50en particulier.
07:51On ne peut pas le développer
07:52si nous sommes désunis.
07:53Et la particularité,
07:54et ça,
07:55il faut le souligner,
07:56de notre ciel,
07:56c'est que le siège
07:58est composé en majorité
08:00des clans,
08:01des familles
08:02qui se connaissent.
08:03Pour la plupart,
08:04si je n'exagère,
08:05plus de 60%
08:06reviennent de l'autre côté.
08:08On l'appelle
08:08chien choua,
08:09et ainsi de suite.
08:10Et d'autres viennent
08:11de kango,
08:13d'anguila,
08:13et ainsi de suite.
08:15Alors,
08:15nous sommes tous
08:16la même famille.
08:17Les clans se connaissent.
08:17Vous savez,
08:18la particularité du fond,
08:19c'est qu'il a quatre clans
08:19du côté de sa mère,
08:21quatre clans
08:21du côté de son père.
08:22Donc, nécessairement,
08:23c'est un patelin
08:24où les gens se connaissent.
08:25Alors,
08:26si les gens ont déjà
08:26cet avantage
08:27d'avoir
08:28cette connexion
08:30familiale
08:31et fraternelle,
08:33c'est déjà un avantage.
08:34Mais un avantage
08:35qu'on doit exploiter
08:36pour le bien-être
08:37des populations
08:37du Saint-Germain-Maurice.
08:38Donc,
08:39c'est pour cela,
08:39j'estime,
08:40qu'il faudrait
08:41nécessairement
08:42un climat politique
08:44apprisé
08:44pour que nous essayons
08:45de construire
08:46objectivement
08:47notre arrondissement.
08:49parce que nous avons
08:50certainement
08:51l'idéal commun,
08:52c'est de faire en sorte
08:53que les populations
08:53vivent dans des conditions
08:54meilleures.
08:55Et j'estime
08:56qu'on ne peut pas le faire
08:57si nous sommes divisés.
08:58On va revenir
08:59sur
08:59votre vision
09:02et les priorités
09:03que vous prévoyez
09:04si vous êtes élu
09:05dans le 5e arrondissement.
09:07Mais avant,
09:07une question.
09:08Comment percevez-vous
09:09la responsabilité
09:11d'un député
09:11dans la 5e République
09:14et en quoi
09:15cela influence
09:16votre candidature ?
09:17Écoutez,
09:18le rôle d'un député
09:19reste le même.
09:20La 5e République
09:21arrive avec
09:24beaucoup d'ambition.
09:25D'ailleurs,
09:25il faut le dire,
09:26nous avons soutenu
09:27le président de la République.
09:28J'ai eu l'honneur
09:29déjà pendant le 8e référendum,
09:31j'étais directeur de campagne,
09:32vous pouvez dire
09:32juste ce que je suis.
09:34Par la suite,
09:35j'étais à l'élection
09:37présidentielle.
09:39Mon mentor,
09:39Adrien Guémanba,
09:40était directeur de campagne
09:41et moi,
09:42j'étais superviseur.
09:42Nous avons travaillé
09:43avec abnégation
09:44pour faire élire
09:45magistralement
09:46le président de la République,
09:47Brice Clotaire-Olivier.
09:49Maintenant,
09:49avec l'avènement
09:50de la 5e République,
09:52nous sommes conscients
09:53que nous devons accompagner
09:54le président de la République
09:55qui a donné une orientation,
09:58c'est celui de restaurer
09:59les valeurs du Gabonais.
10:00Alors,
10:00si la restauration
10:01des valeurs
10:02passe naturellement,
10:03et comme je l'ai dit
10:04tout à l'heure,
10:05par un climat apaisé,
10:07un climat politique apaisé.
10:09Vous savez,
10:09lorsqu'on a un conflit
10:10à la maison
10:10avec son épouse,
10:11on trouve des solutions
10:12lorsqu'on est dans le calme.
10:14C'est la même chose.
10:14Si on peut faire
10:15une sorte de translation,
10:16on comprend bien
10:17que dans la gestion
10:17de la cité,
10:18il faut un climat apaisé.
10:20Donc,
10:20le député,
10:21son rôle reste le même.
10:22C'est celui de voter
10:23les lois
10:25qui vont dans le cadre
10:25de l'amélioration
10:26des conditions de vie
10:27de ces populations.
10:28Et comme je l'ai dit,
10:29par ailleurs,
10:30ce n'est pas pour vendre
10:31le vent,
10:31ce n'est pas pour venir
10:32promettre des choses
10:33qu'on ne peut pas réaliser.
10:34Non.
10:34Sans l'unité,
10:35on ne peut rien faire.
10:36Et en mon PDG,
10:36ce que je suis,
10:37nous avons un triptyque
10:38« Dialogue,
10:39tolérance,
10:39paix »
10:39qui reste pour moi
10:40le fondement
10:41de tout ce que nous devons faire.
10:42Parce que s'il n'y a pas
10:43de dialogue,
10:44on ne peut pas
10:45se comprendre.
10:47Parce que nécessairement,
10:47chacun a une intelligence
10:48et on peut capitaliser
10:50l'intelligence
10:51de chacun d'entre nous
10:52pour essayer de construire.
10:54La tolérance,
10:54c'est savoir qu'en politique,
10:56on peut avoir
10:56des idées opposées.
10:57Mais il faut qu'on les ramène
10:58pour que la population
11:01soit bien servie.
11:03Et naturellement,
11:03la paix,
11:04c'est dans la sérénité
11:05qu'on peut bien faire les choses.
11:06Donc, pour cela,
11:07je ne peux pas me départir
11:08de cette triptyque.
11:09Avec l'arrivée
11:11de la Ve République,
11:12les députés
11:13restent,
11:14son rôle reste même,
11:15défendre les intérêts
11:16de la population
11:17pour l'amélioration
11:18de leurs conditions de vie.
11:20Une fois élus,
11:21quelles seront
11:22vos trois priorités immédiates
11:24pour le Ve ?
11:24Écoutez,
11:25le cinquième arrondissement
11:26aujourd'hui,
11:26c'est fait partie
11:27des grands soutenaires,
11:30je crois,
11:30le deuxième arrondissement
11:31en termes de démographie
11:32et même en termes
11:32de superficie.
11:34Bon,
11:34en tant que fils
11:35du cinquième arrondissement,
11:36aujourd'hui,
11:37il y a un problème.
11:38C'est celui de l'eau.
11:39La diction d'eau.
11:41C'est véritablement
11:42un problème.
11:43Je suis heureux,
11:44déjà,
11:44que le président
11:44de la République
11:45en ait fait une priorité.
11:46Le problème
11:47de l'électricité
11:47reste aussi d'actualité.
11:49Et nous allons nous les forcer
11:50à rentrer,
11:52ou du moins,
11:53à participer
11:54objectivement
11:55avec détermination
11:56pour que les projets
11:57de loi
11:57qui rentrent dans cette optique,
11:59qui s'inscrivent
11:59dans cette logique,
12:01aboutissent
12:01pour le bien
12:02des populations.
12:03Maintenant,
12:04j'ai eu la chance,
12:05je veux le dire,
12:06d'avoir été
12:07le directeur de cabinet
12:08des ministres du Travail.
12:09C'était l'occasion
12:10pour moi de juger,
12:11n'est-ce pas,
12:11de la réalité,
12:12des réalités
12:13du chômage au Gabon,
12:14le chômage des jeunes.
12:16Vous savez,
12:16la reconnaissance
12:17du grand barbettisme
12:18en est la conséquence.
12:20Comprenez ?
12:20Parce qu'un jeune
12:21qui a certainement
12:23une femme,
12:24un enfant à la maison
12:25qui n'arrive pas
12:25à assumer
12:26ses responsabilités
12:26de père,
12:27parfois,
12:28avec un peu de légèreté,
12:29peut se mettre
12:29à la rue
12:30pour faire du braquage.
12:31Donc le problème
12:31du chômage
12:32est un problème récurrent.
12:33Donc il faut chercher
12:34à trouver des mécanismes
12:35pour faire en sorte
12:36que ce problème,
12:38que la courbe
12:40infléchisse quand même
12:43pour qu'on réduise
12:45le taux de pourcentage
12:46du chômage au Gabon.
12:47Donc je vais m'y attéler
12:49pour voir un tout petit peu
12:50les lois,
12:51améliorer les lois
12:51dans ce sens.
12:53Ça c'est succinctement
12:53ce que je peux dire
12:54parce qu'il y a d'autres
12:55chantiers bien évidemment
12:56sur lesquels on pourra
12:57s'apesantir.
12:58Mais je crois,
12:59pour ce qui est
12:59des conditions de vue,
13:00l'eau c'est la vie.
13:02Le travail également
13:03c'est la vie.
13:04Voilà ce que je peux dire
13:05pour ma vision
13:06du 5e roi en ici.
13:07Le PDG,
13:09le parti historique
13:10qui avait la majorité
13:12à l'Assemblée,
13:13on va revenir en arrière
13:14en 2023
13:15sous l'herbe Bongo,
13:19a subi des critiques.
13:23Parmi ces critiques,
13:23on entend que
13:25l'Assemblée nationale
13:27fut un temps déconnecté
13:29du peuple.
13:30vous,
13:31quelles solutions
13:32proposez-vous
13:33pour rapprocher
13:35l'Assemblée nationale
13:35des citoyens
13:36et instaurer
13:37une réelle proximité ?
13:40Mais je crois
13:40tout simplement
13:41que si cette déconnexion
13:43a existé,
13:43c'est tout simplement
13:44parce que les députés
13:45ne faisaient pas leur rôle.
13:46Parce que ça,
13:46il faut le dire.
13:48Là, nous avons connu
13:49les députés
13:50qui étaient incapables
13:52de vous faire
13:52un simple rapport
13:54de tout ce qui se fait
13:58au sein de l'Agric,
13:58ce qu'il a fait
13:59en tant que députés
14:00à l'Assemblée nationale.
14:03Vous comprenez ?
14:04Parce que ce sont
14:05les députés
14:05au regard de ce qui se fait
14:07au sein de l'Assemblée nationale
14:08qui doivent informer
14:09les populations.
14:11Mais comme pour la plupart,
14:12excusez-moi,
14:13ce n'est pas pour faire
14:14de l'invective,
14:16mais je constate,
14:17et c'est pour le regretter,
14:18que la plupart,
14:19n'ayant pas le background nécessaire,
14:20étaient même incapables
14:21de venir faire
14:21des comptes rendus
14:22de ce qui se faisait
14:24à l'Assemblée nationale.
14:25C'est ça qui a favorisé
14:26cette déconnexion.
14:27Et je crois
14:29que la mission
14:30du député,
14:31c'est de faire
14:31des comptes rendus.
14:32Voilà,
14:33de telle session
14:33à telle session,
14:34nous avons fait,
14:35nous avons travaillé
14:36sur tel dossier,
14:37nous avons fait avancer
14:38tel projet de loi,
14:40et comme ça,
14:40les populations
14:41peuvent être au fait.
14:42Mais lorsqu'on se contente
14:43de prendre des salaires,
14:44on n'a pas la capacité
14:45de prendre la parole,
14:46de faire des propositions,
14:48mais il faut comprenez bien
14:48que la population
14:49ne saura jamais
14:50ce qui se passe
14:50à l'Assemblée.
14:51et il y a une sorte
14:52de déconnexion
14:53parce que la population
14:55n'est pas au fait
14:56de ce qui s'est fait
14:57à l'Assemblée nationale.
14:58Nous, députés,
15:00fils de la la la,
15:01moi je rentre
15:02dans toutes les maisons,
15:03je n'ai pas d'intérêt.
15:05Ce sera facile pour moi
15:06de réunir mes parents
15:07et de leur dire
15:07voilà,
15:09nous avons fait
15:09la première session,
15:10voilà ce que nous avons
15:11pu faire avancer
15:11et voilà ce qu'on préconne
15:13de faire.
15:13Voilà,
15:14c'est tout simple.
15:15Il n'y a pas de majeur en cela,
15:16c'est tout simplement
15:16un mécanisme
15:17pour mettre en place
15:18et des stratégies innovatrices
15:19qui vont faire
15:20surtout rendre en contact
15:21avec nos concitoyens.
15:24Si vous avez,
15:25M. Diodonné,
15:26Patrick Villiers,
15:27Bihémane,
15:28si vous avez un message
15:29de cœur
15:31à adresser
15:31aux populations
15:33du 5e arrondissement,
15:34quel serait-il ?
15:35Pouvez-vous regarder
15:36cette caméra
15:36et lancer ce message ?
15:38Alors,
15:38le message est simple.
15:40La La La
15:40est un quartier,
15:42un vieux quartier
15:43composé de familles
15:44où les gens se connaissent.
15:47Je demande à la jeunesse
15:48de se mettre derrière moi
15:49parce que je saurais défendre
15:51avec détermination
15:52les intérêts
15:53de notre village.
15:56Je ne suis pas celui
15:57qui va vous construire
15:58les routes.
16:00Non,
16:00je suis celui
16:00qui est avec vous
16:01et qui va défendre,
16:03comme je l'ai dit
16:03tout à l'heure,
16:04les questions
16:05d'adduction d'eau
16:05et d'électricité
16:06et apporter
16:07ma modeste contribution
16:08quant à l'élaboration
16:11des lois
16:11qui rentrent
16:13sur la lutte,
16:15qui va s'intéresser
16:16à la lutte
16:17contre le chômage
16:18des jeunes.
16:19Parce que,
16:20parents que je suis,
16:21après avoir financé
16:22les études
16:22de mes enfants,
16:24c'est arrurissant
16:24et choquant
16:25de continuer
16:26à les voir
16:26à la maison
16:27alors qu'ils ont
16:28le potentiel
16:29qui puisse leur permettre
16:29de travailler.
16:30Donc,
16:31c'est pour cela
16:31que ces deux éléments
16:32constituent
16:33mon cheval de bataille.
16:34C'est aussi l'occasion
16:35pour moi
16:35de dire aux acteurs
16:36politiques
16:36de notre village,
16:38de notre siège,
16:39que nous devons
16:40être tempérés.
16:41Seule la tempérance
16:42nous permettra
16:43de poser des actes communs
16:45pour mieux servir
16:46nos populations.
16:47Car,
16:48comme je l'ai dit,
16:49la politique,
16:50ce n'est pas
16:51se servir,
16:52mais la politique,
16:52c'est servir
16:53le peuple.
16:55Voilà,
16:55en substance,
16:56ce que je peux dire
16:56pour le mot
16:58de circonstance
16:59et le mot
16:59que je demande,
17:01qui me donne
17:02l'occasion
17:02de demander
17:03aux populations
17:04du 5e arrondissement
17:05de se mettre
17:05derrière ma candidature.
17:07Parce que,
17:08en tant que
17:09pédégiste,
17:10nous avons montré
17:10que nous sommes
17:11résilients
17:11et que nous sommes
17:12des hommes
17:13et des personnes
17:13fidèles.
17:15Seules les personnes
17:16fidèles peuvent
17:17défendre objectivement
17:18vos intérêts.
17:20Pas les girouettes
17:21qui,
17:22au gré
17:23de la direction
17:24du vent,
17:25changent de position.
17:26Le pédégiste
17:27que je suis
17:28restera avec vous,
17:30est avec vous
17:30depuis des années
17:31et restera toujours
17:32avec vous.
17:33Je vous remercie.
17:34Voilà,
17:34c'était
17:35Diédonné Patrick
17:36Billier-Billemann,
17:37candidat du Parti
17:38démocratique gabonais
17:40aux élections
17:40législatives
17:41pour le 2e siège
17:43du 5e arrondissement
17:44de l'évolume.
17:45Merci.
17:46Merci.
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