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  • il y a 2 semaines
Les Vraies Voix responsables avec Olivier Robert, fondateur de la plateforme Sacrés français ; Aurélien Michel-Vioux, co-fondateur et directeur de la technologie d’Anyos.
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##LES_VRAIES_VOIX_RESPONSABLES-2025-09-17##

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Transcription
00:00Sud Radio, les vraies voix qui font bouger la France, les vraies voix responsables.
00:05Et les vraies voix responsables ce soir du Made in France, un peu de positifs et de gens qui s'installent,
00:09en tout cas des entreprises qui restent en France et qui prennent des risques.
00:13Et dans un contexte de relocalisation, d'innovation industrielle et de concurrence mondiale,
00:17le débat s'ouvre, produire en France est-ce un avantage stratégique ou une charge économique pour nos entreprises ?
00:24On va en parler avec nos invités dans un instant au 0826 300 300.
00:29Olivier Robert sera avec nous, fondateur de Sacré Français.
00:33Olivier Robert que vous connaissez, puisqu'il vient assez régulièrement avec des entreprises françaises.
00:37On peut même dire qu'il a son rond de serviettes dans le studio de Sud Radio.
00:40J'en connais, c'est dans les restaurants, mais je ne citerai pas de nom.
00:43Ni des personnes, ni des restaurants.
00:45Et notre second invité, Aurélien Michel Viau, confondateur et directeur de la technologie d'Agnos.
00:53C'est une entreprise qui fabrique des bornes de recharge électrique.
00:59Mais des bornes de recharge totalement écologiques, puisqu'elles sont intégralement recyclables.
01:04Et elles sont fabriquées avec 95% des composants qui viennent d'un rayon, accrochez-vous bien, de 30 kilomètres.
01:12Donc c'est-à-dire que les composants ne viennent pas du bout du monde après avoir pris des semaines de bateau ou des dizaines d'heures d'avions.
01:18D'accord ? Et c'est absolument génial.
01:21Technologie française faite à La Ciota et fabrication faite dans un lieu que je connais bien.
01:25Parce que j'ai commencé la radio, la Bège en banlieue de Toulouse.
01:28Et bien voilà, ça donne envie et on en parle dans un instant.
01:30Soyez les bienvenus et si vous voulez participer, c'est le 0826 300 300.
01:34Sud Radio, les vraies voix qui font bouger la France, les vraies voix responsables.
01:44Et les vraies voix responsables, ce soir avec Philippe David, pour tout vous dire,
01:48on a un problème technique avec l'informatique qui permet de caler les appels en Zoom.
01:54Alors on vous explique comment ça se passe.
01:57Les personnes qui sont en vidéo, c'est un lien qui s'appelle.
01:59Parfois c'est Zoom, parfois c'est WhatsApp, ce n'est pas fait pour faire de la pub.
02:03Et il y a un plantage informatique et en même temps, le plantage téléphonique nous plante le standard.
02:09Donc il y a des jours où ça ne marche pas.
02:11Ah tiens, on en a un premier qui est arrivé à se connecter, alléluia.
02:16Olivier Robert est avec nous.
02:17C'est la preuve que c'est du direct pour moi, qu'on ne triche pas.
02:20Exactement, Olivier Robert est avec nous, fondateur de Sacré Français.
02:24On est content de vous accueillir, mon cher Olivier.
02:27Moi aussi, bonjour à tous.
02:29Bienvenue, bienvenue.
02:30Ça me fait plaisir pour cette rentrée.
02:32Voilà, très bien.
02:33Dans un instant, Aurélien, Michel Vius sera avec nous, un cofondateur et directeur de la technologie d'Agnos.
02:39L'occasion pour vous, peut-être Olivier Robert, de parler un peu du contexte aujourd'hui,
02:46très difficile en tout cas pour les entreprises,
02:49qui se voient encore dans un contexte très difficile,
02:53parfois un peu sensibilisées par l'actualité et la peur de l'avenir peut-être.
03:02Oui, c'est clair.
03:03C'est vrai que c'est morose.
03:05C'est vrai que quand on se laisse un peu déborder aussi par l'actualité,
03:08les informations, tout ce qu'on voit, le gouvernement qui n'existe pas vraiment,
03:14l'international aussi qui est extrêmement compliqué,
03:16c'est difficile.
03:18Mais je pense que les entrepreneurs français ont tous une bonne résilience
03:25et une bonne capacité d'absorption des difficultés.
03:28Alors, on en rencontre beaucoup qui sont dans la difficulté.
03:31L'objectif, c'est bien de trouver les solutions.
03:33C'est pour ça aussi qu'on a monté un club sacré français.
03:35Pour l'idée, c'est de dire comment on pourrait faire ensemble,
03:38réussir à s'entraider pour réussir.
03:41Et je pense que tout seul, c'est difficile.
03:43Et quand on est plusieurs entrepreneurs, c'est efficace.
03:46Quand vous dites, pardon, je rebondis sur ce que vous dites,
03:49quand vous dites que certains sont déjà en difficulté,
03:51ça veut dire qu'on parlait de la stratégie ou de la charge économique
03:55pour les entreprises de fabriquer et d'être en France.
03:59Ça veut dire que ça devient aussi, ça fragilise forcément parfois
04:03de travailler en France ?
04:05Oui, c'est compliqué.
04:06Il faut vraiment avoir la foi dans la réindustrialisation
04:10et la localisation de ces entreprises.
04:13Et comme on a en plus, on a des annonces du gouvernement
04:16qui font penser que ça va encore devenir beaucoup plus difficile.
04:21Avec des ordres et des contre-ordres.
04:22C'est ça que vous voulez dire aussi.
04:24Exactement.
04:25Et j'imagine que vous avez vu passer cette information
04:27comme quoi de plus en plus de patrons se posent la question
04:30de délocaliser en Italie.
04:32Pas très loin.
04:34Et puis le moins qu'on peut dire qu'en Italie,
04:35on n'y va pas parce que les salaires sont beaucoup plus bas qu'en France.
04:38Ce n'est pas le Vietnam ou le Pakistan.
04:39Exactement.
04:41Par contre, pour les entreprises, il y a un climat qui est plus favorable.
04:43Et là, je pense qu'il y a vraiment besoin de rétablir ce climat
04:46pour le rendre beaucoup plus positif et beaucoup plus aidant
04:49finalement pour ces entreprises.
04:52Et en voilà une, Agnès, que nous accueillons aujourd'hui,
04:55qui a fait ce pari de rester et de continuer.
05:01Et Agnès nous a rejoints.
05:02Voilà.
05:02Alléluia.
05:04Aurélien Michel-Vieux est avec nous,
05:05cofondateur et directeur de la technologie d'Agnès.
05:08Merci d'avoir accepté notre invitation.
05:11Et c'est la question que l'on se posait depuis le début.
05:13Y a-t-il un avantage stratégique ou une charge économique
05:16pour nos entreprises de fabriquer et d'être en France ?
05:20Avant cela, on a toujours envie qu'on nous raconte l'histoire
05:24de cette entreprise.
05:26le début d'où ça marche, pourquoi cette envie de fabriquer français ?
05:31Et vous avez 6 ans.
05:34La société.
05:35Oui, la société, bien sûr.
05:37C'est plus comme vous le voyez.
05:40Mais effectivement, la société a 6 ans.
05:42Est-ce que vous m'entendez bien ?
05:43Très bien, vous entendez très bien.
05:46Ok, super.
05:47Donc, merci pour l'invitation.
05:49Bonsoir à tous.
05:51Effectivement, je peux vous expliquer un petit peu la genèse de l'histoire.
05:54Avec mes deux associés cofondateurs,
05:58on était très intéressés par la mobilité électrique
06:01il y a déjà de nombreuses années.
06:04Et du coup, on s'y intéressait.
06:06On avait pris l'habitude du conseil.
06:07Et au bout d'un moment, on s'est dit qu'on pouvait peut-être
06:09transformer ce conseil en activité professionnelle,
06:14sachant qu'on venait tous de l'industrie.
06:16et que le cœur du sujet de la recharge, en tout cas, de voitures électriques,
06:21c'est la bande de recharge qui est un appareil avant tout fait d'électronique et d'informatique.
06:27Donc, on s'est intéressé à ce sujet.
06:30On a vu qu'il y avait des peines sur le marché.
06:33Et donc, il y avait une carte à jouer en développant nous-mêmes des produits.
06:37Donc, c'est ce qu'on a fait.
06:39On a décidé de l'attaquer sous un angle particulier.
06:43Première, c'est la souveraineté.
06:45C'est-à-dire qu'on avait la volonté de tout concevoir en interne,
06:49que ce soit la mécanique, l'électronique, l'informatique.
06:52Et ça, ça nous sert à plusieurs choses.
06:54Déjà, il y a l'idée que travailler dans la mobilité électrique, c'est bien.
06:59Mais le faire avec des produits jetables qui viendraient de l'autre bout du monde,
07:02ça n'aurait pas de sens.
07:04Donc, la souveraineté, elle nous permet justement d'innover
07:06et de concevoir et de fabriquer en France,
07:09selon les principes de l'éco-conception.
07:11Et donc, on a une fabrication, en plus d'êtes françaises,
07:13qui est très locale,
07:15puisqu'on a 95% des transformations
07:17qui se font dans un rayon de quelques kilomètres.
07:20Et le dernier point, du coup,
07:22c'est que ça nous permet aussi d'innover cette souveraineté.
07:25Et du coup, on a une innovation brevetée
07:27qui nous permet d'évoluer les produits très facilement.
07:30Alors, il y a une chose importante.
07:31Vous, vous concevez à La Ciotat.
07:33C'est à côté de Toulon.
07:35Vous fabriquez à Labège, en banlieue de Toulouse.
07:38Alors, on dit, en France, on a des très bons ingénieurs.
07:41Vous et vos deux cofondateurs,
07:43vous êtes tous les trois ingénieurs,
07:44donc vous n'allez pas nous dire le contraire.
07:46Mais pour, en général, l'ingénierie en France, ça va.
07:49Mais le problème, c'est la production.
07:50Alors, comment est-ce que vous êtes arrivé à faire les deux ?
07:52En fait, du coup, je pense que c'est une question de méthode avant tout.
08:00C'est-à-dire qu'on produise en France ou ailleurs,
08:04c'est avant tout du cadre et de la méthode.
08:06Et donc, effectivement, on a une certaine carrière dans l'industrie
08:09et une habitude de production.
08:11Donc, appliquer des principes de production de qualité en France,
08:14ce n'est pas plus compliqué qu'ailleurs.
08:15Au contraire, c'est même plus facile,
08:17parce que du coup, on partage quand même une certaine culture
08:20et il y a une certaine proximité, une certaine réactivité.
08:23Donc, on peut trouver plein d'avantages à la production locale.
08:26Et tout à l'heure, je parlais justement de fabriquer localement.
08:30Fabriquer de façon proche avec des partenaires locaux,
08:34ça a aussi cet avantage justement d'avoir pas mal de réactivité,
08:37d'avoir une proximité, d'avoir une complicité.
08:40Et du coup, on construit des relations partenariales
08:42qui sont peut-être plus fortes que ce qu'on aurait pu faire à l'étranger.
08:46Aurélien Michel-View, c'est un marché très concurrentiel,
08:49le marché des batteries.
08:52Monter, fonder forcément une entreprise comme ça,
08:55ça a un impact sur le marché.
08:58Comment on se situe par rapport à la concurrence ?
09:02Qu'est-ce que vous apportez plus que d'autres ?
09:04Enfin déjà, vous êtes français, fabriqué et il y a de la souveraineté.
09:08Mais est-ce que ce n'est pas un marché quand même qui est très difficile
09:11puisque beaucoup de batteries aujourd'hui,
09:14ou en tout cas beaucoup de choses arrivent de pays étrangers ?
09:18Enfin, les bornes, oui.
09:21Tout à fait.
09:21Donc effectivement, nous, on fabrique les bornes
09:23qui rechargent les batteries que vous évoquez,
09:25mais la logique est la même.
09:27Donc oui, il y a de la concurrence.
09:29Par contre, il y a beaucoup de peine.
09:31Et c'est là où ça devient intéressant,
09:32c'est d'aller chercher de la valeur justement
09:34pour résoudre les problématiques.
09:37Et c'est là où on peut faire quelque chose en France.
09:39Donc nous, on l'a fait à travers le prisme de l'innovation justement.
09:42Et on a développé un modèle qui est unique.
09:46Donc je le dis, il est permis par notre souveraineté,
09:48le fait que nous, on développe tout nous-mêmes.
09:51Donc déjà, c'est un premier différenciateur.
09:52C'est un milieu où il y a beaucoup d'assembleurs
09:54qui achètent une carte électronique d'un côté,
09:56un logiciel de l'autre.
09:57Donc ça, ça s'élimite quand les premiers écueils arrivent,
10:01c'est qu'il y a un millefeuille de responsabilités.
10:04Donc nous, on a essayé de balayer tout ça
10:06en prenant nos responsabilités justement
10:08et en assumant de tout maîtriser.
10:11Je vous ai parlé de l'innovation.
10:13L'idée de cette innovation, en fait,
10:14c'est qu'on peut faire évoluer très facilement les produits.
10:17Et nous, on rachète en fait les produits
10:20à chaque évolution à nos clients.
10:22Donc les évolutions, ça peut être pour de la réparation,
10:25pour de la maintenance ou même un rajout de technologie
10:29puisqu'on est dans un secteur
10:30qui est encore en consolidation technologique.
10:32Et donc, à chaque étape d'évolution,
10:36nous, on fait un rachat.
10:37Donc pour le client, ça veut dire
10:38que sur une dizaine d'années d'exploitation,
10:39il va faire des économies.
10:41Au lieu de remplacer un produit complet
10:42ou de payer de multiples réparations complexes,
10:45il a simplement permuté ses façades.
10:47Donc son exploitation n'a pas eu de longtemps
10:49de perte d'exploitation.
10:51L'exploitation reprendra.
10:52On répare tout en temps masqué.
10:54On reconditionne tout en temps masqué.
10:56Et on offre une seconde vie aux façades
10:58qu'on a récupérées.
10:59Du coup, ça, ça crée un modèle finalement assez vertueux
11:01qui est à la fois vertueux économiquement
11:05mais aussi écologiquement
11:07puisqu'on évite la surproduction
11:08et on répare.
11:10Et donc ça, c'est un avantage concurrentiel finalement
11:12de réussir à offrir un modèle à nos clients
11:15qui sont quand même sensibles aussi à l'environnement
11:17qui ne mettent pas forcément en cause
11:20une exploitation plus chère
11:23en choisissant des produits français.
11:25Et les ingénieurs restent chez nous, bien entendu.
11:27Et même la fabrication.
11:28Oui, bien sûr.
11:29Olivier Robert, ces entreprises,
11:31il ne faut pas oublier de dire
11:33que c'est pourvoyeur aussi d'emplois
11:35pour les régions, pour les territoires,
11:37pour les villes.
11:38Voilà.
11:40Exactement.
11:41Et puis, ce qui est phénoménal,
11:43c'est qu'on parle souvent du tarif
11:44et Aurélien vient de nous expliquer
11:46qu'en fait, c'était moins cher et plus vertueux
11:48et que mécaniquement, plus ça va aller,
11:50plus ça va créer de l'emploi,
11:52plus ça va créer aussi de l'innovation.
11:53Cette innovation, elle est là, j'imagine
11:55que les projets de Agnos sont extrêmement importants.
12:00Ils ont déjà déposé un brevet.
12:02J'imagine qu'il y en a d'autres sous le pied.
12:03La R&D doit être un vrai sujet.
12:05Et ça, c'est des choses que l'on ne voit pas
12:07sur d'autres marchés asiatiques pour la plupart
12:11parce que je pense que quand même,
12:12le marché de la borne était franchement asiatique.
12:14Et si on m'avait posé la question
12:16avant de connaître Agnos,
12:17je leur ai dit que ce n'était pas possible.
12:18Et pourtant, ils l'ont fait.
12:20Oui.
12:20Alors, vous avez obtenu deux labels.
12:22Un label qu'on connaît bien,
12:24Origine France Garantie.
12:25Parfois, on le voit même derrière les bus
12:27quand on est sur la route.
12:29Et un autre qui est un label
12:31du ministère de l'écologie
12:33qui s'appelle, c'est du bon français,
12:35Green Tech.
12:37Comment est-ce qu'on obtient ces deux labels ?
12:40Alors, Origine France Garantie,
12:41c'est parce que vous avez une grosse partie
12:42de la production ou des composants
12:44qui sont français.
12:44Mais Green Tech, expliquez-nous pour les deux.
12:46Oui, tout à fait.
12:49C'est assez complémentaire
12:50et on est assez fiers des deux.
12:52Donc, sur l'Origine France Garantie,
12:53on est d'autant plus fiers
12:54qu'on est la seule entreprise
12:56à avoir tous nos produits
12:56qui ont le label,
12:59la certification même.
12:59C'est une certification.
13:01Donc, ça, pour l'obtenir,
13:02il faut effectivement avoir
13:03une grande proportion de produits,
13:06de composants, pardon,
13:08qui composent le produit
13:09qui sont d'origine française.
13:10Il faut aussi qu'il y ait
13:12de la transformation
13:13qui soit faite en France
13:14et de la conception
13:15qui soit faite en France.
13:16Donc, nous, évidemment,
13:17on était bien au-delà
13:18des standards attendus
13:21pour la certification.
13:22Mais peu importe,
13:23on est assez fiers
13:24et l'important, en tout cas,
13:26c'est d'avoir cette reconnaissance
13:28parce qu'on peut aussi faire face
13:30à de la concurrence
13:31parfois déloyale
13:32sur de l'Assemblée en France,
13:35finalement, qui se vend
13:36comme du conçu
13:37et fabriqué en France,
13:38ce qui n'est pas toujours le cas.
13:39Donc, ces certifications,
13:40ça a cet avantage
13:41de pouvoir un petit peu
13:43écrémer et contrer
13:44cette concurrence déloyale.
13:46Et pour le deuxième label
13:47dont vous avez parlé,
13:48Green Tech,
13:50celui-là,
13:50il est d'autant plus intéressant
13:51qu'il vient valoriser
13:52l'innovation
13:54et la différenciation
13:55qui est faite.
13:56Et du coup, c'est pareil,
13:57ça permet de nous mettre en valeur
14:01face à une concurrence
14:02qui parfois reste sur ses acquis.
14:05Et donc, ça nous permet
14:06de nous donner
14:06un peu de visibilité
14:07à nos modestes entreprises
14:09qui existant depuis
14:11seulement six ans
14:12et qui, du coup,
14:13luttant avec
14:14nos modestes armes.
14:16Alors, vous avez déjà
14:17pas mal de clients
14:18qui ont envie
14:20forcément
14:20de travailler
14:21avec des savoir-faire français.
14:24Qui sont aujourd'hui
14:25vos clients ?
14:26C'est-à-dire que...
14:27Vous faites combien de bornes
14:28déjà par mois ?
14:29Vous avez autour de 400,
14:30c'est ça ?
14:32Alors, 400,
14:33c'est la capacité.
14:34La réalité,
14:35c'est plus d'une cinquantaine
14:36de bornes
14:37qui sortent tous les mois.
14:38En gros,
14:38on a 2000 points de charge
14:39qui sont déployés
14:40déjà en France.
14:41D'accord.
14:42Donc, c'est plus
14:43d'une centaine de clients.
14:45Mais c'est quoi ?
14:45Ce sont des mairies ?
14:46Ce sont des parkings
14:47d'entreprises ?
14:48C'est quoi ?
14:49Donc, il y a des collectivités
14:51comme la métropole de Bordeaux,
14:52par exemple,
14:53qui nous a pris confiance
14:54ou encore celle de Toulouse.
14:55Et puis,
14:56beaucoup d'entreprises.
14:57Donc, des entreprises
14:58dans le bancaire,
15:00par exemple,
15:01ou dans la logistique.
15:02On accompagne
15:03des leaders de la logistique
15:04un petit peu partout
15:05en France.
15:06Et en fait,
15:07ce qui pourrait revenir
15:08un peu en commun
15:09dans nos clients,
15:11c'est souvent des clients
15:11qui cherchent
15:12un interlocuteur unique.
15:13Ils ont plusieurs sites
15:14à équiper
15:15et donc,
15:15ils cherchent un certain
15:16niveau de qualité
15:17identique partout
15:18et un outil centralisé
15:20pour pouvoir gérer
15:21tout leur parc.
15:23Effectivement.
15:23Olivier Robert,
15:24quand on entend
15:25ce que fait notre amie
15:27et ce que fait son entreprise,
15:29on se dit que le made in France,
15:31quand même,
15:31on peut encore y croire.
15:32Parce que conception,
15:33fabrication, etc.
15:35Absolument.
15:36Exactement.
15:37Et puis,
15:38vous voyez,
15:38il y a un autre atout.
15:39C'est que,
15:40par exemple,
15:40si vous avez un problème
15:41avec votre borne,
15:42ils ne sont pas loin
15:42pour venir vous la réparer.
15:43Donc,
15:43ce sont des éléments
15:44qui sont quand même
15:45très forts et très puissants.
15:47Aujourd'hui,
15:47j'ai rajouté une corde à mon arc,
15:49par exemple,
15:49avec cette entreprise
15:50que j'accompagne
15:51qui s'appelle Jalice,
15:52qui a déposé quatre brevets
15:53dans le web
15:53et aujourd'hui
15:55qui accompagne
15:56les entreprises
15:56et les PME françaises
15:58avec des brevets
15:59made in France.
16:00Donc,
16:00ça veut dire
16:01qu'il y en a plein
16:01des initiatives comme ça.
16:03Aujourd'hui,
16:04c'est plus efficace.
16:05C'est-à-dire que,
16:06globalement,
16:07c'est ça qu'il faut qu'on retienne.
16:08Quand c'est made in France,
16:09c'est plus efficace.
16:10Ce qu'on propose Aurélien,
16:12ça démontre
16:12que c'est plus efficace.
16:13Dans le web,
16:14quand on dit
16:14comment on peut faire
16:15pour avoir des solutions
16:16qui vont apporter des contacts
16:18et qui vont être efficaces,
16:19il y en a.
16:20Jalice en est une,
16:21évidemment.
16:22Et puis,
16:22il y a une pléiade
16:23d'entreprises
16:24qui ne sont pas assez connues,
16:25qui ne prennent pas assez la parole,
16:27je pense.
16:27On a vu passer
16:28des articles
16:30qui disaient
16:31que les patrons
16:31ne prenaient pas assez la parole
16:32dans le débat politique.
16:34Et ça,
16:34je suis assez d'accord.
16:35Et je pense quand même
16:36qu'à un moment donné,
16:37ces petits patrons,
16:39parce que ce n'est pas
16:39des multinationales,
16:41ont besoin
16:42de se montrer,
16:43d'être beaucoup plus
16:43sur le devant de la scène
16:44pour se faire connaître,
16:45mais aussi pour grandir,
16:46recruter,
16:48développer leurs entreprises,
16:49développer leur économie locale.
16:51Et est-ce que,
16:52soyons clairs sur le plan,
16:54parce que là,
16:54on parle aussi
16:55de l'État et des aides,
16:56est-ce qu'on se sent soutenus
16:57en tout cas par le...
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