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  • il y a 3 mois
L'autopsie du corps du streameur écarte l'intervention d'un tiers concernant son décès. Les enquêteurs vont désormais procéder à des analyses toxicologiques et scruter plus de 300 heures d'images. En déplacement en Martinique, le ministre de l'Intérieur a réagi à cette affaire.

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Transcription
00:00La barbarie, là, voici ce qu'a dénoncé le ministre de l'Intérieur, Bruno Rotaillot, en marge de son déplacement aux Antilles contre le trafic de drogue, depuis Rivière Pilote précisément.
00:09Il est revenu sur l'affaire du streamer qui a fait couler beaucoup d'encre cette semaine. Il a condamné ses plateformes et appelé à leur régulation. Écoutez-le au micro de Valentin Rivollier.
00:19« On doit trouver les moyens pour faire en sorte que ces plateformes, y compris étrangères, soient mises devant leurs responsabilités. On ne peut pas, en France, tolérer ce genre de comportement.
00:35On ne va pas demain ouvrir des cirques, comme autant des Romains, pour que des gens se satisfassent du sang qui coule. Et un homme est mort. L'enquête nous en dira plus.
00:44Mais en tout cas, on ne peut pas rester les bras croisés devant ce genre d'abomination. »
00:49« À l'heure d'un gouvernement menacé de censure, le ministre de l'Intérieur, lui, reste aux avant-postes, proactif et ce, même en cette fin d'été.
00:58La barbarie, on le rappelle, il l'a dénoncée régulièrement à plusieurs reprises. C'était, souvenez-vous, le 31 mai, lors de la victoire de la Ligue des champions.
01:07C'était cette fois-ci à l'encontre des casseurs. Puis il l'a développée en juin, par la suite, lorsqu'il dénonçait la fabrique à barbares qui avait engendré mai 68.
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