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  • il y a 3 mois
300 personnes se sont rassemblées dans la nuit de mercredi 20 à jeudi 21 août, en marge du premier jour du festival de rue d'Aurillac. Des émeutes et des heurts avec les forces de l'ordre ont alors éclaté. Deux compagnies de CRS sont envoyées ce soir par Bruno Retailleau, pour la deuxième nuit des festivités.

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Transcription
00:00Bonsoir, merci de me donner la parole. Alors effectivement, on se rend compte que le profil type de ces personnes est toujours le même.
00:08C'est le même lors des manifestations parisiennes. Là, c'est le cas lors des festivités d'Aurillac.
00:14Et ce sont des personnes, donc de la mouvance d'extrême gauche, qui nourrissent une haine de la France, qui nourrissent une haine de la police
00:22et finalement qui sont venus à Aurillac pour faire leur terrain de jeu, pour se défouler face aux forces de l'ordre.
00:28– Festival qui a déjà été touché à plusieurs reprises, c'est ce qu'a expliqué le maire lors des précédentes éditions par des casseurs.
00:38Comment vous expliquez ? Est-ce qu'il y a eu un défaut d'anticipation de la part des autorités ?
00:44– Non, il n'y a pas eu de défaut de la part des autorités, puisque le dispositif est tout à fait dimensionné par rapport aux festivités.
00:51Néanmoins, lorsque l'on se retrouve face à un groupuscule en début de soirée d'une vingtaine de personnes
00:58qui grossit ensuite à 300 personnes, on voit que c'est quelque chose qui forcément a été, on peut le dire, préparé.
01:06Et hélas, comme on le voit bien trop souvent, finalement les forces de l'ordre deviennent le défouloir de ces gens
01:12qui font leur terrain de jeu des festivités, comme l'a dit votre collaborateur,
01:19qui sont normalement bon enfants et qui se passent théoriquement de la meilleure des manières.
01:25– Sous-titrage FR –
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