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  • il y a 3 mois
300 personnes se sont rassemblées dans la nuit de mercredi 20 à jeudi 21 août, en marge du premier jour du festival de rue d'Aurillac. Des émeutes et des heurts avec les forces de l'ordre ont alors éclaté.

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Transcription
00:00C'est un événement qui va rester dans les mémoires des Oriaquois,
00:06parce que tous ces événements de violence, et particulièrement cette nuit dernière,
00:14ont fait apparaître clairement la volonté de ces casseurs
00:23de perturber cet événement majeur culturel sur notre territoire qu'est le théâtre de rue.
00:31Hier, les personnes qui ont jeté les pierres, qui ont déplacé les barrières,
00:38qui ont mis le feu aux poubelles, ils n'étaient pas là par hasard.
00:41Ils avaient un projet de destruction de ce festival pour porter des revendications
00:49qui ne sont pas contre la culture, qui ne sont pas contre la ville d'Oriac,
00:52qui sont d'une manière générale contre notre mode de vie français.
00:56C'est la France qu'ils attaquaient.
00:59J'ai même un des manifestants auquel je lui disais qu'il était bien conscient
01:05qu'il mettait en péril une organisation culturelle, une commune qui accueillait
01:10cette manifestation, il m'a dit « j'en ai rien à foutre ».
01:14« Monsieur le maire, votre ville, ce n'est pas mon sujet, c'est moi la France que je veux détruire ».
01:19Alors quand on en est là, de cette conscience politique, de ce niveau de débat,
01:24bien évidemment, ça entraîne des conséquences et des comportements
01:28qui sont inadmissibles et inentendables.
01:31Merci.
01:32Merci.
01:33Merci.
01:34Merci.
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