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Avec Nicolas Dupont-Aignan, Président de Debout la France et candidat à l'élection présidentielle

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##L_INVITE_POLITIQUE-2025-05-30##

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Transcription
00:00Sud Radio, l'invité politique, Benjamin Glaze.
00:06Sud Radio, parlons vrai avec mon invité politique ce matin, Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France et candidat à la prochaine présidentielle.
00:13Nicolas Dupont-Aignan, bonjour.
00:14Bonjour monsieur.
00:15Et merci beaucoup d'être avec nous ce matin sur Sud Radio, beaucoup de sujets sur la table.
00:18J'aimerais qu'on commence par un anniversaire.
00:21Hier c'était les 20 ans du nom au référendum portant sur la création de la Constitution européenne.
00:26Le vote finalement contourné à l'époque par Nicolas Sarkozy, l'adoption du traité de Lisbonne, quasi identique au texte qui avait été rejeté par les Français.
00:33Vous aviez fait campagne à l'époque pour le nom.
00:36Notre pays ne s'est toujours pas remis de cette trahison, selon vous ?
00:40Oui. D'abord j'ai quitté l'UMP sur cette affaire et j'ai fondé avec des gaullistes de l'UMP, Debout la France, Debout la République, puis Debout la France,
00:49suite à la trahison, au viol du peuple mené par Nicolas Sarkozy, mais ratifié par la quasi-totalité des députés UMP de l'époque et des socialistes.
01:00C'est-à-dire d'une droite et d'une gauche du gouvernement qui gouvernent ensemble aujourd'hui, 20 ans après, qui n'ont jamais pu consulter les Français.
01:08Et pour moi, la crise civique nationale, la crise démocratique, le dégoût de la politique, de nos concitoyens, date de ce viol du peuple.
01:19Parce qu'on aurait pu très bien imaginer que Nicolas Sarkozy fasse voter à nous.
01:22Un viol du peuple, c'est quand même un terme très fort.
01:24Mais quand un peuple a voté, et qu'une classe politique refait voter, pas par le peuple, ils auraient pu faire un nouveau référendum, ça s'est fait en Irlande, en Danemark.
01:34Non, ils l'ont fait, ils l'ont contourné.
01:38Et ce qui est fascinant et effrayant pour la société française, c'est que si vous regardez le bon sens qu'avait eu le peuple en 2005,
01:46sur les questions d'immigration, de délocalisation, de perte de souveraineté, les Français, après un vrai débat...
01:53Moi, quand j'ai commencé à faire campagne pour le non, je m'en souviens très bien, le non était à 25%.
01:58Donc, on ne pouvait pas dire que je le faisais par intérêt politique.
02:00Jean-Luc Mélenchon aussi avait milité pour le non.
02:01Tout à fait, Laurent Fabius même aussi.
02:03Et donc, il y avait un vrai débat sur la façon de construire l'Europe.
02:10Et j'avais proposé une façon intergouvernementale, gaullienne, la seule possible à mon sens.
02:16Et les chefs d'État et gouvernement, les dirigeants, n'ont pas voulu entendre le peuple néerlandais, le peuple français.
02:22Et si vous regardez tous les chiffres, c'est pas Dupont-Aignan qui pense ça, tous les chiffres sur la perte d'industrie en France, 2 millions d'emplois perdus en 20 ans,
02:32si vous regardez tous les chiffres sur l'immigration massive, si vous regardez les tarifs de l'électricité, bref, toute la dégradation qu'on a connue dans les faits,
02:41dans la vie quotidienne, c'est la faute de gouvernements français qui se sont soumis à un diktat d'une oligarchie européenne non élue,
02:51la Commission et les juges, qui nous mènent dans un naufrage.
02:56Et si vous regardez, d'ailleurs c'est très intéressant, les chiffres de la puissance américaine par habitant,
03:03de la richesse américaine par habitant et de la richesse européenne, c'est pas seulement la France,
03:07c'est l'Europe qui est en train d'être larguée dans l'histoire.
03:09Et donc je réclame un nouveau référendum.
03:12Un nouveau référendum sur l'Europe.
03:13Portons sur quoi exactement ?
03:14Ah ben c'est très simple, je porterai à la présidentielle la rupture avec cette Union européenne.
03:19Donc c'est pas moins d'Europe, c'est plus d'Europe du tout Nicolas Dupont-Aignan.
03:22C'est cette Europe de l'Union européenne est devenue autoritaire, malsaine, dangereuse pour les nations et l'Europe.
03:30Je pense que la France doit rompre, mais je pense qu'on peut remplacer cette Union européenne
03:37par une grande négociation avec tous les pays, parce qu'on n'est pas les seuls à ne plus supporter
03:41Madame van der Leyen et la Commission de Bruxelles et les juges de Luxembourg.
03:46Je pense qu'on doit tout remettre à plat.
03:48Vous avez lieu à Ursula von der Leyen qui a reçu d'ailleurs le prix Charlemagne
03:52qui récompense ses personnalités qui se sont engagées en faveur de l'unification européenne.
03:56C'est surréaliste.
03:58Donc ça prouve bien qu'on ne peut plus rien attendre de cette Union européenne.
04:01Il faut donc que la France fasse ce qu'a fait le général de Gaulle en 1966, la chaise vide.
04:05On ne paye plus.
04:06C'était pas la même chose, on avait le soutien des Etats-Unis à l'époque.
04:09On était en pleine guerre froide.
04:11Anna, excusez-moi, le général de Gaulle sortait de l'OTAN, il n'avait pas le soutien des Etats-Unis.
04:16Les Etats-Unis avaient davantage intérêt à nous entendre dans le contexte de guerre froide qu'aujourd'hui ?
04:19Pas du tout.
04:20Les Etats-Unis en voulaient beaucoup à De Gaulle de sortir de l'OTAN.
04:23Et le général de Gaulle s'est fait respecter.
04:25C'est-à-dire qu'il a fait la politique de la chaise vide.
04:27Moi je propose des choses concrètes.
04:29Un, on rétablit nos frontières nationales.
04:31Et on met l'armée à nos frontières pour lutter contre le trafic de drogue.
04:35Deux, on ne paye plus un centime pour cette Union Européenne et on économisera 10 milliards d'euros.
04:41Donc on assèche cette structure bureaucratique.
04:44Trois, primauté du droit français sur le droit européen pour pouvoir maîtriser notre immigration.
04:50Et là, on commence à discuter, une refonte complète.
04:54On fait redescendre 90% des compétences vers les nations démocratiques.
04:58Et on garde uniquement des coopérations pour affronter la Chine, les Etats-Unis dans les domaines de pointe.
05:04Et si vous retrouvez les vidéos, j'ai ressorti sur internet, sur mon compte Twitter, les vidéos de 2005,
05:10je parlais déjà des coopérations, je parlais de l'intelligence artificielle.
05:14C'est-à-dire que le paradoxe, ce qui est complètement fou quand on y réfléchit,
05:18c'est que cette Europe s'est mêlée de la taille des concombres, des cuvettes des toilettes, de tout,
05:22mais n'a pas organisé les coopérations scientifiques qui nous auraient permis d'exister.
05:27Nicolas Dupont-Aignan, les députés ont adopté cette semaine les deux textes sur la fin de vie.
05:31Celui sur l'extension des soins palliatifs, celui sur la création d'un droit à l'aide à mourir.
05:36Vous dénoncez une loi abominable qui instaure, je cite, un nouvel eugénisme.
05:41Ce sont des mots très forts que vous maintenez, que vous assumez totalement.
05:45J'ai honte.
05:46J'ai honte parce que je crois qu'on ne se rend pas compte
05:48de la rupture civilisationnelle qu'ont voté les députés.
05:54J'espère que les sénateurs reviendront dessus.
05:57Je voudrais dire deux choses.
05:59D'abord, l'appel à l'aide à mourir est lié au fait que dans notre pays,
06:07et c'est pourquoi il y a beaucoup de Français dans les sondages qui demandent cette loi.
06:10Il faut le reconnaître.
06:11Moi, je le reconnais.
06:12Parce que les soins palliatifs et la loi Léonetti-Cresque est une loi de fin de vie
06:17qui permet une sédation profonde, prolongée,
06:22qui épargne la douleur.
06:24Cette loi de 2016 n'est toujours pas appliquée pour au moins un tiers des Français.
06:29Entre un tiers et la moitié des départements.
06:32Ça veut dire quoi ?
06:33Ça veut dire qu'on n'a pas fait le bon diagnostic.
06:37L'appel à mourir de gens qui soufflent martyrs, il est compréhensible.
06:40Mais le rôle d'une société, le rôle de la médecine, le serment d'Hippocrate,
06:46c'est d'alléger les souffrances, c'est pas de tuer.
06:50Et à partir du moment, je pèse mes mots,
06:54où la représentation nationale, la France, dans les hôpitaux,
06:59va mettre deux portes.
07:01Deux portes.
07:02Une porte soins palliatifs qui va coûter une fortune.
07:04Qui n'est pas pour l'instant.
07:05Et qui coûte une fortune.
07:07Et qu'il faut faire.
07:07Et la porte mort.
07:11Je peux vous dire, connaissant le problème financier,
07:15connaissant malheureusement beaucoup de familles,
07:19connaissant ce qui se passe dans la réalité,
07:22ouvrir cette porte de tuer les plus faibles,
07:27les plus vieux, les handicapés,
07:29vous verrez dans dix ans,
07:32si cette loi est votée définitivement,
07:34ce que deviendra notre pays.
07:35On liquidera, on liquidera ceux qui coûtent trop cher à la société.
07:40C'est monstrueux.
07:41C'est pas du tout le cas.
07:43Quand on regarde l'ensemble des conditions posées,
07:46des garde-fous, on a notamment à être capable de manifester
07:49sa volonté de façon libre et éclairée,
07:51avoir déclaré en tout cas une maladie grave et incurable,
07:54engageant son pronostic vital,
07:56une phase avancée ou terminale,
07:58présenter une souffrance physique ou psychologique réfractaire insupportable.
08:02Pour vous, ces conditions ne sont pas assez restrictives ?
08:06Philippe Juvin, qui est médecin et qui a très bien débattu,
08:08et vous avez reçu, je crois, la semaine dernière,
08:10ou cette semaine, je ne sais plus,
08:11Philippe Juvin a très bien expliqué
08:14une maladie rénale peut être une phase avancée
08:17qui ne sera pas soignable,
08:19la personne peut souffrir de troubles psychologiques
08:21et vouloir mourir, et bien on va la tuer.
08:23Quel message on envoie aux plus faibles d'entre nous ?
08:27Mais quel message ?
08:29Et surtout, vous allez voir la logique économique.
08:33On a des exemples devant nous.
08:34Ce qui est terrible, c'est qu'on ne choisit pas sans recul.
08:38On a les Pays-Bas,
08:40qui a ouvert au moins de 12 ans sur autorisation des parents.
08:43On a le Canada,
08:44qui s'enorgueillit d'avoir fait 89 millions de dollars d'économie.
08:48On a les mutuelles françaises,
08:50avec des conflits d'intérêts qu'a soulevés Philippe Juvin,
08:54qui sont favorables à cette loi, pas par hasard,
08:56pour faire des économies.
08:58Mais qu'est-ce que c'est que cette société ?
08:59On a les personnes qui ont les moyens,
09:02qui vont en Suisse.
09:04Vous savez, bien sûr, peut-être,
09:06et alors ?
09:07En attendant, moi je ne veux pas que
09:09quand on entre à l'hôpital,
09:12quand on entre à l'hôpital,
09:13je ne veux pas qu'on ait peur d'être tués.
09:16Parce que c'est comme ça que ça se finira.
09:19Et vous verrez que ça aura des effets
09:21comme des métastases délétères sur la société française.
09:25Je me mets à la place des soignants,
09:26parce qu'on ne les a pas beaucoup écoutés,
09:28des soignants qui luttent pour la vie,
09:30qui donnent leur vie,
09:31mais dans les hôpitaux,
09:33les aides-soignantes,
09:34les infirmières,
09:34Avec une clause de conscience, pour l'instant.
09:36Non, avec une pénalisation,
09:38vous vous rendez compte ?
09:39Deux ans de prison et 30 000 euros d'amende
09:41pour quelqu'un qui dirait à une personne
09:45qui tout à coup lâche.
09:46Là, on parle notamment des informations en ligne,
09:47ce genre de choses.
09:49Alors, en plus,
09:51vous allez avoir
09:51des dizaines de milliers de procès.
09:54Les enfants vont se faire des procès,
09:57les médecins vont être accusés,
10:00mais les aides-soignantes
10:02dans les services de soins palliatifs,
10:04mais vous imaginez ce que ça va devenir.
10:06Ceux qui ont voté ça
10:07n'ont aucune conscience de ce qui va se passer.
10:09Autre sujet, Nicolas Dupont-Aignan.
10:10J'espère, et pardonnez-moi,
10:12j'aimerais un référendum.
10:13Qu'on ose un référendum.
10:15Qu'on ose un débat.
10:16Parce qu'on nous dit
10:1790% des Français sont pour.
10:19Les sénateurs,
10:19vous avez intérêt à obéir.
10:21Moi, je fais appel
10:21à la conscience des sénateurs.
10:23Vous avez intérêt à obéir
10:24parce que sinon,
10:24je déclenche un référendum.
10:26Chiche.
10:27Un vrai débat.
10:28C'est ce que vous demandez.
10:29Nicolas Dupont-Aignan,
10:30haut de ce sujet,
10:31à partir du 1er juillet,
10:32il sera interdit de fumer
10:32sur les plages,
10:33dans les parcs et jardins publics,
10:34aux abords des écoles,
10:35dans les abribus,
10:36sur les équipements sportifs.
10:38Annonce de la ministre
10:39en charge de la Santé,
10:40Catherine Vautrin,
10:41est-ce que c'est une mesure
10:42que vous saluez ?
10:43Est-ce que la santé
10:44doit primer ici
10:45sur les libertés individuelles ?
10:46Écoutez,
10:47je suis très anti-fumeur
10:48et pourtant,
10:49je ne suis pas favorable
10:50à cette mesure
10:51pour une raison très simple.
10:55C'est qu'il n'y a jamais
10:55autant de trafic de drogue
10:56dans notre pays.
10:58C'est qu'il y a des points de deal
10:59dans toutes nos villes.
11:00Toutes nos villes.
11:01Dans ma ville ailleurs,
11:04j'ai deux points de deal
11:04que j'essaie depuis dix ans.
11:06L'État est aux abonnés absents.
11:08Et alors,
11:09on va donner,
11:10on va verbaliser
11:11un fumeur.
11:12Autant j'étais tout à fait favorable
11:14à bien sûr
11:14l'interdiction de la cigarette
11:15dans les lieux publics,
11:16dans les lieux fermés.
11:18Pourquoi pas la rigueur
11:19sur les plages ?
11:20Mais vraiment,
11:22cette société française
11:23qui tape toujours
11:25sur les honnêtes gens
11:27pour le coup
11:28et qui laisse des points de deal.
11:29On a déménagé une école
11:31à Saint-Ouen,
11:32je crois,
11:32parce qu'il y avait
11:33un point de deal
11:34et l'État va harceler
11:36qu'il fasse plutôt
11:38dans les collèges
11:39des actions de prévention
11:40contre les fumeurs
11:41que aux abords
11:42des établissements scolaires.
11:43Là,
11:43c'est une bonne idée.
11:45Mais de grâce
11:46qu'on fasse ça
11:46de manière intelligente.
11:48Mais je vois
11:49ce qui va se passer.
11:50J'ai compris
11:51ce qui va se passer
11:51comme toujours en France.
11:53C'est-à-dire ?
11:53C'est-à-dire que ce ne sera pas appliqué
11:55parce que c'est inapplicable.
11:56Voilà.
11:57On va mettre des flics partout.
11:59C'est inapplicable.
12:00Donc,
12:01est-ce qu'on peut concentrer
12:02les moyens publics
12:04sur les choses graves ?
12:05Aux abords des écoles,
12:07d'accord ?
12:07Le tabagisme
12:08et ses conséquences,
12:09c'est un sujet grave.
12:09C'est un sujet grave.
12:10Mais bien sûr.
12:11C'est un sujet grave.
12:11Et la drogue.
12:13Et cette jeunesse
12:13qui est en train de basculer
12:14parce qu'il y a des points de deal
12:15partout dans notre pays.
12:16Et ces narcotrafiquants
12:17qui tiennent nos banlieues.
12:19Ce n'est pas plus grave
12:20que de savoir
12:20s'il y a une dame
12:21qui va fumer une clope dehors ?
12:23Non, mais il faut arrêter le délire.
12:25Nicolas Dupont-Aignan,
12:26je voudrais qu'on revienne aussi
12:27sur l'affaire de la vidéo
12:28du soi-disant sachet de cocaïne
12:30qu'Emmanuel Macron
12:31aurait tenté de cacher
12:32dans le train
12:32qu'il amenait en Ukraine
12:34avec le chancelier allemand
12:35et le Premier ministre britannique.
12:36Vous aviez écrit sur Twitter,
12:37je vous cite,
12:38mais que cache Emmanuel Macron
12:40avec l'air d'un adolescent
12:41pris en faute
12:41pour la crédibilité de la France ?
12:43Il est urgent de le savoir.
12:44L'Elysée a ensuite démenti
12:46indiquant qu'il s'agissait
12:47d'un simple mouchoir.
12:48Est-ce que vous regrettez
12:48tout simplement votre tweet ?
12:49Est-ce que c'était une erreur ?
12:51Non, je ne regrette pas.
12:51D'ailleurs, vous citez deux tweets.
12:52Moi, mon tweet,
12:53ce n'était pas ça.
12:54Mon tweet, il n'y en avait qu'un.
12:56C'était
12:56l'Elysée doit répondre.
12:59Je ne vois pas en quoi c'est choquant.
13:00Pour la crédibilité, pardon.
13:02Pour la crédibilité de la France,
13:03l'Elysée doit répondre.
13:05Ça, c'est mon tweet.
13:06Dupont-Aignan.
13:07Eh bien, heureusement.
13:09Mais c'est quoi cette démocratie
13:10où il y a un roi soleil
13:11qui fait n'importe quoi,
13:13qui se comporte mal,
13:15qui rigole ?
13:16C'est simplement le fait
13:16de vérifier les informations
13:18peut-être avant de publier.
13:20Vous vérifiez ?
13:21Mais alors,
13:22on n'a pas le droit
13:22de poser des questions en France ?
13:24Il y a une mainmise
13:26d'une pensée officielle ?
13:28Oui, des millions dans le monde
13:30se sont posés une question
13:31et moi, homme politique,
13:32je n'ai pas le droit
13:32de poser la question ?
13:33Donc, ce n'était pas un sachet
13:34de cocaïne ?
13:35Je n'en sais rien.
13:37Vous avez toujours le doute.
13:38J'ai un doute, oui.
13:39Vous avez toujours un doute.
13:40Et je vais vous dire
13:41ce qui m'a le plus choqué
13:42dans cette vidéo.
13:43Ce qui m'a le plus choqué.
13:44Allez-y.
13:45C'est de voir trois dirigeants européens
13:47revenir ou aller vers un conflit
13:51qui a fait presque un million de victimes.
13:55Alimenter la guerre et ricaner
13:56comme des gamins immatures.
13:59Nous entraîner vers une guerre
14:00qui a ruiné l'Europe.
14:03On paye notre gaz quatre fois plus cher.
14:05C'est la désindustrialisation,
14:06le chômage de masse.
14:08C'est la mort des Ukrainiens
14:10qui est un peuple sacrifié
14:11et qui sont comme des gamins
14:13à ricaner.
14:15Quelle honte !
14:16J'ai une autre idée,
14:17cher monsieur,
14:18de la politique.
14:19Imaginez le général de Gaulle,
14:20Churchill,
14:22en train de ricaner dans un train
14:23à faire des vidéos de gamins
14:25sur TikTok.
14:27qui vous avez classé
14:29dans la catégorie
14:30des complotistes d'extrême droite.
14:32Vous vous en souvenez ?
14:32J'ai porté plainte.
14:33Vous avez porté plainte,
14:34c'est fait.
14:34Vous l'avez déposé ?
14:35Pas encore,
14:36mais l'avocat est en train
14:37de le préparer.
14:38Et je vais vous dire,
14:40un mauvais climat
14:41règne sur le pays
14:42parce qu'on a un homme
14:43qui se maintient au pouvoir
14:44contre toute raison,
14:46qui fait du mal au pays.
14:47Qui a été élu.
14:48Qui a été élu.
14:49Tout à fait.
14:50Mais moi,
14:51je revendique la destitution,
14:53je revendique la censure
14:54de son gouvernement
14:54et j'ai encore le droit
14:55de le faire.
14:55et on a des chaînes publiques
14:57qui se comportent
14:59comme dans des pays
15:00qui ne sont plus démocratiques
15:02et qui jettent l'anathème
15:04contre quelqu'un
15:05comme moi,
15:06qui est sérieux,
15:07qui pose des questions.
15:08Je ne suis ni complotiste
15:09ni d'extrême droite
15:10et je n'accepte pas
15:11ces insultes.
15:11D'ailleurs,
15:12même le Conseil d'État,
15:13j'ai battu M. Castaner
15:15qui m'avait classé
15:16extrême droite
15:16et j'ai fait changer
15:17et j'ai gagné
15:18au Conseil d'État.
15:19Vous savez,
15:20ces méthodes
15:21qui consistent à salir
15:22ceux qui posent des questions
15:23fondamentales
15:25sur le comportement
15:27d'un homme
15:27qui nous décrédibilise
15:29dans le monde entier,
15:30voilà.
15:31Un mot sur la suppression
15:32des LFE adoptée
15:34cette semaine ?
15:35Enfin !
15:36Une bonne nouvelle,
15:36ça prouve bien d'ailleurs,
15:37c'est très intéressant
15:38ce qui s'est passé.
15:38ça prouve que
15:41quand il y a union,
15:43j'ai remarqué
15:43que le Rassemblement National
15:44cette fois-ci
15:45n'est pas resté immobile
15:46alors qu'il s'est évanoui
15:48depuis quelques mois.
15:49Là,
15:49il a pris du poil
15:50de la bête.
15:52C'est bien.
15:52L'UDR de M. Ciotti
15:54et les LR.
15:57C'est ça
15:57la vraie majorité
15:58de l'avenir.
15:59Ce que je réclame
15:59depuis 20 ans.
16:01C'est ça l'union des droites ?
16:02C'est pas l'union des droites,
16:03c'est l'union des patriotes
16:04pour moi.
16:04Au-delà des droites d'ailleurs,
16:05c'est l'union
16:06de droites patriotiques
16:07qui veut redresser le pays.
16:09Quand ils s'y mettent tous
16:10et qu'ils ne sont pas
16:11dans leur petit conflit...
16:12Ça intègre ou pas
16:12la France insoumise
16:13vis-à-vis de l'Europe ?
16:14On a quand même
16:15des positions
16:15de souveraineté.
16:17Il y a des gens à gauche
16:18qui défendent la souveraineté.
16:19J'ai toujours fait appel à eux.
16:20LFI ?
16:21Alors LFI défend plus
16:22la souveraineté des Palestiniens
16:23que la souveraineté des Français
16:24mais ils n'ont pas tort
16:25sur certains points parfois
16:26mais pas là.
16:27Terminons sur la ZF.
16:28D'une manière générale.
16:29Mais qu'il y ait des majorités
16:30de circonstances,
16:31c'est bien.
16:32En tout cas,
16:33quand il y a union,
16:35quand il y a volonté,
16:37eh bien on peut bloquer les choses.
16:38Ça prouve quoi ?
16:38Non mais ça prouve quoi ?
16:40Ça prouve que ce qui vient
16:41d'être fait sur les ZFE,
16:43il faut le faire sur les DPE maintenant
16:44qui créent un problème immobilier
16:45majeur dans notre pays
16:46qui empêche les jeunes
16:47de se loger.
16:47De l'obstique énergétique, oui.
16:49Exactement.
16:49Il faut le faire
16:50sur toutes les mesures liberticides.
16:52Il faut que l'opposition,
16:54les oppositions,
16:55se réveillent.
16:56Parce que vous savez,
16:58moi je suis inquiet,
17:00il reste moins de deux ans
17:01chaque jour qui passe
17:02c'est un jour de perdu
17:03pour la France.
17:04Avant 2027,
17:05vous serez candidat
17:07à cette élection présidentielle.
17:09Quatrième candidature
17:11à une présidentielle.
17:13Vous parlez d'union,
17:14de rassemblement.
17:16Est-ce que vous,
17:17dans l'idée,
17:18vous serez forcément
17:19au premier tour
17:19où il y a éventuellement
17:21l'espoir de pouvoir
17:23trouver une forme d'union
17:24comme vous dites,
17:24des patriotes ?
17:25Mais écoutez,
17:26l'élection présidentielle,
17:28on ne va pas commencer,
17:29je ne vais pas commencer.
17:29L'élection présidentielle,
17:31il y a deux tours.
17:33C'est ça l'avantage.
17:34Il y a un tour
17:34où les Français
17:35expriment leur conviction.
17:38Si au premier tour,
17:39il n'y a pas une diversité
17:40et notamment
17:41si les souverainistes,
17:42les indépendantistes
17:43ne sont pas représentés
17:45alors que le Rassemblement National
17:46est de plus en plus
17:48d'accord avec cette Union Européenne,
17:50la combat de moins en moins.
17:52Moi je veux porter la voix
17:53de tous ceux
17:53qui veulent rompre
17:54avec l'Union Européenne,
17:56qui veulent avoir
17:56de nouveaux référendums,
17:57qui veulent maintenant dire
17:58« ça suffit,
17:59la France doit redevenir libre ».
18:00Vous voulez mon livre ?
18:02Je sors un livre
18:03au mois de septembre,
18:03vous verrez,
18:04je veux une rupture totale
18:05avec l'Union Européenne.
18:06Ça veut dire qu'au second tour ?
18:06Si vous n'êtes pas au second tour,
18:08vous pensez être au second tour ?
18:09Eh bien on verra.
18:09Attendez,
18:10j'ai vécu suffisamment
18:11de présidentielles
18:12où la seule question,
18:14c'est le second tour
18:15avant le premier,
18:17moi je veux qu'il y ait
18:17un vrai premier tour
18:18parce que je crois
18:19que les Français
18:20doivent avoir le choix
18:22et que le vrai péril
18:23c'est l'abstention,
18:24la résignation du pays.
18:25Au second tour,
18:26vous vous ralliez au RN,
18:27si vous voulez au second tour ?
18:28Écoutez,
18:28on ne va pas commencer.
18:29Alors question très concrète,
18:31est-ce qu'on peut faire
18:32un premier tour libre ?
18:33Est-ce que vous appelez
18:34pour le premier tour
18:35eh bien Florian Philippot
18:36et François Asselineau
18:39à vous rejoindre,
18:41à se rassembler derrière vous ?
18:43Mais bien évidemment,
18:44pas derrière moi en soi.
18:45Je pense que
18:47en France,
18:49si les souverainistes,
18:51entre guillemets,
18:51les indépendantistes,
18:52je préfère ce terme,
18:53ne sont pas capables
18:54de se rassembler
18:55comment ils pourraient
18:56rassembler les Français.
18:57Et j'ai toujours regretté
18:59ces mouvements
19:00plus souverainistes
19:02que moi tu meurs,
19:04cette surenchère
19:05et moi je serai le candidat
19:07de la souveraineté,
19:08de l'indépendance,
19:10de la renégociation.
19:11Je ne suis pas contre l'Europe.
19:13Je pense qu'il y a
19:13une Europe gaullienne,
19:14des coopérations
19:15pour peser dans le monde,
19:16des Etats,
19:17des nations.
19:18Je pense qu'il y a en France
19:20un vrai,
19:21beaucoup,
19:22beaucoup de Français,
19:22c'est les millions de Français
19:23qui aimeraient voir
19:25un candidat sérieux
19:26défendre
19:27une libération nationale.
19:30C'est ce que je vais faire.
19:31Et puis après on verra.
19:32Aujourd'hui vous préférez
19:32qui entre Marine Le Pen
19:33et Jordan Bardella ?
19:34Je ne vais sûrement pas choisir
19:36entre les deux,
19:37ce n'est pas mon problème.
19:39Je propose une autre voie.
19:40Vous n'avez pas une préférence personnelle ?
19:41Je ne sais pas
19:42qui est plus proche de vous politiquement.
19:43Je ne rentrerai pas
19:44dans les petites critiques
19:45des uns et des autres.
19:47Ça ne m'intéresse pas.
19:48La seule chose qui m'intéresse,
19:50c'est comment on peut stopper
19:52la désindustrialisation
19:53qu'est la mort du pays ?
19:54Comment on peut stopper
19:55l'immigration massive
19:56qu'est la mort du pays ?
19:57Comment on peut rétablir la sécurité ?
19:59Comment on peut renforcer
20:00le pouvoir d'achat ?
20:01Comment on peut redonner
20:01un espoir à notre pays ?
20:03Ma différence avec les autres,
20:04sinon ça ne sert à rien
20:05d'être candidat,
20:06alors je veux dire très franchement.
20:07Ma seule différence,
20:08c'est que je pense
20:09qu'on ne peut régler
20:10aucun des problèmes
20:11qu'on ne règle pas depuis 20 ans
20:13si on demeure soumis
20:15à l'Union Européenne
20:16telle qu'elle est.
20:17Voilà.
20:18Ça c'est ma différence
20:18avec les autres.
20:19Et ma différence avec Bruno Retailleau ?
20:20Ben c'est ça.
20:21C'est ça ?
20:21C'est la seule.
20:22Vous savez, sinon,
20:25Bruno Retailleau,
20:27Éric Ciotti,
20:28Marine Le Pen,
20:29Jordan Bardella,
20:29Marion Maréchal,
20:30moi-même,
20:31on dit la même chose
20:31sur beaucoup de sujets.
20:34Mais il y a une différence
20:34fondamentale.
20:36C'est que si
20:37on n'a pas le courage,
20:39comme le général de Gaulle l'a eu,
20:40de dire stop
20:41à des décisions prises ailleurs
20:43qui s'imposent à nous,
20:46qui tuent notre démocratie
20:47et qui tuent notre pays,
20:49on ne le fera pas.
20:50C'est parce que le souhaiter
20:51Marine Le Pen, selon vous ?
20:51Aujourd'hui,
20:53moi, je regarde,
20:54je vois qu'il n'y a plus
20:55la volonté de rompre
20:55avec l'Union Européenne.
20:57Pour des raisons
20:57qui sont propres,
20:59eh bien, il faut bien
20:59qu'il y ait un candidat
21:00et que les Français aient le choix.
21:02Il faut que les Français
21:03puissent se dire
21:04qu'il y a un candidat
21:05qui va rompre
21:07avec l'Union Européenne,
21:07qui va rendre à la France
21:08à son rente.
21:09Vous iriez jusqu'à dire
21:10que Marine Le Pen
21:11n'est pro-européenne ?
21:12Non.
21:13Aujourd'hui ?
21:13Non, pas du tout.
21:15Non.
21:16J'attends de voir son programme.
21:17Il change souvent.
21:18On verra.
21:19En tout cas,
21:19le mien, il ne change pas.
21:20Au moins,
21:21vous pouvez me reconnaître ça.
21:22Oui, il y a une certaine continuité.
21:23Il y a une certaine continuité.
21:25Chacun juge, bien sûr,
21:26mais on peut reconnaître
21:27une certaine continuité.
21:28Écoutez, dans cette ère,
21:29dans cette ère de zapigne,
21:31dans cette ère de jeunisme,
21:34dans cette ère de politique aérie,
21:36eh bien,
21:38j'offrerais aux Français
21:40une constance.
21:41Cette constance,
21:42elle est simple.
21:43C'est celle du général de Gaulle
21:44qui disait
21:46la souveraineté
21:47et la démocratie
21:49sont les deux faces
21:50d'une même médaille.
21:52Il n'y a pas de démocratie
21:53s'il n'y a pas de souveraineté.
21:53Bruno Retailleau n'incarne pas ce que...
21:56Bruno Retailleau
21:57approuve tous les traits.
21:59Il n'incarne rien.
21:59À une époque à voter non.
22:00Il n'incarne rien aujourd'hui.
22:01Il incarne des choses très bien.
22:02Il a des grandes qualités.
22:04On a la chance
22:05d'avoir des personnalités
22:06de grande qualité.
22:08Donc, il ne faut pas...
22:09N'attendez pas de moi
22:11que je critique les autres.
22:12J'entends, j'entends.
22:13Je ne ferai une campagne
22:14que sur un point.
22:15Oui.
22:17Avec Dupont-Aignan,
22:18c'est la liberté de la France.
22:19On reprend notre souveraineté.
22:20J'aimerais qu'on parle de la ci.
22:20Je répète parce que
22:22comme ça, c'est compris.
22:23C'est répété et re-répété.
22:24C'est le côté un peu assistant.
22:26La situation à Gaza,
22:28Nicolas Dupont-Aignan,
22:29vous avez vu Emmanuel Macron
22:30qui plaide pour des progrès
22:31vers une reconnaissance mutuelle
22:32Israël-Palestine.
22:34Pour le président de la République,
22:35je le cite,
22:35la reconnaissance dans l'État palestinien
22:36est un devoir moral
22:38et une exigence politique.
22:40Est-ce que vous êtes d'accord
22:40avec cela ?
22:41Je crois.
22:42Il y a eu un très bon éditorial
22:44de Renaud Girard
22:45dans Le Figaro.
22:46Je suis désolé,
22:46ce n'est pas bien de citer.
22:48Qui était extraordinaire
22:49il y a deux, trois jours.
22:50qui analysait la tragédie
22:53et qui disait
22:54les Palestiniens
22:55sont en train de perdre tout,
22:57leur vie, leur terre
22:59et les Israéliens
23:00sont en train de perdre leur âme.
23:02Il y a un grand débat en Israël.
23:05Il faut arrêter cette folie.
23:06Et pour arrêter cette folie,
23:09il n'y a qu'une chose à faire,
23:10c'est bien sûr éradiquer le Hamas
23:12mais sans une punition collective
23:15qui chasse deux millions de personnes
23:16de Gaza.
23:17Ça, ce n'est pas possible.
23:18Ça veut dire que la seule solution
23:21c'est d'arriver à un compromis
23:24autour, bien sûr,
23:26de la reconnaissance d'Israël
23:28parce que n'oublions pas
23:29que le Hamas a voulu
23:29la destruction d'Israël
23:31et le veut toujours
23:31et la reconnaissance mutuelle.
23:33C'est trop tôt, Emmanuel Macron.
23:35Les deux doivent aller de pair.
23:36Non.
23:37Les deux doivent aller de pair.
23:38Mais on ne reconnaît pas
23:39un État palestinien avant.
23:40On ne peut pas reconnaître
23:42l'État palestinien
23:43sans que les Palestiniens
23:44reconnaissent Israël.
23:45Les deux doivent aller ensemble.
23:47Ma position a toujours été la même
23:48depuis 20 ans.
23:50Je n'ai jamais changé.
23:51Il faudra deux États,
23:53bien évidemment,
23:54mais il faut que
23:54l'un reconnaisse
23:55en attendant.
23:56Excusez-moi, avant.
23:58Avant.
23:59Il faut un cessez-le-feu.
24:01Il faut que l'aide humanitaire
24:02arrive
24:04parce que là,
24:04on est à la famine.
24:06La famine.
24:07on n'a pas le droit
24:08de détourner le regard.
24:12Maxime,
24:12notre réalisateur,
24:13va me faire les yeux noirs.
24:14J'aimerais juste
24:14qu'on déborde un tout petit peu
24:15pour une question
24:16un petit peu plus légère.
24:17La finale de la Ligue des Champions
24:18Paris Saint-Germain
24:19intermilen samedi soir.
24:20Est-ce que vous allez supporter
24:21le Paris Saint-Germain ?
24:22Quand même.
24:22Je suis patriote.
24:24Patriote.
24:25Avec une crainte
24:26quand même de débordement
24:27pour samedi soir.
24:28C'est une inquiétude.
24:28Il y a suffisamment de problèmes
24:31dans notre pays
24:31sans avoir des craintes
24:33tant que ce n'est pas fait.
24:34D'abord, c'est à Munich.
24:35Alors, ils se démerdent.
24:36Et puis,
24:37pour une fois,
24:38ce n'est pas...
24:40Et on verra.
24:41Il y a suffisamment de soucis
24:42pour que les Français
24:43aient des moments de bonheur.
24:44Un pronostic ?
24:45Un pronostic ?
24:45Non, je suis nul en foot.
24:48Je regarde.
24:49J'aime bien regarder.
24:50Mais comme je ne suis pas bon,
24:51moi, j'ose le reconnaître.
24:53Tous ces hommes politiques
24:54qui font semblant
24:54d'être très bons en foot
24:55et qui vont dans les tribunes
24:57pour faire croire
24:57qu'ils aiment le foot,
24:58ça me fait doucement rigoler.
24:59Un grand merci,
25:00Nicolas Dubourgnan,
25:01président de Debout la France,
25:03candidat déclaré
25:04à la prochaine présidentielle.
25:05Merci d'avoir été avec nous
25:06ce matin sur Sud Radio.
25:07Il est 8h59.
25:09Dans un instant,
25:09vous prenez la parole.
25:100826 300 300
25:12pour nous donner votre avis
25:13sur l'actualité.
25:15Toute l'actualité,
25:15on se retrouve juste après ça.

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