- 24/02/2024
Regardez Le journal RTL du 24 février 2024 avec William Galibert.
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00 Vous êtes sur RTL.
00:03 - Yann Galibert. - Bonsoir à tous et bienvenue sur RTL. Merci de commencer votre soirée avec nous.
00:08 Nous, on va passer tout ce journal. Porte de Versailles, au Salon de l'Agriculture.
00:13 On s'attendait à un samedi très tendu. Ça a été encore pire que prévu.
00:17 Mouvement de foules, gaz lacrymogène, bousculades à GoGo.
00:20 Emmanuel Macron toujours sur place avec un dispositif de sécurité délirant.
00:25 Mais le Président voulait montrer qu'il pouvait poursuivre sa visite coûte que coûte.
00:29 Le récit de la journée, le détail des annonces, les réactions des syndicats, des exposants, des visiteurs, des organisateurs.
00:35 C'est ici et c'est maintenant.
00:37 Bagarre générale, ouverture au public retardée.
00:50 Emmanuel Macron qui a dû se calfeutrer.
00:52 Des gardes à vue pour violences, il y en a eu au moins trois.
00:54 C'est ça le Salon en 2024 en pleine crise agricole.
00:58 On va être sur place dans 30 secondes.
01:00 Mais on voulait vous faire entendre pour démarrer.
01:02 Le Président de la République qui est donc toujours au Salon, dans le Hall 4,
01:06 qui est en ce moment calfeutré pour lui permettre cette visite.
01:09 Et qui a clairement, nommément accusé le Rassemblement National d'avoir voulu tirer les ficelles.
01:15 Vous avez des gens qui sont venus juste avec l'idée que je ne puisse pas rentrer.
01:18 C'est raté.
01:19 Vous avez des gens qui sont là avec un projet politique.
01:21 C'est de servir le Rassemblement National.
01:23 L'agriculture française, elle mérite mieux que de la mauvaise politique.
01:26 Et elle mérite mieux que leur projet de décroissance et de bêtise.
01:29 Qui consiste à expliquer aux gens que la solution ce serait de sortir de l'Europe.
01:33 Le Rassemblement National c'est le parti du Frexit.
01:36 Je vais vous dire, s'il n'y a pas d'Europe, il n'y a pas d'agriculture.
01:39 C'est ça la réalité.
01:40 Moi je ne suis pas là pendant 6 semaines, je sais où ils habitaient, ceux qui sont là.
01:43 Syndicats politisés, manipulés.
01:46 On va leur tendre le micro RTL dans une minute pour qu'ils répondent au Président.
01:50 Mais on va retrouver d'abord l'un de nos envoyés spéciaux sur place.
01:53 Julien Fautracollet au basque du chef de l'État.
01:55 Bonsoir Julien.
01:56 Bonsoir.
01:57 Ça c'est un tout petit peu calmé, encore que l'on entend l'ambiance derrière vous.
02:02 Et ça a commencé très tôt sur ce ton là déjà.
02:06 Oui absolument, de mémoire, de salon à tel niveau de tension et de nervosité.
02:11 C'est inédit avec chez les manifestants un slogan "On marche sur la tête" et un mode d'action.
02:16 Le rapport de force aux aurores, les grilles du salon sont forcées par des agriculteurs mécontents.
02:20 La journée s'annonce longue, il est à peine plus de 8h du matin.
02:23 Renfort de gendarmerie, décifflé, Macron démission.
02:26 Et puis la spécialiste agriculteur de RTL, Virginie Garin, dégagée, Manu Militari par les forces de l'ordre.
02:31 Des manifestants sont molestés, leur face à face avec les CRS est toujours en cours.
02:36 Alors où je vous parle ?
02:37 Alors le dialogue au milieu de ce brouhaha a quand même eu lieu avec les agriculteurs.
02:41 Plusieurs heures de débats sans filtre, mais alors en tout petit comité autour d'Emmanuel Macron.
02:45 Oui, c'est pas vraiment ce que le chef de l'État voulait quand il a imaginé un grand débat façon gilet jaune.
02:50 En sortant de cette réunion, il promet des efforts pour la trésorerie des exploitations, certes.
02:55 Mais on retiendra surtout cette phrase au cœur d'un salon chahuté.
02:59 Le premier objectif, c'est que le salon doit se tenir dans le calme.
03:03 Vous n'aidez aucun de vos collègues en cassant des stands.
03:06 Vous n'aidez aucun de vos collègues en rendant le salon impossible.
03:09 Et en quelque sorte en faisant peur aux familles d'y venir.
03:12 C'est contre-productif.
03:14 Le chef de l'État décide de descendre dans le hall finalement, presque au contact.
03:19 Écoutez ces deux extraits.
03:21 Le chef de l'État, us du tutoiement, simplifie les mots, comme pour montrer qu'il a travaillé le sujet.
03:25 Moi je veux bien parler à tout le monde, simplement tout le monde siffle.
03:28 Donc là, on est là pour se causer.
03:30 Justement, le boulot, il est fait sur le terrain.
03:33 On a repris les copies.
03:35 On est en train de faire toute la simplification.
03:37 Donc on n'a pas attendu à ce matin pour commencer le boulot.
03:39 Et puis cet autre extrait, toujours auprès des éleveurs, toujours cette façon de jouer à la proximité.
03:44 La Ferme France, c'est faux de dire qu'elle est en train de se casser la gueule.
03:47 Les revenus 21-22 dans beaucoup de filières, ils ont été historiques.
03:50 Je ne suis pas en train de dire que vous faites de la gratte.
03:54 C'est la France qui bosse.
03:55 Mais on va aussi arrêter tous collectivement de dire que l'agriculture est foutue.
03:59 Parce que sinon, ce n'est pas la peine d'aller chercher des jeunes.
04:01 Il n'y a pas la peine de s'emmerder.
04:03 On ferme tout de suite le magasin.
04:05 Enfin ces mots, toute cette histoire m'a mis en colère.
04:08 A un point que vous ne pouvez pas imaginer devant ces conseillers qui regardent leurs chaussures.
04:12 Emmanuel Macron n'y catégoriquement avoir invité l'association Soulèvement de la Terre pour dialoguer.
04:17 Association dont il avait demandé la dissolution.
04:20 Julien, il est maintenant 18h04.
04:23 La visite se poursuit dans une ambiance qu'on entend derrière vous.
04:26 Comment est-ce que vous décririez ça ?
04:28 Partout où le président se présente, William, il y a des sifflets, des sifflets,
04:32 et encore des sifflets, les manifestants qui crient "Dégage Macron démission".
04:36 Plus personne n'entre dans le hall 4, fermé à double tour.
04:40 Hall dans lequel le chef de l'Etat poursuit sa déambulation.
04:43 Un hall qui a pu être repéré en amont avant sa visite.
04:46 Les mécontents restent en dehors.
04:48 Les policiers filtrent les entrées.
04:50 Filtrage serré, barrage de CRS en plus à l'intérieur.
04:53 Ce qui était une bulle, William, jusque-là, la bulle présidentielle, j'appellerais ça maintenant un bunker.
04:58 Après les éleveurs et les salaires tout à l'heure, les salons plus feutrés.
05:01 Maintenant du célèbre concours général agricole, le chef de l'Etat qui vient de finir de déjeuner.
05:06 Oui, oui, nous sommes bien dans RTL Soir.
05:08 Quand je vous dis que cette visite a pris du retard et ne s'est pas franchement passé comme prévu.
05:12 Merci beaucoup Julien Fautrat. Bien sûr, vous nous faites signe si besoin.
05:15 Et on a entendu ces mots, ces attaques d'Emmanuel Macron contre le Rassemblement National.
05:20 Et derrière ça, le chef de l'Etat semble aussi régler ses comptes avec certains syndicats agricoles.
05:25 Qui seraient d'après lui, le bras armé du parti de Marine Le Pen.
05:28 Les bonnets jaunes de la coordination rurale sont particulièrement visés.
05:32 Mais d'autres ont participé à la fronde anti-Macron.
05:35 Ce matin comme Jean-Luc Martin de la FNSEA qui a voulu répondre au micro des RTL au président de la République.
05:42 C'est complètement faux. On est déçu de M. Macron.
05:45 On n'est pas là pour faire de la politique.
05:47 On n'est pas là pour faire le jeu du Front National ou du Rassemblement National.
05:50 Pour vous, il n'y a rien de politique dans ce mouvement ?
05:52 Ah non, absolument pas. Parce que c'est une question de vie ou de mort.
05:55 Alors la question de vie ou de mort, pour moi, elle n'est pas politique.
05:58 C'est lui qui ne fait pas son boulot.
06:00 Sur la politique, vous n'avez pas de point de vue ?
06:02 Ah non. Qu'on soit dirigé par la droite ou par la gauche ou par d'autres partis,
06:07 ça ne changera rien parce que nos gros problèmes, ils arrivent de l'Europe.
06:10 On a entendu des Macron démission qui venaient des manifestants.
06:13 C'est quelque chose que vous soutenez ?
06:15 Ah oui, entièrement. Il ne fait pas son boulot.
06:17 C'est le président de l'Ukraine, limite ? Président de la France, pas du tout.
06:21 Le président élu de l'Ukraine vient en France et repart avec 3 milliards d'euros.
06:26 Nous, ça fait 3 mois qu'on manifeste, on a 150 millions.
06:30 C'est la réponse de cet agriculteur tarné de la FDSEA à Emmanuel Macron.
06:35 Et au milieu des invectives, des bousculades, on a quand même un petit peu parlé du fond des raisons de la colère.
06:41 Et il y a du nouveau ce soir.
06:43 Emmanuel Macron a pris en engagement lors de son débat improvisé des prix planchers
06:47 pour protéger les revenus des agriculteurs.
06:50 Nathan Boccar, on a bien besoin de votre éclairage.
06:52 Comment est-ce que ça pourrait marcher ?
06:54 Qui pourrait être concerné ?
06:56 Et est-ce que c'est facile à mettre en place ces prix planchers ?
06:58 L'idée, William, comme son nom l'indique, c'est que les prix de vente des produits ne puissent pas tomber sous un certain seuil.
07:03 Et pour trouver ce seuil, le président propose de se baser sur des chiffres qui existent déjà.
07:07 C'est ce qu'on appelle les indices de coût des productions agricoles.
07:10 Ils sont établis filière par filière.
07:12 Elles seraient donc à priori toutes concernées.
07:14 Or, si ces indices sont déjà globalement respectés pour la volaille, par exemple,
07:18 ils ne le sont pas pour le bœuf et pour le lait, selon les éleveurs.
07:21 Enfin, comment mettre ça en place ?
07:23 Par la loi, c'est ce que dit Emmanuel Macron.
07:25 Précisément par une loi sur les revenus des agriculteurs qui doit arriver avant l'été.
07:29 Et pour l'anecdote, cette idée des prix planchers agricoles,
07:32 elle était dans une proposition de loi portée par LFI il y a quelques mois.
07:35 Les députés macronistes avaient voté contre.
07:37 Merci beaucoup, Nathan Bocquart, RTL.
07:39 Il est 18h08.
07:41 Est-ce que la sécurité des visiteurs est bel et bien assurée ?
07:44 Est-ce qu'il faut craindre une semaine entière de débordements ?
07:47 Dans un instant, c'est le directeur, l'organisateur de ce salon de l'agriculture qui va répondre à nos questions.
07:53 RTL, édition spéciale.
07:57 Le 18h, William Galibert.
07:59 Et je vais vous offrir 30 secondes de calme au milieu de ce salon mouvementé
08:03 parce que nos reporteurs RTL nous ont raconté tout à l'heure avoir vu un poussin éclore
08:09 percer sa petite coquille sur les stands des fermiers de l'Ouey.
08:13 Mais à ce moment-là, aucun visiteur pour profiter de ce petit moment de vie.
08:17 Rien du tout. L'ambiance du stand par moments,
08:19 c'était soit un bruit énorme de gens pas contents,
08:23 soit le silence qu'on trouve à 2h du matin habituellement.
08:26 Et on va voir les premières éclosions.
08:28 Et le petit poussin que j'ai dans ma main n'a vu personne ce matin.
08:30 Il nous a vus que nous en train de piétiner et attendre désespérément des gens qui voulaient rentrer et qui ne pouvaient pas venir.
08:35 On adore nos métiers, on adore en parler.
08:37 Et c'est un moment unique pour nous pour représenter et retrouver un vrai lien avec les gens.
08:42 Et en général, les gens partent en disant merci.
08:44 - Yves de Lafourchardière, exposant frustré des poulets des fermiers de l'Ouey au micro de Virginie Garin.
08:51 On se demande quand même comment les événements ont pu s'enchaîner ce matin.
08:55 On va en parler avec le directeur du salon.
08:57 On se demande aussi si on peut venir en famille et en sécurité dans les allées du salon.
09:01 Ce matin, beaucoup de visiteurs ont trouvé des grilles fermées.
09:04 Certaines familles ont même rebroussé chemin.
09:06 Maura Djabari, pour les visiteurs et les exposants,
09:09 les choses ont mis beaucoup de temps à rentrer à peu près dans l'ordre avec ce mélange.
09:13 On a eu des gens curieux, à la fois des badauds à l'affût du président
09:17 et d'autres visiteurs qui étaient venus comme prévu pour les animaux et pour les terroirs.
09:21 - Exactement. Et l'autre personnalité qui attire la foule,
09:24 tous les regards, qui a presque fait de l'ombre au président,
09:26 c'est une fille avec une robe blanche et marron clair, une Normande de 5 ans,
09:30 oreillette, la vache égérie du salon.
09:32 - Dites-moi, vous avez eu votre photo avec la star du jour ?
09:35 - Ah non, pas encore.
09:37 - Vous avez vu, il y a des appareils photos de partout, ça crépite, on se croirait au festival de Cannes.
09:41 - C'est vrai, c'est vrai. - C'est l'égérie.
09:43 - C'est l'égérie, voilà. Une Normande en plus.
09:45 - Une masque. - Une Normande, c'est top.
09:47 Moi, je suis né en Normandie, donc...
09:49 - Une Normande qui produit l'équivalent de 10 camemberts par jour.
09:52 Oreillette fait en tout cas l'unanimité, alors que pas très loin, à une centaine de mètres,
09:57 les bousculades autour du président se poursuivent.
09:59 Les macrons démissionnent, les sifflets viennent troubler la sieste des veaux et des moutons,
10:03 ce qui n'empêche pas Sarah de profiter.
10:05 - C'est merveilleux d'être là.
10:06 - Il y a le président Macron qui est juste à côté.
10:08 - Oui, on a cru.
10:09 - Avec la foule qui le suit en permanence.
10:11 - C'est ça. On a réussi à bien se laomer entre les jambes.
10:13 Tout le monde veut le voir, je pense.
10:15 On ne vient pas du tout pour lui. On galère un petit peu, mais on profite quand même.
10:18 - Les visiteurs affluent et déambulent.
10:20 C'est élaborieux, parfois violent.
10:22 Il y a eu du retard, mais on peut dire que le Salon de l'agriculture est enfin lancé.
10:25 - Merci beaucoup, Maura Jabari.
10:27 Et bonsoir, Arnaud Lemoyne.
10:29 - Bonsoir. - Bonsoir.
10:30 Vous êtes l'organisateur du Salon.
10:32 Et avec la franchise qui vous caractérise, vous nous disiez hier,
10:34 vous le disiez à Yves Calvi sur RTL, que c'était le pire salon que vous ayez eu à organiser.
10:39 Alors, le premier jour n'est pas encore fini, mais est-ce que ce n'est pas encore pire que prévu ?
10:43 - C'est pire que prévu, absolument.
10:46 Et on a une double tristesse ce soir.
10:48 On a la tristesse de voir un monde agricole qui a un mal-être, un malaise important,
10:53 et qui semble perdurer, qui ne trouve pas les réponses forcément adéquates.
10:58 Et c'est l'affectif de voir le salon bousculer dans son fonctionnement,
11:01 avec tout ce que vos reporters ont dit par rapport aux visiteurs et aux exposants.
11:08 Donc ce soir, oui, nous sommes tristes.
11:10 - Est-ce que, on se pose la question, désolé, mais après avoir vu les images,
11:14 est-ce que les visiteurs de votre salon sont en pleine sécurité ?
11:17 Est-ce qu'ils sont à l'abri des gaz lacrymo, des bousculades, aujourd'hui ?
11:20 Et peut-être aussi dans les jours qui vont suivre ?
11:22 Parce qu'Emmanuel Macron n'est pas le seul politique qui va arpenter les allées.
11:25 - Oui, mais on n'a qu'un seul président de la République,
11:27 et on savait que cette visite concentrerait les difficultés et les problèmes.
11:30 On l'avait plus ou moins appréhendée.
11:32 On ne pensait pas que ce serait si difficile et si violent.
11:35 Donc j'imagine et j'espère que les prochains jours,
11:39 avec les autres visites politiques, se dérouleront dans un calme et une sérénité plus fortes.
11:45 - Arnaud Lemoyne, des barrières ont été franchies, même forcées.
11:48 Est-ce qu'il y a eu des lacunes dans votre dispositif,
11:51 qui étaient déjà renforcées parce qu'on connaissait très bien le contexte ?
11:54 - Écoutez, on a renforcé la sécurité de 30%.
11:58 Imaginant un certain nombre de situations.
12:01 Celle de ce matin était difficilement imaginable.
12:04 On doit l'avouer, des barrières franchies et tout ce que vous évoquez,
12:08 oui bien sûr, on avait le nombre adéquat de sécurité,
12:12 simplement c'est arrivé de partout, comme la colère du monde agricole.
12:16 - Un salon réussi, c'est autour de 500, 600 000 visiteurs.
12:20 Vous craignez que beaucoup renoncent à venir vous voir ?
12:24 - Oui et non. Oui peut-être, à cause des images qui vont défiler jusqu'à ce soir.
12:29 Non, parce que les Français pensent que le salon c'est toujours plus que le salon.
12:33 Et je pense qu'on va se rétablir dans les prochains jours,
12:36 puisqu'ils ont une raison de venir en plus au salon, c'est de nous soutenir.
12:40 - Merci beaucoup, merci d'avoir pris ce temps pour les auditeurs de RTL.
12:43 Arnaud Lemoyne, vous êtes l'organisateur de ce salon,
12:46 et vous étiez en direct ce soir avec nous.
12:51 On a fait le tour le plus complet possible de ce grand bazar,
12:54 porte de Versailles, difficile de l'appeler autrement.
12:57 A 18h14, j'ai deux ou trois choses à vous signaler dans le reste de l'actualité.
13:00 D'abord, le corps d'Alexei Navalny, l'opposant à Vladimir Poutine,
13:04 a enfin été rendu à sa famille et à sa mère, 8 jours après sa mort,
13:07 mais on ne sait toujours pas quand des obsèques pourront avoir lieu.
13:10 Ensuite, c'est un anniversaire du genre qu'on n'a pas très envie de célébrer.
13:13 Les deux ans de la guerre en Ukraine, Kiev a conclu aujourd'hui un accord
13:17 avec l'Italie et le Canada pour de nouvelles aides financières.
13:20 Et puis, il y a du football ce soir, un match en cours de Ligue 1, Lorient-Nantes.
13:24 C'est la 23ème journée de Ligue 1 et Nantes est en train de mener 1-0 à 21h.
13:29 Strasbourg accueille le surprenant Stade Brestois d'au fin du PSG au classement.
13:34 Le temps, la météo, demain Valérie Quintin, ça reste très agité.
13:38 - Alors c'est vrai qu'on aura un petit peu de tout, un beau panel,
13:41 avec l'arrivée d'une dégradation dès le matin par l'Ouest.
13:44 On aura des pluies copieuses demain, dans le Sud-Ouest en particulier,
13:46 et toutes ces pluies vont gagner la quasi-totalité du pays au cours de la journée,
13:50 en épargnant uniquement les régions les plus à l'Est, entre l'Alsace et les Alpes du Nord,
13:54 ainsi qu'en Corse, côté Mercure, fourchette de -3°C à Ambrun,
13:58 à 11°C à Bastiaux, réveil dans la journée, 6°C à 16°C, 9°C pour Paris comme pour Lille.
14:04 - Merci Valérie, mais qui voilà ? Mais oui, c'est le grand studio RTL,
14:08 le groupe Nouvelle Vague, connu pour ses reprises façon "Bossa Nova vous attend",
14:13 Barbara Pravi également, et puis Éric Jean-Jean forcément.
14:16 Très belle soirée à tous à l'écoute de RTL.
14:19 ❤️ par SousTitreur.com
14:24 Merci à tous !
Recommandations
1:05
|
À suivre
54:03
3:17
11:11
11:21
3:30
8:13
10:18
3:23
4:39