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Éric Zemmour : «Je ne suis pas là pour remplacer le Rassemblement national»
CNEWS
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15/03/2023
Le président de Reconquête!, Éric Zemmour, déclare qu’il n’est pas là, avec son parti politique, pour remplacer le Rassemblement national : «Je ne suis pas là pour remplacer le Rassemblement national».
Catégorie
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News
Transcription
Afficher la transcription complète de la vidéo
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Je ne veux transmettre aucun message à Marine Le Pen.
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Je veux transmettre un message à mes lecteurs et aux Français.
00:06
Deux choses très simples.
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Je ne suis pas, je ne fus jamais membre du Rassemblement national
00:12
et quand j'étais journaliste,
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je me suis assez peu occupé du Rassemblement national.
00:17
En vérité, je me suis beaucoup occupé pendant 30 ans
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de la droite, du RPR, de l'UDF, qu'on appelle aujourd'hui LR.
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J'ai écrit plusieurs livres sur ces sujets.
00:29
J'ai écrit il y a 25 ans un livre dans lequel, d'ailleurs,
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j'annonçais tout ce qui se passe aujourd'hui
00:33
à partir de mon étude de la trahison de la droite,
00:37
de ses idéaux, de ses idéaux gaullistes,
00:39
de ses idéaux de droite même.
00:41
Si vous voulez, quand je suis rentré en campagne
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ou en pré-campagne en septembre, qu'est-ce que j'ai dit ?
00:46
J'ai dit, je suis le RPR.
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J'ai dit dans mon discours de Villepeinte,
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qui j'attaque ? Pas Marine Le Pen, Valérie Pécresse.
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Parce que je pense qu'elle va trahir.
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C'est exactement ce qui est arrivé.
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Donc moi, je ne suis pas là pour remplacer
01:01
le RN. Je n'ai pas créé Reconquête
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pour remplacer le RN.
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Marine Le Pen, je dis une seule chose.
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Je dis, ne venez pas m'embêter
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avec cette candidature qui pourrait l'empêcher
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d'arriver au second tour.
01:14
Si elle arrive au second tour, comme c'est prévu par les sondages,
01:17
elle perdra de toute façon.
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Je n'ai pas eu tort. Elle a perdu.
01:21
Maintenant, là où vous avez tout à fait raison,
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en fait, je me suis rendu compte après
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que j'avais été enfermé dans une primaire
01:31
dite d'extrême droite.
01:32
Et là, je vais vous expliquer quelque chose
01:36
qu'il faut expliquer surtout aux téléspectateurs.
01:39
Dans les campagnes présidentielles,
01:43
chaque rédaction désigne un journaliste
01:46
pour tel candidat.
01:47
Moi, jadis, j'ai été, par exemple,
01:50
suivi Jacques Chirac pendant la campagne de 1995.
01:53
Un exemple.
01:54
Là, toutes les rédactions ont fait le choix
01:57
qu'il avait l'air technique, mais qui est en fait idéologique,
02:01
de mettre le même journaliste sur Marine Le Pen et sur moi.
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On aurait pu, par exemple, faire un autre choix.
02:07
Soit mettre des journalistes différents
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sur les deux candidats, soit mettre le même candidat
02:13
sur Éric Zemmour et sur Valérie Pécasse.
02:15
On aurait pu.
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-Ca a une conséquence ? -Ca a une conséquence majeure.
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Le vendredi, le journaliste est avec moi.
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Il m'écoute et il me dit
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"Marine Le Pen a dit ça, donc moi, je réponds."
02:27
Le lendemain, il est avec Marine Le Pen.
02:30
Et il lui dit "Éric Zemmour vous a répondu ça."
02:32
Évidemment, Marine Le Pen répond.
02:34
Et c'est sans fin.
02:36
Et nous sommes ainsi,
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comme nous sommes découverts des tempéraments,
02:40
je dirais, de combattants farouches,
02:42
le ton monte.
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C'est la définition de la guerre par Clausewitz.
02:45
La montée aux extrêmes.
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Si vous voulez, l'un et l'autre, je pense que nous en avons pâti.
02:51
Je découvre, hier,
02:54
que Marine Le Pen aurait dit à un de ses proches
02:58
que son seul objectif dans la présidentielle,
03:01
c'était, je cite, "de tuer Zemmour".
03:04
On me dit même que,
03:07
après sa qualification au second tour,
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au lieu de se concentrer sur son combat avec Emmanuel Macron,
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elle continuait à penser à son affrontement avec moi.
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C'est pour cela qu'elle a refusé tout accord aux législatives,
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ce qui nous a empêchés tous d'avoir beaucoup plus d'élus.
03:24
Donc, si vous voulez,
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je pense que cet enfermement qui a été voulu par les rédactions
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pour faire exister une prétendue primaire d'extrême droite.
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Or, moi, je ne suis pas d'extrême droite,
03:34
je suis d'une ligne politique,
03:37
d'une tradition que j'appellerais "golo bonapartiste",
03:41
le RPR des années 90.
03:44
Vous voyez ?
03:45
Sous-titrage ST' 501
03:47
[Musique]
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