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«Notre industrie militaire aujourd'hui n'est pas à même de produire sur le même modèle que les Russes» alerte Raphaël Stainville
Europe 1
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il y a 12 minutes
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00:00
Europe 1 Soir Weekend, 19h, 21h, Stéphanie Demureux.
00:04
En compagnie de Raphaël Stainville et Michel Fayat.
00:07
Pardon Michel, vous vouliez poser une question à Pierre Gassineau sur le livre Les Espions du Président.
00:11
C'est vrai qu'on avait plein de questions à lui poser, c'est fascinant.
00:14
Ça vous inspire quoi ces affaires d'espions ?
00:17
Moi j'avais envie qu'ils nous disent quelle victoire ils pensent qu'Emmanuel Macron a obtenue durant toutes ces années.
00:24
Je crois qu'on a lu le livre, Raphaël Stainville et moi,
00:28
mais je n'ai pas l'impression qu'il y ait énormément de victoires au crédit d'Emmanuel Macron.
00:33
Il y a quelques coups d'éclat qui restent finalement assez rares et des opérations qui ont été menées pour déjouer d'autres opérations.
00:43
Mais rien de spectaculaire dont Emmanuel Macron puisse se glorifier aujourd'hui.
00:50
Et surtout le dossier ukrainien dont il parle beaucoup.
00:52
Le dossier ukrainien et puis le départ des Français du Sahel.
00:56
Le bilan est assez lourd quand même.
00:58
La stratégie de Brégançon dont il dit justement Pierre Gastineau et Antoine Isambar que c'est un échec
01:04
puisqu'on en est là aujourd'hui avec la Russie.
01:07
Et ça m'emmène au sujet sur lequel je voulais vous faire réagir.
01:11
Évidemment qu'on a beaucoup commenté ensemble les propos du chef d'état-major des armées.
01:16
Il faut être prêt à perdre nos enfants.
01:18
Ses enfants, c'était Fabien Mandon qui disait ça il y a quelques semaines.
01:21
Et bien maintenant c'est au tour du patron de l'OTAN d'agiter les peurs.
01:25
Marc Routteux qui a prononcé jeudi un discours en forme d'avertissement.
01:28
Il explique que l'OTAN est la prochaine cible de la Russie.
01:31
« Nous devons être prêts car à la fin de ce premier trimestre du XXIe siècle,
01:41
les conflits ne se mènent plus à distance.
01:45
Le conflit est à notre porte.
01:48
La Russie a ramené la guerre en Europe
01:50
et nous devons nous préparer à une guerre d'une ampleur comparable
01:53
à celle qu'ont enduré nos grands-parents et arrière-grands-parents. »
01:58
Michel Fayette, ce n'est pas franchement rassurant.
02:01
Il donne à l'appui des chiffres que Fabien Mandon donnait aussi.
02:05
Je ne vais pas vous les citer ici parce que c'est un peu long.
02:07
Mais en gros il explique que la Russie est désormais décrite
02:10
comme une économie entièrement tournée vers la guerre.
02:12
Encore une fois chiffre à l'appui.
02:14
Vous, que vous inspirent ces propos un peu chocs
02:18
et qui peuvent faire peur ?
02:19
Déjà le fait que la Russie a énormément de budget
02:22
en la faveur du secteur de la défense, c'est normal
02:24
puisqu'elle affronte en réalité non seulement l'Ukraine mais tout l'OTAN.
02:27
Donc c'est logique en fin de compte.
02:30
Maintenant ce qu'il faut bien comprendre c'est que Roteux joue sa fonction.
02:35
Il est le chef de l'OTAN et donc il ne peut pas se permettre
02:38
de dire qu'il n'y a aucun risque, qu'il n'y a aucun problème.
02:42
Au contraire, avec un Trump qui dit sur tous les plateaux et partout
02:45
comme quoi il a réglé huit conflits et qu'il a mis un terme à huit conflits,
02:51
Roteux est obligé de maintenir cette idée-là.
02:53
Surtout qu'il y a un complexe militaro-industriel
02:56
non seulement russe, non seulement américain
02:58
mais aussi en Europe, en France notamment, en Grande-Bretagne, etc.
03:01
qui tourne grâce à cette idée de guerre.
03:04
Parce que l'Union Européenne, la France, la Grande-Bretagne,
03:08
tout le monde donne du budget à ce complexe militaro-industriel.
03:11
Et donc il essaye de maintenir cette idée à flot.
03:14
Mais honnêtement, je ne pense pas que la Russie ait de véritables intentions
03:19
contre la France ou contre, disons, la Grande-Bretagne.
03:22
Alors, pas contre la France, mais évidemment, tout le monde...
03:24
Non, pas tout le monde.
03:25
Justement, certains soupçonnent et craignent que la Russie
03:29
s'en prenne aux Pays-Baltes et que par définition,
03:32
s'enclenche l'article 5 qui entraînerait la solidarité des pays de l'OTAN.
03:37
C'est à cela qu'il fait allusion, selon vous, Marc Roteux, Raphaël Steinville ?
03:42
Oui, mais le problème, c'est que c'est un récit qui s'alimente chaque jour un peu plus.
03:47
Parce que vous avez cité le général Mandon.
03:49
Il y a eu le ministre de la Défense allemand qui nous expliquait
03:52
que nous vivions notre dernier été de paix.
03:55
Nous avions vécu notre dernier été de paix.
03:57
Vous avez vu que l'Allemagne envoie des soldats en Pologne.
04:00
Oui, mais du coup, puisque l'on commente ces déclarations successives,
04:05
on a l'impression d'un danger qui est chaque jour plus imminent
04:08
au moment même où on peut aussi constater
04:11
que si l'armée russe progresse péniblement sur le terrain ukrainien,
04:16
elle n'est pas à Kiev,
04:17
elle n'est pas parvenue à vaincre la résistance ukrainienne.
04:24
Donc, bien sûr, on aurait tort de ne pas prendre au sérieux la menace russe en tant que telle,
04:29
et en tout cas, on aurait tort de ne pas se préparer comme il se doit.
04:32
pour autant...
04:34
Ils sont au-delà de la préparation.
04:36
Il dit qu'il y a eu une guerre de l'ampleur de 39-45.
04:40
Oui, mais dans ce cas-là, nous sommes inconséquents
04:43
parce que cette menace, elle existe, en tout cas de manière très concrète,
04:47
depuis 2022.
04:48
Depuis 2022, Emmanuel Macron nous a expliqué qu'il fallait
04:52
adopter une économie de guerre
04:55
et peu de choses ont été faites de manière très concrète.
05:01
Alors certes, il y a eu une augmentation du budget de la défense,
05:04
mais les commandes sont encore timides.
05:06
Notre industrie militaire, aujourd'hui, n'est pas à même de produire
05:10
sur le même modèle que les Russes.
05:12
Donc, on est quand même dans une sorte de grand théâtre
05:14
où on nous explique que la menace est imminente,
05:16
mais on n'a pas tiré toutes les conséquences qu'il faudrait
05:20
de cette crise imminente qui serait aux portes de l'Europe.
05:25
Mais ça dit quoi, alors ?
05:27
Et puis, la dernière chose, il faut lire aussi ce que dit
05:31
le général Pierre de Villiers, qui alertait dès 2017
05:34
des menaces, des périls qui pesaient sur la France et l'Europe
05:39
sans que notre président et d'autres dirigeants
05:42
ne prennent ces menaces au sérieux
05:44
et ne songent à doter notre défense
05:49
des moyens nécessaires pour faire face à cette menace.
05:51
Donc, nous avons perdu trop de temps
05:52
et pour conclure sur le général Pierre de Villiers,
05:56
il nous explique qu'il faudrait à ce jour
05:59
10 ans pour faire face à une menace
06:01
et pouvoir tenir face à un ennemi tel que la Russie.
06:05
Aujourd'hui, nous en sommes incapables.
06:07
Nous n'avons ni...
06:08
La situation nucléaire, quand même.
06:10
Oui, d'accord, mais nous n'avons pas la profondeur
06:12
en armement pour faire face à un conflit de haute intensité
06:17
sans parler, effectivement, de cette question nucléaire.
06:20
Donc, il y a quand même un certain nombre d'inconséquences
06:22
de la part de nos dirigeants qui ont vécu
06:24
sur les dividendes de la paix pendant trop longtemps.
06:26
Oui, Michel Fayad.
06:27
Oui, il y a aussi notre ciel qui est incapable
06:29
de faire face à d'éventuels drones russes.
06:31
Aujourd'hui, on n'arrive pas à protéger le ciel de nos prisons.
06:33
Alors, le ciel de la France face à la Russie,
06:35
ça paraît compliqué.
06:35
Ce n'est pas les mêmes drones, mais...
06:36
Oui, oui, mais pour vous dire, on ne contrôle pas.
06:38
Et puis, il y a aussi quelque chose
06:40
qui est très important à dire,
06:41
et Raphaël a ouvert un peu le champ, en tout cas,
06:44
c'est que non seulement il y a le danger russe,
06:46
entre guillemets, qui reste plus ou moins hypothétique,
06:49
mais il y a un danger plus réel qui est en Afrique.
06:51
Aujourd'hui, il y a deux fois la taille de la France
06:53
qui est tombée entre les mains de Daesh et d'Al-Qaïda.
06:55
Plus d'un million de kilomètres carrés
06:57
entre les mains de djihadistes en Afrique.
06:59
Et donc, si ces djihadistes continuent à prendre du territoire
07:01
et demain prennent peut-être la Libye,
07:03
qui est divisée, on en a parlé en première partie des missions,
07:07
qui peut-être rentre en Algérie,
07:08
eh bien, ils seraient à la porte de l'Europe.
07:09
Et eux sont beaucoup plus dangereux pour nous.
07:11
Et c'est une autre guerre,
07:12
parce que la Russie, c'est une armée régulière,
07:15
tandis que ces djihadistes, eux,
07:17
ce serait une guerre urbaine,
07:19
ce serait autre chose.
07:21
Mais c'est quoi l'arrière-pensée ?
07:22
Est-ce qu'il y a une arrière-pensée ?
07:24
Parce que c'est vrai que dans le même temps,
07:25
au moment où on commente ces propos alarmistes de Mark Rutte,
07:28
il y a des négociations qui se poursuivent quand même.
07:31
Et Trump qui met la pression pour que ça se passe,
07:34
en tout cas, cette paix.
07:36
Alors, c'est vrai que les Européens ne sont pas conviés,
07:39
ils veulent davantage de conditions.
07:41
Mais c'est étrange,
07:43
c'est un peu deux salles, deux ambiances quand même.
07:45
Oui, mais je crois que
07:46
les premiers propos de Michel
07:51
nous expliquant que la raison d'être,
07:53
finalement, de l'OTAN,
07:55
c'était cet ennemi russe,
07:58
fantasmé ou non,
07:59
mais en tout cas,
08:00
qui explique que l'OTAN,
08:02
alors même que le mur est tombé,
08:04
que le régime communiste s'est effondré,
08:06
l'OTAN aurait pu disparaître.
08:09
Et pour autant,
08:11
il existe toujours,
08:12
il n'a cessé,
08:13
et c'est ce que reproche d'ailleurs Poutine,
08:17
d'installer des bases au plus près de ses frontières,
08:21
et donc à participer finalement
08:23
à cette installité,
08:25
à cette tension.
08:26
C'est légitime,
08:27
sauf à jouer avec le feu.
08:30
Et en l'occurrence,
08:31
on a eu la réponse de Poutine,
08:33
qui a envahi l'Ukraine.
08:36
Parce qu'il ne voulait pas que l'Ukraine
08:39
n'intègre l'OTAN,
08:41
que des bases soient installées
08:44
toujours plus près des frontières de la Russie.
08:46
Donc il faut aussi prendre en compte
08:48
cette équation.
08:50
Et là, on parle,
08:51
Michel Fayet,
08:52
de l'adhésion de l'Ukraine
08:53
à l'Union Européenne
08:54
dès 2027.
08:56
Elle est envisagée par le plan européen.
08:58
C'est stipulé,
08:59
mais c'est un sujet de négociation.
09:00
Et les Américains,
09:01
ils sont favorables.
09:02
C'est vrai qu'on peut se poser aussi
09:04
la question de l'adhésion
09:05
des Européens à ce projet.
09:07
Parce que tout le monde
09:08
n'est pas d'accord
09:08
avec l'intégration de l'Ukraine
09:11
à l'Union Européenne.
09:12
Lorsqu'on parle du problème
09:14
de l'agriculture française,
09:15
en première ligne,
09:18
par rapport à l'adhésion de l'Ukraine,
09:20
il y a aussi autre chose.
09:21
Aujourd'hui,
09:21
il y a des armes lourdes,
09:23
des Kalachnikovs,
09:24
des M16 et autres.
09:25
Qui sont déjà dans nos banlieues.
09:26
Oui, mais imaginez que demain,
09:28
il y ait la paix en Ukraine.
09:29
Alors, ça serait un déferlement
09:31
bien plus important
09:32
dans nos pays.
09:34
Sachant que les frontières
09:35
sont des passoires
09:36
et que tout passe,
09:37
drogue et armes.
09:39
Là, ça serait encore plus grave.
09:40
Donc, comment est-ce que
09:41
la police pourrait faire face ?
09:42
Comment l'armée pourrait faire face ?
09:44
En réalité,
09:44
c'est devenu aussi urgent,
09:46
urgent, urgent
09:46
de fermer nos frontières
09:47
pour pouvoir justement
09:48
faire face à ce déferlement
09:51
et de drogue
09:51
et d'armes venues d'Ukraine.
09:52
Ce serait peut-être judicieux
09:54
à ce moment-là
09:54
de consulter les Européens, non ?
09:57
Sarah-Felstainville,
09:57
vous ne pensez pas
09:58
sur un sujet aussi grave ?
09:59
Non, mais moi,
10:00
je comprends que les Américains
10:01
soient très favorables
10:03
à cette possibilité
10:06
parce que ça ne ferait
10:07
qu'affaiblir davantage l'Europe.
10:10
Et effectivement,
10:11
si vous deviez consulter
10:12
les peuples européens,
10:14
je pense que nombre d'entre eux
10:15
s'opposeraient à ce que l'Ukraine,
10:20
quand bien même,
10:20
elle aurait payé le prix du sang,
10:22
comme le disait Gérard Larcher,
10:24
voilà, quelques mois
10:25
pour justifier que l'Ukraine
10:27
puisse postuler
10:29
à une adhésion
10:30
à l'Union Européenne,
10:31
malgré tout cela,
10:32
je pense que
10:33
les peuples européens,
10:34
les pays,
10:35
doivent pouvoir se prononcer
10:36
sur son intégration
10:37
au sein de l'Union Européenne.
10:39
Ça ne va pas être le cas,
10:40
Michel Fayadé.
10:41
On sent d'ailleurs
10:41
que la France
10:41
n'est pas contre
10:42
cette intégration.
10:44
Ils l'appellent de leur vœu
10:46
depuis un moment.
10:47
Les politiciens,
10:48
les dirigeants.
10:49
Oui, les dirigeants,
10:50
oui, excusez-moi,
10:51
oui, bien sûr,
10:51
je parle des dirigeants.
10:53
Voilà, mais je pense
10:54
que Trump, en fait,
10:55
veut transformer l'Ukraine
10:56
d'un problème américain
10:57
à un problème européen,
10:58
strictement européen.
10:59
Parce qu'aujourd'hui,
11:00
les Américains,
11:00
jusque-là,
11:01
étaient en train
11:01
de donner des armes
11:02
et des aides.
11:03
Et là, vraiment,
11:04
faire de l'Ukraine
11:05
un pays membre
11:05
de l'Union Européenne,
11:06
c'est vraiment
11:06
reprenez le bébé
11:08
et occupez-vous de lui.
11:09
Et financer sa reconstruction.
11:11
Absolument.
11:11
C'est parti.
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