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Dermatose bovine : «Ça va se durcir», prévient Bernard Venteau, le président de la Coordination Rurale
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00:00
19h21, Stéphanie Demureux.
00:03
Toujours en compagnie de Sarah, Salman et Antonin.
00:06
André, on parle maintenant de cette colère des agriculteurs qui pourraient faire tâche d'huile.
00:11
En tout cas, ils sont toujours mobilisés aujourd'hui pour protester contre l'abattage systématique de leur chépel
00:17
en cas de détection de cette dermatose bovine dans les élevages.
00:22
On en a beaucoup parlé ces derniers jours, on sait maintenant ce que c'est.
00:25
Cette maladie, en tout cas des actions, je le disais, sont en cours partout en France,
00:29
notamment sur l'A64.
00:31
Alors ça avait été, on s'en souvient, c'est assez symbolique, Antonin et André,
00:35
parce que ça avait été justement cette A64, l'épicente des grandes mobilisations du monde agricole en janvier dernier,
00:41
qu'on s'en souvient.
00:42
Oui, avec les tracteurs.
00:43
Vous vous en souvenez ? Vous avez été bloquée par un tracteur ?
00:45
Non, Sarah Salman.
00:46
Je n'ai pas été bloquée par un tracteur, mais c'était des images qui m'avaient marquée.
00:49
En plus, ils disaient qu'on ne va pas pouvoir faire cette manifestation dans la durée,
00:52
parce que nous, si on ne travaille pas nos... je ne sais plus comment on dit...
00:56
Nos bêtes, nos exploitations.
00:58
Nos exploitations, merci, c'est le mot que j'ai cherché, ne vont pas tourner,
01:00
et donc on ne peut pas se payer le luxe d'aller manifester, mais on veut quand même le montrer.
01:04
Je pense que ça va faire un peu comme les Gilets jaunes,
01:06
où au tout début, il y avait un ras-le-bol qui était légitime,
01:09
et ils sont allés dans la rue parce qu'ils n'en pouvaient plus,
01:11
et là, c'est ce qui se passe.
01:11
Il y a un agriculteur qui est suicide tous les deux jours,
01:14
il travaille énormément d'heures par semaine, ils ne prennent pas de vacances,
01:17
il y a une surtransposition des normes par rapport à l'Union européenne,
01:20
et vous ajoutez cette maladie, donc c'est absolument irrespirable.
01:23
En tout cas, je vous propose de les écouter, d'ailleurs, ces agriculteurs,
01:28
tout à l'heure autour de l'A64, toujours bloqués entre Bayonne et Tarbes.
01:32
Moi, je pense que Madame la Ministre, maintenant, il faut nous regarder,
01:35
il faut nous écouter, il faut nous entendre,
01:37
parce que là, maintenant, on est vraiment en détresse,
01:39
et je pense que demain, on sera tous morts à cette allure-là.
01:42
Ça ne me donne aucune amie de continuer, quoi.
01:44
Enfin, on dégoûte toute une génération avec ce genre d'intervention.
01:49
On demande à ce qu'on stoppe les abattages de tous les troupeaux,
01:53
mais vraiment qu'on fasse du cas par cas et qu'on apprenne à vivre avec la malette.
01:56
Alors, Antoine et André, c'est vrai que c'est un peu compliqué,
01:58
parce qu'on n'est pas vétérinaire ici.
01:59
C'est très compliqué.
02:01
C'est compliqué, alors, néanmoins, ce qu'il faut poser en préalable,
02:06
et il se trouve que moi, j'ai une partie de ma famille qui est originaire du Doubs,
02:10
et donc je connais, j'ai des amis qui sont éleveurs dans le Doubs,
02:13
et qui sont confrontés à...
02:15
Ils vous disent quoi ?
02:16
Alors, ce qui est vrai, c'est qu'on mesure mal à quel point pour un agriculteur,
02:20
un éleveur, qui élève des bêtes, qui les prend souvent très jeunes,
02:23
et qui les élève, et c'est un travail harassant,
02:27
il est très attaché à ces bêtes.
02:28
Donc, il ne faut pas du tout sous-estimer le traumatisme que représente pour eux.
02:31
Et puis, c'est des dizaines d'années de travail.
02:32
Exactement, c'est des dizaines d'années de travail,
02:33
et puis il y a un attachement vraiment à ces bêtes.
02:35
C'est un niveau très sensible, les bêtes, évidemment.
02:37
On les traite deux fois par jour, on passe du temps avec elles,
02:40
on les soigne, on les protège, donc il y a une dimension affective.
02:44
Ensuite, sur cette épidémie, ce qui est en cause,
02:46
c'est le fait d'abattre tout un troupeau quand vous avez un ou deux individus malades.
02:50
Il se trouve que cette épidémie a commencé en Savoie et dans l'Ain,
02:55
et que cette façon de faire, c'est-à-dire on vaccine tous les troupeaux
02:58
qui sont autour du troupeau touché, et on élimine le troupeau atteint,
03:01
a donné des résultats tout de même en Savoie et dans l'Ain,
03:03
et a réussi à circonscrire cette épidémie dans ce foyer infectieux.
03:07
Donc, le gouvernement essaye de poursuivre sur cette méthode
03:11
dans les endroits où ça survient.
03:12
Mais ça reste extrêmement douloureux pour les éleveurs,
03:15
et effectivement, comme l'a dit Madame Salman,
03:18
ça se surajoute à tout un tas de contraintes qui sont des surtranspositions,
03:22
la crainte du Mercosur et donc de la concurrence déloyale des pays d'Amérique du Sud,
03:26
et que c'est une profession qui est sous-payée,
03:29
qui encaisse depuis des années des réglementations,
03:33
et qui est aussi soumise à des nouvelles normes agricoles,
03:37
notamment compte tenu des normes environnementales,
03:39
et qu'elles souffrent de ne pas être assez accompagnées,
03:42
et effectivement, les pouvoirs publics devraient davantage être aux côtés des agriculteurs
03:46
qu'ils ne le sont, et c'est ce qui explique ce genre d'explosion de colère.
03:50
Oui, parce que vous venez de décrire, c'est le principe de précaution
03:52
qui est entré dans la Constitution en 2005 avec la Charte de l'environnement.
03:55
En réalité, ce n'est que la stricte application du principe de précaution,
03:59
c'est-à-dire qu'on en fait beaucoup plus que ce qui est nécessaire par précaution.
04:02
Oui et non, en fait, vous avez 17 millions de têtes de bétail en France,
04:05
et ce genre d'épidémie, si on ne la circonscrit pas,
04:09
peut devenir très vite beaucoup plus catastrophique que si on ne fait rien.
04:12
J'entends cet argument, mais par précaution ?
04:14
Ce n'est pas de la précaution,
04:15
c'est un virus, c'est une maladie qui se transmet par la piqûre de moucheron,
04:21
mais qui ensuite peut,
04:23
en fait, on a un chénon manquant sur la transmission d'animal à animal ensuite.
04:26
Et donc, dans cette ambiguïté-là,
04:30
effectivement, on peut faire le choix de ne pas battre tout le troupeau,
04:32
mais on prend le risque que les autres bêtes soient porteuses du virus
04:37
et que l'épidémie, finalement, gagne comme ça, de façon un peu souterraine
04:40
et que les conséquences soient beaucoup plus dramatiques.
04:42
Je ne suis pas expert vétérinaire.
04:43
Moi, non, personne.
04:44
La seule chose que je dis, c'est que l'épidémie en Savoie et dans l'Ain,
04:49
où ça avait débuté, aujourd'hui,
04:50
alors, il y a eu des abattages, je ne me rappelle plus,
04:53
des proportions importantes,
04:54
mais néanmoins pas tout le cheptel de Savoie et de l'Ain,
04:57
et l'épidémie là-bas s'est éteinte.
04:59
Donc, c'est difficile de répondre à la colosse agricole.
05:02
Elle est évidemment légitime,
05:03
mais il ne faut pas non plus penser que la réponse sanitaire est forcément inadaptée.
05:10
Oui, elle n'est pas forcément exagérée,
05:12
mais c'est un ras-le-bol général.
05:13
C'est un peu la goutte d'eau qui fait déborder le vase.
05:15
Il y a une accumulation de choses aussi.
05:16
Après, on peut aussi ajouter le fait que, vous l'avez dit,
05:19
cette front agricole a débuté dans un endroit
05:22
où elle avait déjà éclaté l'année dernière,
05:24
et c'est une région où les agriculteurs et les éleveurs
05:26
sont assez politisés quand même,
05:29
et ont une tendance à prendre souvent le début des mobilisations,
05:34
ce qui n'est pas forcément critiquable d'ailleurs,
05:36
parce qu'elles défendent l'ensemble de la profession.
05:39
Donc, effectivement, c'est un endroit qui, en plus,
05:40
est particulièrement sensible, particulièrement mobilisé,
05:42
et qui d'ailleurs échappe, pour l'essentiel, au contrôle de la FNSEA.
05:46
La question qu'on peut se poser quand on n'est pas expert du sujet agricole,
05:51
c'est qu'est-ce qui s'est passé ?
05:52
Parce que vous vous souvenez, vous dirigez les pages politiques du JDD,
05:55
cette photo de Gabriel Attal et de Christophe Béchut,
05:58
qui étaient à l'époque ministres de l'Agriculteur,
06:01
sur leur botte de paille.
06:03
À l'époque, on avait beaucoup...
06:04
Et on avait quand même calmé la première.
06:06
Oui, on l'avait calmé avec une loi agricole,
06:08
d'urgence agricole, qui a finalement été adoptée à l'automne,
06:10
mais certains politiques avaient reproché à l'époque à Gabriel Attal,
06:14
qui était Premier ministre,
06:15
et qui était arrivé tout juste en fonction,
06:18
de s'être laissé impressionner fortement dès le début,
06:21
avec un conflit qui, c'est vrai, était spectaculaire,
06:22
et d'avoir tout lâché trop vite.
06:25
Donc on lui avait aussi reproché cette espèce de photo.
06:28
Lâché quoi ? Des millions, le chéquier ?
06:30
Oui, d'avoir tout de suite cédé à tout.
06:32
Alors peut-être qu'il a bien fait,
06:34
mais cette photo, de la même façon que Gabriel Attal
06:37
a peut-être été un peu naïf,
06:38
cette photo renvoyait l'image un peu naïve
06:41
d'un conflit qui serait totalement réglé et éteint.
06:44
En réalité, la crise agricole est beaucoup plus profonde,
06:46
et beaucoup plus diverse, et beaucoup plus longue
06:49
que ce que cette photo laissait d'imaginer
06:52
en pensant qu'on avait tout réglé.
06:53
On a eu aussi la photo d'Emmanuel Macron
06:55
au Salon de l'Agriculture,
06:56
où c'était vraiment quand même le bazar,
06:59
il a enlevé la veste, il était en chemise,
07:01
il leur a expliqué que tout allait très bien se passer.
07:03
C'était une belle photo.
07:04
C'était moins pire cette année que les années précédentes,
07:06
parce que Gabriel Attal avait lâché beaucoup de choses.
07:08
Oui, et là c'est vrai que j'imagine,
07:10
je m'adresse à l'avocat de Salman,
07:13
le maire Caussure fait très peur à ses agriculteurs,
07:16
notamment particulièrement aux agriculteurs bovins.
07:20
Et à juste titre, après,
07:21
c'est l'Union Européenne prime,
07:23
donc malheureusement le pouvoir décisionnel des agriculteurs
07:27
est quand même assez faible à l'échelle française.
07:30
Tout vient de l'Union Européenne,
07:31
les directives, on les transpose,
07:33
et on transpose plus que ce qu'on est obligé de faire.
07:35
Comme dans tous les secteurs.
07:37
C'est de l'excès de zèle à ce stade,
07:39
parce qu'on pourrait transposer un petit peu moins,
07:40
comme certains de nos voisins de l'Union Européenne.
07:42
Alors en tout cas, pour revenir sur cette maladie,
07:45
il y aura un million d'animaux vaccinés
07:47
dans les prochaines semaines,
07:48
a dit la ministre de l'Agriculture,
07:50
Annie Genevard.
07:52
Mais alors, ça ne plaît pas nécessairement à Bernard Venteau,
07:54
le président de la coordination rurale,
07:56
qui s'est exprimé.
07:57
Écoutez.
07:57
Elle a pris du retard, la ministre.
07:59
Elle aurait dû mettre la vaccination obligatoire
08:01
sur tout le territoire depuis très longtemps,
08:03
depuis septembre.
08:04
Là, elle perd du temps.
08:05
Et le temps qu'elle perd,
08:06
ça veut dire qu'on va faire tuer des animaux
08:08
par principe de précaution.
08:09
Donc elle doit absolument changer son protocole
08:11
très rapidement.
08:12
Je pense qu'elle n'en a absolument pas envie.
08:15
Et je pense que c'est au Premier ministre
08:16
de saisir du sujet,
08:18
parce qu'elle ne bougera pas.
08:20
Et vu la violence qu'on a prise
08:21
par les forces de police en Ariège,
08:24
ce n'était pas la bonne réponse à nous apporter.
08:26
Donc oui, ça va se durcir.
08:28
C'est vrai qu'on peut s'interroger,
08:29
Antoine Arentré,
08:29
sur ces scènes de violence
08:30
entre les forces de l'ordre des agriculteurs.
08:32
Les agriculteurs, de toute façon,
08:33
quand ils se mobilisent,
08:34
généralement,
08:35
ils n'auront pas de mains mortes.
08:37
Il y a des bombes agricoles,
08:38
on déverse des tas de fumiers
08:39
devant les préfectures.
08:41
C'est leur façon de revendiquer.
08:42
Ce sont aussi des gens responsables.
08:44
C'est-à-dire qu'il y a rarement
08:45
des dégâts physiques
08:46
vraiment préjudiciables.
08:49
Ce sont des gens qui sont quand même
08:50
assez raisonnables, j'allais dire,
08:53
mais qui manifestent leur colère.
08:55
Oui, et il y a quelques brebis galeuses
08:56
quand même d'ultra-gauche
08:57
qui se sont insulteries dans les portes.
08:59
Je ne suis pas sûr que ce soit
09:02
des agriculteurs, cela.
09:03
Je pense que c'est des gens qui...
09:03
Exactement, c'est ce que je dis,
09:04
brebis galeuses, c'était un mauvais jeu de monde.
09:07
assez responsable et qui savent se faire entendre.
09:10
Alors pour ce qui est de la vaccination,
09:12
il y a un problème d'approvisionnement.
09:14
C'est-à-dire que déjà dans l'Est de la France...
09:16
Un petit peu comme dans le Covid.
09:18
Exactement, dans l'Est de la France,
09:19
lorsqu'il a fallu vacciner massivement ensuite
09:21
dans le Jura et dans le Doubs,
09:22
puisque ce sont des zones qui ont été infectées
09:24
après la Savoie-L1,
09:25
on avait des problèmes d'approvisionnement.
09:26
Et c'est vrai que c'est compliqué
09:27
de fabriquer autant de vaccins
09:28
aussi rapidement
09:29
pour 17 millions de têtes de bétail.
09:31
Donc il y a probablement des problèmes logistiques
09:33
qui expliquent aussi
09:34
le fait que la ministre
09:36
veuille réserver les vaccins disponibles
09:37
aux endroits et aux foyers
09:39
où on en a vraiment aux endroits.
09:40
Je souris parce que c'est vrai
09:41
que ça me rappelle vraiment
09:41
l'épisode Covid.
09:43
Oui, oui, bien sûr.
09:44
Quand on est confronté
09:44
à une épidémie soudaine
09:46
et aussi générale,
09:47
aussi massive,
09:48
le temps que l'appareil de santé
09:49
se mette en branle
09:50
et que les laboratoires
09:51
se mettent en branle
09:52
pour produire autant,
09:53
ça demande un peu de temps.
09:54
Vous restez avec moi
09:56
dans quelques instants.
09:57
On reviendra sur Historoc.
09:58
C'est un spectacle d'histoire.
10:01
J'ai reçu,
10:02
c'est un hasard du calendrier,
10:04
l'auteur,
10:04
Dimitri Casali,
10:06
de ce livre
10:07
qui est un livre d'histoire
10:08
vraiment intéressant
10:08
que j'ai lu,
10:09
que j'ai trouvé passionnant.
10:10
Il était tout content
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de présenter ce spectacle
10:13
en costume d'histoire
10:14
devant des enfants.
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C'était prévu le 18 décembre
10:17
à Montrouge.
10:18
Ça n'aura pas lieu
10:19
parce que la gauche
10:20
s'est mobilisée
10:20
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