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  • il y a 1 heure
Sa consommation et son trafic sont en pleine expansion. Le protoxyde d’azote est à l’origine de trop nombreux drames. Sur le plan sanitaire, les experts tirent la sonnette d’alarme : avec des conséquences parfois irréversibles, allant des troubles neurologiques à la perte de connaissance en passant par l'asphyxie et de graves brûlures.

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Transcription
00:00Pas cher et accessible, le protoxyde d'azote ou gaz hilarant est de plus en plus présent dans les soirées entre jeunes.
00:07Ces dernières années, son trafic est en pleine expansion, les trafiquants profitant d'un quasi-vide juridique.
00:13A ce jour, le protoxyde d'azote n'est pas considéré comme un stupéfiant.
00:18En octobre dernier, c'est une enquête Ipsos qui révélait qu'une personne de moins de 35 ans sur 10 a déjà consommé ce produit en soirée.
00:25Et parmi les usagers, 1 sur 2 indique en avoir consommé avant de prendre le volant.
00:30Pourtant, cette pratique n'est pas sans risque.
00:32Ce médecin voit de plus en plus de patients arriver dans son cabinet avec des séquelles sévères.
00:38Ça peut toucher les membres, ça peut toucher les membres inférieurs, ça peut toucher les membres supérieurs, les bras.
00:44Ça peut aussi toucher les nerfs qui règlent la vessie, donc avec des fuites urinaires, etc.
00:51Et puis, deuxième type de problème après la toxicité neurologique, les addictions, la dépendance qui peut arriver des fois très très vite.
01:01Les experts ont comptabilisé 472 signalements liés à la consommation de protoxyde d'azote en 2023, soit 30% de plus qu'en 2022.
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