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Guerre en Ukraine : «Nous ne nourrissons aucun plan agressif à l'égard des membres de l'OTAN ou de l'Union européenne», affirme le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov
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il y a 2 jours
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00:00
Bonjour Xenia Fedorova, soyez la bienvenue.
00:02
Bonjour.
00:03
On va parler de tout ce qui se passe entre la Russie et l'Ukraine,
00:06
notamment des différents plans de paix.
00:08
Différents parce qu'il y a plusieurs esquisses à chaque fois.
00:10
On va y venir, mais malgré ces discussions,
00:12
malgré ces plans de paix qui circulent,
00:13
la guerre se poursuit.
00:15
La Russie a indiqué aujourd'hui avoir abattu dans la nuit
00:17
287 drones ukrainiens,
00:20
soit l'une des attaques les plus massives de l'armée de Kiev,
00:22
en bientôt 4 ans d'eau fossile.
00:24
Certains ont été bien sûr interceptés.
00:28
Que pouvez-vous nous en dire ?
00:31
Vous savez, moi j'ai vu le chiffre 365.
00:34
Nous n'avons pas les mêmes alors.
00:36
En tous les cas, c'est beaucoup.
00:38
Oui, de toute façon.
00:39
Il y a des drones qui sont abattus chaque nuit.
00:42
Pour être très honnête avec vous, c'est juste que c'est pareil.
00:44
D'un côté comme de l'autre d'ailleurs.
00:45
Oui, bien sûr, mais aussi normalement,
00:47
ici en France, on attend beaucoup sur les drones
00:50
qui sont envoyés à l'Ukraine,
00:52
mais en fait, jamais sur les drones ukrainiens
00:54
qui sont envoyés à la Russie.
00:55
Donc ça arrive des deux côtés,
00:56
comme vous avez dit parfaitement.
00:59
Et oui, ça montre que, je pense,
01:01
que Vladimir Zelensky essayait de montrer à tout le monde
01:03
que ce n'est pas fini pour l'Ukraine,
01:05
qu'Ukraine a encore les moyens d'attaquer.
01:07
Mais la réalité est qu'il n'y a pas vraiment de grands dégâts
01:10
et que tous ces drones ont été abattus
01:12
par le système antiaérien russe.
01:15
En tous les cas, je pense que c'est inévitable aujourd'hui,
01:21
comme il n'y a pas un cesseur de feu,
01:23
que ça va se reproduire jusqu'à il y a un moment,
01:26
peut-être on va signer un accord d'épée.
01:28
Mais on n'est pas encore là.
01:30
Donc en attendant, ça continue ?
01:31
Je pense que ça va continuer, absolument.
01:33
Écoutez, Sergeï Lavrov, le ministre des Affaires étrangères de la Russie,
01:37
qui a réaffirmé que la Russie ne souhaitait pas attaquer l'Europe.
01:40
C'était ce matin.
01:42
Nous ne nourrissons, et le président Poutine l'a dit très clairement,
01:45
aucun plan agressif à l'égard ni des membres de l'OTAN,
01:49
ni des membres de l'Union Européenne.
01:52
Et nous sommes prêts à le confirmer par écrit,
01:55
de manière juridique, dans un document
01:57
pour consigner les garanties sur une base collective et mutuelle.
02:03
Voilà, Sergeï Lavrov qui souhaite qu'un ensemble de documents soit adopté
02:06
pour concrétiser un accord de paix durable et à long terme.
02:10
en Ukraine, avec des garanties de sécurité.
02:12
Donc pour toutes les parties concernées,
02:14
c'est ce sur quoi il a insisté, Jules Torres.
02:17
On voit très bien quelles sont les tactiques et les stratégies
02:21
qui sont opérées des deux côtés.
02:23
On a Volodymyr Zelensky qui, en effet, au sol,
02:27
est en situation délicate.
02:28
Sur l'aspect interne,
02:30
où on sait qu'il a été éclaboussé par plusieurs scandales de corruption
02:33
ces dernières semaines,
02:35
que son directeur de cabinet a démissionné,
02:37
qui a la question des élections,
02:39
qui refait surface.
02:40
Ça, c'est l'interne.
02:41
Sur l'externe, on voit très bien que la coalition des volontaires
02:43
ne patine,
02:45
que le processus de paix,
02:47
et plutôt le plan de Miami, d'ailleurs,
02:49
était entre les Américains et les Russes,
02:51
sans les Européens,
02:52
et surtout sans les Ukrainiens.
02:54
Donc on voit très bien que lui essaye de montrer
02:56
qu'il a encore des ressources,
02:58
et pour cela qu'il envoie autant de drones,
03:00
pour aussi montrer que le sujet,
03:02
ce n'est pas seulement les oblastes dans l'Est et le Sud-Est de l'Ukraine,
03:06
mais c'est aussi à Moscou,
03:07
que la guerre, elle est aussi à Moscou.
03:09
C'est ça qu'il veut opérer,
03:11
évidemment, avec cette stratégie-là.
03:13
Et puis, de l'autre côté,
03:14
on a l'État-major russe,
03:16
et notamment Sergei Lavrov,
03:17
qui se posent,
03:18
eh bien, en personne raisonnable,
03:20
finalement,
03:21
en disant,
03:22
ne vous inquiétez pas,
03:24
nous n'attaquerons aucun pays de l'OTAN,
03:26
nous n'attaquerons aucun pays de l'Union Européenne.
03:28
On peut l'écrire.
03:28
Donc, c'est vrai que quand on regarde les deux stratégies,
03:31
on voit très bien ce qui ressort.
03:34
Oui, alors, pour rappeler aussi,
03:35
il y a eu une proposition concernant des concessions territoriales ukrainiennes
03:38
dans le cadre d'un plan,
03:39
donc, toujours pareil,
03:41
mais cette fois-ci, du côté européen.
03:43
Et il y a encore,
03:43
il y a une nouvelle réunion
03:44
qui est de la coalition des volontaires,
03:47
donc France, Allemagne,
03:50
Angleterre et Ukraine,
03:52
aujourd'hui,
03:52
mais par visioconférence, cette fois.
03:55
Un mot sur ce qu'a dit Sergei Lavrov,
03:57
Xavier Federov.
03:58
Oui, c'est Sergei Lavrov répète
04:00
ce qui était déjà dit par Vladimir Poutine aussi.
04:04
Et, en fait,
04:05
c'est un contraste,
04:06
comme, Jules, vous avez tout à fait bien résumé,
04:09
un contraste avec ces deux stratégies.
04:11
D'un côté, vous avez l'Europe
04:12
qui dessine la Russie
04:16
comme une menace existentielle
04:18
qui va absolument attaquer l'Europe
04:21
dans quelques années,
04:23
si pas moins.
04:23
après, il y a aussi
04:25
qui n'est jamais, en fait,
04:27
voulu et dit qu'il va attaquer l'Europe,
04:29
ils sont prêts à signer.
04:31
Je pense que c'est évident
04:33
que la communication est en marche.
04:37
Je pense que pour l'Union européenne,
04:39
pour les dirigeants européens,
04:40
certains dirigeants européens,
04:41
c'est absolument important
04:44
de continuer
04:44
de dessiner la Russie comme une menace
04:46
parce que ça permet
04:47
de réarmer,
04:50
de renforcer les budgets militaires.
04:52
Et cela dit, là,
04:53
dans ce nouveau plan,
04:54
il y a des concessions territoriales ukrainiennes.
04:56
Donc, il y a des efforts
04:57
qui sont faits du côté européen aussi.
04:59
Je ne sais pas quel effort,
05:00
c'est juste...
05:01
Pour l'instant,
05:01
on n'a pas les précisions.
05:02
Oui, je pense que finalement,
05:04
ils vont finir par accepter
05:06
la réalité des terrains.
05:08
C'est ça, en fait,
05:09
ce que je joue aujourd'hui.
05:10
Ce n'est pas comme Vladimir Zelensky
05:12
a beaucoup de choix.
05:13
Il a eu des choix en 2022 à Istanbul
05:15
quand il a eu encore la possibilité
05:17
de signer un accord d'épée
05:18
sans laisser ses territoires
05:20
sur les contrôles russes.
05:21
C'était beaucoup plus favorable
05:22
à l'Ukraine, alors ?
05:23
Bien sûr,
05:24
parce que Donbass peut rester autonome,
05:26
encore partie ukrainienne,
05:28
mais en autonomie.
05:29
Aujourd'hui, ce n'est pas le cas.
05:31
Et je pense que
05:32
ce qu'ils sont en train de prétendre,
05:34
c'est qu'il a encore
05:36
l'écart dans les mains,
05:37
mais comme Donald Trump a dit,
05:38
il n'a pas.
05:39
Et c'est évident
05:41
pour Donald Trump aussi.
05:42
C'est pour ça qu'il met
05:43
la pression.
05:43
Il n'est pas très contente
05:44
avec la façon
05:45
comment l'Union Européenne
05:47
continue de soutenir Zelensky
05:49
pour les dernières idées
05:50
et qu'il peut tenir
05:51
encore plusieurs années.
05:53
On peut parler
05:53
des financements.
05:55
Ils sont en train
05:56
d'essayer de trouver
05:57
un moyen d'utiliser
05:58
les avoirs russes
06:00
pour financer cette guerre.
06:01
Mais la vérité,
06:02
ce qu'on voit,
06:03
c'est deux stratégies.
06:04
Continuer de soutenir Zelensky,
06:05
continuer cette guerre
06:06
et arrêter cette guerre,
06:08
trouver un accord
06:08
de paix durable.
06:10
Et ça,
06:10
ça vient étonnamment
06:12
de la part de la Russie
06:13
et de les États-Unis.
06:15
Oui, mais aussi,
06:16
regardez l'Allemagne
06:16
qui a dit
06:17
que dans ce plan,
06:19
il y avait trois objectifs.
06:20
Un, cessez le feu,
06:21
des garanties de sécurité robuste
06:22
pour l'Ukraine
06:23
et une solution négociée
06:24
préservant les intérêts
06:25
sécuritaires européens.
06:26
Est-ce que c'est si objectable
06:32
pour la Russie,
06:35
pour Moscou ?
06:35
Alors, la garantie de sécurité,
06:37
c'est quelque chose
06:37
que la Russie comprend très bien.
06:39
En tous les cas,
06:40
ce qu'on attend de la Russie,
06:41
qu'ils sont prêts
06:42
de discuter la sécurité
06:44
de garantie pour l'Ukraine,
06:46
pour l'Europe.
06:47
Après, laisser le feu,
06:48
il y a des questions
06:49
sur ces sujets
06:50
parce que ce que Zelensky
06:52
a cherché depuis un moment
06:53
avec les Européens,
06:54
c'est cessez le feu
06:56
qui finalement va permettre
06:57
à Zelensky d'un peu
06:59
gagner le temps,
07:02
réarmer son armée,
07:03
avoir encore plus d'armement
07:04
et c'est exactement
07:05
ce que la Russie ne veut pas
07:06
parce que c'était déjà
07:08
le cas pendant ces années
07:09
des guerres.
07:10
Et donc, je pense
07:11
que la Russie va abjecter
07:12
et cessez le feu
07:13
sans rien.
07:15
En revanche,
07:16
on accorde des paix durables,
07:18
oui.
07:18
Donc, il y a aussi
07:19
une question des casques bleus.
07:23
Par exemple,
07:25
la Russie ne voit pas
07:26
le soldat depuis l'OTAN
07:28
sur les territoires ukrainiens
07:29
parce que ça sera considéré
07:31
comme les cibles légitimes
07:33
pour la Russie.
07:34
Donc, il y a des questions.
07:36
Absolument, il y a des points
07:37
où ils ne sont pas encore d'accord
07:38
et ça vient un peu
07:40
de tous sens,
07:41
cette information.
07:42
Par exemple,
07:43
les 28 points,
07:44
les 27 points,
07:45
les 20 points.
07:46
Et ce qu'on sait...
07:47
On en a combien maintenant ?
07:48
Oui, on ne sait pas exactement,
07:50
mais ce qu'on sait,
07:50
ils sont partagés
07:51
en quatre parties
07:53
de cette pleine d'épée
07:54
et ils sont en train
07:55
de discuter
07:55
chaque partie séparément.
07:57
Oui, mais c'est ce qui se fait
07:58
à peu près dans toute négociation,
07:59
d'ailleurs,
08:00
de paix.
08:01
Jules Torres.
08:01
Ce qui est intéressant aussi,
08:02
je trouve,
08:02
dans cette séquence,
08:03
c'est la manière
08:03
dont Donald Trump gère tout ça.
08:05
C'est-à-dire que c'est quand même...
08:06
Alors, nous venons à Donald Trump.
08:08
Je ne sais pas si vous...
08:09
Allez-y !
08:10
Mais c'est-à-dire qu'on voit très bien
08:13
la manière qu'il a
08:14
de faire de la diplomatie
08:16
extrêmement robuste,
08:18
extrêmement dure,
08:19
en voulant un accord rapide.
08:21
Le problème,
08:21
c'est que ça peut se faire,
08:22
en effet,
08:23
au détriment
08:24
soit des intérêts ukrainiens
08:26
à l'instant T,
08:28
soit aux bonnes relations
08:29
et finalement à l'ordre du monde.
08:30
Parce qu'on voit très bien
08:31
que s'il souhaite aussi
08:32
l'arrêt de cette guerre,
08:35
c'est parce qu'il veut
08:36
qu'il y ait la paix en Europe,
08:37
qu'il veut se reconcentrer
08:40
sur la question de la Chine,
08:42
où il veut mener
08:43
une vraie guerre commerciale
08:45
pour éviter
08:45
qu'il y ait encore
08:47
des excédents commerciales,
08:49
des déficits commerciaux, pardon.
08:51
Donc on voit très bien
08:52
que ce sujet-là
08:53
dépasse même
08:53
la seule guerre en Ukraine.
08:56
Et en réalité,
08:57
c'est d'ailleurs aussi pour ça
08:58
qu'il avait envoyé
08:59
M. Witkoff
09:00
pour aussi faire plutôt
09:01
des affaires,
09:02
qui est lui plutôt un businessman
09:03
et pas seulement un diplomate.
09:06
Donc ça va être très intéressant
09:06
de voir dans les prochaines
09:07
semaines la manière
09:08
dont Donald Trump
09:09
va s'investir
09:10
dans cette résolution
09:11
et possiblement
09:12
ce plan de paix.
09:13
Alors il s'est entretenu
09:14
avec les dirigeants européens
09:15
hier,
09:16
il a affirmé avoir eu
09:17
des mots assez forts
09:18
avec eux.
09:19
Écoutez Donald Trump.
09:23
Nous avons discuté
09:24
avec les dirigeants français,
09:25
allemands et britanniques,
09:26
tous d'excellents dirigeants
09:27
et de très bons amis à moi.
09:28
Nous avons discuté
09:29
de l'Ukraine
09:30
avec des mots assez forts.
09:31
Nous verrons bien
09:32
ce qui se passera,
09:33
nous attendons
09:33
leurs réponses.
09:34
Alors les mots assez forts,
09:37
on ose les imaginer
09:39
venant de Donald Trump.
09:41
Il a également dit
09:42
et également prévenu
09:43
que les Etats-Unis
09:44
ne voulaient pas perdre
09:45
leur temps,
09:47
enfin son temps
09:47
en l'occurrence,
09:48
l'OTAN,
09:48
qu'ils ne voulaient pas
09:49
perdre son temps.
09:49
Je pense que c'est un message
09:52
que s'ils ne vont pas
09:56
réussir de trouver
09:58
un moyen de signer
09:59
un accord d'épée,
10:00
c'est tout à fait possible
10:01
que les Etats-Unis
10:02
vont se retirer
10:03
de ce processus.
10:05
Et dans ces cas,
10:06
l'Europe va se trouver
10:07
en face,
10:08
toute seule,
10:09
vis-à-vis la Russie,
10:10
sans vraiment avoir
10:11
les armements à envoyer,
10:13
donc ils seront obligés
10:14
de continuer
10:15
d'acheter les armements.
10:17
Et les Etats-Unis
10:18
peuvent aussi limiter
10:19
leur participation
10:20
dans ces conflits.
10:21
Et dans ces cas,
10:22
ça sera une situation
10:23
compliquée.
10:24
Mais on peut comprendre
10:25
quand même
10:25
que les Européens
10:26
veuillent exister.
10:28
Personne menace
10:29
les Européens.
10:30
Il ne faut pas oublier
10:30
qu'ils évoquent au chapitre
10:32
au moins dans ces négociations.
10:33
Oui, bien sûr,
10:34
mais je pense
10:35
qu'on se trompe
10:36
au fait que l'Europe
10:37
veut en négociation
10:39
parce que l'Europe
10:39
va perdre la face
10:41
s'il y a un accord d'épée.
10:43
Si on regarde
10:44
le montant
10:45
d'argent,
10:47
exactement,
10:48
des moyens
10:49
qui étaient envoyés
10:49
à l'Ukraine
10:50
pour un seul objectif
10:51
d'affaiblir la Russie.
10:54
Souvenez-vous
10:54
mettre l'économie russe
10:55
à genoux,
10:56
les sanctions
10:56
qui ne marchaient pas
10:57
finalement,
10:58
et avoir
10:59
une défaite stratégique
11:00
de la Russie.
11:01
Si aujourd'hui
11:02
on a un accord d'épée
11:03
qui en plus
11:04
s'était poussé
11:05
par les Etats-Unis,
11:06
l'Europe se trouve
11:07
un peu...
11:08
Mais c'était
11:08
pour rien en fait,
11:10
tout ça.
11:10
Le père
11:11
dit tiré du roi,
11:12
tous ses argents,
11:13
tous ses morts.
11:14
Donc je pense,
11:15
et c'est la seule raison
11:18
pourquoi je pense
11:18
qu'ils sont en train
11:19
de continuer,
11:20
c'est qu'ils ont
11:20
encore un espoir
11:22
qu'ils peuvent
11:22
renverser la situation
11:24
militairement
11:25
sur les terrains.
11:27
Oui, mais quand même,
11:27
les Européens
11:28
ont gagné,
11:28
si c'est un plan
11:29
qui garantit
11:30
une certaine sécurité.
11:31
Et je suis d'accord
11:32
avec vous,
11:32
bien sûr.
11:34
Et c'est pour ça,
11:34
il faut se poser
11:35
les questions.
11:36
Qu'est-ce qu'il veut
11:36
Orsula Manderley
11:37
et l'Union Européenne ?
11:39
Allez, on reste ensemble,
11:39
on continue notre débat.
11:41
Et si la paix en Ukraine
11:41
était rendue possible
11:42
avec l'organisation
11:43
d'élections en Ukraine ?
11:45
Volodymyr Zelensky
11:46
se dit prêt
11:46
à une présidentielle.
11:47
On en parle avec vous,
11:48
Jules Torres,
11:49
Xenia Fedorova,
11:50
dans un instant sur Europa.
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