Passer au playerPasser au contenu principal
  • il y a 11 minutes

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00C'est le Parti Socialiste qui a attiré les marrons.
00:02C'est le Parti Socialiste qui gouverne pour l'instant, j'ai l'impression.
00:05Oui. Alors messieurs, je voulais vous faire réagir aussi à ces violences qui se sont produites à la prison de Nantes.
00:13Une vidéo qui a été diffusée chez nos confrères de BFM qui montre un lynchage, il n'y a pas d'autre mot, je ne sais pas si vous avez vu ces images,
00:19ultra violentes, détenus, l'incident a fait quand même cinq blessés le 9 novembre dernier, en pleine prison, au milieu de la cour, de la prison de Nantes.
00:28Écoutez, Gérald Darmanin, il a réagi, il faut rétablir l'ordre dans nos prisons, dit-il, c'est incontestable, enfin on attend, on attend.
00:36Elles ne me surprennent pas vraiment puisque c'est le cocktail affreux de, il manque des agents pénitentiaires, moi j'en rajoute 1000 au prochain budget,
00:42il manque 4000 agents pénitentiaires dans nos prisons, donc c'est des gens très courageux, mais ils ne sont pas assez nombreux.
00:47Donc moi je les comprends très bien qu'ils aient aussi parfois peur, et moi je veux les soutenir, et l'année prochaine il y a 1000 agents supplémentaires de plus.
00:53S'il est voté, enfin ça j'y reviendrai.
00:54Je crois que, vous voyez, devant les difficultés que notre pays a, on ne peut pas se priver de policiers, de gendarmes, d'agents pénitentiaires ou de magistrats.
01:02L'année prochaine il y a 1000 agents supplémentaires de plus.
01:05Bon, Gérald Darmanin, quand même, alors, est un peu impuissant, mais essaye quand même de bouger les choses, Vincent Roy.
01:11Mais est captivant de votre émission Stéphanie.
01:12Merci.
01:13Non mais attendez, vous voyez bien que rien ne va.
01:17Mais oui, c'est ça.
01:17Regardez, on vient de parler de l'agriculture, l'agriculture est dans un état absolument lamentable.
01:22On aborde, juste après, la question migratoire.
01:26On s'accorde pour dire qu'il n'y a aucun cap, que tout le monde...
01:30La prison, à la prison, n'en parlons pas, c'est toutes les semaines.
01:33Toutes les semaines, il y a un problème avec la prison.
01:35Soit on retrouve des objets qui ne devraient pas s'y trouver, soit des gens sient les barreaux et se retrouvent dans la cour vraiment tranquillement.
01:43Enfin, c'est les Dalton.
01:44Il y a 15 jours, c'était les Dalton.
01:46Donc on voit qu'il y a effectivement un problème de personnel.
01:49Vous voyez, si vous avez un sujet sur l'éducation et puis un dernier sur l'hôpital, vous aurez fait à peu près...
01:55Non mais vous voyez bien qu'on est quand même dans une panade absolument totale.
02:00Et M. Darmanin a raison de dire qu'il faudrait davantage de personnel, il en faut 4000, il va essayer d'en avoir 1000 de plus.
02:08Mais enfin, encore une fois, avec un gouvernement qui tient le cap, le problème de la prison aurait pu être réglé.
02:16Pourquoi je vous dis cela ? Parce que par exemple, en Espagne, le problème est réglé.
02:20Pourquoi ? Parce qu'il y a eu une volonté politique et deux, qu'on y a mis des moyens.
02:23Mais vous l'avez dit, il n'y a pas de majorité, on ne sait plus qu'il gouverne.
02:25Alors par conséquent, ces problèmes-là vont se reproduire, ils se sont produits cette semaine, ils vont se reproduire dans 15 jours,
02:32et on peut se retrouver sur le même plateau en disant la même chose.
02:35C'est particulièrement agaçant et je pense que les Français ne sont les dupes de rien et commencent à en avoir vraiment marre.
02:40Les scènes d'extrême violence auxquelles nous avons assisté dans cette prison sont heureusement assez rares,
02:48mais elles sont en même temps le révélateur de toutes ces violences qui se commettent dans les prisons.
02:54Je crois qu'il y a environ 15 000 agressions, actes de délinquance et d'agression, surtout dans les prisons françaises chaque année.
03:01Mais comment vous l'expliquez ?
03:02Comment je l'explique ?
03:0382 000 détenus, 62 000 places.
03:06Il manque des milliers d'agents pénitentiaires.
03:09On va ouvrir une deuxième école, d'ailleurs, ça a été annoncé par le Gardesseau,
03:12il va y avoir une deuxième école pénitentiaire à côté de celle d'Agin,
03:15qui va ouvrir pour recruter davantage.
03:18Mais on part de très très loin, le Gardesseau fait ce qu'il peut.
03:20Il rétablit des quartiers de haute sécurité qui avaient été supprimés par la gauche il y a très longtemps.
03:26On fait des opérations place nette, si je puis dire, pour les téléphones portables.
03:30Voilà, c'est pas raco, quoi, mais c'est vraiment, il faudrait remettre tout le système pénitentiaire à la place.
03:35Il y a quelque chose de très important, qu'on ne dit pas, mais je parle très précisément sous le contrôle de Georges.
03:40C'est un sujet qu'on n'aborde pas, mais je pense souvent à ça lorsqu'on aborde la question de la violence dans les prisons.
03:45La violence dans les prisons, elle est toujours le reflet de la violence dans notre société.
03:49Moi, je crois que le type de prisonnier qu'on a eu pendant toute une époque a changé.
03:55Le type, la délinquance même a changé.
03:58Elle a changé dans notre pays, la délinquance, elle a changé de nature.
04:01La violence, on a dit.
04:03Et la prison ne fait plus peur.
04:03Et la prison ne fait plus peur.
04:05Et donc, la délinquance, les délinquants qui sont en prison, par conséquent, les prisonniers, la nature des comportements a changé aussi.
04:14Et même, figurez-vous, les surveillants de prison, puisque le nombre de condamnations d'agents corrompus a augmenté de 13% entre 2021 et 2023.
04:21On en parle dans quelques instants, juste après la pub.
04:23Toujours en compagnie de Georges Fenech et Vincent Roy.
04:26Georges Fenech, non, Vincent Roy, qui nous parlait des prisonniers qui ont changé.
04:31Les surveillants pénitentiaires aussi ont changé, puisque, je vous le disais, plus de 13% d'agents corrompus entre 2021 et 2023.
04:41Écoutez Gérald Darmanin, ce qu'il pense sur le sujet.
04:44Il a été interrogé ce matin sur BFM TV.
04:46L'État n'est pas corrompu, mais l'État doit lutter contre la corruption de certains de ses agents.
04:50C'est vrai dans l'administration pénitentiaire, c'est vrai dans la magistrature, c'est vrai dans les agents qui travaillent pour les magistrats.
04:56Désormais, nous devons regarder les choses en face.
04:58Et je pense que l'administrat de la Justice est la seule vraie administration, avec les douanes peut-être, qui regarde en face la corruption possible.
05:04Vous laissez entendre que cette question, elle s'est posée aussi dans la police, elle se pose dans la gendarmerie.
05:08Elle se pose au service des impôts, elle se pose aussi chez les élus locaux, dans l'administration locale.
05:13Il faut bien comprendre que les narcotrafiquants, ils ont une surface financière extrêmement importante.
05:19Cet argent qui corrompt jusqu'au cœur des hommes, disait le président Mitterrand, cet argent, il permet de pouvoir acheter tout le monde.
05:26Et M. Amra, au bout de quelques mois de cavale, et ça coûte très cher une cavale,
05:31M. Amra, il a su proposer 2 millions d'euros aux policiers roumains qui venaient l'arrêter après autant de mois de cavale.
05:36Imaginez ce qui se passe dans les prisons, chez les services enquêteurs, chez les gens qui travaillent auprès des magistrats, qui ont des informations.
05:42– Alors Georges Menech, ça c'est très préoccupant.
05:45– Oui.
05:45– Parce que là, on tombe dans le narco-état, c'est l'une des conditions.
05:49– Oui, alors effectivement, il y a quelques affaires actuellement en cours.
05:53On sait qu'il y a, je crois, 3 greffiers qui sont incarcérés, peut-être 4, je ne sais plus.
05:59On sait qu'il y a d'énormes moyens derrière.
06:01On sait qu'effectivement, certains agents pénitentiaires ont pu être sous-doyés.
06:05Mais je ne voudrais pas, moi, partager ce pessimisme, quand même, du garde des Sceaux,
06:10qu'on peut avoir le sentiment en l'écoutant, que c'est un phénomène qui se généralise.
06:16Je ne le crois pas.
06:17Moi, je crois qu'il y a encore une fonction publique qui tient la route dans notre pays.
06:21Une magistrature, ça j'en suis certain, qui est loin d'être corrompue,
06:26même s'il peut y avoir un accident ici ou là, mais ce sont vraiment des accidents.
06:29On n'est pas dans cette situation, quand on parle de narcotrafiquants, de mexicanisation, etc.
06:35Mais, ça peut arriver.
06:38Et je crois, je l'entends comme ça, ce que dit le garde des Sceaux.
06:40Quand les salaires ne sont pas bons et qu'on vous propose...
06:42Oui, mais attendez...
06:42Alors, je n'excuse pas, attention.
06:44Oui, non, ça ne peut pas être excusable.
06:45Non, non, non, bien sûr que non, mais vous imaginez.
06:47Bien sûr.
06:48Les moyens colossaux de ces trafiquants.
06:50Une autre forme aussi de corruption qui existe et qui est quasiment, je dirais, imposée aux agents,
06:56c'est notamment les agents pénitentiaires, quand un détenu lui dit « je sais où habite ta famille ».
07:01Eh bien sûr.
07:02Vous voyez ? Et ça, donc, t'as intérêt à être comme ça et faire comme ça.
07:05Donc là, c'est une soumission involontaire de force, si vous voulez, par rapport à des menaces
07:11qu'ils font peser parce qu'ils ont les moyens à l'extérieur, effectivement, d'actionner des délinquants.
07:18Donc, ne dramatisons pas, à ma connaissance, la situation vis-à-vis de toute l'administration
07:25qu'il évoque, là, il parle de tous les agents de la fonction publique,
07:28on a une fonction publique qui, à mon avis, tient la route.
07:32Mais méfions-nous, méfions-nous, parce que le narcotrafic dispose de moyens considérables
07:37et peuvent, effectivement, soudoyer des personnes.
07:40Jusqu'en 2027, on n'aura sans doute pas mis en place les moyens nécessaires.
07:51On n'aura sans doute pas pris les décisions, les grandes décisions, les décisions fondamentales
07:56pour lutter contre ce narcotrafic, puisque personne ne s'entend dans ce pays et qu'il n'y a pas de majorité.
08:00Et donc, ça veut dire que les problèmes de corruption, de violences et au narcotrafic vont aller augmentant.
08:11Puisque, jusqu'en 2027, il faut bien comprendre que...
08:14Vous êtes sûr qu'on ira jusqu'en 2027 ?
08:16Parce que vous n'arrêtez pas de le répéter, mais...
08:18Vous avez lu l'interview dans le point de Nicolas Sarkozy.
08:22Mais tout va si mal qu'on imagine assez facilement qu'effectivement, ça puisse ne pas aller jusqu'à 2027.
08:31Mais je veux dire, les phénomènes ne peuvent qu'empirer.
08:37La question migratoire, en l'état actuel des choses, ne peut pas être réglée.
08:42Georges le disait, il n'y a plus de cap, il n'y a pas de chef.
08:47Quand bien même il prendrait une décision, elle ne serait pas automatiquement suivie,
08:50puisqu'il n'y a pas de majorité.
08:52Vous comprenez, le pays...
08:54Il faut comprendre que notre pays, actuellement, est bloqué.
08:58La Ve République, sans majorité, elle est bloquée.
09:02On ne peut rien faire.
09:04Et comme on est sur des problèmes qui sont extrêmement graves,
09:08c'est vrai pour la prison, c'est vrai pour le narcotrafic, etc.
09:12Je vois mal ce qui peut se passer demain.
09:16Georges Fenech, justement, cette petite phrase dans le point de Nicolas Sarkozy,
09:20qui ne croit pas qu'on arrivera jusqu'au bout en 2027 avec le même gouvernement,
09:26qui ne voit pas comment on pourrait échapper à des législatives anticipées.
09:29Vous qui connaissez bien l'ancien chef de l'État, est-ce que vous partagez cet avis ?
09:32Pour être transparent, j'ai eu l'occasion de m'entretenir avec lui, récemment, assez longuement,
09:38sur la situation du pays, parce qu'il est toujours très préoccupé par ce qui se passe dans le pays.
09:43Évidemment, c'est l'ancien président.
09:46Il restera toujours attaché au pays, aux Français.
09:50On voit bien actuellement le lien qu'il continue à entretenir à travers son livre
09:56et tout le parcours qu'il va faire en France.
09:59Mais il est très pessimiste.
10:01Moi, c'est le sentiment qu'il m'a donné, en tout cas, c'est ce qu'il m'en a dit,
10:04sur l'État du pays, l'État de nos institutions.
10:08Est-ce qu'elles vont tenir, effectivement, leur calendrier normal ?
10:13Est-ce qu'en 2027, nous partageons la même inquiétude ?
10:17Et nous pensons qu'effectivement...
10:19Mais ils ne pensent pas cela souhaitable, finalement ?
10:22Non, non, mais est-ce que ça ne serait pas souhaitable, d'une certaine manière,
10:26qu'il y ait des législatives anticipées, qu'il puisse y avoir une majorité claire,
10:31comme nous l'expliquait Vincent Roy ?
10:32Là, on est coincés, c'est le PS qui mène la danse à l'Assemblée, sur le budget.
10:36Après une décision malencontreuse, ce n'est pas le terme,
10:40terriblement préjudiciable au pays, cette dissolution,
10:43qui a été un fiesco total, dont il n'a tiré aucune conséquence, voyez-vous.
10:48Donc, c'est à ce moment-là qu'il aurait dû, peut-être, songer, effectivement, à se retirer.
10:54Voilà, il ne l'a pas fait.
10:55Aujourd'hui, on en subit les conséquences.
10:56Nous avons un Premier ministre qui fait ce qu'il peut,
10:58un véritable magicien pour avoir déjà fait adopter 149,3 le PLFSS,
11:04mais le budget n'est pas encore adopté.
11:06Peut-être irons-nous vers des ordonnances, on ne sait pas.
11:09Toujours est-il que tout le pays est bloqué, effectivement.
11:11Oui, vous avez vu le nombre d'entreprises, même, qui sont déjà quittées la France,
11:16les patrons qui ne remplissent plus leurs comptes de commande.
11:18Mais enfin, je ne sais pas, moi, j'ai que ça autour de moi,
11:20des gens qui n'en peuvent plus.
11:21Il y a des dizaines de milliers d'entreprises qui m'étaient sous la porte, en ce moment.
11:24Quel que soit le secteur, Vincent Roy, c'est extrêmement compliqué
11:27pour beaucoup de monde, en ce moment, en France.
11:29Ah, mais absolument. Et puis, surtout, je ne sais pas si vous avez vu ce phénomène,
11:34oui, c'est-à-dire qu'on ne dit même pas, bon, on n'est pas sûr dans tel ou tel,
11:38avec les entreprises, avec la réindustrialisation, avec les prisons, avec l'hôpital,
11:42avec tout ce que vous voulez, on ne dit même pas, bon, on n'est pas sûr de ce qu'on va faire,
11:44mais ça ne va pas, donc on va essayer quelque chose.
11:47On ne peut même pas essayer quelque chose.
11:48Vous voyez, tout est bloqué.
11:49J'ai le sentiment très, très fort qu'on laisse la situation couler, comme ça,
11:57et qu'on essaie, tant bien que mal, quand même...
11:59On augmente encore les taxes, rassurez-vous.
12:01Il y a une constance, quand même.
12:03On est champions du monde.
12:04Mais on laisse couler les situations, et sur le narcotrafic,
12:09bon, quand même, on envoie les policiers faire ici ou là,
12:12enfin, on colmate les breches, mais il n'y a aucune...
12:16Ah non, mais je pense qu'on ne fait rien du tout.
12:17Je pense que les policiers font, mais...
12:20On a le sentiment que, Vincent, on a le sentiment que tout est fait
12:23pour permettre à M. Macron de se maintenir dans son palais jusqu'en 2027.
12:29C'est exactement ça.
12:30C'est le pays qui est important.
12:30Absolument.
12:31C'est la situation personnelle du président de la République.
12:32Absolument.
12:33Et ça, c'est insupportable.
12:34Oui, c'est insupportable.
12:34Parce que le président de la République doit avoir d'abord et avant tout...
12:37Au cœur, le pays.
12:38Au cœur, le pays, et pas sa propre situation personnelle, voyez-vous.
12:42Donc moi, je ne crois pas que ça puisse durer,
12:44parce que le pays ne peut pas attendre.
12:46Oui, mais durer quoi ?
12:49Vous pensez qu'Emmanuel Macron partira avant 2027 ?
12:51Je pense que le pays, à un moment ou à un autre, lui demandera de partir.
12:54Voyez-vous, moi, c'est mon sentiment.
12:56Certains ont essayé, mais enfin, on est dans un état de droit.
13:00Comment vous...
13:01Bien sûr.
13:01Non, mais...
13:02Il ne faut pas que ce soit...
13:03Quand vous avez un pays qui gronde, un pays qui manifeste un pays...
13:07Attention, il ne s'agit pas de promouvoir les violences ou quoi que ce soit,
13:11mais vous pouvez avoir...
13:13Ça s'est produit dans le passé.
13:14On a eu un président, Milran, qui a été contraint à la démission.
13:17Ça s'est produit.
13:18Vous avez, à un moment, une espèce de catharsis dans le pays,
13:21où on dit, il faut rebattre les cartes.
13:24Et ça, il y a les sondages, il y a l'opinion, il y a les événements qui se passent,
13:29les événements sociaux.
13:30On parle de grandes délinquances aussi.
13:32Le consentement à l'impôt, le consentement à l'impôt, ça n'est pas rien.
13:36Oui, vous avez vu, il y a eu certains chiffres, j'ai vu un récent sondage,
13:40c'est vrai que là, une grande majorité des Français n'adhèrent plus à cet impôt.
13:46Alors là, excusez-moi, mais quand on a...
13:48Et dans ce pays, on a beaucoup le mot...
13:51Enfin, l'expression état de droit à la bouche,
13:53quand il n'y a plus de consentement à l'impôt, il n'y a plus d'état de droit.
13:56Si les Français disent, par exemple, non,
13:58on n'est absolument plus satisfait de votre politique, de rien,
14:00on ne veut plus payer les impôts.
14:00Si M. Lecornu n'arrive pas à se maintenir, qu'est-ce qui se passe derrière ?
14:03Qu'est-ce qui se passe ?
14:04On va renommer en compromis ?
14:06Oui.
14:06On va renommer en compromis ?
14:07Ça devient une pantalonnade !
14:08Ça n'a plus de direction politique, quoi.
14:12Eh oui.
14:13Merci en tout cas, messieurs.
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire

Recommandations