Le président Faustin-Archange Touadéra au micro de RFI

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00:00Évidemment, on est le compatriote beaucoup. Je pense que ce sera au plus du tout,

00:16soit conscient. Parce qu'effectivement, Trader le pays, on l'a vu, avant même de faire l'aide de

00:23connaître. C'est pratiquement tout pays qui défilaient les jeunes, les ordres, les phares,

00:30les différentes confessions, disons, aux communautés professionnelles. Et puis, on regarde ça,

00:35mais ça ne nous demande pas. Donc, nous nous battons confiants. Il y a vraiment une action

00:40démocratique. Le jeu est ouvert et chaque corps essaie de convaincre plus de ceux africains

00:47à beauté de peau. C'est un jeu démocratique. Je ne peux pas, en tant que candidat, émettre

01:02des avis sur la décision du Conseil constitutionnel. Je prends hâte de ces décisions et c'est,

01:08moi-même, j'ai fait hâte de candidature. Nous sommes présentés devant le Conseil constitutionnel

01:13et le Conseil constitutionnel qui a validé une liste définitive pour les élections présidentielles.

01:22Ben, ça, c'est un jeu démocratique. Nous prenons acte de ces décisions. Nous en

01:27ont compétit et d'avoir demandé aux Centrafricains de faire leur choix. Évidemment, les personnalités

01:34dont on vous parlez ici ne sont pas inconnues du public ou de la population centrafricaine. Donc,

01:41chacun, à un niveau, contribué, a fait des choses que les Centrafricains ne vont pas oublier.

01:50Donc, cet effort ne sera que... Je dirais que le jeu est ouvert et on fera bien le

01:57vécu du sens.

02:00Quand ils disent ça, en quoi faisant ? Qu'est-ce que j'ai fait pour m'opposer

02:08à leur candidature ?

02:10Nous avons des lois. Nous avons des textes.

02:12Chaque édule doit se conformer à nos textes. Et pour ça, il y a des juridictions en tête.

02:21Chaque juridiction, eh bien, je pense, fait son travail, rempli sa mission. Donc, en quoi je

02:27puisse interférer sur... ou faire quoi que ce soit pour réfléchir. Que ce soit. La

02:34c'est qu'aujourd'hui, c'est conscient, à donner un avis, je prête. Vous savez que

02:40des gens disent beaucoup de choses. On remet tout au président. On dit que le président fait

02:44ceci, fait cela. Même quand ils ont des problèmes dans leur propre organisation, c'est

02:50la faute du président. Eh bien, nous allons aller aux élections avec les dispositions actuelles

02:56et avec nos têtes, nos lois et les institutions qui sont chargées de ces missions.