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  • il y a 9 minutes
L'ONG Flagrant déni a publié un rapport montrant plusieurs défaillances de l'IGPN. Selon elle, la police des polices ne traite qu'environ 10% des enquêtes pénales visant des policiers. Elle alerte également sur une dégradation de la réponse pénale alors que le nombre d'affaires explose. Stéphane Hardouin, patron de l'IPGN, était en direct sur BFMTV pour réagir à ce rapport.

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Transcription
00:00Alors d'abord, ce document, ce rapport, me semble assez biaisé, c'est un acte militant,
00:08et finalement l'histoire que veut raconter le rapport, c'est que l'IGPN aurait des problèmes de moyens,
00:15que du coup on délèguerait nos affaires à des cellules plus ou moins occultes,
00:20et lesquelles seraient une sorte de lessiveuse, et que ça se ferait finalement avec le soutien des magistrats qui les saisissent.
00:27La réalité, elle est tout autre. Il n'est pas nouveau que l'IGPN, et ça a toujours été le cas,
00:34est un service spécialisé, comme un office central, que l'on va saisir, dans des cas qui sont d'ailleurs prévus
00:41par une circulaire de la Direction des Affaires Criminales et des Grâces, la gravité, la complexité, la sensibilité.
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