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Punchline - Ukraine/ Russie : Emmanuel Macron espère la paix avant 2027
Europe 1
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il y a 2 jours
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News
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00:00
On va évoquer ce qui s'est dit aujourd'hui entre le président Zelensky et Macron.
00:05
Le président ukrainien a été reçu par Emmanuel Macron avec une déclaration d'intention qui est qualifiée d'historique.
00:11
Le point avec Charlotte Diry sur ce qui a été promis de part et d'autre,
00:14
parce qu'il y a quand même un parfum de guerre qui est évidemment plein au-dessus de la France et sur une partie de l'Europe.
00:21
On écoute Charlotte Diry.
00:23
Une déclaration d'intention historique signée entre Paris et Kiev.
00:27
Lors de sa visite en France, Volodymyr Zelensky et Emmanuel Macron ont annoncé l'achat d'une centaine de rafales par l'Ukraine.
00:36
Un accord détaillé par le président de la République.
00:39
Cette déclaration, nous l'avons bâti sur l'intensification de notre coopération en matière de défense,
00:44
dans le contexte de la guerre d'agression de la Russie,
00:48
et sur notre engagement dès le premier jour aux côtés de l'Ukraine pour l'aider à se défendre,
00:52
à renforcer son armée, ses capacités, dans le cadre des différentes coalitions dont nous avons pris la tête,
00:58
ou auxquelles nous avons activement contribué.
01:00
Un projet qui va être mis en place dès 2026, comme l'a précisé Volodymyr Zelensky.
01:06
Cet accord stratégique va fonctionner sur 10 ans, à partir de l'année prochaine.
01:11
Nous sommes conscients des bases de cet accord, des bases politiques, financières, industrielles.
01:18
C'est un accord historique.
01:20
Nous apprécions beaucoup ce soutien de la France afin d'obtenir la sécurité garantie en Europe.
01:25
Dans cet accord militaire, des acquisitions de drones, intercepteurs, bombes guidées,
01:30
ainsi que 55 locomotives sont également prévues d'ici à la fin de l'année.
01:35
Le chef de l'État français a une fois de plus rappelé que l'Ukraine appartenait à la famille européenne
01:41
et qu'il espérait une paix avant 2027.
01:45
Voilà pour le point de ce qui s'est dit aujourd'hui, Louis Gauthier.
01:48
Est-ce que vous avez l'impression que ça va dans le bon sens,
01:49
que tout ça peut ramener la paix en Ukraine ?
01:53
Ça intervient à un moment où le président Zelensky est affaibli dans son pays,
01:56
pour des raisons politiques, et parce que la Russie, par coup de butoir, continue à grignoter.
02:02
Les raisons politiques, c'est des scandales de corruption.
02:03
Les raisons politiques, elles sont là, sur les conditions de la réassurance après à cesser le feu,
02:08
et sur la livraison d'armes.
02:09
La livraison d'armes, elle va intervenir dans une séquence qui est peut-être lointaine,
02:13
mais symboliquement, politiquement, ça dit quand même une chose,
02:16
c'est qu'il y a une des conditions que met Poutine à tout accord de paix,
02:20
qui est la démilitarisation de l'Ukraine,
02:22
ça ne va pas dans ce sens-là, heureusement,
02:24
parce que l'Ukraine est pour les Européens la digue de leur première défense.
02:28
Les Français ne sont pas les premiers à livrer des avions à l'Ukraine.
02:31
Les Américains l'ont fait, les F-16, nous avons livré nous-mêmes des 2000,
02:35
la Suède promet des grippennes qui sont dans une catégorie du type rafale,
02:39
et là, nous engageons à livrer des rafales,
02:41
c'est-à-dire, au fond, à consolider la défense ukrainienne pour l'avenir, durablement.
02:47
D'accord.
02:48
Mais donc, on ne va pas dans le sens d'une désescalade,
02:50
si j'entends bien ce qu'il s'est dit aujourd'hui.
02:51
Eh bien, si, ça n'empêche pas de cesser le feu,
02:54
mais on va dans le sens où les Européens vont au bout de leurs responsabilités,
02:58
dans les garanties qu'ils veulent donner de réassurance à l'Ukraine,
03:02
et un signal fort à M. Poutine,
03:04
à un moment où on voit qu'on va rebasculer dans la quatrième année, au fond,
03:08
si rien n'est fait.
03:09
Pourquoi ? Parce que c'est bientôt l'hiver,
03:11
parce que les opérations terrestres vont être en partie freinées,
03:15
et donc la question, c'est, est-ce que Poutine parvient à faire ses deux brèches,
03:18
notamment à l'est et dans le sud, autour de Pokrof,
03:22
et à provoquer une brèche pour aller un peu plus loin,
03:25
ou est-ce que son effort va être directement contré,
03:28
et on repasse ensuite dans une période où il faut,
03:31
parce que ça peut être aussi son intérêt,
03:33
aller à un cesser le feu, mais sur des garanties,
03:35
parce que dans le même temps, M. Poutine nous agresse.
03:38
Comment ?
03:39
Il a agressé la Pologne avec un attentat sur des lignes de chemin de fer directement,
03:45
un drone a été percuté, un gazier qui apportait du gaz à l'Ukraine
03:50
pour qu'elle ait l'énergie nécessaire pour se chauffer pendant l'hiver.
03:58
Donc on voit bien que c'est une guerre qui continue par ailleurs
04:01
sur des actions indirectes, qui mettent en jeu les intérêts des Européens.
04:04
Pour l'instant, les intérêts des Européens restent dans une ligne de quant à soi,
04:09
qui est, nous ne sommes pas des belligérants,
04:11
mais nous soutenons l'Ukraine,
04:12
parce que si l'Ukraine cède, à ce moment-là,
04:16
la menace se rapproche d'autant des frontières européennes.
04:19
Oui, de Ragnan. Une question à Louis Gauthier.
04:21
Non, non, mais par rapport à ça,
04:23
il y avait plusieurs choses qui m'ont interpellé.
04:27
La première chose, c'est une très bonne nouvelle pour Dassault
04:29
si la lettre d'intention se traduit en contrat réel.
04:33
Mais ensuite, ce que je trouve intéressant,
04:35
c'est qu'en réalité, rien n'est financé dans le projet d'acquisition de Rafale.
04:41
Et ce qui me paraît très étonnant, c'est qu'Emmanuel Macron annonce,
04:46
enfin sous-entend, que ces Rafales vont éventuellement changer le cours de la guerre,
04:50
alors qu'en réalité, il y a déjà 239 Rafales qui sont en attente de production chez Dassault,
04:55
tellement le carnet de commandes est rempli.
04:57
Et donc, si on se dit la vérité,
04:59
s'il y a un premier Rafale qui arrive en Ukraine,
05:04
ce premier Rafale, il n'arrivera pas avant 2029.
05:07
Donc c'est quand même dans très longtemps.
05:09
Et du coup, ma question, moi j'ai quand même le sentiment,
05:11
dans ce contexte-là, que ça participe de l'escalade.
05:14
C'est-à-dire que ça peut aussi donner un argument à Vladimir Poutine de l'autre côté,
05:18
pour dire, bon ben, vient d'être annoncée la commande, la livraison,
05:23
peu importe la manière de le dire, de 100 Rafales.
05:26
Eh bien, moi Vladimir Poutine, ça me permet de renforcer ma posture
05:29
et de dire, on va être agressé.
05:31
Et je rappelle que les Rafales peuvent porter l'armatomique et tout ça.
05:34
C'est un principe d'une stratégie de containment, de confinement,
05:37
de maintenir de la digue face à la Russie.
05:39
Mais ceux qui provoquent les escalades ou les risques d'engrenage
05:42
par des actions inconsidérées de provocation, d'ingérence, de déstabilisation,
05:47
ce sont les Russes.
05:48
Et ils frappent.
05:49
Regardez les survols de drones ou toutes ces actions d'agitation
05:52
qui touchent directement le territoire européen.
05:55
La signature, elle est russe.
05:56
Je ne parle même pas du cyber.
05:58
Donc, c'est plutôt une stratégie de containment
06:00
où on dit que dans la durée, on continuera à livrer des armes à l'Ukraine,
06:05
à permettre à l'Ukraine d'être une puissance qui se défend.
06:09
Et sa défense est la première digue de la défense des Européens.
06:13
Alors, après, vous avez évoqué d'autres questions.
06:15
D'abord, les Suédois ont fait un engagement sur le Gripen.
06:19
C'est plutôt bien que le Rafale, qui est aussi un avion important,
06:23
puisse trouver des voies, des marchés en Europe.
06:26
Pourquoi ?
06:27
Parce qu'il y a aussi un lien avec un autre projet européen,
06:30
celui du futur, qui est le SCAF.
06:32
Et donc, d'une certaine manière,
06:34
si ce projet, au-delà de la LOI, va à son terme,
06:39
il y a une consolidation autour de Dassault,
06:40
d'une aéronautique militaire européenne.
06:44
Mais ça, ce sont des questions qu'on verra dans la durée.
06:46
Après, il y a la question du financement, que vous avez aussi évoquée.
06:49
Là, ça renvoie sans doute à des lignes de financement
06:53
que l'Europe est prête à accorder à l'Ukraine
06:55
pour son armement, d'abord dans le présent et ensuite dans le futur.
06:59
C'est la question de la mobilisation des emprunts,
07:02
de SAFE ou d'emprunts qui seraient garantis autrement.
07:08
Et ça, ce sont des questions qui sont en suspens politiquement.
07:10
– Une question de Joseph Mascese Caron,
07:11
à Louis Gauthier, ancien secrétaire général de la défense et de la sécurité.
07:13
– Je voudrais en venir sur la question des États-Unis.
07:17
C'est-à-dire comment ce type de décision est pris
07:21
par la diplomatie américaine, par la diplomatie Trump.
07:24
Est-ce que c'est un soulagement en disant ça y est,
07:26
les Européens font le job, font ce qu'ils auraient dû faire depuis longtemps,
07:29
ou est-ce qu'il y a une sorte de méfiance en disant
07:32
vous avancez sur un terrain sans arriver à maîtriser toutes les données ?
07:36
– De toutes les façons, c'est assez difficile de démêler
07:42
ce que pense Trump, est-ce qu'il livre, il ne livre pas les Tomahos,
07:45
qu'est-ce qu'il aboutit à un accord de paix, etc.
07:49
Ce que ça met en évidence, mais ça c'était depuis le début,
07:52
c'est que les Européens sont au pied du mur
07:54
parce que c'est quand même sur leur continent que cette guerre se passe.
07:58
Deuxièmement, c'est la difficulté de l'engagement de l'OTAN
08:00
qui a été, le casus belli peut-être prétexté par les Russes,
08:04
qui fait que de toutes les façons, tout le monde sait,
08:06
et ça, ça fait partie des premiers accords transatlantiques,
08:09
que l'OTAN ne pourra pas intervenir, sauf en back-office,
08:13
dans tout ce qui viendrait à sécuriser l'Ukraine,
08:17
y compris dans le déploiement des forces de réassurance ou de garantie,
08:21
puisqu'on voit bien que ce sont les Français et les Anglais
08:24
qui prennent le lead sur un état-major opérationnel
08:27
qui permettrait de venir commander ces forces,
08:31
que ce soit des forces qui viennent simplement en contrôle aérien ou maritime
08:36
ou des forces stationnées à la périphérie ou à l'intérieur du territoire ukrainien
08:41
pour donner ces garanties militaires à l'Ukraine.
08:44
Vous restez avec nous, Louis Gauthier.
08:45
On fait juste le rappel des titres de l'actualité.
08:47
C'est 18h30 sur CNews et sur Europe 1 avec Adrien Fonto.
08:50
Bonsoir, Adrien.
08:53
Bonsoir, Laurence. Bonsoir à tous.
08:55
Ce nouveau drame dans le Nord, le corps d'une jeune fille de 18 ans
08:57
a été retrouvé sans vie dimanche dans son appartement.
09:00
Une trentaine de cartouches de protoxyde d'azote ont été découvertes sur place.
09:03
Les investigations doivent déterminer l'origine exacte du décès.
09:06
Le protoxyde d'azote déjà en cause dans une autre affaire dans le département.
09:10
Le chauffard qui a mortellement renversé Matisse à Lille
09:12
au début du mois était sous l'empire de ce gaz.
09:14
Les buralistes manifestaient aujourd'hui à Paris.
09:16
Une cinquantaine d'entre eux étaient réunis aux abords du Sénat
09:19
en cause l'augmentation du prix du paquet de cigarettes
09:21
et le développement en parallèle des réseaux de contrebande.
09:23
Pour l'année 2026, le paquet pourrait rapidement atteindre les 13 euros.
09:27
Objectif du gouvernement freiner la consommation des Français.
09:30
Le tabac qui reste la première cause de mortalité évitable en France.
09:34
Et puis cette nouvelle passe d'armes entre le Paris Saint-Germain
09:35
et Kian Mbappé au Prud'homme, le club de la capitale,
09:38
réclame 240 millions d'euros à son ancien joueur
09:40
en compensation d'un transfert avorté en juillet 2023 en Arabie Saoudite.
09:44
L'attaquant du Real Madrid demande lui 263 millions d'euros
09:47
pour la requalification de son contrat de CDD en CDI et pour harcèlement moral.
09:52
Merci Adrien Fontenot.
09:53
Une question à Louis Gauthier, ancien secrétaire général de la Défense et de la Sécurité nationale.
09:56
Il y a eu une déclaration du commissaire européen à la Défense
09:59
qui s'appelle Andrius Kubilius
10:01
qui dit quand même quelque chose de très important.
10:03
Il dit que l'Europe n'est pas prête à faire face à une attaque massive de drones russes
10:06
et doit impérativement intégrer les capacités ukrainiennes
10:09
sous peine de faire une erreur historique.
10:10
C'est extrêmement grave ce qu'il dit.
10:13
C'est-à-dire qu'il faut qu'on intègre l'Ukraine dans le dispositif de défense européen ?
10:17
Je pense qu'il a voulu...
10:19
C'est pas un chiffon rouge ça ?
10:19
Non, il a voulu signaler après ces survols de drones qu'on a vus ici ou là
10:24
après les déclarations de Mme van der Leyen évoquant une espèce de mur anti-drone en Europe
10:29
ce qui de toutes les façons paraît hors de portée
10:31
que c'est vrai qu'il y a une nécessité à ce que les Européens prennent en charge
10:36
cette lutte anti-drone par divers moyens
10:39
et que c'est sûr que l'espace qui est le premier exposé est en permanence
10:46
plus de 1000 drones par jour pratiquement
10:49
qui sont utilisés pour des actions militaires, c'est l'Ukraine.
10:53
D'accord.
10:53
Une question de Laetitia Guinan et ensuite Jean-Sébastien Fergeon.
10:55
La question du business, c'est un très bon business
10:56
parce qu'effectivement là Emmanuel Macron vend des avions
10:59
la France est un des pays européens qui a le moins investi en Ukraine proportionnellement
11:04
donc c'est un bon retour sur investissement.
11:06
Cela dit, ça pose la question effectivement
11:08
puisque les avions comme l'a dit Louis de Ragnel ne vont pas être livrés maintenant
11:11
ça pose la question de l'après-guerre et de ce que va devenir l'Ukraine
11:15
et ce que va devenir cet armement
11:17
notamment avec ces avions-là mais avec énormément d'autres armes
11:20
une source proche du renseignement justement me disait
11:22
mais vous n'imaginez pas l'arsenal qu'il y a en ce moment en Ukraine
11:26
des armes très très sophistiquées.
11:28
Quel contrôle justement on imagine opérer sur cet armement
11:32
sur cet arsenal monstrueux qu'on est en train de constituer en Ukraine ?
11:36
D'abord il y a des équipements très lourds
11:38
si on évoque les Rafales il n'y aura jamais de perte de contrôle
11:41
je ne sais pas combien in fine, je vois ce qui est promis
11:44
je ne sais pas in fine ce qui sera livré
11:46
d'autant que les sommes sont très importantes
11:48
on parle de dizaines de milliards d'euros
11:52
et d'une vingtaine si on imagine la commande des 100 avions
11:55
délivrées et dans la durée avec tous leurs équipements
11:59
donc là c'est une chose, les grands équipements
12:01
les batteries de centre, les 8 batteries
12:03
Ce n'est pas ça qui nous fait peur
12:04
tous les armes de guerre
12:06
peuvent tomber dans d'autres mains parce qu'on ne sait pas
12:08
qui pilotera l'Ukraine
12:09
C'est la question du contrôle effectivement des autorités ukrainiennes
12:13
sur leur pays après le cessez-le-feu
12:16
mais après le cessez-le-feu c'est vrai, vous avez raison
12:18
dans les garanties de sécurité ou de réassurance
12:21
il y a aussi ce plan de désarmement, de contrôle
12:24
de la manière dont évidemment sur tous les armes de pointe
12:27
toutes ces choses-là peuvent être recontrôlées, détruites
12:30
on l'a connu sur d'autres théâtres de conflit
12:32
mais il y a aussi ce problème un peu d'effet reverse possible
12:36
pour que ça n'alimente pas des trafics d'armes
12:39
on l'avait vu dans l'ex-Yougoslavie
12:40
on l'a vu à d'autres endroits
12:42
donc ça fait aussi partie des préoccupations
12:44
à mon avis des responsables européens
12:46
ils doivent à la fois donner des garanties dans un sens
12:48
mais aussi de leur côté
12:49
faire qu'après le cessez-le-feu
12:52
s'il y a nécessairement un désarmement
12:54
que ce désarmement soit contrôlé
12:56
sur les effets alimentants des trafics
12:58
Jean-Sébastien, allez-y parce qu'il reste peu de temps
13:01
et je sais que vous avez une question
13:02
Est-ce que la plus grande faiblesse européenne
13:05
ce n'est pas cette forme d'hypocrisie
13:07
ou de schizophrénie qui fait que nous continuons
13:09
alors nous sommes très fermes sur les discours
13:11
mais quand on regarde les statistiques
13:12
des exportations européennes vers le Kyrgyzstan
13:15
vers l'Arménie, vers des pays
13:17
enfin beaucoup de pays qui servent en réalité
13:19
de sas de passage vers la Russie
13:21
on n'a jamais vraiment cessé le commerce avec les Russes
13:24
La question est plus complexe que ça
13:28
non, il n'y a pas de réexportation
13:29
par exemple de matériel français vers la Russie
13:32
Pas de matériel militaire
13:33
mais de beaucoup d'autres matériels
13:35
que ce soit sur les biens de grande consommation
13:37
les véhicules de luxe
13:38
Oui mais comme vous l'avez constaté
13:42
la guerre d'Ukraine n'a pas interrompu
13:44
le commerce international
13:45
y compris des flux beaucoup plus majeurs
13:47
on parlait tout à l'heure de gaz, de pétrole
13:50
et on arrive juste au moment où on parvient
13:51
à tordre le bras russe en fermant le robinet
13:55
donc oui, le commerce s'est continué
13:58
mais sur les armements
14:01
là il y a un contrôle qui est extrême
14:03
et donc il n'y a aucun risque
14:04
il n'y a pas de risque que l'embargo à l'égard de la Russie
14:07
ne soit pas tenu de manière extrêmement vigilante
14:10
ensuite
14:11
l'Ukraine dans l'affaire de l'ex-Yougoslavie
14:16
sur le contrôle des armements
14:18
c'est vrai qu'on avait une stabilisation
14:20
de pays qui eux-mêmes avaient du mal
14:22
comment dirais-je
14:24
à conserver le contrôle
14:25
de l'ensemble des pays
14:28
qui étaient issus de l'ex-Yougoslavie
14:29
là il y a un peu
14:31
là il y a moins d'instabilité
14:32
il y a moins d'instabilité
14:33
mais il y a plus de corruption
14:34
mais il n'y a plus de corruption
14:35
on ne sait pas du tout ce que va devenir l'Ukraine
14:36
ils sont d'une sa gouvernance
14:38
les amis
14:38
dernier mot Louis Gauthier
14:40
non mais je pense que c'est ce que j'ai dit
14:42
il y a des garanties dans un sens
14:43
il y aura un besoin de contrôle dans l'autre
14:45
pour éviter des effets revers
14:46
qui seraient négatifs pour nous
14:48
merci de nous avoir aidé
14:49
à faire le point sur ce qui s'est passé aujourd'hui
14:51
avec le président Zelensky
14:52
et les présidents Macron
14:53
on fait une petite pause
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