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«D.Ernotte se met elle-même en difficulté» : P.Praud réagit P.Praud à l'action en justice contre Europe 1 et CNEWS
Europe 1
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il y a 57 minutes
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News
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00:00
Europe 1, Pascal Proévo.
00:02
Il est 16h47, Radio Français, France Télévisions, attaque en justice pour dénigrement.
00:08
Europe 1, CNews et LJDD auprès du tribunal de commerce.
00:11
Des plaintes ont été déposées la semaine dernière.
00:13
Dénigrement, un mot que connaît bien le service public, avec notre argent, nos impôts depuis des années.
00:19
Delphine Ernotte, la présidente de France Télévisions, avait déclaré dans une interview au Monde bisseptembre
00:24
CNews est un média d'opinion qu'ils assument d'être une chaîne d'extrême droite.
00:29
Vincent Mellet, directeur éditorial de Radio France, avait donné une interview en septembre au journal Le Parisien.
00:34
Il avait déclaré, après l'affaire Thomas Le Grand, Patrick Cohen, que nous étions ses pires adversaires,
00:38
la négation du journalisme, des médias d'opinion, militants d'obsession.
00:43
Alors on sera avec Gilles-William Goldadel, on sera peut-être également avec Françoise Laborde,
00:48
mais je voudrais qu'on écoute Rachida Dati.
00:50
Alors je précise que, pourquoi nous parlons du service public ?
00:54
Parce que c'est notre argent.
00:55
C'est-à-dire que nous parlons sur CNews, sur Europe 1, sur le JDD, de tous les services publics.
01:01
Et on s'intéresse souvent comment est utilisé notre argent.
01:05
Et ceux qui écoutent le service public sont frappés,
01:10
c'est un peu monochrome sur le plan politique,
01:13
et puis il y a surtout des gens ou des voix qu'on n'entend jamais.
01:17
Gilles-William Goldadel sera là tout à l'heure,
01:19
c'est une voix qui n'est jamais entendue.
01:21
Plus les attaques, effectivement, frontales,
01:24
qui sont faites contre CNews, contre Europe 1,
01:28
contre ce qui est appelé l'Empire Bolloré, la galaxie Bolloré,
01:33
ce sont toujours les mêmes termes qui reviennent,
01:34
et puis après il y a des flèches contre M. Deval,
01:37
contre M. Gauthier, contre votre serviteur, etc.
01:41
Donc écoutez Rachida Dati, parce que c'était à l'Assemblée Nationale,
01:44
et elle a répondu, et ça s'appelle un tacle ou une baffe.
01:46
Alors vous avez raison, toutes les chaînes de télévision,
01:49
privées comme publiques,
01:51
sont soumises à une exigence de pluralisme dans leur programme.
01:55
Mais il y a une exigence supplémentaire pour l'audiovisuel public,
01:59
qui est celle de l'impartialité.
02:01
Alors certains groupes privés ont pu considérer
02:04
que cette exigence d'impartialité n'était pas remplie,
02:08
et l'ont fait savoir sur leurs antennes.
02:10
Alors les présidents de France Télévisions et de Radio France
02:13
ont estimé que ce traitement était de l'ordre du dénigrement,
02:18
et ont souhaité assigner les médias du groupe Bolloré
02:20
devant le tribunal de commerce.
02:23
Alors vous m'avez posé une question,
02:25
sur est-ce que j'étais informée de cette démarche.
02:28
Cette démarche n'avait en aucun cas été concertée,
02:32
et encore moins approuvée, par les tutelles.
02:35
En l'état du droit,
02:36
c'est leur liberté d'avoir choisi de s'engager dans cette voie.
02:40
Mais je peux vous dire que,
02:42
même si l'usage républicain,
02:44
et aussi par respect de l'engagement des deniers publics
02:47
dans cette procédure,
02:48
les tutelles auraient dû être informées,
02:50
auraient pu être informées.
02:52
Plus largement,
02:53
la réflexion sur ce que signifie l'impartialité,
02:56
cette exigence d'impartialité du service public,
02:58
et la façon dont elle est mise en œuvre,
03:01
est évidemment pleinement légitime,
03:03
et c'est un débat que nous devons avoir.
03:04
Mais ce sujet mérite largement mieux
03:08
que la voie détournée de la judiciarisation.
03:12
Voilà qui est clair.
03:13
C'est plus qu'une baffe, c'est un camouflet,
03:15
c'est même une humiliation.
03:17
C'est humiliant pour les dirigeants de France Télévisions
03:20
et de Radio France,
03:21
parce que vous avez Rachida Dati,
03:23
qui en substance dit quoi ?
03:24
Un, lorsque vous détenez un groupe avec l'argent public,
03:29
qui sera déficitaire en 2025,
03:31
il faut faire attention évidemment avec l'argent que vous utilisez,
03:34
l'argent des Français,
03:36
vous ne prévenez personne,
03:37
c'est l'État dans l'État,
03:39
et ce débat sur la liberté d'expression,
03:41
sur le pluralisme,
03:43
ça n'est pas dans les tribunaux que ça doit se régler,
03:45
ça doit se régler,
03:47
ou en tous les cas être débattu,
03:49
dans les studios,
03:51
sur les plateaux,
03:52
et c'est la liberté d'expression.
03:53
C'est ça qui est intéressant.
03:54
– Oui, je trouve que la ministre a bien répondu,
03:58
avec un certain courage, je trouve,
04:01
même pour un membre du gouvernement
04:02
dans une affaire comme celle-là,
04:04
et que c'était parfaitement justifié.
04:06
Mais ce qui est le plus terrible dans sa réponse,
04:09
c'est que non seulement elle est en désaccord sur l'affaire,
04:13
mais elle accuse les dirigeants du service public,
04:16
et notamment Mme Ernot,
04:18
d'avoir utilisé une méthode détournée,
04:21
c'est-à-dire ce qu'on dirait sneaky,
04:23
c'est-à-dire je fais ça un peu en chose pas affronter.
04:26
– En soum-soum !
04:27
– En soum-soum, voilà exactement.
04:28
– Comme disent les jeunes.
04:29
– Eh, vous connaissez cette expression ?
04:31
– En soum-soum, on n'a pas le droit.
04:33
– Ça veut bien dire ce que ça veut dire,
04:35
en loussdé.
04:35
– En loussdé, voilà, je cherchais le mot.
04:37
– Non mais, on va parler peut-être de la taxe foncière
04:40
qu'on va devoir payer encore plus cher.
04:44
Donc cet argent qui sera collecté
04:46
va servir notamment à payer les procédures
04:49
du service public contre notre groupe.
04:51
C'est les Français, avec leurs impôts,
04:54
qui vont aller payer les avocats
04:57
de Delphine Ernotte et de Sibyl Veil.
04:59
C'est aux Français de payer ces procédures
05:01
et sans consulter la ministre de la Culture,
05:04
aller un peu, déjà que le service public
05:06
coûte très cher, on a arrêté la redevance,
05:08
mais c'est un leurre.
05:09
Évidemment, c'est toujours l'argent des Français
05:10
qui payent les services,
05:13
enfin, ce qu'on diffuse sur le service public
05:15
et ce qui peut s'apparenter parfois à de la propagande,
05:18
puisqu'on ne veut pas dire la vérité,
05:19
mais on veut dire le pays tel qu'on voudrait qu'il soit,
05:22
pour reprendre les mots de Delphine Ernotte.
05:24
Et donc, maintenant, les Français apprennent
05:25
avec leurs impôts, ils vont payer les avocats
05:27
du service public.
05:28
– Je ne sais pas qui conseille en communication
05:29
Madame Ernotte, mais elle n'est pas maligne,
05:31
disons les choses, parce que c'est contre-productif
05:34
et elle se met en difficulté elle-même.
05:36
Je ne pense pas que ce soit une bonne idée
05:38
d'avoir fait cela.
05:39
Sabrina Bredjeber, peut-être ?
05:40
– Oui, je suis d'accord avec tout ce qui a été dit.
05:42
– Moi, je suis ravie que Madame Dati ait prononcé
05:44
ce qu'elle a donc dit à l'Assemblée nationale
05:48
concernant ce haut-clergé médiatique
05:50
qui estime que le peuple français
05:52
est une sorte de camp de rééducation culturelle.
05:55
Donc, évidemment que c'est un scandale
05:56
que les Français payent
05:58
pour la défense de Madame Ernotte
06:00
et Madame Veil, qui ne cessent de nous dénigrer
06:02
au nom de la liberté d'expression,
06:03
et qui refusent le débat contradictoire
06:06
au nom de la liberté d'expression.
06:07
– Alors, ce matin, à 6h15,
06:08
et puis à 7h15, notre ami Laurent Tessier
06:10
a fait une excellente chronique,
06:13
un excellent éditorial
06:14
où il rapportait tous les mots de dénigrement
06:18
depuis de nombreuses années d'attaque.
06:20
Mais c'est l'avis des médias, moi.
06:23
– De dénigrement du service public sur nous.
06:25
– Oui, bien sûr.
06:26
Évidemment, mais de la même manière
06:28
que le quotidien nous attaque,
06:30
ça fait partie...
06:32
Moi, j'ai le sentiment
06:32
que j'ai toujours répondu,
06:34
que je n'ai jamais été le premier
06:36
qui avait souligné
06:38
ce que font les autres éditorialement.
06:40
Mais c'est vrai que quand on nous attaque,
06:42
j'ai eu le sentiment
06:42
d'avoir toujours répondu.
06:44
Sur l'affaire Legrand-Cohen,
06:46
c'était autre chose,
06:47
c'était un fait qui était...
06:48
Ce n'était pas une attaque
06:49
contre le service public,
06:50
c'était quelque chose d'établi,
06:52
effectivement, comme vous disiez,
06:53
qui n'était pas qu'on a,
06:54
puisque c'était avec l'argent
06:55
du service public,
06:56
on apprenait que vous aviez
06:58
deux conseillers du Parti Socialiste,
07:00
attachés de presse du Parti Socialiste,
07:02
et ils sont payés par France Inter.
07:03
Et ça avait fait réagir Rachida Dati,
07:05
donc à partir de ce moment-là,
07:06
c'est une information.
07:07
C'est une information.
07:09
Mais autrement,
07:10
j'ai le sentiment
07:11
d'avoir toujours répondu.
07:12
Ce qui n'est pas le cas
07:12
de nos amis,
07:13
qui souvent nous ont attaqué.
07:15
Mais c'est la liberté d'expression,
07:17
moi, ça ne...
07:18
Attaqué, caricaturé...
07:19
Je ne devais pas descendre
07:20
dans la rue pour ça,
07:21
mais quand Lou le fait aussi
07:22
sur TF1, etc.
07:23
Alors écoutez, par exemple,
07:24
une émission sur France 5,
07:27
c'était dans C'est dans l'air,
07:28
un premier passage.
07:29
Sur Europe 1,
07:30
animateurs et chroniqueurs,
07:32
tous éditorialistes.
07:34
Il y a une dramatisation,
07:35
je ne suis pas sûr
07:35
que les autres pays fassent ça.
07:36
Emmanuel Macron aime nous faire peur,
07:38
nous donner du stress,
07:39
nous inquiéter.
07:39
J'espère qu'Emmanuel Macron
07:41
ne compte pas marcher sur Moscou.
07:42
Une contre-offensive médiatique
07:43
au service d'une vision
07:44
qui amoindrit l'ampleur
07:45
de la menace russe.
07:47
Ça, c'est donc sur France 5.
07:49
Écoutez ce que disait également
07:50
Thomas Legrand.
07:50
J'étais mis sur ce jour-là.
07:51
Thomas Legrand,
07:52
ce qu'il disait l'an dernier
07:53
sur CNews.
07:55
Pour moi,
07:55
ce que je lui reproche,
07:56
CNews,
07:57
c'est de ne pas faire de journalisme.
07:58
C'est le non-journalisme
08:00
de CNews
08:00
qui m'embête.
08:01
Donc si vous défendez
08:02
la presse et le journalisme,
08:03
c'est difficile
08:03
de défendre CNews aujourd'hui.
08:05
C'est extraordinaire
08:06
parce que lui,
08:07
c'est un monsieur
08:08
qui est un phare de la profession
08:10
comme chacun le sait,
08:12
M. Legrand,
08:12
et qui donne les bons points
08:14
de savoir
08:15
qui fait du journalisme
08:16
ou pas.
08:17
Non mais c'est vrai.
08:18
C'est Albert Londres,
08:20
c'est quelqu'un
08:22
qui a une autorité morale,
08:23
intellectuelle,
08:24
M. Legrand.
08:25
Il ne me semble pas.
08:26
Vous avez déjà échangé avec lui ?
08:27
Il ne me semble pas.
08:28
Non,
08:29
je l'ai croisé,
08:30
mais quand je l'ai croisé,
08:31
je ne l'ai pas remarqué.
08:32
Bernard Chameroy.
08:34
Bertrand.
08:35
Bertrand.
08:36
Bertrand.
08:36
Voici ce qu'il disait
08:37
sur votre serviteur.
08:39
Pascal Hou,
08:40
dans la confidence,
08:40
qui a choisi de commenter
08:42
l'élection du nouveau maire
08:42
de New York,
08:43
Zoran Mamdani.
08:44
Pourquoi ?
08:45
Parce que c'est encore
08:46
un musulman.
08:47
Voilà,
08:48
mais pourquoi pas ?
08:49
Moi,
08:49
ça ne me gêne pas
08:49
d'une certaine manière.
08:50
Bon,
08:51
c'est une caricature
08:52
qu'il propose.
08:52
Je ne vais pas,
08:54
je le répète,
08:54
descendre dans la rue
08:55
pour empêcher.
08:57
C'est ça la différence
08:58
entre eux et nous.
08:59
Moi,
09:00
je ne défendrai jamais
09:01
dans la rue
09:01
pour interdire
09:02
France Inter
09:03
ou tous ces gens-là.
09:04
Eux,
09:05
ils veulent nous fermer.
09:06
C'est quand même
09:06
fondamentalement différent.
09:08
Madame Charline Vanonecker
09:09
en juin 2021,
09:11
écoutez ce qu'elle disait.
09:11
Grand humoriste.
09:12
Je postule comme
09:13
programmatrice à CNews.
09:14
J'ai écrit une petite
09:15
lettre de motivation.
09:16
Cher CNews,
09:17
je me porte candidate
09:18
pour vous aider
09:19
à choisir vos invités
09:20
parce qu'il me semble
09:21
important de contribuer
09:22
à la pluralité
09:23
des idées
09:23
d'extrême droite.
09:25
Bon,
09:25
voilà,
09:26
et puis j'aurais pu terminer
09:27
avec Sonia Devedo.
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