00:00Je ne vous cache pas que je suis assez inquiet pour la soirée du 25 novembre parce qu'en fait, en 2005, vous avez fait un grand meeting au Palais des Sports
00:06et ça a été la bascule de la campagne. À partir de là, vous avez compris que le référendum allait être perdu par ceux qui étaient pour le oui.
00:14Et je ne sais pas si vous êtes encore capable de tenir une salle de 4500 personnes. Comment vous allez faire le 25 novembre ?
00:20Moi, je vais vous dire, autant la télé, ça me glace. En fait, je suis tout seul avec deux personnes.
00:27On fait ce qu'on peut, mais...
00:28Oui, mais c'est que deux personnes. Et moi, j'ai besoin du contact avec la foule. J'aime la foule.
00:34C'est comme ça. Non, mais surtout, ce que je veux dire, c'est que moi, j'ai accepté de venir parce que c'est le JDD,
00:40que c'était un journal remarquable, qui est lu dans toutes les rédactions, qui est le journal de référence du week-end.
00:48Et aussi parce que j'ai un message adressé à la jeunesse française. En fait, je vais répondre à la question,
00:54« Y a-t-il encore une espérance française ? » Parce que je vois partout que des désespérés,
00:59des familles désespérées, des parents désespérés, des enfants désespérés, qui disent « Donnez-nous de l'espoir ».
01:05Mais il y a plus que ça. La France est une espérance. Et c'est ça que je voulais dire ce soir-là pour la première fois.
01:12On a Philippe de Villiers pour le 25 novembre et on attend la foule. La billetterie est ouverte.
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