- il y a 1 semaine
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00:00C'est parti !
00:30Regarde, je vous savais qu'il allait mêler une petite boîte à l'essai.
00:39C'est des très belles photos.
00:41Peu de chance d'avoir une réponse.
00:46Tu as des relations compliquées ?
00:47Oui, je t'en racontais.
00:49C'est fatalisé.
00:50En fait, avant de vous écrire, j'ai tapé Zemmour.
00:52C'est bon, qu'est-ce qui ?
00:56Avancez, s'il vous plaît.
01:00On a vu qu'on a lié ce matin.
01:02Ah ouais.
01:03Deux, deux, deux, deux, deux, deux !
01:24Allez, bonne tournée.
01:30Allez, bonne tournée.
01:40Attention derrière vous.
01:42Oui.
01:43Merci, merci.
01:44On est dans les monts.
01:45Une savon de Marseille.
01:47Vous connaissez-vous ou pas ?
01:49Non, non, non, je regarde.
01:51On a fait plus de retons à plier.
01:53Ah, artiste.
01:54Audruyde.
01:55C'est lui.
01:56Et on fait quand même encore du savon.
02:00Encore du savon.
02:01Encore du savon.
02:02Encore du savon quand même.
02:03Mais on le fait même, moi j'en achète en liquide et tout ça.
02:07Tout ça, on le fait.
02:09On achète en liquide.
02:10Normalement c'est solide.
02:11Ah, voilà.
02:12Au blanc ou au blanc.
02:13Non, moi j'en achète en petit liquide.
02:15C'est marqué savon de Marseille.
02:16Non ?
02:17C'est pas vrai ?
02:18Le savon liquide de Marseille.
02:19Le savon de Marseille à Corot.
02:21J'en ai aussi du brut.
02:23J'ai les deux.
02:24En fait.
02:25Mais pourquoi vous ne faites pas du liquide vous ?
02:27J'ai fait une bêtise.
02:28Ah, le savon liquide de Marseille.
02:30Ah, d'accord.
02:31Le savon de Marseille c'est ça ?
02:33Ah oui, oui, je comprends.
02:34Mais c'est toujours à Marseille ?
02:36Ah oui ?
02:37Mais c'est toujours à Marseille ?
02:39Non.
02:40D'accord.
02:41On est dans le 14ème.
02:42Ok.
02:43Le 14ème à Marseille.
02:44Bravo.
02:45Ah oui, ça c'est le savon de Marseille.
02:48Oui, le club qui est là-bas, on le ferme.
02:50Et vous arrivez à...
02:52Comment vous faites ?
02:53Vous arrivez à garder un marché en France, en Europe ?
02:56Comment ça se passe ?
02:57On essaye de se faire connaître.
02:59Oui.
03:00Comment ça se passe ?
03:01Comment ça se passe ?
03:02Non, non.
03:03Non.
03:04Non, non.
03:05Non, non.
03:06Non, non.
03:07Non, non.
03:08Non, non.
03:09Non, non.
03:10Demandez.
03:11Demandez.
03:12Deuxi, demandez.
03:13C'est un vaccin a plus.
03:14À bientôt les amis.
03:16Bon courage à vous.
03:17Bon courage.
03:18Bon courage.
03:19Bon courage.
03:20Mon courage.
03:21Bon courage.
03:23C'est bon...
03:24C'est bon ?
03:25Est ici.
03:26C'est bon ?
03:27C'est bon.
03:28Bon courage.
03:29C'est bon ?
03:29Merci.
03:39Merci, monsieur.
03:40Merci, monsieur.
03:41Merci, monsieur.
03:54Bonjour, monsieur.
03:55Avec plaisir, vous allez bien.
03:57Merci, monsieur.
03:59C'est pour ça que vous voyez que ça passe sous le menton.
04:01Ça remonte plus au niveau du pied.
04:03C'est correct.
04:05Mais ça ne s'arrête pas là.
04:07Il faut aussi le replier comme ceci.
04:09Et là, l'aventure permet de l'avis du train, de l'avion ou de la voiture
04:11pour l'enlever sur le côté.
04:13On a pensé à tout, parce qu'au milieu, vous avez aussi une manche
04:15qui permet de l'empiler sur son bras.
04:17On le coupe ici avec le bouton de pression.
04:19Et ça prend tout cette place-là.
04:21C'est tout léger, ça fait 200 grammes.
04:23Après, il est fourni avec son pochon de transport.
04:25C'est génial. Bravo.
04:27Super.
04:29Alors, est-ce que je peux l'essayer ?
04:31C'est en sexy.
04:33Vous pouvez le mettre là, sur ?
04:35Excusez-moi.
04:37Voilà.
04:39Je vous le positionne, vous le permettez ?
04:41Allez-y.
04:45Si c'est trop maintenu ou pas assez, vous le dites.
04:47C'est très bien.
04:49Ça remonte suffisamment.
04:51Le but, c'est vraiment que ça maintienne le cervical.
04:53Parce qu'au moment où vous allez vous enlever, vous dormiez bien.
04:55Il y a plusieurs couleurs, non ?
04:57Il y a plusieurs couleurs.
04:59Il y a plusieurs couleurs, non ?
05:01Il y a plusieurs couleurs.
05:03C'est ce qu'il y a.
05:05Il y a aussi la gamme en jeu.
05:07C'est assez doux aussi.
05:09Il y a plusieurs couleurs.
05:11Je suis mauvais joueur.
05:13Quand je fais, c'est meilleur.
05:15Les joueurs, c'est bon.
05:17Voilà, les joueurs, c'est bon.
05:19T'avais vu le nid.
05:21C'est de moi.
05:23Le but du jeu, c'est de se rapprocher le plus possible de ça.
05:27Et on additionne.
05:29C'est pas mal.
05:31C'est pas mal.
05:35Allez, venez.
05:37Merci à vous.
05:39Merci à vous.
05:41Merci beaucoup.
05:43Merci à vous.
05:45Merci beaucoup.
05:47Merci beaucoup.
05:49Merci beaucoup.
05:51A très bientôt et bon courage à vous.
05:53Merci beaucoup.
05:55Au revoir.
05:57A bientôt.
05:59C'est bon, c'est bon.
06:01C'est bon.
06:03Ah ben c'est bon.
06:05On a vu que même le maillot de bois avec le haine.
06:07C'est bon, c'est bon.
06:09Oui.
06:11C'est bon, c'est bon.
06:13Bonjour Monsieur Zemmour, est-ce qu'on peut vous faire un petit café ?
06:22Parce que c'est vous !
06:24C'est parce que c'est nous !
06:26C'est mon mari, je suis comprise de partout !
06:34Il vous a abandonné, voilà !
06:37Tous les deux, c'est vraiment un petit café !
06:40Allez, allez !
06:45Bon alors, merci !
06:47Bon alors Vincent, d'accord !
06:49Voilà !
07:01Wilfried, il est où ?
07:02Allez, allez !
07:03Où est Wilfried ?
07:05Wilfried !
07:06Elle sert à quelque chose, prends la photo !
07:09Allez, moi, une petite photo aussi !
07:11Merci !
07:13Bon, elle n'a pas voulu me donner tout là !
07:14Ah, c'est pas bon !
07:15C'est... ok !
07:19Je reconnais, ça lui va mieux à elle que moi !
07:22Tu veux que tu peux les voir, Inertio ?
07:24Oui, Inertio !
07:26Je t'ai fondu que tu savais tout faire !
07:28Oui !
07:31Vous avez de la chance que je sois la madame !
07:33Sinon, on en a l'attendu !
07:35Merci !
07:36Merci !
07:37Bien sûr, bien sûr, bien sûr !
07:38C'est ce qu'il y a !
07:39Non, j'en prie !
07:40Vas-y, vas-y !
07:41Vas-y, vas-y !
07:42Oui, vas-y mon gars !
07:43Après, ce sera juste ici !
07:44Alors, qui prend ?
07:45C'est sûr !
07:46Je prends !
07:47Vas-y, vas-y !
07:49Vas-y, vas-y !
07:53Allez, salut !
07:54Alors, nous, nous sommes dans du numérique français au profit de l'industrie française, bien sûr !
08:03Premièrement, on fait des visites immersives, d'usines, en vidéo 360, interactif !
08:08Ah, j'ai déjà fait ça !
08:09Exactement !
08:10Très bonne mémoire !
08:12Donc, on fait ça depuis 5 ou 6 ans !
08:14Pourquoi faire ?
08:15Parce qu'aujourd'hui, il n'y a que deux solutions pour savoir si c'est fait en France !
08:20Ils ne bluffent pas !
08:21Ils ne se moquent pas !
08:23Ils ne se moquent pas !
08:24Ils ne se moquent pas de moi !
08:25J'espère !
08:26Vous me garantissez !
08:27Parce que je l'ai vu venir !
08:29Le commercial de base !
08:31Exactement !
08:32Je vous invite à en reculer, s'il vous plaît !
08:40Le casque !
08:41Et le mur d'ouvriers !
08:44On va en reculer autour, s'il vous plaît !
08:47Ah oui, c'est pas là !
08:49Oui !
08:50En fait, tout va bien !
08:53Et moi, je vous propose de meilleur !
08:55C'est pas mal !
08:57C'est fou !
08:58C'est pas mal !
09:03On dirait que vous avez des chocolats !
09:05Vous êtes très grands aussi !
09:07Mais il est trop grand, il ne doit pas être petit !
09:09Je peux l'essayer dans la polyécondeur !
09:13Allez, je l'avais !
09:15Je l'avais !
09:16Je l'avais !
09:17Allez-y !
09:18Allez-y !
09:21Allez, bonne journée, monsieur !
09:23Les citoyens consommateurs qui sont si nombreux ici !
09:26C'est parce qu'ils ont compris qu'on était en train de se faire intimer par Chine !
09:33Bonjour à toutes et bonjour à tous !
09:34Si vous nous retrouvez, nous sommes toujours en direct depuis le salon du Made in France, le Mif Expo à la Porte de Versailles !
09:40C'est au 3, et c'est fait en France la télé, organisé par Origine France 40 !
09:46Je reçois Éric Zemmour, président de Reconquête !
09:49Bonjour, monsieur !
09:50Merci d'avoir le micro si vous voulez bien là-haut !
09:53Merci d'être avec nous !
09:55Merci !
09:56C'est pas votre première fois au salon ?
09:57Moi je pense que c'est la troisième fois que je vous reçois sur le tableau !
10:00Non, non, non !
10:01Je suis déjà venu au salon deux fois !
10:03Deux fois, exactement !
10:04Deux fois, voilà !
10:05Vous souvenez de moi !
10:06Je pense que c'est que c'est que c'est que c'est que nous n'arrivons pas à remonter cette pente,
10:15même si depuis le Covid, nos dirigeants ont enfin compris qu'il y avait un sujet !
10:21Et nous n'y arrivons pas parce que tout simplement, nous ne prenons pas les bonnes directions !
10:25Il ne suffit pas de faire venir, et c'est utile, de faire venir quelques grands groupes,
10:31de les emmener, d'emmener leurs dirigeants à Versailles, de les séduire et d'essayer d'ainsi de pousser à l'installation d'usines,
10:39ce qui n'est pas négillable, mais qui n'a pas, si vous voulez, ce n'est pas la hauteur de l'enjeu !
10:45Il faut absolument faire une politique massive de baisse d'impôts,
10:50en particulier le fameux CBAE, l'impôt sur la production, mais bien d'autres !
10:57En vérité, nous sommes surimposés, nous sommes le peuple plus imposé du monde,
11:02et quand on voit ce qui s'est passé à l'Assemblée Nationale il y a une semaine,
11:07où il y a eu une espèce d'orgie de taxes d'impôts, où le LFI, le Parti Socialiste et le Rassemblement National
11:15se sont ligués pour voter toujours plus de taxes sur les entreprises, j'avoue que je m'inquiète grandement !
11:24Vous savez, on fait référence sans doute aux fameux Chinois qui détraient la chronique en ce moment...
11:31Si oui, malheureusement, ce n'est pas le seul !
11:33Bien sûr que ce n'est pas le seul, vous avez raison dans ce moment, c'est ce qu'on voit !
11:37Mais vous avez raison, ça fait longtemps qu'on a complètement ouvert les vannes de nos frontières et des frontières européennes !
11:44Moi, vous savez, je mène le combat que l'on disait souverainisme dans les années 90,
11:52et il y avait déjà à l'époque un débat entre les souverainistes de gauche et les souverainistes de droite.
12:01Les souverainistes de droite disaient, avec Charles Pasquois et Philippe de Villiers, avec Jean-Marie Le Pen,
12:06ils disaient libérer à l'intérieur, donc baisser les charges, baisser les dents, et protéger à l'extérieur.
12:13Et les souverainistes de gauche disaient non, non, il faut lutter contre le capitalisme, même à l'intérieur, donc il faut augmenter les taxes.
12:21Je vois que l'héritage de ces souverainistes de gauche arrive aujourd'hui chez LFI et au Rassemblement National.
12:31Moi, je suis toujours dans la lignée des souverainistes de droite qui disaient protéger, c'est-à-dire mettons des protections au niveau européen,
12:41nous devons absolument tordre le bras de la Commission européenne et lui imposer un changement de carte,
12:47parce qu'elle est complètement endoctrinée, elle est complètement imprégnée de l'idéologie libre-échangiste des années 90.
12:59Nous devons renoncer à ce logiciel, nous devons faire exactement comme font les Américains et comme font les Chinois.
13:06On oublie toujours, quand les Chinois veulent développer une industrie, ils ont fait ça par exemple pour les éoliennes,
13:15ils se protègent pendant quelques années, à l'abri de cette protection, ils fabriquent et ils développent leur industrie,
13:22et ensuite, ils vont voir l'Europe et ils leur disent, mais vous êtes libre-échangiste, donc vous allez nous laisser rentrer avec nos produits.
13:30Ils font ça pour les éoliennes, ils font ça pour les automobiles électriques, et c'est comme ça que le marché européen
13:35est complètement vendu aux Chinois qui ne respecte aucune règle en vérité d'un libre-échange royal.
13:42Pourquoi c'est difficile ? Pour deux raisons essentielles.
13:45La première raison que je voulais donner, c'est l'idéologie libre-échangiste de la Commission européenne,
13:50qui sont les derniers éloignants.
13:52Et la deuxième raison qu'il ne faut pas se cacher, même si c'est en train d'évoluer en cause,
13:58ce sont les Allemands.
14:00Les Allemands ont eu une telle puissance exportatrice, en particulier en Chine, mais aussi aux États-Unis,
14:07qu'ils étaient hostiles à tout protectionnisme européen.
14:12Aujourd'hui, comme ils pâtissent du protectionnisme américain, et comme les Chinois, les concurrents sur leurs produits fétiches,
14:20que sont les machines-outils et les automobiles, là ils commencent à se dire qu'il y a un sujet.
14:25Donc c'est le moment où jamais, c'est le moment où jamais, de se mettre d'accord avec les Allemands
14:31et de tordre le bras de la Commission européenne. C'est indispensable.
14:34Et il faut le faire très vite. On voit que c'est possible.
14:37Regardez la sidérogie. La Commission a enfin pris des mesures.
14:41Regardez même l'automobile. On commence enfin à faire bouger les choses.
14:45Mais il faut le faire évidemment très vite, plus fort, et de façon plus déterminée.
14:49Mais vous voyez, ce n'est pas impossible.
14:51En vérité, si les Français et les Allemands disent à la Commission de faire quelque chose,
14:56elle est obligée de céder.
14:59Une TVA ?
15:00Une TVA qui serait moins importante pour des produits fabriqués en France
15:03ou des produits certifiés en France ?
15:05Alors là, je pense pas plutôt...
15:08Moi je pense qu'il faut jouer sur ce que vous disiez vous,
15:13lorsque... c'était la direction de M. Gégo, qui était un vieil ami.
15:17C'est-à-dire qu'il faut... vous voyez, je l'ignorais.
15:20Il faut réserver la part des commandes publiques à des produits fabriqués en France.
15:28Je crois que Gégo disait entre 25 et 50 %, il avait tout à fait raison.
15:32Je lui ai repris cette proposition pendant ma campagne présidentielle.
15:35Et je continue à en parler. Je pense que c'est indispensable.
15:38Mais d'ailleurs, les Allemands le font naturellement.
15:41Ils sont à 70 ou 80 %.
15:43Et nous, on est à 20 ou 30 %. C'est ridicule.
15:45Il faut absolument nous obliger à faire un signe.
15:50Et ce qui permettra à nos entreprises d'avoir une visibilité, d'avoir des commandes importantes.
15:55C'est vraiment la base d'une politique industrielle intelligente.
16:00Moi, j'avais proposé ça pendant la présidentielle.
16:02De mettre un numerus ursus pour bloquer les professions comme la sociologie, etc.
16:09qui, en vérité, sont des machines idéologiques de cauchistes.
16:14Et en revanche, développer l'apprentissage.
16:17Je reconnais, parce qu'il faut essayer d'être honnête,
16:20je reconnais qu'Emmanuel Macron a fait quelque chose de positif
16:23en développant l'apprentissage depuis quelques années.
16:26Malheureusement, je vois que là, aujourd'hui,
16:28ils sont en train de faire une machine arrière
16:30parce qu'on est tellement endettés.
16:33Mais évidemment que ce n'est pas là-dessus qu'il faut faire des économies.
16:36En fait, nous vivons un moment très particulier.
16:40Pendant des siècles, depuis un gros, de Colbert a continué.
16:45L'État a été la première lode de la bataille pour l'industrialisation de la France
16:51car il avait, au contraire des Allemands, un peuple qui était un peuple de paysan
16:58et une aristocratie qui investissait dans la terre et non pas dans l'industrie.
17:02Et donc, l'État a poussé les Français à investir dans l'industrie, etc.
17:07Et il a fait un travail extraordinaire.
17:09Et puis, depuis les années 90, nous avons fait exactement la même.
17:14C'est-à-dire que moi, je me souviens, quand j'étais jeune journaliste politique,
17:17je discutais avec les ministres, etc.
17:20Et vous savez, c'était l'époque où on nous disait tous
17:22mais ce n'est pas grave.
17:23Les Chinois font tout sans mot.
17:25Nous, on va tenir une nation de service.
17:27Ça a été une catastrophe.
17:29Et là, aujourd'hui, formellement,
17:32les autorités publiques nous donnent l'impression d'avoir changé de discours.
17:36Mais dans la réalité, on voit bien qu'ils n'ont pas pris les mesures nécessaires
17:41car la bataille est terrible.
17:43Et on voit bien qu'entre les États-Unis qui se reprotègent pour se réindustrialiser,
17:47parce qu'ils ont promis la même erreur que nous, on va parler gata.
17:50Et c'est ce qu'a compris Trump.
17:52Et les Chinois qui, eux, ont une stratégie délibérée de domination du lourd par leur industrie,
17:59on voit bien que si on ne se réveille pas, dans quelques années, on sera mort.
18:03Donc, l'exemple le plus magnifique et le plus terrible, c'est l'automobile, évidemment.
18:08J'ai l'impression, M. Zéloch, avec vous, il est bien.
18:10Qu'est-ce que vous répondez au consommateur qui dit que vous pensez à l'automobile ?
18:15Je pense que, je peux comprendre, ça dépend évidemment de son niveau de vie, évidemment.
18:24Moi, je lui rappellerai simplement qu'il n'est pas seulement un consommateur.
18:28Il est aussi un travailleur.
18:31Et que depuis 30 ans, le consommateur a parfois tué en lui, le travailleur.
18:40Et ça, pour cela, il faut l'expliquer.
18:43Il faut que les pouvoirs publics fassent de la pédagogie, ce qu'ils ne font pas.
18:47Et il faut que les pouvoirs publics, français et européens, protègent le marché français.
18:53On en revient à notre discussion sur les produits chinois.
18:56Merci beaucoup, Éric.
18:58Merci à vous.
18:59Merci à vous.
19:00Merci à vous.
19:01Merci à vous.
19:02Merci à vous.
19:03Sous-titrage Société Radio-Canada
19:33Merci à vous.
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