Erik Tegnér : « On n'a pas à s'en prendre à notre mémoire et à notre histoire. Nos élites n'en ont rien à faire de notre histoire, ils l'ont bazardée depuis longtemps. Ils ont pris les manuels et où il y avait des héros, ils les ont déchirés.»
00:00Oui, et même en Vendée, même dans l'Ouest, même en Bretagne, on se retrouve, et cette fois-ci, ce n'est évidemment pas des immigrés, ce n'ont évidemment pas des étrangers,
00:08ce sont des peu de cachins, des étudiants sociaux, des étudiants qui ne vont jamais avoir un...
00:12Et qu'est-ce que tu en fais ?
00:14Et qui se pointent là, déjà Jean-Claude, j'ai pas la réflexion comme vous à dire...
00:18Mais non mais, moi je sais pas quoi en faire, c'est ça mon problème.
00:22Déjà leurs parents, déjà ils doivent se dire, c'est le premier point, et ensuite moi, c'est ce que je fais moi, j'envoie la police là-bas,
00:28on arrête tout le monde, c'est fini, contrôle automatique, tolérance zéro, on n'a pas à s'en prendre à notre mémoire.
00:34Donc, la conclusion rapide et provisoire, on n'a pas à le faire, et si ça ne choque pas nos élites, c'est parce que nos élites n'en ont rien à faire,
00:41ils ne l'ont pas zardé il y a longtemps, il y a longtemps ils ont pris les manuels d'histoire, ils ont pris les pages où il y avait des héros,
00:48ils les ont déchirés, et ils les ont déchirés, parce qu'ils n'en ont rien à faire depuis le début, donc ça ne me surprend pas.
00:53J'espère simplement...
00:54Moi, les images que j'aimerais voir plus tôt, c'est les images des arrestations de ces gens-là,
00:59ce n'est pas de les voir avec leurs drapeaux, ils ont des drapeaux du Hamas, imaginez s'il y avait des drapeaux d'asile envers eux,
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