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  • il y a 6 jours
Trois femmes d’une vingtaine d’années ont été écrouées en octobre dernier à Paris. Elles sont soupçonnées d’avoir préparé un attentat jihadiste, a indiqué samedi le Parquet national antiterroriste. Selon Sacha Belissa, responsable au Centre d’Analyse du Terrorisme (CAT), «les réseaux sociaux facilitent la radicalisation et l’engagement vers le jihadisme».

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Transcription
00:00– Écoutez, je pense que ça s'explique par deux raisons.
00:03C'est-à-dire qu'aujourd'hui, on a effectivement
00:04des moyens de communication, notamment par les réseaux sociaux,
00:06qui facilitent la radicalisation et l'engagement vers le djihadisme.
00:12Mais je pense qu'il y a un problème aussi plus profond en France
00:15qui est celui du vide spirituel qui existe dans ce pays.
00:21Et en fait, les jeunes Français ont du mal à s'identifier
00:26justement à une culture, à une identité, à une religion
00:30qui fait qu'en fait, une religion plus dynamique
00:32qu'est aujourd'hui l'islam, prend le dessus sur un vide, sur un rien.
00:36La nature aura en fait horreur du vide.
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