Trois femmes d’une vingtaine d’années ont été écrouées en octobre dernier à Paris. Elles sont soupçonnées d’avoir préparé un attentat jihadiste, a indiqué samedi le Parquet national antiterroriste. Face à cela, Gilles Leclair, ancien haut fonctionnaire de police, estime que «sur les réseaux sociaux, des gens faibles peuvent se faire embarquer».
00:00Oui, c'est la manifestation, en tout cas, que les services de renseignement travaillent beaucoup sur le net, puisqu'il y a beaucoup de recrutement sur le net, et que des jeunes personnes qui sont un peu faibles ou qui peuvent se faire assuffler des idées...
00:15On a vu le cas avec Oléron il y a quelques jours.
00:17En fait, dans une certaine mesure, c'est rassurant, parce qu'elles ont été détectées et qu'elles ont été arrêtées avant de passer à l'acte, ce qui n'était peut-être pas encore totalement au point.
00:27Mais en tout cas, c'est l'illustration quand même que sur les réseaux, il y a des gens faibles qui peuvent se faire embarquer.
00:37Bon là, je pense que c'était plutôt des pieds nickelés pour l'instant du terrorisme.
00:41Oui, mais ça dénote un certain climat, c'est ce que je vous disais, Gilles Leclerc.
00:45Il y a un état d'esprit et c'est ça qui est plus dangereux. D'ailleurs, sur le net, vraiment, et sur le Darknet.
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