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  • il y a 4 semaines
Le président de la République s'est exprimé sur la suspension de la réforme des retraites, ce mardi 21 octobre. Il souligne qu'il ne s'agit pas d'une "abrogation" mais plutôt d'un "décalage".

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Transcription
00:00Charles, il a raison Éric Zemmour, finalement le PS est plus malin que les autres.
00:05En tout cas, il est plus déterminé à obtenir une vraie application de son programme de façon immédiate
00:13par rapport à d'autres partis comme le Rassemblement National qui visent davantage une prise de pouvoir
00:19mais pas forcément des mesures très concrètes que pourraient prendre maintenant les députés.
00:25Il est sans doute très habile politiquement, il faut rendre ça à Olivier Faure et consorts.
00:33Moi, je crains qu'il soit aussi tétanisé à l'idée de retourner devant les électeurs
00:38parce que derrière ça, il y a aussi la crainte de la dissolution et je m'inquiète moi du fond.
00:47C'est-à-dire que je pense que ce que font faire en ce moment les socialistes, c'est en réalité dramatique pour notre pays.
00:54On va avoir l'occasion d'en débattre.
00:57Mais je pense que revenir sur cette réforme des retraites qui n'était en fait qu'une étape vers une autre réforme
01:04dont nous avons besoin si nous voulons financer nos retraites, c'est quand même une catastrophe.
01:10Et c'est assez unanimement, en tout cas par les économistes, considérés comme une catastrophe.
01:15Et les nouvelles taxes qui sont envisagées en ce moment par la gauche et qui sont demandées par la gauche à Sébastien Lecornu
01:23me paraissent aussi assez catastrophiques.
01:25Et on entend beaucoup dans les milieux d'affaires, comme on dit, chez les patrons,
01:30chez les gens qui seraient susceptibles d'être touchés par ces taxes.
01:34Il y a un vent d'exil dans une situation, et j'en termine par là, de dumping fiscal au niveau non seulement international,
01:43mais aussi au niveau européen.
01:45L'Italie, par exemple, est très agressive pour récupérer nos riches, pour dire les choses comme elles sont,
01:50qui ne voudraient pas payer pour les fantasmes d'Olivier Faure et de Chloé Riedel.
01:56Donc, je suis inquiet.
01:59Je précise simplement.
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