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  • il y a 4 semaines

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00:00On accueille Alice Cordier, qui est directrice du collectif Némésis dans le studio.
00:06Lola, la petite Lola, 12 ans, je disais, un prénom, un sourire, une vie fauchée,
00:10elle symbolise désormais ce que notre société redoute le plus, l'horreur, un visage humain.
00:16Et je veux quand même souligner qu'il y a un rassemblement pour rendre hommage à Lola,
00:20qui est organisé à Paris devant la cour d'appel, vendredi, 8h, jour du verdict.
00:25Je veux rappeler qu'il y a eu les auditions des médecins légistes dans l'affaire Lola.
00:30Ils ont décrit l'horreur des coups violents à la tête, torture, viol, asphyxie, coups au visage avec un couteau,
00:36tenez-vous bien, multiples plaies dorsales réalisées avec des ciseaux, des lésions anal, vaginales.
00:42L'horreur absolue au tribunal aujourd'hui, lors du procès, du procès, du meurtre, de l'assassinat de cette petite Lola.
00:52À l'escordier, vous suivez le procès. D'abord, quels sont les premiers mots qui vous viennent comme ça ?
00:59Quel est votre état d'esprit ?
01:01Écoutez, moi j'ai une petite sœur.
01:03Vous êtes dans le studio d'Europe 1, je ne rappelle pas.
01:05Je n'ai pas encore d'enfant, mais j'ai une petite sœur qui a eu 12 ans.
01:07J'imagine extrêmement bien la taille de cette petite fille-là et énormément de réactions hier,
01:14parce qu'hier, il y a eu la malle dans laquelle cette petite fille avait été mise.
01:17Et les gens étaient stupéfaits de la taille, qui est petite en fait, c'est-à-dire qu'elle avait vraiment été compressée.
01:23De toute façon, les photos parlaient d'elles-mêmes malheureusement.
01:26C'est atroce.
01:27Ce qui s'est passé, je pense que c'est, Mathilde Dalle disait hier soir, l'un des pires procès de la décennie.
01:34Honnêtement, nous on en fait énormément des procès de victimes.
01:36C'est atroce.
01:37Il y a un sadisme.
01:39Et un sadisme qu'on ressent presque aussi quand on assiste aux différents interrogatoires qu'a eues d'Abia, la meurtrière de Lola,
01:48le lendemain, d'après ses méfaits, où en fait on ressent, elle veut voir les photos,
01:54elle jouit presque devant les photos, elle dit encore, je veux encore les voir, encore une...
01:58On a vraiment vu les extraits.
02:00De la barbarie pure jusqu'au moment du procès.
02:03Jusqu'au moment du procès.
02:04Et là, ce qui est en train de se passer de la part de la Défense est assez un peu terrifiant
02:08parce qu'en fait, ils vont essayer de la faire passer, et c'est possible pour quelqu'un qui a normalement souffert dans sa vie,
02:14c'est possible.
02:15De toute façon, pour commettre ce genre de choses, c'est que ça ne va pas très bien là-haut.
02:20Mais surtout, pour essayer peut-être d'alléger la peine.
02:23Et ça, c'est ça qui fait un petit peu peur à tout le monde.
02:25C'est que là, elle commence à expliquer qu'elle avait pris des cachets,
02:28qui sont des cachets anesthésiens normalement très utilisés par des prostituées,
02:32qu'elle-même se prostituait, qu'elle a été violée dans son enfance.
02:35Il y a plein d'éléments qu'elle apporte au dossier, qu'elle n'a jamais apporté sur les trois dernières années,
02:39que là, bizarrement, au moment du procès et de sa forte médiatisation, elle explique.
02:44Et qui laisse entendre que peut-être, on est sur une Défense qui va essayer d'expliquer
02:48que c'est une femme qui a beaucoup souffert, ce qui allégerait la peine.
02:51Isabelle, je sais que vous êtes en ligne.
02:53Je reprends dans un instant.
02:54D'abord, Gabriel Cluzel, un mot.
02:55Éric Tegner, ensuite Isabelle.
02:57Mais je crois que nous sommes tous affreusement touchés par ce procès.
03:00Moi, je suis sur X tout ce qui se dit.
03:04C'est même insupportable, mais je crois que nous avons le courage de supporter.
03:06Cette petite fille l'a vécu, alors nous pouvons supporter de le lire.
03:09Je voulais remercier Alice Cordier et Némésis de penser à Lola.
03:13Vous savez, aujourd'hui, il y a des femmes qui sont complètement invisibilisées.
03:17Vous savez, les féministes qui ont pignon sur rue, elles choisissent.
03:19Elles choisissent les victimes.
03:21Il y a les bonnes victimes en fonction de ce qu'est le violeur, l'assassin.
03:25Aujourd'hui, les vieilles dames, les petites filles, elles sont livrées à l'insécurité,
03:30affreuses, qui gangrènent notre pays.
03:33Il n'y a personne pour les défendre.
03:34Donc, merci de parler de la petite Lola.
03:37Puis, je pense à sa mère, comme toutes les mères.
03:38Je me dis combien de Dabia Benkired peuvent croiser aujourd'hui nos filles
03:44quand elles reviennent de l'école.
03:45Dix secondes, peut-être, Éric Tegner, avant de marquer une pause.
03:48Que dix secondes ?
03:48Je rejoins ce que dit Gabriel Cluzel.
03:50C'est très dur à endurer.
03:51Et ce que je note, c'est que lorsque la petite Lola était assassinée,
03:54la gauche expliquait qu'on en faisait trop,
03:57alors qu'on est en train de comprendre cette semaine que finalement, on n'en faisait pas assez.
04:01Isabelle, restez en ligne avec nous.
04:02On marque une pause.
04:03Restez tous en ligne avec nous.
04:04Je vais vous poser la question à Alice Cordier de savoir pourquoi votre présence est critiquée.
04:08Pourquoi les féministes sont critiquées sur place ?
04:11Je n'en reviens pas.
04:12On marque une pause.
04:12On revient tout de suite sur Europe 1.
04:13Et vous réagissez au 01, 80, 20, 30, 9, 21, 12h26.
04:17Vous écoutez Christine Kelly sur Europe 1.
04:20Europe 1
04:22Europe 1
04:2211h30, 13h
04:25Christine Kelly et vous.
04:27Nous sommes en direct sur Europe 1.
04:29Elle est 12h32 en train de parler de ce procès d'Abia Benkirède
04:35qui est accusée d'avoir tué, violé, asphyxié la jeune Lola à 12 ans.
04:41Nous sommes dans le studio avec Alice Cordier, directrice du collectif Némésis.
04:45Nous sommes en ligne avec Isabelle.
04:46Isabelle qui nous a appelée de Nice, nous a appelée pour nous parler de Nicolas Sarkozy.
04:51Je vous ai tenu quand même la grappe si vous permettez l'expression.
04:55Puisqu'on aimait bien vous avoir.
04:58Et j'ai moins à vous entendre un peu ma chère Isabelle.
05:01Vous êtes une femme.
05:02Comment, quel regard vous portez sur ce que vient de nous décrire Alice Cordier sur ce procès,
05:07le procès de Lola ?
05:09Ce procès, c'est l'horreur absolue.
05:15Là, on prend de plein fouet la barbarie de ces gens.
05:23Je ne sais même pas si on peut appeler ça des êtres humains.
05:26C'est franchement...
05:28Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ?
05:31Quand on entend cette petite qui a pris 38 coups de couteau,
05:34elle a 38 plaies dans le dos, elle a été massacrée.
05:38C'est une horreur, quoi.
05:41C'est insoutenable.
05:42Et pourtant, il faut, comme dit Gabriel, il faut qu'on le soutienne.
05:47Parce qu'elle, elle l'a subie.
05:48Donc, on doit aussi être digne pour elle.
05:51Osez dire ce qu'elle a subi.
05:53Ça fait mal au cœur, mais oser dire, effectivement, ce qu'elle a subi.
05:56Merci Isabelle, pour ce témoignage.
05:58C'est horrible.
05:58Et je peux dire un petit mot pour Alice Cordier.
06:01Oui, bien sûr.
06:02Je voudrais vraiment féliciter.
06:04Ce sont des filles formidables, ce mouvement Némésis.
06:08Merci pour ces encouragements.
06:10Elles sont courageuses.
06:11Elles sont courageuses.
06:12Elles se battent contre tout le monde.
06:15Et quand on voit les soi-disant féministes qui défendent les femmes...
06:21Un géométrie variable.
06:23Elles, c'est une honte.
06:24Alors, on parlait de honte tout à l'heure.
06:25On a honte sur plein de choses en France.
06:27Mais là, c'est la honte, ces gens-là.
06:30Et les filles, comme Alice Cordier, toutes ces filles superbes qui se battent.
06:36Chapeau.
06:37Merci beaucoup, ma chère Isabelle.
06:40Géraldine Amon, je sais que vous êtes maman aussi.
06:42Je disais même qu'on n'a même pas besoin d'être maman.
06:44Ça déchire le cœur.
06:46Ah non, mais quand on lit...
06:48Moi, je lis des articles, justement.
06:49Je suis le procès avec les articles.
06:52Alors, on se dit, est-ce qu'on doit le lire ou pas ?
06:54Mais oui, parce qu'il faut se rendre compte, malheureusement,
06:57de cette réalité qui peut malheureusement arriver tous les jours.
07:03Et qui plus est, être maman d'une petite fille.
07:05Enfin, Alice Cordier disait que Lola avait l'âge de sa petite sœur.
07:09Moi, elle a l'âge de ma fille.
07:11On a vu hier, dans le studio d'Europe 1, belle comme un cœur, et on se dit que c'est l'innocence même à cet âge-là.
07:17C'est l'innocence.
07:18Et comme disait Gabrielle Rantenne, on pense aussi à la maman qui se dit,
07:22au moment où ma fille a été torturée, assassinée, sa mère était quelques étages au-dessus ou en dessous.
07:30Et donc là, on se dit, en tant que mère, c'est très, très difficile.
07:36Et le courage de cette maman, d'assister à ce procès de Lola, d'écouter ce qui s'est passé pour sa petite fille.
07:44Et quand on sait aussi que le papa de Lola est décédé, il y a eu un divorce.
07:49Ça a détruit cette famille.
07:53Et la force de cette maman, je ne sais pas comment elle y arrive, en fait.
07:58C'est très courageux aussi d'avoir osé lever le huis clos.
08:02De ne pas demander le huis clos.
08:04Je pense que c'est très indispensable.
08:06C'est très important que les Français le sachent.
08:08C'est pourquoi ils ont choisi la salle la plus petite pour éviter qu'il y ait énormément de monde.
08:12Mais c'est incroyable.
08:13Comment ça se fait qu'on ait choisi la salle la plus petite à discordiner ?
08:15Honnêtement, c'est incompréhensible.
08:17Il y a 18 places.
08:18Il faut imaginer que sur 18 places, vous mettez toutes les élèves avocates ou les élèves avocats
08:22qui du coup prennent carrément toutes les 18 places.
08:24Donc toutes les personnes qui sont venues là soutenir, apporter un soutien à la famille, ne peuvent pas.
08:31Et là aussi, je voulais rebondir là-dessus.
08:33Il y a certes des personnes qui viennent soutenir, mais il y a des personnes qui consomment cette histoire,
08:37le procès de Lola, comme un feuilleton, comme enquête exclusive.
08:41Comme des influenceuses islamistes.
08:43On a des influenceuses qui ont appelé leur communauté à se rendre au procès pour suivre les différents détails.
08:50Donc nous, on était hier dans la queue.
08:51On entendait des spéculations pour savoir est-ce qu'on verrait le visage de la petite Lola,
08:55des paris sur savoir qu'elle photo serait...
08:57Franchement, c'était du pain et des jeux.
08:59Moi, j'ai été scandalisée.
09:00On avait l'impression d'être au marché de Rungis.
09:01Il y avait des femmes qui se battaient pour pouvoir rentrer dans la salle d'audience.
09:05Vous avez la maman qui était à quelques mètres de là, effondrée comme on peut l'imaginer, évidemment.
09:10Et pendant ce temps, on avait des...
09:11Des vautours sur le cadavre de Lola.
09:13Des vautours sur le cadavre.
09:14C'était exactement ce que vous avez dit, les termes, Christine.
09:17Parce que...
09:17Et honnêtement, il y avait un manque de décence énorme.
09:20Et nous, on a été scandalisés.
09:21La deuxième chose qui a été scandaleuse pour nous, c'est qu'on s'est fait insulter.
09:26Gratuitement.
09:26Parce qu'on s'est fait reconnaître qu'on était dans la queue.
09:29Simplement, nous, on nous demande pourquoi vous n'allez pas au procès jubilard.
09:32Le procès jubilard a été très, très médiatisé avec une forte présence des associations féministes.
09:36Comme vous le disiez, Gabriel, pour l'affaire Lola, il n'y a pas une seule association féministe qui est là, sauf nous.
09:41Ah, incroyable.
09:42En soutien.
09:43Et puis aussi pour appuyer sur cette affaire-là.
09:45Eh bien, visiblement, ça a dérangé puisqu'on s'est fait traiter.
09:48Voilà, il y a l'extrême droite qui est là.
09:51Regardez, elle vient de faire de la récupération.
09:53Alors qu'on est discrète et simplement là...
09:54Rappelons que Dabia Benkere, depuis ce que personne ne veut qu'on le dise, elle était sous OQTF.
10:00Rappelons-le, soulignons-le, il faut le dire.
10:03On aura Rémi en ligne.
10:04Après, il faut qu'on parle des derniers sujets.
10:05Mais Eric Tegner veut réagir.
10:06Oui, les associations féministes aux abonnés absentes.
10:08Mais je pense au monde de la culture, évidemment, le monde du cinéma, le monde également de la musique.
10:13Incapable juste de mentionner le nom de Lola.
10:15Moi, toute la semaine, je ne pouvais pas m'empêcher de penser à la mère de Philippine
10:19qui, à votre micro d'en face à l'info, expliquait comment elle n'avait aucun détail
10:22sur ce qui s'était passé et que c'était absolument atroce pour elle.
10:26Et c'est là qu'on réalise, effectivement, dans ce procès, qu'on apprend des choses,
10:30qu'on découvre des choses.
10:31Donc, évidemment que c'est essentiel de décortiquer,
10:33parce que sinon, le deuil est impossible.
10:36Et pour la mère de Philippine, c'est atroce aujourd'hui.
10:37Et c'est vrai qu'on pensait qu'on avait touché l'horreur,
10:39mais chaque jour qui passe, on va encore plus loin dans l'horreur.
10:42Rémi, vous nous appelez de Poitou-Charentes et vous dites effectivement que c'est une histoire horrible.
10:46Et vous rappelez aussi, effectivement, que Dabia Benkirède était sous OQTF.
10:51Elle n'avait rien à faire en France.
10:54Oui, bonjour tout le monde.
10:56Oui, tout à fait.
10:57Alors, c'est surtout beaucoup de colère et beaucoup de tristesse pour cette famille,
11:02parce qu'effectivement, cette personne n'avait rien à faire sur le territoire français.
11:06Déjà, il faut se poser la question pourquoi elle a pu, comment dire,
11:11rentrer sur le territoire français sans être interpellée.
11:14Je pense que déjà, on peut soulever un premier problème.
11:15Elle est rentrée sous un visa étudiant.
11:19D'accord.
11:19Oui, voilà.
11:20Après, elle a eu un OQTF et elle n'est pas repartie.
11:23Et puis, rappelons aussi les rapports avec l'Algérie.
11:26C'est quand même assez ubuesque tout ça.
11:28On va de plus en plus loin dans le drame.
11:30Oui, tout à fait, parce que cette personne, j'entendais tout à l'heure,
11:36il y a des chances en plus qu'ils arrivent à la faire passer pour quelqu'un
11:39qui n'avait pas la pleine conscience de ce qu'elle faisait.
11:43Donc, c'est une personne qu'on va soigner aux frais du contribuable,
11:47qu'on va loger aux frais du contribuable.
11:49Donc, elle assassine une petite fille de chez nous alors qu'elle n'a rien à faire ici,
11:54qu'elle est oubliée de rentrer chez elle.
11:55Et en plus, on va lui payer tous les frais annexes qu'avaient engendré,
11:59les frais de justice, les frais de soins, tout ça.
12:02Donc, c'est encore une fois, et je pense que j'entendais aussi le fait
12:05qu'il y ait une toute petite salle pour ce procès.
12:10Parce que, tout simplement, c'est quelque chose qui déplait forcément
12:13à toute cette opinion, cette idéologie.
12:17Et à partir du moment où c'est médiatisé et que tout le monde en parle,
12:23ça ne leur plaît pas, donc ils essayent d'étouffer l'affaire comme ils peuvent.
12:26Eh bien, on ne va pas étouffer l'affaire.
12:28Non, on va en parler.
12:28Merci Rémi de nous avoir témoigné en direct sur Europe 1.
12:32Merci pour votre appel de Poitou-Charentes.
12:34Gabrielle Cluzel, un dernier mot avant de marquer une pause.
12:36Oui, moi je suis frappée dans la défense d'Abia Benkiret.
12:41Elle dit à un moment,
12:43« Ah oui, moi je ne parle pas très bien français. »
12:44Mais pardon, elle a eu un visa étudiant.
12:45Ce n'est pas vérifié ça, quand on accorde un visa étudiant ?
12:48Vous voyez, ça aussi, ça fait partie quand même des...
12:50Alors, je ne sais pas si c'est le cas, si elle ne parle vraiment pas français,
12:52ou si c'est simplement une excuse,
12:54mais néanmoins, ça devrait faire à minima partie des choses vérifiées
12:58quand on accuse quelqu'un pour un visa étudiant.
12:59On peut dire, pour le parler trivialement,
13:02si notre gouvernement avait fait son boulot,
13:05eh bien, ni Lola, ni Philippine aujourd'hui ne seraient mortes.
13:09Il faut quand même le dire.
13:10Éric voulait nous appeler de Gironde, on n'a pas pu le avoir,
13:12mais c'est exactement ce qu'il voulait dire.
13:13On marque une pause, et en 10 secondes, le mot de la fin avec Alice Cordier.
13:16Et vous, 01, 80, 20, 39, 21, 12h41, vous écoutez Christine Kelly sur Europe 1.
13:22Europe 1, Christine Kelly.
13:24Christine Kelly, vous, dernière partie à 12h45 sur Europe 1,
13:28et toujours avec votre invitée, chère Christine,
13:30Alice Cordier, directrice du collectif Nemesis.
13:32Oui, avec Alice, le mot de la fin peut-être pour terminer cette partie
13:37sur ce triste procès sur l'affaire Lola.
13:42Alice Cordier, vous en parliez effectivement des accusations,
13:46des critiques en ce qui vous concerne.
13:48S'il fallait dire un dernier mot ce matin ?
13:50Moi, j'aurais un dernier mot pour les journaux d'extrême gauche
13:52comme L'Humanité, Libération,
13:54qui les seuls articles qu'ils ont faits sur l'affaire Lola,
13:56c'était pour dire l'extrême droite récupère,
13:58l'extrême droite récupère.
13:59Eh bien, j'incite les journalistes de Libération et de l'Humanité
14:01à venir au procès, à regarder la maman dans les yeux,
14:03et peut-être qu'ils parleront d'autre chose que de l'extrême droite.
14:05L'Humanité, vous dites ?
14:07Oui, l'Humanité.
14:08Et tous les articles de l'Humanité, si vous regardez,
14:10c'est uniquement pour l'affaire Lola,
14:12uniquement sous un trait politique.
14:14Donc, qui politise l'affaire, c'est sûrement pas nous.
14:16L'Humanité qui porte si bien son nom.
14:18Merci beaucoup Alice Cordier d'avoir été avec.
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