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  • il y a 6 semaines
En pleine crise politique, les Français prennent la parole sur BFMTV. Ils sont commerçants, retraités, chefs d'entreprises, agriculteurs, médecins, fonctionnaires... Ils ont des opinions différentes et attendent de savoir quel sera l'avenir politique de la France.

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Transcription
00:00Je vais rebondir sur le faire plus d'enfants, qui était aussi une discussion portée par Marie-Sophie.
00:07On a une proposition très concrète, c'est une part pleine de fiscalité pour le deuxième enfant.
00:11Comment on incite aujourd'hui aux familles à faire des enfants qui se limitent, pour des raisons économiques bien sûr,
00:18parce qu'aujourd'hui, compte tenu du reste à vivre, on ne parle pas des salaires, on ne parle pas des impôts, on parle du reste à vivre.
00:22Qu'est-ce qui nous reste à la fin du mois et quelles sont les perspectives d'avenir pour nos enfants ?
00:26Donc, une pleine part de fiscalité, dès le deuxième enfant, ça répond à ces demandes.
00:30Mais Gabriel, vous le disiez sur l'immigration, vous vendez du vent. Je résume ce que disait Gabriel.
00:33Moi, je regarde un petit peu ce qui se passe dans le monde.
00:36Tous les pays du monde, tous les pays du monde appliquent la priorité nationale.
00:41C'est-à-dire que vous avez plus de droits et plus de devoirs pour les citoyens du pays.
00:45Ce n'est pas un concept fasciste, ce n'est pas un concept raciste, c'est un concept de bon sens.
00:49Quand vous êtes dans une maison, que, encore une fois, c'est l'opulence, que vous avez de l'argent, que vous avez le frigo qui est plein,
00:54vous pouvez faire venir vos amis, les amis du voisin, etc., et le village d'à côté.
00:59Quand vous n'avez plus rien pour vos enfants, quand vous n'avez même pas de quoi leur donner à manger,
01:04vous ne donnez pas à côté aux voisins ou au village d'à côté.
01:06Allez-vous vraiment faire venir les amis d'à côté, monsieur ?
01:09C'est un principe de bon sens.
01:10Et sur le coup, effectivement, de l'immigration, tous les Français, mais tous les Français,
01:14à part, effectivement, quelques petits gauchistes un petit peu décérébrés,
01:17mais tous les gauchistes qui nous disent que l'immigration est une chance,
01:21ne voient pas que l'immigration, aujourd'hui, est un gouffre financier,
01:25parce qu'elle n'est pas contrôlée.
01:26Et là, encore une fois, ce n'est pas de la responsabilité des immigrés,
01:29c'est de la responsabilité des gens à la tête de l'État,
01:32qui ont fait croire que notre pays était un Eldorado,
01:35qu'il y avait du travail, alors qu'on a près de 6 millions de chômeurs,
01:37qu'il y avait de l'emploi, qu'il y avait des prestations sociales.
01:40Je rappelle que dans notre pays, on a un Français sur trois qui n'a pas à se soigner.
01:43Donc, sur l'aide médicale d'État, on disait, aujourd'hui, on entre dans un hôpital,
01:50on est soigné, c'est faux.
01:51C'est faux, vous avez des Français qui n'arrivent pas à se soigner,
01:54qui renoncent à se soigner.
01:56Dans mon département de Lyon, vous avez des Français qui sont en rupture avec le soin.
02:00D'une, parce qu'il n'y a pas de médecin,
02:01et deux, parce que le reste à charge est beaucoup trop important.
02:05C'est une réalité.
02:06Comment on peut accepter, comment on peut entendre
02:08qu'une personne qui arrive clandestinement dans notre pays
02:12va recevoir la palette de soins, alors qu'on ne peut pas soigner un Français ?
02:15C'est ça, l'injustice.
02:17Donc, encore une fois, c'est une politique de bon sens.
02:19– Attendez, Fabrice, Gabriel, ensuite Fabrice.
02:20– C'est une politique de bon sens,
02:21et aussi de contrôle de nos comptes publics,
02:23qui sont ponctionnés par l'immigration, c'est un fait.
02:26– Parce que j'ai cru entendre une petite attaque contre vous
02:28dans les mots de Julien Audoula à l'instant.
02:29– Pourquoi ? Parce que je suis d'origine italienne, j'ai pas compris.
02:31– Non, non, c'était pas pour ça.
02:32– Je sais pas, j'ai bien compris.
02:34– C'est pas Jordan Bardella qui dirait le contraire.
02:35– Non, bien sûr, donc, M. Switek, c'est tchèque, votre nom de famille ?
02:38– Non, c'est polonais.
02:38– C'est polonais ? Ah bah, ma mère s'appelle Darowski, vous voyez ?
02:41– Et Audoula, c'est arabe.
02:43– Oui, mais que de la nouvelle, qu'on s'entende, M. Audoula.
02:47Dès lors, si vous dites que l'enjeu, c'est de faire de beaux contributeurs
02:50à notre grand pays, vous conviendrez avec moi
02:52qu'on a traversé de belles époques en France
02:57où nous avons construit un pays un peu plus grand, un peu plus grand,
02:59grâce à plein de gens.
03:00On le vient de les nommer.
03:02Italien, polonais, arabe, tout le monde, etc.
03:04– D'accord, d'accord, vous conviendrez avec moi aussi
03:06que l'histoire de votre courant, qui ne s'appelle pas
03:08le Rassemblement Républicain, mais qui s'appelle le Rassemblement National,
03:11est pour une raison, c'est qu'il faut avoir de la mémoire en politique.
03:13Historiquement, le RN, c'est celle qui a dit, pardonnez-moi, je ne fais pas de vulgaire,
03:16le grand mot d'ordre du FN il y a très longtemps, c'était
03:18« La République est une putain ». Pardonnez-moi de vous le dire et de vous le rappeler,
03:20je vous assure, c'était les courants nationalistes et monarchistes
03:23dans les années 40 et 50 qui disaient cela.
03:26Pourquoi ? Parce que historiquement, votre angle, c'est de dire
03:28« La nation plutôt que la République ».
03:30– Mais vous êtes hors-sujet, vous êtes hors-sujet, donc excusez-moi.
03:33– Bon, si vous voulez, là je vous donne une idée, l'hors-sujet,
03:34je vous propose un sujet, vous en proposerez un autre.
03:36– Historiquement, votre courant dit « La nation plutôt que la République ».
03:40Autrement dit, le groupe défini ethniquement par les ancêtres
03:45plutôt que défini au travers de nos idéaux et de notre valeur
03:48et de notre modèle civique.
03:51Et là-dessus, vous êtes en retard sur à peu près tout le monde finalement,
03:54c'est parce que la France, on peut l'aimer,
03:55mais pour ce qu'elle est véritablement, avec qui elle a véritablement son sein,
03:58et pour ses grandes valeurs, aucune, la confusion n'est en vous.
04:01Vous êtes dans un courant qui, historiquement, a défendu l'ethnicité
04:04plutôt que l'idée française.
04:06La France, c'est une très belle idée.
04:08– L'ethnicité, alors que le premier département qui vote Marine Le Pen,
04:12c'est Mayotte, où elle fait 60%,
04:13qui sont des compatriotes de couleur noire et de confession musulmane,
04:16excusez-moi, remballez votre ethnicité.
04:18Moi, je me réfère notamment à une très très belle citation de Jacques Bainville,
04:22qui disait « Le peuple français est un composé,
04:26c'est mieux qu'une race, c'est une nation ».
04:27Alors oui, moi, je suis fier de ma nation.
04:29– Vous avez la mémoire courte.
04:30– Et oui, nous défendons la nation,
04:32et la nation, effectivement, qui doit intégrer
04:34toutes celles et tous ceux qui veulent faire corps
04:37avec notre histoire, notre culture, notre mode de vie.
04:39Nous, nous accueillons tous les pas de l'héritage.
04:41– Je hong-wei, yis-vous.
04:42– C'est beaucoup plus de choses.
04:43Je vous ai dit « J'ai hong-wei, j'ai hong-wei, j'ai hong-wei, j'ai hong-wei. »
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