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  • il y a 3 mois
Déçue après sa rencontre avec Sébastien Lecornu la semaine dernière, l'intersyndicale a appelé à une nouvelle journée de grèves et de manifestations le 2 octobre. Des conséquences sur le quotidien des Français seront donc à prévoir ce jeudi. Face à cela, le journaliste, Guillaume Perrault, estime que «l’Etat est un peu seul et isolé face à la rue».

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Transcription
00:00Oui, il y a peu de Français syndiqués, il y a aussi peu de Français membres d'un parti politique.
00:07C'est-à-dire que tous les corps intermédiaires qui sont censés nous représenter ont en fait peu de racines dans la société française.
00:18Quand vous regardez les partis politiques, c'est très frappant.
00:22Il y a eu une érosion, même en Allemagne et en Angleterre, du nombre d'adhérents.
00:26Le Parti conservateur ou la CDU en Allemagne n'ont plus un million d'adhérents comme ils l'ont eu, ce chiffre.
00:32Nous, on n'a jamais atteint, des grands partis de gouvernement n'ont jamais atteint à population comparable un nombre d'adhérents analogues.
00:40Ça, c'est ma première remarque.
00:41Donc oui, l'État est un peu seul et isolé, sans relais, face à la rue et donc il cherche des interlocuteurs.
00:46Il vaut mieux que ce soit les partis politiques ou les syndicats, quels que soient les très nombreux défauts qu'ils peuvent avoir.
00:54Parce qu'effectivement, la loi conforte un oligopole syndical et n'encourage pas l'émergence de nouveaux syndicats qui seraient certainement très souhaitables.
01:06Où ne vous...
01:07Où ne vous...
01:07Sous-titrage FR ?
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