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  • il y a 2 jours
Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de choc du 29/09/2025.

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Sport
Transcription
00:00On va passer à table et sans grande surprise, Pogacar a encore une fois éclaboussé les championnats du monde de tout son talent hier
00:09en remportant la course en ligne et conserver son titre intouchable, titre de votre journal d'équipe ce matin tant il était au-dessus des autres.
00:16Le slogan intouchable comme tu le dis France, encore une fois j'ai envie de dire un deuxième titre de champion du monde qu'il est allé chercher en solitaire,
00:23tout simplement seul, il a attaqué tous ses concurrents assez tôt voire même très tôt, 104 km de l'arrivée avec son maillot vert ici,
00:30il dépose tous ses concurrents sauf Isaac Del Toro qui s'accroche mais le Mexicain va rendre les armes à 66 km du passage de la ligne,
00:36Pogacar règne encore une fois en maître sur le monde du cyclisme pour la deuxième fois, il réalise le doublé Tour de France mondiaux,
00:42il a encore éteint toute la concurrence et il arrive avec une facilité presque, c'est du cool dessus encore une fois,
00:48donc Pogacar champion du monde.
00:49Insupportable, il est seul au monde.
00:51Attention à la question, ça ne va pas vous plaire, mais a-t-on vécu un moment d'histoire ou d'ennui hier soir ?
00:57Pierre Bouby, je te laisse la parole.
00:58J'ai toujours beaucoup de mal à me dire qu'on parlait de Mando Duplantis la dernière fois où j'étais fatigué de le voir,
01:05mais c'est parce qu'il y a des étapes, là le truc c'est que chaque performance est assez dingue,
01:09donc moi je refuse de voir ça comme de l'ennui, je dis juste que c'est un extraterrestre, qu'il est surhumain
01:15et en fait à partir du moment où c'est une... On a tous fait du vélo.
01:20Non.
01:21Si.
01:21On a tous fait du vélo et on a tous monté des côtes en vélo et la difficulté en fait où on voit qu'il avale avec une facilité assez dingue,
01:31on s'aperçoit que peu importe ce qu'il tente, on s'attend à ce qu'il gagne, mais c'est toujours incroyable à voir.
01:37Moi je suis fasciné.
01:39Si on s'attend à ce qu'il gagne...
01:40Le suspense c'est justement de se dire est-ce qu'il ne va pas lâcher parce que tellement c'est trop ce qu'il fait,
01:44et finalement non, mais moi je refuse de banaliser ça et de mettre ça dans l'ennui, vraiment.
01:49Pardon mais on s'est fait suer hier, excusez-moi, pour ceux qui regardaient la course en entier.
01:53Non mais il ne faut pas aussi, vous êtes marrant.
01:55Tu ne vas pas regarder à la fin.
01:56Camille ?
01:56Non, moi je ne suis pas d'accord non plus parce qu'en fait je pense qu'on est à un moment de l'histoire du cyclisme, de ce sport,
02:01c'est-à-dire qu'il y a eu des années où on s'ennuyait, on attendait, on voyait les coureurs s'observer,
02:08il y avait des tactiques mises en place, on n'attaquait jamais trop, etc.
02:11Et lui en fait, ça fait 2-3 ans qu'il défie les lois du vélo, les lois de la nature,
02:19où il attaque à 80 bornes ou 100 bornes, la prochaine fois ce sera peut-être à 150 bornes,
02:23alors qu'il y a 230 kilomètres de course.
02:25Directuellement de repas d'ailleurs.
02:26Mais non mais en fait moi ce que j'aime c'est qu'il a un plan et il ne le calcule pas.
02:30C'est-à-dire qu'il n'est pas dans la gestion de sa course de dire
02:33« Bon ben non, j'attends les 40 derniers kilomètres pour porter mon attaque là ».
02:36Non, c'est-à-dire qu'en repérage, le garçon qui en plus a été bouffé sur le contrôle amont par Evan Poul
02:42et qui avait un égo où il était bien piqué,
02:45eh bien il a dit « J'ai vu là qu'il fallait attaquer dans le Monkey Gally et je vais attaquer là ».
02:50Et en fait, il répond à tout ce qu'on aime dans le sport.
02:52C'est-à-dire qu'il prend des risques, il attaque sans arrêt, il n'a pas besoin des autres
02:56et voilà, tous ses adversaires, ils sont au tapis.
03:00Donc en fait, c'est juste le plus fort avec la plus belle façon de faire du vélo.
03:05Il attaque tout le temps.
03:06Mais Brahim, le propre du sport, c'est justement d'avoir de l'adversité, d'avoir un combat.
03:10Je ne rapporte pas ça à la boxe, mais il faut qu'il y ait de la concurrence
03:12pour qu'on se passionne et pour qu'on s'émerveille.
03:14Là, il n'y en a pas.
03:15Oui, si, il y en a.
03:16En fait, elle est avec lui-même.
03:18C'est ce qu'il dit, c'est ce qu'elle dit.
03:20C'est ce qui est exceptionnel.
03:23C'est qu'en fait, moi, je rêverais maintenant de voir par quoi il passe dans ses phases d'entraînement
03:27pour avoir ce résultat.
03:30Le cycliste existe depuis tant d'années.
03:33Il arrive encore à moderniser d'une certaine manière, à changer un peu les codes.
03:37Et c'est en fait, c'est ce qui me démontre que c'est un extraterrestre.
03:39Et c'est là où on a envie de le voir encore un peu plus
03:41et de voir ce qu'ils sont capables maintenant des choses de faire.
03:46À eux, maintenant, ou d'avoir une phase de préparation qui est assez similaire à la sienne
03:50ou se remettre en question dans sa manière de travailler.
03:54Ce n'est pas une histoire de mise à niveau.
03:56Tu peux faire ce que tu veux, même quand tu es une équipe et que lui, il est tout seul.
03:59Des fois, il arrive à rappeler tout le Tour de France.
04:01Des fois, il était tout seul alors qu'il n'y avait plus d'équipiers.
04:03Il n'y avait plus personne.
04:03Il y a un mec qui tord tout le monde.
04:05Il y en a qui ont dit que le Tour, c'est fatigant parce qu'il a pris le maillot trop tôt.
04:09Non, en fait, c'était fatigant.
04:10Quand tu avais des périodes qui étaient dominées par Froome ou par Armstrong pendant des années
04:15et où les mecs, en fait, se contentaient de faire une deuxième place, une troisième place.
04:19Et ça restait dans la roue.
04:20Non, mais en fait, ils étaient contents.
04:21Ils finissaient un et deux.
04:22Lui, il n'est pas du tout dans ce calcul-là.
04:24Il a envie de marquer l'histoire de son sport.
04:26Et dès qu'il s'aligne quelque part, c'est pour être champion, pour gagner.
04:29Il ne fait pas semblant.
04:30Vous êtes très bon en vélo, mais j'ai quand même un consultant cyclisme sous la main,
04:33Pierre Roland, qui sera d'ailleurs au commentaire cette semaine des championnats d'Europe sur notre antenne.
04:37Ce sera à partir de mercredi avec Poggy.
04:38Pierre Roland avec Poggy.
04:40Pierre, est-ce que tu t'es ennuyé ou pas devant ta télé hier ?
04:43Dis-nous tout.
04:44Je ne le vois pas.
04:44Il est là ?
04:44Il est à Miami ou pas ?
04:45Ah non, il est là.
04:46Ça y est, on t'entend.
04:46Vas-y.
04:47Bonjour.
04:47Bonjour à tous.
04:49Alors, oui, c'est le plus fort.
04:52Oui, c'est le champion ultime du cyclisme à l'heure actuelle.
04:56Et peut-être que ça sera le grand champion de l'histoire tout court.
05:01Mais oui, on s'est fait profondément...
05:04Suis.
05:05On s'est ennuyé.
05:06Ça n'a pas été...
05:07Voilà, c'est tout.
05:09Mais ce n'est pas de sa faute à Tadej Pogacar.
05:11Tadej Pogacar, moi, je suis son premier supporter.
05:14Comme Renko Evenepoel.
05:15Je les adore parce que c'est des champions ultimes.
05:17Ils veulent tout gagner.
05:18Ils veulent écrire.
05:18Ils veulent écraser.
05:19Et c'est beau, leur façon de tout donner tout le temps, all-in à chaque course.
05:26Mais par contre, là, moi, où je ne suis pas content, c'est les organisateurs.
05:31Pourquoi ils font des courses aussi dures ?
05:34Que ce soit le championnat du monde, les courses à étapes, ou même toutes les courses en général, c'est la surenchère.
05:41Et quand on a des coureurs aussi forts, aussi talentueux, le classement, il est déjà fait à l'avance.
05:49Il est déjà établi.
05:50On le connaît.
05:51Le premier, le deuxième, on le connaissait à l'avance, avant même le départ de la course.
05:56Tellement, cette course était dure.
05:57On rappelle 270 kilomètres, 5100 mètres de dénivelé positif en altitude, à Kigali, 1600 mètres d'altitude, 35 degrés de l'humidité.
06:10Forcément, que les qualités de Pogacar, qu'on n'a plus besoin de démontrer, on fait qu'il a survolé l'épreuve.
06:20Mais c'est comme ça, tout le temps, sur les grands tours, on veut une étape de 250 kilomètres.
06:27Bientôt, ils vont vouloir faire monter les coureurs sur la Lune, tellement c'est la surenchère.
06:33Et heureusement, il y a une course la semaine prochaine, c'est les championnats d'Europe.
06:37Et là, on a un format qui est beaucoup, beaucoup, beaucoup plus intéressant.
06:41Et en plus, on a le retour de Jonas Vingegaard.
06:43On en parlera et on aperçoit le profil des championnats d'Europe à vivre cette semaine sur la chaîne d'équipe.
06:47Il vend bien son produit, même avec le chien derrière.
06:48Pierre Bouby, tu voulais réagir.
06:50Oui, Pierre, par rapport à ce que tu expliques, est-ce que, justement, il n'y a pas une réflexion à avoir sur le fait d'essayer de mettre en difficulté,
06:55par rapport au programme et au style de course ou d'étape, de mettre en difficulté Pogacar et mettre en avant, justement, d'autres coureurs
07:03pour essayer d'avoir une certaine homogénéité dans la course ?
07:07Là, très honnêtement, sur ce type de parcours, en fait, quand c'est très dur, il n'y a rien à faire.
07:12Quand c'est très dur en termes de dénivelé, il n'y a strictement rien à faire.
07:16Voilà. Et pour donner un exemple, il y a une semaine, alors malheureusement, on n'avait plus les droits de ces courses,
07:22mais il y a deux courses au Canada, le Grand Prix de Québec, le Grand Prix de Montréal.
07:27Le Grand Prix de Québec est une course avec des difficultés, mais on va dire correcte, 2500 mètres de dénivelé,
07:35des belles bosses et autres. On a eu une super course. Deux jours plus tard, le Grand Prix de Montréal,
07:39une course beaucoup plus dure. Et bien, on a eu le Pogacar Show avec toute son équipe UAE et on s'est ennuyé.
07:47Donc, il faut arrêter au niveau des organisations de vouloir durcir, durcir, durcir,
07:51parce qu'on va tout le temps avoir le même vainqueur les cinq, six prochaines années.
07:57Donc, toi, tu déplores l'organisation qui doit rendre les profils plus simples pour aider le peloton, finalement.
08:01Greg ?
08:02Moi, Pierre, je voulais revenir...
08:03Pas aider, mais faire en sorte que la course soit plus attractive et qu'il y ait plus de monde dans le final.
08:08Ce n'est pas la peine de faire 270 kilomètres pour dire qu'on fait 270 kilomètres.
08:15Sur ce circuit de Kigali, avec la chaleur, avec ses difficultés, le Mont Kigali,
08:20je suis allé faire deux fois le Tour du Rwanda, je peux vous dire, c'est vraiment très, très difficile.
08:25Peut-être que 220 kilomètres, ça suffisait, que les écarts auraient été plus serrés,
08:30qu'on aurait eu plus de suspense. Le vainqueur aurait été certainement le même,
08:35mais en tout cas, il aurait eu moins cette domination parce que forcément,
08:38au fur et à mesure des kilomètres, de par ses qualités, il prend un incident.
08:42Et on se serait moins ennuyé devant la télé.
08:44Greg ?
08:44Pierre, moi, je voulais revenir avec toi sur les concurrents de Tadej Pogacar
08:47parce qu'il en a parlé une fois qu'il a passé la ligne d'arrivée.
08:49Voici ce qu'il a déclaré.
08:50Quand j'ai attaqué, j'espérais qu'un petit groupe se forme avec Isaac Del Toro et Rwanda Yuzo.
08:54C'était comme dans un rêve de me retrouver avec deux de mes partenaires à l'avent sur cette course,
08:57mais ils ont eu des soucis très vite et donc j'ai dû terminer en solitaire.
09:00Pierre, il n'est pas loin de dire quand même que l'adversité lui manque en ce moment à Pogacar.
09:05Nous aussi.
09:05Ce ne sont même pas les adversaires, c'est ses équipiers tout le reste de l'année.
09:09Donc vous imaginez bien que ce sont des adversaires,
09:13mais on n'est pas au sein de l'équipe,
09:15mais certainement qu'il y a peut-être une petite prime collective aussi,
09:19si c'est un coureur du A.E. qui remporte le titre de champion du monde.
09:24Il faut aussi imaginer tout ça.
09:25On a envie de ramener le maillot à l'écurie.
09:28On a vu un Del Toro attendu un moment par Pogacar,
09:32qui lui a quand même après donné quelques relais.
09:35Donc voilà, ils évoluent sur ce championnat du monde
09:38et la semaine prochaine sur le championnat d'Europe
09:40avec leur maillot de nation,
09:43mais dans un coin de leur tête,
09:45c'est quand même l'équipe de marque qui les paye toute l'année.
09:48Camille.
09:48Oui, Pierre, moi j'avais une question.
09:50Je me rappelle, quand il a fini le Tour de France,
09:52il était presque dépressif en fait, Tadej Pogacar, dépité.
09:56On s'est dit dans quel état il va finir sa fin de saison.
09:59Est-ce que tu penses qu'il peut être lassé de ça,
10:01de trop de victoires ou trop de domination ?
10:05Ou alors il va vouloir vraiment tout écraser ?
10:08Là, on pense au Tour de Lombardie,
10:09qui va arriver après les championnats d'Europe.
10:11Il va avoir envie de s'inscrire vraiment
10:13dans tous les palmarès possibles.
10:15S'il peut être fatigué, ça nous arrangerait.
10:16Il a envie de tout manger.
10:20Il a envie de tout manger.
10:21La question qu'on se posait avec mes amis de l'équipe vélo,
10:25est-ce qu'il va se présenter au championnat d'Europe ?
10:28Il vient d'être champion du monde,
10:29peut-être qu'il a envie de se faire un petit week-end
10:31avec sa copine ou autre,
10:32de profiter un peu de la vie,
10:34parce que ça reste un jeune homme de 27 ans.
10:38Mais il y a Vingegaard qui est là,
10:40et je suis convaincu qu'il a envie de mettre une fessée à Vingegaard,
10:42comme il a mis une fessée à Renko-Venepul cette semaine.
10:45Donc oui, c'est un ogre.
10:46Il a envie de tout gagner.
10:47Il est en pleine forme.
10:48Il ne sait pas combien de temps ça va durer.
10:49Et il a bien raison d'en profiter et d'essayer de tout rafler.
10:52Avec ce résultat, là, Pierre,
10:53est-ce que pour toi, c'est le plus grand cycliste de l'histoire ?
10:56Je sais que c'est en train de se délier les langues.
10:57Est-ce qu'il dépasse Mers ?
10:58Est-ce qu'il dépasse Bernard Hinault avec son palmarès ?
11:01Et cette saison époustouflante, quoi.
11:02Tu le places à ce niveau-là ?
11:05Moi, en tant que jeune coureur, je n'ai pas...
11:08Enfin, jeune, entre guillemets.
11:10Mais on va dire que le grand Merckx, moi, je n'ai pas connu.
11:13Moi, ce que je connais, c'est Pogacar.
11:15J'ai couru avec lui.
11:15Je l'ai vu arriver tout jeune, déjà pétri de talent et d'ambition.
11:20Et puis là, ce qu'il est en train de faire, c'est monstrueux.
11:22On est dans le vélo moderne.
11:23À l'époque, sans faire offense à Merckx,
11:26à l'époque de Merckx, ils évoluaient entre 3-4 nations.
11:28C'était quand même un cercle beaucoup plus restreint.
11:33Là, Pogacar, pour moi, c'est le champion ultime,
11:36sans faire offense à Merckx.
11:37Mais là, ça y est, il l'a déjà détrôné.
11:40Merckx avait gagné Tour de France, Championnat du Monde, la même année.
11:45Pogacar l'a fait, mais d'année en année consécutive.
11:48Donc, il est en train, petit à petit, d'effacer les records,
11:51les uns après les autres, de tous ces champions.
11:53Dernière question rapide, Pierre.
11:55On rappelle cette semaine les championnats d'Europe.
11:56Donc, ça s'enchaîne.
11:57Est-ce qu'il y a un moment où il peut fatiguer ?
12:00Notre ami Pogacar, c'est Thomas Waukler qui en parlait.
12:03Il dit que ce serait bien qu'il soit un peu fatigué
12:04pour laisser une chance aux autres.
12:05Il peut y avoir laissé des plumes ?
12:06À tel point, elle était dure, cette course ?
12:07Ou pas du tout ?
12:09Bien sûr que ça a été dur.
12:10Il a fait très chaud, ça a été très dur.
12:12Il y a des sollicitations aussi à son titre.
12:14Il y a un retour en France à effectuer.
12:16Après, je n'ai aucun doute sur le fait qu'il soit au rendez-vous.
12:20Mais encore une fois, on va avoir une course,
12:21un parcours beaucoup plus intéressant,
12:24beaucoup plus ouvert sur la course en ligne.
12:27200 kilomètres, 3 300 mètres de dénivelé.
12:31On est sur quelque chose de beaucoup plus acceptable
12:33pour la plupart des coureurs.
12:35Il va y avoir plus de spectacles.
12:37C'est une évidence.
12:38Le Rwanda, c'était une course à l'élimination.
12:41C'était une sorte d'Hunger Game.
12:45C'est le dernier qui va rester debout.
12:46Mais là, on va avoir une vraie course avec des attaques,
12:50des mouvements, des stratégies.
12:51Et pour l'équipe de France, notamment,
12:53de Thomas Waukler, adepte des stratégies un peu loufoques,
12:56on devrait avoir quelque chose d'intéressant.
12:58On a hâte de te retrouver au micro.
12:59Ce sera à partir de mercredi.
13:00Bisous au chien.
13:01Comment il s'appelle, le chien qui se grabe derrière toi ?
13:03Il est disparu ?
13:04Belle.
13:05Belle ?
13:05Oh, Belle et Sébastien.
13:07Salut Pierre, au commentaire de ces championnats d'Europe.
13:12Donc, avec la présence de Pogacar, bien sûr.
13:15Et puis, après la pub, on va fêter la victoire
13:17d'une équipe française au championnat du monde d'endurance.
13:19C'était ce week-end.
13:20Alpine a remporté les 6 heures de Fuji
13:22devant une autre équipe française,
13:24Peugeot, doublé tricolore au Japon.
13:26On vous explique tout dans quelques minutes.
13:27A tout de suite.
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