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  • il y a 1 semaine
Reportages :
- mariage de Nathalie Dupin et Dominique Delcroix
- mariage de Brandon Tribout et Céline Leusière
- la MFR fête ses 60 ans
- travaux sur la D643
- brocante moto au centre de pilotage
- des petits graffeurs dans les souterrains
- ball trap
- assemblée générale des donneurs de sang
- commémoration de la bataille du Cateau

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Transcription
00:00Bonjour et bienvenue à tous. J'espère que vous êtes prêts, que vous êtes au taquet.
00:06Merci de nous suivre chaque semaine. En ce qui me concerne, je suis ravie de vous retrouver.
00:12J'ai le privilège de vous présenter le premier journal de la rentrée, non pas scolaire, mais rentrée de Beffroi Vision.
00:19Dans l'actualité de ce journal, nous aurons des paillettes plein les yeux.
00:24Tout d'abord, du romantisme et encore du romantisme, du glamour pour démarrer ce journal.
00:32Nous nous glisserons dans la peau des invités afin d'assister au mariage de Nathalie Dupin et Dominique Delcroix,
00:39puis celui de Brandon Tribout et Céline Lezière.
00:42Nous resterons dans le festif avec la MFR qui fête ses 60 ans.
00:48Eh oui, vous avez bien entendu, 60 ans.
00:51Nous resterons dans le domaine de la jeunesse, si je puis dire.
00:55En effet, la départementale D643 a eu droit à un petit lifting.
01:02Qui dit fun, dit brocante, dans une ambiance chaleureuse et détendue,
01:06avec nos motards du centre de pilotage cathésien.
01:10Nous enfilerons un casque, par mesure de sécurité,
01:13afin de nous rendre dans les souterrains cathésiens.
01:16Nous participerons à un bal-trappe, puis direction l'Assemblée Générale des Donneurs de Sang.
01:23Et enfin, la commémoration de la bataille du catho.
01:26Robe blanche, ok.
01:31Romantise, ok.
01:33Glamour, ok.
01:35Magnifique mariée, ça ne pouvait pas être autrement.
01:39Que vous reconnaîtrez certainement, car elle présente le journal de Beffroi Vision,
01:43votre chaîne préférée.
01:46Tout était là pour célébrer le mariage de Nathalie Dupin et Dominique Delcroix.
01:50Il se sent dit oui, sous les caméras de Beffroi Vision.
01:53Et notre photographe qui gagne à être connu, Clément Fagot.
01:58Reportage.
01:58Sous-titrage Société Radio-Canada
02:06Sous-titrage Société Radio-Canada
02:14Sous-titrage Société Radio-Canada
02:44Dominique Guy Delcroix
02:56Consentez-vous à prendre pour épouse Nathalie Michel-Marilène Dupin ici présente ?
03:04Oui.
03:04Nathalie Michel-Marilène Dupin
03:22Consentez-vous à prendre pour épouse Dominique Guy Delcroix ici présente ?
03:27Oui.
03:28Au nom de la loi, nous vous déclarons unis par le mariage.
03:40Les mariés vont maintenant procéder à l'échange des alliances.
09:28Et oui, c'est qu'elle ne fait pas son âge, dites donc mademoiselle.
09:32La maison familiale et rurale, plus connue sous le diminutif de MFR.
09:38Cette dame dynamique fête ses 60 ans cette année.
09:42Toujours plein de projets en tête.
09:44Une occasion de fêter cette belle longévité en présence des anciens élèves et de nombreux
09:49acteurs du territoire. Mais aussi inaugurer le nouvel amphithéâtre et de finir en beauté
09:55lors d'une soirée festive. Mais, je ne vous en dis pas plus, regardons plutôt le reportage
10:02aux petits oignons de notre équipe.
10:041, 2, 3, bravo !
10:10Alors, 60 ans de cet établissement, comment vous traduisez vos émotions aujourd'hui ?
10:20Effectivement, beaucoup d'émotions parce qu'un projet, c'est toujours compliqué à mener.
10:27Il y a toujours des péripéties de dernière minute, enfin, etc.
10:33On l'a fini ce matin, l'amphi quoi.
10:37Donc, tout le monde a joué le jeu, enfin, comme on l'a cité tout à l'heure, les entreprises, etc.
10:44Et voilà, tout le monde a relevé le défi. On est très satisfaits. Et ce soir, en fait, on fête trois événements.
10:53On fête le 60e anniversaire de la maison familiale. On fête l'inauguration des bâtiments.
11:00Et on vous a présenté notre projet d'entreprise, notre projet pour les 5 ans qui arrivent, jusqu'en 2030.
11:09Alors, donc, cet amphithéâtre peut contenir combien de...
11:13Alors, ici, on a 156 places assises.
11:18Voilà. Donc, c'est un outil qu'on veut modulable, qu'on veut aussi offrir au territoire,
11:25puisqu'on a peu de structures capables d'accueillir 150 personnes avec les outils vidéo,
11:35enfin, les outils modernes qui vont bien pour faire des conférences.
11:38Donc, voilà. Donc, on le met aussi au service des organisations professionnelles,
11:46des associations, pour les entreprises aussi, également, et pour la ville du catho.
11:52D'accord.
11:52Donc, vraiment, les racines et les ailes, c'est le nom de notre projet, les racines du territoire.
12:00Et, bon, c'est un outil aussi pour favoriser la connaissance.
12:03Tout à fait.
12:04À votre avis, qu'est-ce qu'on doit réellement retenir de cet anniversaire ?
12:09Ah, bien, déjà, c'est la participation.
12:11On est surpris parce qu'on attend à peu près 900 personnes.
12:15Donc, on a invité tous les anciens élèves.
12:17Donc, ce que je disais tout à l'heure, c'est grâce aux familles qui nous ont soutenus,
12:20qui ont fait confiance à notre pédagogie et qu'on a pu, au fil des années, se développer.
12:25Mais, qu'est-ce que je retiendrai aussi, c'est que, ben, voilà, à chaque fois qu'on développe un projet, on va jusqu'au bout.
12:34Que ce soit un projet pédagogique, que ce soit un projet d'infrastructure, on le termine et on le rend utile pour tous.
12:42Donc, notre grande satisfaction, ce soir, c'est M. le sous-préfet, M. le directeur de la DRAF, qui nous a fait l'honneur de sa présence.
12:51C'est l'équivalent du rectorat pour l'enseignement agricole.
12:57L'enseignement agricole est géré par le ministère de l'Agriculture.
13:01Donc, ben, qu'est-ce qu'on a parlé aussi de nos partenariats ?
13:05Parce que, en fait, c'est aussi la synergie dans nos partenariats qui nous a permis de se développer de façon exponentielle, en fait.
13:17C'est une belle symbiose.
13:20Lucas l'a expliqué tout à l'heure, Lucas, le directeur de...
13:22Lucas Dolfus, le directeur de l'école de Cascade.
13:24Donc, aujourd'hui, on est corps à cours de projet, parce que vous l'avez entendu, par rapport à son futur développement, ça coince déjà, quoi.
13:36Alors, pour cette rentrée, vous vous entendez recevoir combien d'élèves ?
13:39Alors, aujourd'hui, ben, on est très satisfaits parce qu'on va faire une rentrée exceptionnelle.
13:46On est à plus de 300 élèves.
13:49Donc, on fait plein dans nos formations initiales, puisqu'on a des formations initiales
13:54qui partent de la seconde au bac pro.
13:57Et ensuite, on a explosé aussi notre recrutement en BTS par apprentissage.
14:02BTS, métier de l'élevage, ça s'appelle comme ça maintenant.
14:06Et donc, ça prouve que les maîtres d'apprentissage ressignent.
14:13Donc, s'ils signent, c'est qu'ils sont satisfaits et qu'ils reprennent de nouveaux jeunes.
14:18Ça met les jeunes, ça leur met le pied à l'étrier.
14:20Et puis, ben, je ne vous apprends rien.
14:22C'est l'expérience pratique et la théorie ici, quoi.
14:26D'accord.
14:27Et ils sont tous logés ici, à l'internat ?
14:30Ben, là aussi, ça coince un peu, quoi, parce que...
14:32D'accord.
14:33Bon, après, c'est des adultes.
14:36Mais l'idée de base, c'est de les avoir chez soi, quoi.
14:42Enfin, à la maison, quoi.
14:43Parce que c'est aussi l'ambiance de travail, ça compte, quoi.
14:46D'accord.
14:47Alors, monsieur le sous-préfet, je voulais juste avoir vos impressions sur tout ce qui
14:53vient de se passer ici.
14:54L'AMFR, pour moi, c'est une véritable réussite.
14:5660 ans.
14:5760 ans, il y a des réussites pour le bien-être des élèves qui sont ici, pour le monde agricole.
15:03Et on a la chance que ça fonctionne bien, très bien.
15:07Et que dans les prochaines années, il y aura d'autres activités pour le bien-être du monde rural.
15:14D'accord.
15:16Comme je sais que vous serez toujours présent, on peut dire déjà bravo, puisque vous allez les aider.
15:22Ah, mais là, en tant que sous-préfet, j'aide évidemment tous les projets à forte valeur ajoutée.
15:28Je l'ai dit, sur certains projets, ça prend un peu plus de temps.
15:32Mais on va les aider.
15:33On l'a déjà fait.
15:34Et on continuera.
15:35Et le directeur de la DRAF, qui était présent aujourd'hui, s'y engageait aussi.
15:39C'était un événement quand même chargé de beaucoup d'émotions.
15:4460 ans de vie de la maison familiale rurale, avec des hauts et des bas.
15:49Il y a un peu plus de 30 ans, certains agriculteurs ont même hypothéqué leurs biens pour que la maison familiale rurale continue.
15:58C'est une volonté.
15:59Il ne faut pas oublier que d'abord, la maison familiale s'est appelée pour former des jeunes au monde métier de l'agriculture.
16:05Ça s'est étendu au sport et à l'équitation.
16:09On arrive quand même à plus de 320 jeunes pris en charge sur une formation de 3 ou 4 ans qui est formidable.
16:17Avec aussi des valeurs.
16:18Des valeurs qu'on aimerait bien retrouver dans nos collèges, nos lycées.
16:22De la discipline, de l'internat.
16:24S'occuper du respect des uns et des autres.
16:26Le vivre ensemble.
16:28Mais ce qui est plus important pour moi, vous savez, le plus important, c'est la réussite des jeunes.
16:3392, 95% de jeunes sortent d'ici avec du boulot et de l'emploi.
16:38Ils nous ont présenté un projet pour les 5 ans à venir qui est toujours ambitieux.
16:43Mais celui qui n'a pas d'ambition ne réussit pas.
16:45Qui est mobilisateur de sources de financement, d'énergie envers tous les partenaires.
16:50Même si le contexte est difficile.
16:53C'est quand on vit de projet qu'on réussit.
16:55Celui qui n'a pas de projet peut toujours se plaindre.
16:57Celui qui a des projets a quelque chose à défendre.
16:59Et ce que je voudrais dire, c'est que la MFR avec le campus.
17:04Le campus, il y a 7-8 ans, je n'y croyais pas, le Cascade.
17:08C'est une de mes approches négatives.
17:12Et aujourd'hui, quand je vois le résultat du campus universitaire de Cascade,
17:16c'est le renommée mondial.
17:18On forme des jeunes.
17:18Et on a des projets ici pour les former à l'année.
17:21Donc, on fait venir des jeunes extérieurs qui connaissent le catho.
17:23Et c'est un trésor, cette MFR, ce campus.
17:27Il faut que les gens du catho, ville de 7000 habitants,
17:30voient tous les trésors qu'on a, toutes les valeurs.
17:32Mais derrière, il y a de l'emploi.
17:34Il y a aussi une image qu'on valorise.
17:35Voilà.
17:36Et moi, je suis content du conseil d'administration,
17:39de son président, de son directeur, de tous les membres.
17:41Parce qu'on est complètement tourné vers l'avenir.
17:44En général, on rêve de ça dans les grands pôles urbains,
17:46les mégalopôles.
17:47Ici, une commune rurale qui sort des projets comme ça,
17:50comme beaucoup d'autres.
17:51Et bien, cathésienne, cathésien, ouvrez les yeux.
17:54Et voyez où on va aller.
17:55Et la trajectoire est lancée sur la notion de trésor de la ville du catho.
18:00Alors, c'est pour ça que je veux demander à monsieur le sous-profet de conclure.
18:05Écoutez, pour conclure, merci encore pour votre invitation.
18:08Et c'est vrai que j'ai toujours beaucoup de plaisir à venir au catho Cambresi.
18:12C'est un beau territoire avec des projets innovants.
18:15Et en tant que sous-profet chargé de la ruralité dans le département du Nord,
18:19on a des belles opérations.
18:21Et une belle opération aura lieu le 16 septembre.
18:24Où, justement, on va réunir le monde agricole, les exploiteurs agricoles.
18:28On va réunir des jeunes qui cherchent un emploi dans le monde agricole,
18:33justement, avec des instituts de formation.
18:35Le 16 septembre, agriculture, le champ des possibles.
18:39Donc, je vous invite tous à venir. Merci.
18:41Quelles sont vos impressions, là, tout de suite, maintenant ?
18:43Une immense fierté de voir tout le territoire.
18:45On avait 150 invités.
18:46On en a 650 qui nous ont rejoints.
18:48On va être quasiment 900 avec les cascadeurs aussi qui nous ont rejoints.
18:52Voilà, on se devait de faire ça pour tous les anciens qui ont travaillé,
18:55qui ont connu des temps plus durs.
18:57Et quand on est en pleine réussite, il faut savoir la fêter, déjà.
19:00Savoir reconnaître de qui ça vient.
19:02Ça vient surtout d'eux, de bénévoles.
19:04Parce qu'en limite, moi, je suis salarié.
19:05C'est mon travail.
19:06Mais eux, ils le font à titre bénévole.
19:07Et comme je l'ai dit tout à l'heure, c'est souvent des embêtements qu'ils récoltent.
19:11Et les lauriers, c'est souvent le directeur.
19:12Donc là, je vous mettais un point d'honneur à valoriser nos administrateurs
19:16et tout leur travail ces dernières années.
19:18Bon, il faut dire quand même que c'est une réussite, là.
19:20Là, c'est une pleine réussite.
19:21Des entrepreneurs, déjà, qui ont travaillé avec excellence.
19:24Notre architecte.
19:25Et surtout, le travail d'une équipe qui vous reçoit ce soir
19:30et qui a préparé toute l'appréhension de ce projet.
19:32Voilà, maintenant, ce sera à nous de faire vivre ça dans le futur.
19:34Alors, qu'est-ce que vous dites ?
19:37Il y a tous ceux qui ont construit cette réussite ici.
19:39Alors, je leur dis bravo, déjà.
19:42Je leur dis qu'ils ont des bonnes équipes.
19:45Il faut qu'ils continuent comme ça.
19:46Il faut les encadrer.
19:48On a des savoir-faire dans les territoires qu'il faut valoriser.
19:51Moi, ce que je souhaite, c'est de continuer les projets.
19:52Vous le savez, j'ai un internat.
19:53Il me manque ça.
19:55Mais avec Lucas, on est en train de lever des fonds.
19:57On va essayer d'avoir l'argent qu'il nous fout pour faire cet internat.
19:59Vous avez vu, le préfet est engagé.
20:00Le député est engagé.
20:01Monsieur le maire, je n'en parle même pas parce qu'il est toujours à fond sur tous les projets.
20:05Et dès qu'il peut ramener un projet sur son territoire, et il a raison.
20:08Nous, on le fait aussi pour les gens du Cato qui soient fiers de leur ville.
20:11On a plein de choses à faire valoir.
20:13On a un super territoire.
20:14On a toujours du soleil quand vous venez.
20:15Voilà, on ne parlera pas de la plus tout à l'heure, mais là, il y a un super soleil pour l'instant.
20:19Et puis, c'est toujours un plaisir de vous recevoir à vous, parce que vous êtes aussi un moyen de communication pour nous sur la ville.
20:25Parce que souvent, on est méconnus par nos voisins.
20:27Et moi, ce que je veux m'adresser au Catoisien, on a une ville qui est dynamique.
20:31Et il faut être fier, voilà, tout simplement.
20:33Le 29 juillet, vous n'avez pas pu passer à côté.
21:04La D643 s'est refait une seconde jeunesse.
21:07En effet, 2,5 km de bitume a fait peau neuve.
21:11Où ça ?
21:12Entre le carrefour du Pendu et le giratoire des Quatre-Veaux.
21:1726 000 m2 d'enduit superficiel pour renforcer la chaussée.
21:22Le département du Nord a ainsi engagé 203 000 euros pour améliorer l'adhérence et la sécurité des usagers.
21:30Reportage.
21:33Au Cato-Cambrésie, l'été se déroule au rythme des travaux sur la D643.
21:49Depuis le 29 juillet, les engins s'activent entre le carrefour du Pendu et le giratoire des Quatre-Veaux.
21:562,5 km de route en pleine rénovation dans le cadre du programme départemental d'amélioration du réseau routier.
22:02L'opération consiste à appliquer un enduit superficiel de roulement sur plus de 26 000 m2 de chaussée.
22:18Plusieurs couches sont prévues pour renforcer l'adhérence et prolonger sa durée de vie.
22:22Sur ce tronçon très fréquenté, les signes de vieillissement étaient bien visibles.
22:42Le département du Nord a donc engagé 203 075 euros pour remettre la chaussée à niveau et garantir la sécurité des automobilistes.
22:50Avec plus de 4500 km de route à entretenir, le département poursuit ses investissements pour un réseau plus sûr, plus moderne au service de tous les usagers.
23:01Maintenant, cap sur une école de pilotage familiale.
23:31Crééée en 2002, qui forme des enfants dès 6 ans jusqu'à des pilotes internationaux.
23:38En juillet, les organisateurs proposaient une brocante moto, l'occasion de dénicher à petit prix des accessoires et pièces concernant les deux roues,
23:48et également de voir ce que propose cette structure.
23:52Reportage
24:01Nous sommes ici. Est-ce qu'on peut nous expliquer qu'est-ce qu'on fait ici, exactement ?
24:11Alors, on est une école de pilotage créée depuis 2002, où on forme des jeunes à partir de l'âge de 6 ans jusqu'à l'adulte,
24:19du débutant jusqu'à des pilotes confirmés qui font le championnat de France ou le championnat du monde,
24:22qu'on encadre toute l'année et on peut s'initier juste pour une heure à la moto.
24:29Et alors, depuis que vous avez commencé, est-ce que vous avez des gens qui se sont hissés plus haut dans la France ?
24:37Oui. Alors, le meilleur pilote que nous avons formé, c'est Dylan Ferrandis, qui a été vice-champion du monde et trois fois champion des Etats-Unis.
24:45Donc, c'est vraiment la référence. Et qui a été plusieurs fois champion des nations avec l'équipe de France.
24:51Après, on a mon neveu, Jérémy, le fils de David, qui est vice-champion du monde et troisième et dernière et cinquième cette année du championnat de France des Sables,
24:59spécialisé dans les courses de sable comme l'enduro du Touquet. Et puis après, beaucoup de jeunes qui sont partis des meilleurs de la région.
25:04D'accord. Alors là, nous venons de voir des exercices-là. D'où viennent tous ces gens-là ?
25:11Donc, on a nos amis belges qui viennent parce qu'eux n'ont pas de structure comme nous en Belgique, avec des éducateurs et des personnes de toute la région,
25:21voire Normandie, région parisienne, qui viennent prendre des cours de moto.
25:25Et comment vous organisez ces trucs-là ? Vous les organisez par mois, par semaine ? Comment vous le faites ?
25:30Alors là, aujourd'hui, c'est une journée club où ce sont tous nos clients de tout âge pour passer une journée conviviale avec tous nos clubs.
25:37Et on organise aussi une brocante moto pour les gens qui veulent acheter des vêtements à moindre coût.
25:42Et après, tous les samedis, nous avons des cours individuels le samedi matin, donc pour les gens qui veulent s'initier,
25:47et des cours collectifs où c'est des gens qui font ça régulièrement pour se perfectionner dans le mot de cross.
25:52Quel est l'âge de vos plus jeunes pilotes ici ?
25:56Alors, 5 ans. 5 ans, la plus jeune doit être 5 ans. Une catésienne qui doit être Morgane, qui a 5 ans.
26:04Et tout se passe très bien ?
26:05Oui, elle a débuté il y a à peu près un mois et demi et elle se débrouille déjà très bien.
26:10Oui ?
26:10Oui.
26:11Bon, alors, maintenant, si vous voulez que les gens viennent ici, que les catésiens viennent ici, essayez de lancer un appel ?
26:17Pour les gens de la région, du catésie, s'ils veulent s'initier au motocross, il n'y a qu'une école, c'est la nôtre.
26:23On est labellisé FFM, niveau or, le niveau le plus haut, le seul de la région.
26:27Et on est les seuls à pouvoir encadrer et initier les gens à la moto.
26:31D'accord. Voilà, on va passer à...
26:34Michel, c'est une école exceptionnelle que nous avons et nous devons la préserver.
26:40Non, elle a été exceptionnelle de par les gens qui la gèrent.
26:44Elle est exceptionnelle parce qu'elle est très, très rare au niveau des Hauts-de-France.
26:51Nouvellement, labellisée or au niveau de l'école de pilotage.
26:55Et c'est pour ça que la ville a décidé de s'investir un petit peu et d'aider cette association nouvelle
27:02en leur octroyant une subvention pour qu'ils puissent éventuellement encore avoir les moyens supplémentaires
27:09de former des gamins, si on peut dire vraiment, des enfants à l'école de conduite, du sport mécanique.
27:17Bon, alors, puisque nous sommes ici, un petit message aux cathésiens pendant que nous sommes là.
27:24Ceux qui veulent s'initier ?
27:25Il faut venir déjà voir un petit peu comment les frères, la famille Hockier travaille.
27:34Il faut voir un petit peu...
27:36Il faut avoir déjà une envie de pratiquer le sport mécanique.
27:42Ça, ce n'est pas dû à tous les enfants.
27:45Mais au moins, leur donner la possibilité de s'initier.
27:47Je pense que Christophe Hockier est capable de prêter le matériel.
27:53Il n'est pas question de commencer d'acheter une moto, de transporter une moto.
27:58D'avoir la possibilité de pouvoir déjà mettre en avant un enfant qui est passionné de moto,
28:08avec sa petite moto qu'on achète en général quand on est gamin.
28:12Et puis, de se mettre, de le mettre sur une vraie moto en l'apprenant.
28:18Au début, il n'y a pas question de passer les vitesses, c'est de l'accélération, c'est du machin.
28:22Mais je pense que Christophe n'est plus capable que moi de nous expliquer comment on fait déjà,
28:28comment on pratique sur un enfant qui n'a jamais pratiqué le motocross, la moto.
28:34Le sport, c'est une pratique qu'un enfant veut faire.
28:38Si le papa est déjà influencé par ce sport, il va l'aider.
28:45Et si le gamin s'y prend, il faut continuer jusqu'à temps qu'il en ait marre.
28:51Il ne faut pas pousser un enfant à faire ce qu'il n'a pas envie de faire.
28:55Merci Michel.
28:56Alors, je passe à vous.
28:58Comment vous est venue l'idée de...
28:59Alors, c'est mon frère qui l'a créé en 2002, après sa carrière de crossman semi-pro,
29:05après sa carrière sable, après la victoire de l'enduro de Touquet en 97.
29:09Et il a voulu passer sa passion, délivrer sa passion aux autres.
29:13Et il a créé l'école.
29:14Et moi, je l'ai repris en 2009, l'école.
29:19Et puis, on travaille en famille.
29:20Maintenant, Jérémy est diplômé depuis deux ans également.
29:24Donc, nous sommes trois éducateurs sur l'école.
29:27Moi, je suis plus spécialisé sur les jeunes.
29:30David, plus sur les grands.
29:32Jérémy, il nous aide occasionnellement,
29:33parce qu'il est toujours en plein milieu de sa carrière
29:35et sa préparation pour les courses de sable.
29:38Voilà.
29:38Et puis, après, nous travaillons également aussi avec les centres sociaux,
29:42les centres de loisirs qui viennent s'initier au quad.
29:45Là, c'est pendant toutes les vacances, juillet et août.
29:49Voilà.
29:49Et puis, depuis...
29:51Maintenant, ça fait 23 ans que l'école existe,
29:54en espérant qu'elle perdure, après, avec Jérémy,
29:56pour de nombreuses années.
29:58Voilà.
29:59Et puis, je tenais aussi à remercier le monsieur le maire
30:01et puis la municipalité de nous aider,
30:03de nous allouer une subvention qui est très sympathique
30:05et qui nous soutienne depuis de nombreuses années.
30:09Ça, c'est très agréable d'avoir une mairie qui nous suit.
30:12Ça, c'est très bien.
30:13Parce qu'on sait très bien que la moto ne plaît pas à tout le monde,
30:16mais c'est une mairie qui nous suit.
30:18Et je pense que les gens aiment la moto.
30:19En général, on voit avec l'enduro de Touquet,
30:21qui est la course de la région la plus grande au monde.
30:25Et donc, la moto a un gain, une passion.
30:29C'est un sport très physique qui attire les gens.
30:32Et combien de temps il faut faire pour avoir son diplôme d'éducateur dans ce truc ?
30:36Alors, il y a différents niveaux.
30:37Il y a le CQP, comme moi et Jérémy.
30:40Il faut un an d'études.
30:42Et après, c'est le BE, comme David, ou maintenant le DE.
30:45Et c'est à peu près deux ans.
30:47Et qu'est-ce qu'on apprend dedans ?
30:48Il y a tout.
30:49Il y a la pédagogie, la morphologie humaine,
30:51apprendre à transmettre sa passion,
30:54ce qui n'est pas donné à tout le monde.
30:55Il faut aimer les gens, il faut aimer communiquer.
30:58Donc, on apprend.
30:59Et après, les positions,
31:01comment expliquer les choses à un enfant, à un adulte,
31:04ce qui n'est pas forcément la même chose.
31:05Donc, on apprend tout ça,
31:06apprendre à encadrer les jeunes et moins jeunes.
31:10Est-ce que vous avez un service de communication ici ?
31:13C'est moi et puis un peu Jérémy,
31:15qui gère un peu le Facebook.
31:16Là, on est en train de recréer un nouveau site Internet.
31:19Et puis après, on a nos clients qui communiquent sur notre école,
31:24sur leurs enfants, avec le lien de l'école.
31:26Donc, mais c'est notre Facebook qui est le Hockey HMX.
31:30Et comment vous voyez cette entreprise-là dans 10 ans, vous ?
31:34J'espère qu'elle sera toujours là.
31:36Peut-être avec des motos électriques d'ici là.
31:37Si les motos électriques perdent, évoluent et se fiabilisent.
31:44Donc, je pense que dans 10 ans, je pense qu'elle sera toujours là.
31:47Mais sur le circuit, vous avez déjà des motos électriques ou pas ?
31:51Oui, là, on en a deux motos électriques.
31:53Donc, je pense que ça va se développer dans les années à venir.
31:55Bon, d'accord.
31:57Alors, qu'est-ce qu'on doit vous souhaiter à vous ?
31:59Une bonne continuation ?
32:00Ben, nous vous souhaitons une très bonne continuation.
32:03Et puis, surtout, si vous avez besoin qu'on vous fasse un peu de la pub,
32:08passez à Befroid Vision.
32:10Ça sera avec plaisir.
32:11Voilà.
32:11Merci à vous.
32:12Merci.
32:12Je m'appelle Lionel Sarrault et puis je suis le papa des deux enfants qui font de la moto.
32:24Léo a commencé à 6 ans, donc ça va faire 5 ans maintenant.
32:27Il y a rose sa première année.
32:30Alors, comment ça se passe pour celle qui fait la première année ?
32:33Ben, aujourd'hui, elle a fait son premier challenge et puis elle s'est bien débrouillée.
32:37On était contents d'elle.
32:39Techniquement, c'était propre et puis elle a mis du gaz, donc on était contents.
32:42Il n'y a pas eu de chute, il n'y a pas de blessé déjà, ça devient bien.
32:45Donc, on est contents pour elle.
32:46Ah ouais.
32:47Ça se passe bien.
32:47Alors, papa dit que tu fais ça depuis un certain moment.
32:51Depuis combien de temps tu l'es ?
32:535 ans.
32:54Alors, il ne t'est jamais arrivé des bricoles ?
32:57Si, quand même.
32:58Ah, quand même ?
32:59Alors, c'est quoi comme bricole qu'ils sont arrivés ?
33:01J'ai serré combien de fois ?
33:05Non, mais ça a quelques chutes, une blessure au niveau du poignet.
33:08Ouais, et je me suis cassé le radius.
33:12Ça a été réparé ?
33:13Ouais.
33:14C'est toi-même qui a réparé le radius ?
33:16Non.
33:16Non, c'est qui ?
33:18On va aller voir le médecin, le kiné, l'ostéo.
33:20D'accord.
33:21Enfin, c'est tout un programme, quoi.
33:22Dans la moto, comme on sollicite tous les muscles et tous les os, on va dire, on est obligé d'être suivi par les médecins, les ostéos, un peu de tout, quoi.
33:32Bon, qu'est-ce que tu comptes faire de ton expérience ici ? Tu comptes continuer, je ne sais pas ?
33:37Euh... Je veux être le meilleur pilote du monde.
33:42D'accord.
33:42Après, il faudra le budget, mais sinon, j'espère.
33:48Mais tu sais qu'il faut travailler longtemps, non ?
33:49Ouais.
33:50Ouais ? Mais tu es prêt pour travailler longtemps ?
33:52Ouais.
33:53Ouais, d'accord.
33:54Alors, la petite dernière, qu'est-ce qu'elle pense ?
33:58Elle est rose.
33:59Alors, tu as essayé aujourd'hui, qu'est-ce que ça a donné ?
34:02T'as bien aimé les courses ?
34:03Oui.
34:04Oui, c'était bien ?
34:04Ouais, c'était bien ?
34:05Oui.
34:06T'as roulé avec tes copines, en plus, aujourd'hui ?
34:08Oui.
34:09Alors, tu vas continuer ?
34:10Oui.
34:11Ah bon, d'accord.
34:12Écoute, on te souhaite bonne chance, hein ?
34:13Hein ?
34:15On te souhaite bonne chance.
34:17Merci.
34:17Très bien.
34:19Alors, c'est vous qui les avez initiés ?
34:21Euh, oui.
34:22Bah, Léo, quand il était petit, on l'a amené ici à faire une initiation.
34:25Et puis, il m'a dit, papa, je veux faire de la moto.
34:27Donc, bah, on s'est lancé.
34:28Ah bah, ça a été mordu, donc il est là.
34:30C'est ça, puis une fois qu'il est dedans, il est dedans.
34:31Et puis après, bah, la petite qui a suivi, elle est sur les terrains tout le temps.
34:34Donc, bah, on a enchaîné les deux, quoi.
34:36D'accord.
34:38Vous-même, vous faites quoi dans le lot ?
34:40Moi, à la base, je faisais du foot quand j'étais plus jeune.
34:42Ah d'accord.
34:42Mais j'ai toujours aimé la moto, j'ai toujours été un peu dedans.
34:45Mais, euh, c'était plus dur avec maman.
34:48Maman était pas trop décidée pour la moto, mais, euh, on a fait un test et puis ça a marché.
34:52Donc, bah, après, on y est allé.
34:53Et puis maintenant, maman le suit.
34:55Bon.
34:55Bon, maman n'a pas pu dire non à ses petits-enfants.
34:58C'est ça, maman, elle suit, elle est beaucoup derrière nous, heureusement d'ailleurs.
35:01D'accord, ok.
35:03Bon, écoutez, les enfants, on vous souhaite une bonne chance et surtout bonne continuation.
35:07Alors, on peut se dire rendez-vous dans 10 ans, c'est bon ?
35:11Merci.
35:11Et oui.
35:12Ouais.
35:13Voilà.
35:14Toi aussi, rendez-vous dans 10 ans ?
35:15Merci.
35:16Voilà.
35:17J'espère que vous n'avez pas peur du noir.
35:33Nous allons éteindre la lumière et entrer dans les souterrains du gâteau.
35:37Empreintes gravées pour l'éternité, graffiti, non.
35:42Les souterrains du gâteau vous relatent l'histoire de ceux qui ont pénétré.
35:46Allez savoir, peut-être même que nos hommes préhistoriques sont passés par là.
35:51Une façon inédite de découvrir ces souterrains.
35:55Et si à leur tour, les jeunes venaient laisser une trace de leur passage ?
35:59Christine Caron, guide conférencière, nous explique le but de cette exploration.
36:05Reportage.
36:07Aujourd'hui, dans les souterrains, on avait un atelier graffiti pour les enfants.
36:11Donc, une petite visite qui ciblait vraiment les graffitis des parois.
36:16Donc, ce n'est pas une visite traditionnelle comme on offre le 1er et le 3e samedi.
36:20Là, on est vraiment axé sur ce qu'on peut voir sur les murs.
36:23Parce qu'après, les enfants avaient une pièce d'argile et ils devaient reproduire leur propre graffiti.
36:28À un public spécial, aujourd'hui, j'ai eu la surprise de voir qu'on avait des Norvégiens.
36:33Donc, évidemment, j'ai étoffé un petit peu plus la visite.
36:35Parce que ça fait toujours plaisir d'avoir des vrais touristes ici au gâteau.
36:40Donc, on avait une petite catésienne qui voulait faire la visite l'année dernière.
36:43Mais elle était encore trop jeune.
36:45Donc, cette année, elle s'est précipitée sur l'atelier.
36:47Et voilà, on a eu la surprise de voir des petits Norvégiens arriver pour cette visite.
36:52Alors, sur l'argile, c'était leur bon plaisir.
36:55Donc, soit refaire un petit dessin, soit faire une petite gravure du genre de ce qu'on voit dans les souterrains.
37:01Donc, soit leur nom avec une date.
37:03Donc, c'est beaucoup ce qu'ils ont fait.
37:05Marquer leur prénom avec la date 2025.
37:08Au passage, je vais faire un petit clin d'œil à M. Langrand.
37:11Désolé pour M. de Zévalos parce que nos Norvégiens ont vu un viking.
37:14Voilà, c'était mon petit clin d'œil.
37:17Et sinon, la petite fille qui a dessiné des fleurs, des petits cœurs.
37:23Voilà, donc chacun avait sa propre petite sensation par rapport à ce qu'il voulait laisser comme trace sur son argile.
37:29Bonjour, je m'appelle Adam.
37:32Alors, Adam, qu'est-ce que tu veux retenir de cette visite des souterrains et de ton travail sur l'argile ?
37:39C'était très amusant.
37:46C'était très amusant et intéressant.
37:50Et cool.
37:53Bonjour, Dimitri.
37:56Eh bien, c'était très intéressant de visiter les souterrains.
38:00On ne s'imagine pas tout ce qu'il y a en dessous de nos villes.
38:04Donc, à recommander et à visiter.
38:07Merci.
38:07Et puis, donc, j'ai appris que vous venez d'un peu loin.
38:11Oui, on vient de Trodheim, Norvège.
38:13Donc, 3000 kilomètres au nord.
38:15Qu'est-ce qui vous a amené ici, comme ça ?
38:17Visite de la famille.
38:21Poules !
38:22Poules !
38:24Ah ben, c'est à côté !
38:25Bon, ben, j'imagine qu'ils savent mieux viser que moi, les membres de la société de jazz Santubert.
38:30Ils étaient présents lors d'un baltrap situé à la sortie du cateau.
38:33Madame Ludivine Villette, l'organisatrice de cet événement, nous en dit plus.
38:39Reportage.
38:40Alors, bonjour à tous.
38:42Ludivine Villette, secrétaire de la société de chasse de le cateau.
38:47Donc, on a repris la société de chasse en décembre 2018, si je ne me trompe.
38:54Donc, on a recommencé les baltrapes en juillet 2019.
38:58Et donc, depuis 2019, on organise chaque année notre baltrap traditionnelle,
39:04donc sur la commune de Le Cateau-Cambrésil.
39:08On essaye maintenant de mettre une date fixe, généralement troisième week-end de juillet,
39:13pour dire de ne pas empiéter sur les autres baltrapes.
39:16Et bon, je trouve que ça tourne plutôt pas mal.
39:18C'est une bonne date, c'est une date qui convient à tout le monde.
39:21Alors, on espère accueillir un peu plus de monde qu'actuellement.
39:25Mais bon, ça ne va pas tarder.
39:27Les gens vont arriver, je suppose que voilà.
39:29Alors, plusieurs méthodes de tir, pas forcément la méthode,
39:32mais plusieurs types de séries, on va dire.
39:35Alors, on a des séries lots, on a des séries entraînements.
39:37Donc, séries lots, les personnes tirent cinq plateaux.
39:40Enfin, voilà, ils sont sept tireurs.
39:41Ils tirent sur cinq plateaux chacun leur tour.
39:44Et en fait, le premier de la série obtient un bond d'une valeur de 8 euros.
39:49ou alors, il peut choisir des petits cadeaux qu'on a mis à disposition
39:53dernière notre stand, en fait.
39:56Et le deuxième a un bon ticket pour une boisson.
39:59On a ensuite des séries entraînements.
40:01Donc là, chaque tireur peut tirer dix plateaux.
40:03Ce n'est pas noté.
40:04Enfin, voilà, ça, c'est du simple entraînement.
40:07Enfin, voilà, entre copains, on va dire, de l'amusement, on va dire.
40:10Voilà.
40:10Alors, on tire donc de la fosse.
40:12Vous avez deux fosses.
40:14Une fosse ici et une fosse là.
40:15Donc, celle-ci est un peu plus compliquée.
40:17C'est là où, généralement, on fait tirer les concours
40:20parce qu'on organise aussi des concours
40:22où là, on a besoin de tireurs à guéris, on va dire.
40:26Et ensuite, donc, on a un chariot.
40:29Donc ça, c'est très prisé.
40:30Généralement, le chariot est très prisé.
40:32C'est un peu plus facile, on va dire, de tirer au chariot.
40:35Donc, cette année, on a innové un petit peu.
40:38On a mis deux lanceurs au niveau du chariot.
40:40Donc, un devant le chariot et un sur les ballots, là, en hauteur.
40:45Donc, il y a possibilité de faire un espèce de petit parcours chasse, en fait,
40:48avec des lancers doubles.
40:49Pour, pareil, des tireurs qui sont un peu plus, voilà,
40:52qui veulent un peu plus de défis, on va dire.
40:55Alors, au niveau des fusils.
40:57Donc, fusils de balle-trappe.
40:59Généralement, pour les tireurs de balle-trappe,
41:00ils sont munis de fusils de balle-trappe.
41:03Et sinon, pour les personnes qui chassent, les chasseurs,
41:06on peut tirer aussi avec du calibre 12, du calibre 16, du calibre 20.
41:11Et cartouche, donc, par contre, en plomb,
41:13on est sur du 28 grammes, surtout, voilà, sécurité.
41:18Donc, tout ça, en fait, on a à disposition.
41:20De la cartouche en vente.
41:22Bon, chaque chasseur et chaque tireur vient avec son fusil,
41:24bien évidemment, on ne prête pas de fusil.
41:26Ils sont titulaires du permis de chasse ou d'une licence de tir.
41:29Ça, toujours dans le respect des normes et de la réglementation,
41:31bien sûr, bien évidemment.
41:33Alors, on est, on va dépasser cette année les 20,
41:37on n'est pas loin des 23 chasseurs.
41:39On va être 23 chasseurs sur la commune de Locato.
41:41On a un territoire quand même assez vaste, assez étroit,
41:45qui, enfin voilà, qui est un peu en deux territoires.
41:48On va dire ici, sur le territoire des Essars.
41:51Et ensuite, on a un territoire qui est séparé par la commune de Locato,
41:53on va dire un petit peu par le centre,
41:55qui se situe sur Fémy.
41:58Donc, voilà, 23 chasseurs, il me semble, pour cette année septembre.
42:03Enfin, donc, la chasse troisième week-end de septembre pour l'ouverture.
42:07Donc, chasse aux petits gibiers, principalement.
42:09Lièvre, perdrix grises.
42:11Et ensuite, des petits lâchers, voilà, entre nous, entre sociétaires,
42:16de faisans et de perdrix rouges aussi.
42:20On a également aussi des attributions de bagues à chevreuil,
42:24donc sur un triennal.
42:25Donc, on a deux attributions par an de bagues à chevreuil, voilà.
42:29Olivier Lécaud, président de l'Association des donneurs de sang du Cato,
42:36a présidé l'Assemblée Générale.
42:39Il nous rappelle l'importance de donner son sang.
42:42Un geste civique, un acte de générosité et de solidarité.
42:46Reportage.
42:48Ce qui nous donne un total de dépenses de 4 395,03.
42:54Au 31 décembre 2024, il nous restait 5 160,12 euros.
43:00Ce qui serait parti de la version suivante,
43:02au crédit agricole 2362,53, le compte livré 2760...
43:09Alors, donc, aujourd'hui, c'était l'Assemblée Générale des donneurs de sang.
43:13Donc, comme je le disais en aparté, c'est vrai que c'est une Assemblée Générale
43:17qui s'est faite tard dans la saison.
43:20C'était l'Assemblée Générale de l'activité 2024.
43:24Donc, elle s'est faite tard pour des raisons personnelles, professionnelles, on va dire.
43:29Mais bon, il vaut mieux tard que jamais, comme on dit toujours.
43:32Donc, nous avons parlé du bilan moral, du bilan financier et des questions diverses.
43:39Donc, question bilan moral.
43:41Donc, malheureusement, nous avons été obligés de parler de la forte baisse des dons.
43:47Nous avons perdu en pourcentage 8,5%.
43:51C'est-à-dire que nous avons eu 361 donneurs contre 392 en 2023.
43:59Donc, malheureusement, ça baisse de plus en plus.
44:01Sachant que les accidents de la route et les blessés et les besoins en sang, eux, ne baissent pas.
44:10Donc, c'est vrai qu'il y a toujours des campagnes publicitaires qui incitent à donner leur sang.
44:17Donc, ce n'est pas des campagnes publicitaires dans le vent.
44:20C'est vraiment parce que le sang manque.
44:23Donc, j'insiste fortement pour quand vous voyez une collecte, que ce soit sur le catho.
44:30Je vais même faire de la pub pour les amicales environnantes.
44:33Bousy, Caudry, etc.
44:36N'hésitez pas, si vous ne pouvez pas venir au catho, aller chez les voisins.
44:40Nous ne sommes pas en compétition.
44:42Loin de là, nous travaillons tous pour la même cause, c'est-à-dire le don du sang.
44:46Donc, sinon, mis à part les collectes, nous avons parlé également de tout ce que nous avons organisé.
44:51C'est-à-dire le voyage, l'agriculture, notre matinée sportive qui, d'année en année,
44:58remporte de plus en plus de succès.
45:01Les rencontres des cerfs volants.
45:02Après, nous avons parlé également des contraintes que nous ne faisons plus de brocantes.
45:10Beaucoup de personnes, justement, nous posent la question
45:12pourquoi vous ne faites plus de brocantes au quartier Matisse.
45:16Donc, bon, déjà, certes, c'est sûr qu'il y a le temps qui fait qu'un manque de temps,
45:21un manque de préparation.
45:22Mais aussi, surtout, les contraintes, que ce soit au niveau de la sous-préfecture,
45:29c'est tellement contraignant.
45:33Maintenant, il faut des véhicules, de barrages par rapport à Vigipirate, tout ça.
45:38C'est pour ça, donc, en gros, c'est pour ça que nous ne faisons plus de brocantes.
45:42J'insiste là-dessus, mais trop de contraintes.
45:44Nous aimerions, c'est que, justement, les...
45:47Je sais très bien que ce n'est pas évident,
45:50mais pourquoi pas que les chefs d'entreprise
45:52essayent de donner un peu de temps, on va dire, à leurs employés.
45:59On ne demande pas de leur dire, vous avez votre demi-journée pour donner.
46:04Mais ne serait-ce qu'aller trois quarts d'heure, une heure, pour donner son sang,
46:08ça pourrait être bien, quoi, parce que je ne le souhaite à personne.
46:13Mais malheureusement, un de vos salariés peut avoir un accident de travail
46:18et peut avoir besoin de sang.
46:21Donc, justement, commencez à jouer le jeu, faire le bon geste,
46:27et dites à votre employé, allez donner votre sang, ça peut sauver des vies, quoi.
46:33Que ce soit notre entourage, comme je dis, n'importe qui peut avoir besoin de sang, demain, quoi.
46:41Et donc, aujourd'hui, vous respectez aussi notre tradition de votation générale,
46:44c'est de les remises de diplômes.
46:46Oui, nous avons également remis les diplômes.
46:48Donc, les diplômes de niveau...
46:51Là où nous avions des niveaux 3, c'est-à-dire à partir de 25 dons,
46:57des niveaux 4, donc c'était 45 dons pour les femmes,
47:01et 75 dons pour les hommes.
47:05Donc, nous avions quelques diplômés.
47:07Et nous avions également fini par la distribution des petits cadeaux pour les reconnaissances.
47:16Donc, quand je dis reconnaissance, c'est-à-dire les personnes,
47:19enfin les donneurs qui ont atteint la limite d'âge,
47:21c'est-à-dire la veille du 71e anniversaire.
47:27Donc là, par contre, à partir de 71 ans, on ne peut plus donner son sang.
47:32Donc, entre guillemets, c'est pour les remercier de leur fidélité,
47:35que ce soit pour, j'ai envie de dire, entre guillemets, leur carrière de donneur, quoi.
47:41Donc, j'ai bien compris, c'est de 18 à 70 ans.
47:45Donc, c'est à partir de 18 ans jusqu'au dernier jour des 70 ans.
47:49Alors, donc, maintenant, je vous laisse nous réexpliquer un petit peu la prochaine date de collecte.
47:56Donc, la prochaine date de collecte, ça sera le mardi 2 septembre.
48:01Donc, toujours les mêmes horaires, de 10h à 12h30 et de 14h à 18h.
48:06Donc, c'est toujours à la salle, j'envrais à le catho.
48:12Donc, il faut compter, allez, en gros, ça va vous prendre,
48:16allez, on va arrondir à trois quarts d'heure de votre temps.
48:18Le temps de vous inscrire, passer au médecin qui vous pose quelques questions,
48:25le don, plus la collation qui est importante après le don,
48:29ça va vous prendre un maximum trois quarts d'heure, quoi.
48:32Eh bien, merci beaucoup.
48:33La bataille du catho a eu lieu le 26 août 1914,
48:38au cours de la retraite menée par les troupes britanniques et françaises,
48:42à la suite des batailles de Mons et Charleroi.
48:45Elle oppose les troupes du deuxième corps d'armée britannique
48:48aux troupes de la première armée allemande.
48:51En grande infériorité numérique et matérielle,
48:54les troupes britanniques bloquent pendant 12 heures
48:57l'avancée de la première armée allemande au prix de lourdes pertes.
49:01Un devoir de mémoire afin de rappeler l'importance de transmettre l'histoire
49:06et de ne pas oublier tous ces soldats courageux qui ont laissé leur vie.
49:12Reportage
49:1226 août 2025, commémoration du 111e anniversaire de la bataille du catho en Brésil.
49:22Le 26 août 1914 est le jour de la première bataille livrée en France par le corps expéditionnaire britannique.
49:30Nous voici réunis autour du monument anglais pour commémorer l'anniversaire de la bataille du catho
49:36qui eut lieu il y a 111 ans, le 26 août 1914.
49:40Merci à tous d'être présents.
49:42Il importe aujourd'hui comme hier que nous accomplissions le devoir de mémoire
49:45pour honorer le souvenir de ces héros, nos héros,
49:48qui varent défendre la liberté de notre pays.
49:50On peut dire aujourd'hui que nous sommes entrés dans le devoir d'histoire tant les années ont passé.
49:54Il y a une phrase d'André Malraux que j'apprécie beaucoup et que je cite assez souvent dans mes discours.
50:00Le plus beau tombeau des morts, c'est la mémoire des vivants.
50:04C'est une phrase qu'il a dite quand il était ministre des Affaires culturelles du général de Gaulle dans les années 60.
50:09Et je pense que si on est tous là ce soir, ce 26 août,
50:12pour fêter, commémorer, rappeler le 111e anniversaire de la bataille du catho en Brésil,
50:16je pense que c'est la plus belle façon de rendre hommage.
50:18Vous en parlez, 80 000 soldats, 8 000 soldats, pardon,
50:22mais aux 702 000 soldats du corps ex-fictionnaire britannique Eddie Cornwalls
50:26qui sont morts durant la Première Guerre mondiale.
50:29C'est de porter cette mémoire.
50:30Et plutôt que de devoir de mémoire, je parlerais plutôt d'espoir de mémoire.
50:34On essaie justement, au sein de la Commission, de ne plus parler de devoir de mémoire.
50:38Parce que le devoir c'est une contrainte, c'est quelque chose de négatif.
50:41Ce qu'on essaie de porter, c'est au contraire le flambeau de la mémoire,
50:44de tourner vers le futur.
50:45Et vous savez que notre organisation gère en France 3 000 cimetières,
50:48du Commonwealth, 6 pays, 23 000 dans le monde,
50:52pour commémorer les plus de 1,7 million de soldats
50:55qui sont morts du Commonwealth durant les deux guerres, deux guerres mondiales.
50:58Ce monument, ce mémorial, qui nous réunit chaque 26 août, nous oblige.
51:05Il nous fait obligation de nous poser cette question première
51:09qui contient toutes les autres.
51:11Sommes-nous décidés à être les défenseurs de notre terre de France
51:15et de notre devise républicaine
51:18à nos frontières et d'une certaine manière au-delà.
51:23Là où un agresseur veut opprimer, veut asservir
51:26un peuple européen libre de son destin.
51:29Face à l'envahisseur, nous sommes ici au cœur même,
51:35vous venez de l'entendre par mes précédents intervenants,
51:41au cœur même d'une terrible bataille, un choc de titans.
51:44Je voulais vous lire quelques lignes d'un poème de Wilfred Owen,
51:50qui certes n'était pas présent en 1914,
51:53mais qui s'est illustré dans notre région en 1918.
51:56C'est tout à fait un hommage aux soldats britanniques
52:01qui sont morts ici.
52:02Quel glas pour ceux qui tombent comme des bêtes,
52:07que la furie monstrueuse des canons,
52:10que le bref crépitement des fusils bègue,
52:14bredouillant de rapides oraisons,
52:17ni prière, ni cloche, plus de comédie,
52:21ni sanglots dans la voix,
52:23sinon les cœurs démons,
52:26les cœurs stridents des obus géniaires,
52:28et les clérons qui les appellent de pays désolants.
52:33Je vais vous le dire au nom de la vie de Ducatou,
52:34je voudrais tous vous remercier pour votre présence,
52:37qui marque l'importance de cette date,
52:39l'importance du sacrifice de tous ces jeunes
52:42qui sont venus sur notre terre,
52:45certainement sans la connaître,
52:46ou probablement sans savoir où ils allaient mettre les pieds.
52:50Tout ça pour mourir.
52:51Mourir pour notre liberté,
52:54notre présence encore aujourd'hui,
52:57parce que s'ils se sont battus,
52:59s'ils sont morts,
53:01s'ils ont souffert,
53:03c'est pour que justement nous puissions vivre encore en 2025
53:07à l'Occatou-Cambresie et en France,
53:09et je l'espère pour encore très très longtemps,
53:11en paix.
53:13Dans la rubrique Nouvelles Brèves maintenant,
53:16à l'occasion des festivités de la Saint-Mathieu,
53:18la fête foraine s'installera dans votre ville
53:21du 19 au 28 septembre,
53:24la foire millénaire aura lieu le samedi 20 septembre,
53:27et le défilé folklorique le dimanche 28 septembre.
53:32Voilà pour les nouvelles brèves.
53:35Voilà, votre journal est terminé.
53:38Je vous quitte avec regret,
53:39mais à l'bubac.
53:42Vous pouvez nous retrouver tous les jours de cette semaine,
53:45lors de nos multiples rediffusions,
53:47et sur le net bien évidemment.
53:49Si vous avez aimé ce journal,
53:51ou les commentaires de la présentatrice un peu déjantée,
53:55alors n'hésitez pas à nous écrire un petit commentaire,
53:58courtois, poli,
53:59sur notre page Facebook.
54:00Merci de nous avoir suivis et à bientôt !
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