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  • il y a 16 heures

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Voyages
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00:30Chers amis de Beffrovision, on vous reçoit aujourd'hui à Rojet-de-Beaulieu, cette petite commune qui n'est pas loin du catho.
00:47On ne la connaît pas assez, donc Madame Noirmain, bonjour, merci de nous accueillir.
00:53Vous êtes maire de Rojet-de-Beaulieu depuis mars 2008, mais vous avez commencé bien plus tôt.
00:59Donc j'ai démarré, j'ai été élue conseillère municipale en 1983 et j'étais la première femme élue au conseil municipal de Rojet-de-Beaulieu.
01:10Et ensuite, j'ai fait des mandats d'adjointe à partir de 1989.
01:15Donc Rojet-de-Beaulieu, vous le connaissez bien ?
01:18Oui, après il y a toujours à apprendre, mais voilà, oui, je pense que je connais notamment les habitants et un peu aussi l'histoire de Rojet-de-Beaulieu.
01:27Il y a combien d'habitants à ce jour ?
01:29Donc 234 habitants. Par contre, on a refait le recensement ici. Le recensement a eu lieu cette année, en 2025, et les premiers résultats donnent une augmentation significative du nombre d'habitants.
01:45Et ça, ça montre une dynamique qui se met en place, qui est due par la vente ou l'achat de petites fermettes par des jeunes.
01:58Donc il y a vraiment un rajeunissement de la population.
02:01Donc école qui va fonctionner, etc.
02:02Voilà, donc l'école, une école, c'est le seul lieu de vie du village, qui comprend trois classes, donc de la maternelle au CM2, et avec 38 élèves.
02:16C'est pas mal.
02:16Donc oui, on est fiers de notre école, et puis c'est aussi dans la politique du conseil municipal d'être très attentif au maintien de notre école.
02:28C'est normal.
02:28Alors, c'est situé sur les bords du canal de la Sambre-Aloise, on va en parler de la Sambre, aux confins du Cambrésil et de la Tirache.
02:37Le territoire, il s'étend entre Catillon-sur-Sambre, qu'on connaît, et le département de l'Aisne.
02:42Alors, on a des belles armoiries.
02:44Alors, les armes de Roger de Beaulieu se blasonnent ainsi, de Sinople à une tour d'argent chargée de sa porte d'un huché d'or.
02:52Cécile vous le montre.
02:53Alors, le nom jeté des habitants de Roger-Beaulieu est les lompiers. Pourquoi ?
02:59Alors, les lompiers voudraient dire que lorsqu'il fallait mesurer des terrains, à l'époque, eh bien, les habitants avaient des lompiers.
03:08D'accord.
03:09Et donc, c'est resté ?
03:11Et c'est resté.
03:12On les appelle encore comme ça ?
03:14Bon, je ne sais pas si les jeunes aujourd'hui ont encore connaissance de cela, mais bon, c'est vrai que tout autour, les villages environnants, il y avait aussi chacun à son petit...
03:26Je ne sais pas, à Ors, je ne sais pas comment, mais Pomeroy, c'est les coucous, Basuel, c'est les endormis, Roger de Beaulieu, c'est les lompiers.
03:34Donc, voilà, ça a retracé un peu le comportement de l'époque, quoi, des habitants.
03:43Alors, la Sambre, c'est une rivière franco-belge.
03:46C'est important de parler de cet affluent de la Meuse qui mesure 190 kilomètres de long.
03:51La section, elle débute à l'Andrecy et donc elle se termine à Roger de Beaulieu après avoir traversé cinq communes.
03:59On a beaucoup de soucis avec la Sambre.
04:00Enfin, ce n'est pas des soucis, mais on s'en occupe quand même pas mal.
04:03Déjà, au départ, le canal a été construit en 1800, ouvert en 1839, je pense à peu près les dates, c'est cela,
04:13qui était exclusivement, effectivement, qui servait à relier la Belgique au bassin parisien.
04:20Avec des péniches ?
04:21Des péniches, type fréciné, donc c'est des petits gabarits, forcément, et qui transportaient du charbon.
04:27Donc ça, ça a vécu un certain temps, on va dire, jusque peut-être dans les années 70, peut-être, 75 encore.
04:37Puis après, il y a toute l'évolution du commerce.
04:40Et puis, c'est ajouté des soucis, je pense, d'entretien du canal, dont deux ponts qui menaçaient de s'effondrer.
04:53Donc le canal a dû fermer à la navigation pour des raisons de sécurité, donc en 2006.
05:00Et il a seul... Alors, après, il a fallu trouver les financements.
05:04Ça n'a pas été une petite affaire, parce que ça concerne deux régions.
05:09Ça concernait, voilà, deux régions.
05:11Bon, maintenant, c'est la région Hauts-de-France, mais à l'époque, Nord-Pas-de-Calais, Picardie, enfin...
05:16Et donc, bon, les financements ont été trouvés.
05:20Et puis, donc, ça a réouvert seulement en 2020, je pense, à peu près.
05:27Et là, c'est essentiellement, mais déjà auparavant, c'était de la navigation de plaisance, quoi.
05:33Et il passait environ entre 600 et 700 bateaux de plaisance par an,
05:39surtout des Belges, des Hollandais qui descendaient, effectivement, qui descendent sur Paris.
05:44Mais ici, ça a du mal à reprendre, parce qu'il y a eu l'effet confinement.
05:50Il y a aussi, maintenant, les... Comment dire ? Le coût de l'énergie, enfin...
05:55Bon, et ça reprend tout doucement, quoi.
05:57Et là, par contre, il y a une association qui s'est créée, réussir notre cambre.
06:04Heureusement qu'elle était là pour mettre en avant le canal avec tous ses avantages,
06:10même s'il y a des limites, mais bon.
06:12Et puis, ici, on sent maintenant que les communautés,
06:17parce qu'il a été demandé une participation aussi aux communautés de communes
06:22ou communautés d'agglos qui sont traversées par le canal.
06:26Donc là, il y a aussi un aspect financier derrière qui n'est pas évident non plus.
06:31Après, quand on voit le résultat, bon, mais là, aujourd'hui, c'est un petit peu compliqué, quoi.
06:36En sachant que les voies navigables ont du mal, aussi, comme l'État, c'est l'État, voilà,
06:41à faire face aux événements actuels, quoi.
06:46Donc, bon.
06:47Mais il y a du passage.
06:49Bon, mais l'an dernier, il devait y avoir à peu près 400 bateaux, quoi.
06:52Donc, on espère que cette année...
06:54Que ça va monter un petit peu.
06:55Oui, voilà.
06:55Et puis, quand il fait beau, aussi, ça...
06:58Voilà.
06:59Et donc, l'Andrecy a fait une base.
07:02Après, il y a autour de Maubeuge, aussi.
07:05Bon, Ors, vous avez...
07:08Je ne sais pas.
07:09Bon, il n'y a rien.
07:10Cation, ils doivent avoir, peut-être, de l'amarrage.
07:13Et nous, aussi.
07:14Mais bon, après, voilà.
07:15Il n'y a pas de projet précis à l'heure d'aujourd'hui.
07:21Alors, Roger de Beaulieu, finalement, c'est un village qui est très récent.
07:26Alors, Roger de Beaulieu, oui, c'est un village récent qui a vu le jour, enfin, qui a vu le jour, oui, par la promulgation de la loi du 23 juin 1896.
07:39Donc, Roger de Beaulieu, c'est la fusion de quatre hameaux, qui sont la Louvière, le Roger de Beaulieu, la Lorette et le petit Cambrésie, qui appartenaient, donc, à Catillon-sur-Cambre.
07:53Et donc, quels sont vos rapports avec Catillon ?
07:56Oh, ben, ça se passe très bien.
07:57Alors, nous avons fêté notre indépendance, le centenaire de notre indépendance, donc, en 1996.
08:04Et ça, on l'a fait avec joie.
08:06Et donc, avec Catillon-sissi, on travaille ensemble.
08:11Donc, il n'y a pas que Catillon, avec Basuel, avec Ors, avec Lagroise.
08:17Ou, ben, oui, sur plusieurs points, parce qu'aujourd'hui, on voit que l'avenir de nos communes se passe aussi au travers d'une solidarité entre nous, quoi.
08:28On va parler un petit peu de la guerre, parce que, finalement, Roger de Beaulieu, comme beaucoup, Mazinguien, avec le maquis, etc., vous avez connu beaucoup de soucis.
08:39Alors, oui, puisqu'on est des lieux de passage, ici.
08:43Donc, voilà.
08:45À chaque fois, il y a forcément des épreuves, des combats.
08:51Donc, on a été marqués par la guerre 14-18, où là, notamment en 1918, le 4 novembre, une des dernières batailles, de toute manière, avec l'offensive des Britanniques.
09:05Le canal servait de frontière, les Allemands d'un côté, les Britanniques de l'autre.
09:11Et puis, ben, ils ont franchi le canal.
09:14Et puis, c'est là que, c'est pareil, on a fêté aussi en 2018, le centenaire, du 4 novembre.
09:23Parce que là, ben, des soldats, forcément, de nombreux soldats sont tombés ce jour-là, des Britanniques, mais aussi des Australiens.
09:32Je pense que les trois derniers soldats australiens morts sur le territoire français sont enterrés, ici, dans le cimetière.
09:42Et le colonel Johnson a reçu la Victoria Cross à l'occasion de cette bataille, qui est la plus haute distinction en Angleterre, quoi.
09:53Et en 1940, mai 1940, pareil, une offensive importante.
09:56Voilà, avec une résistance, alors là, de, comment dire, des tirailleurs marocains, où plus de 30 sont tombés, aussi, ici.
10:09Particulièrement au Petit-Cambrésie, et puis, à la limite, Petit-Cambrésie ou Asie, quoi.
10:15Alors, quels sont les monuments importants que l'on peut observer, ici, sur Roger de Beaulieu ?
10:20Alors, il y a l'église, donc, l'église qui, l'origine, l'église a été construite avant l'indépendance de Roger de Beaulieu, en 1875, à peu près, quoi.
10:34Qui a été démolie en 1914-1918, qui a été reconstruite, et il y a eu une grande inauguration en 1929.
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12:07Ensuite, nous avons la salle des fêtes.
12:28Donc, la salle des fêtes, qui a été construite en 1951, exactement,
12:35qui est la sœur jumelle de la salle des fêtes de Mazinguin, puisque l'initiative est identique.
12:43C'est l'abbé de l'époque, qui était l'abbé Mouton, qui a su réunir tous les habitants autour de lui pour construire la salle.
12:52Donc, il y avait les agriculteurs qui ont transporté les matériaux, les maçons qui ont posé les briques.
13:00Enfin, donc, c'est une très belle réussite, et nous, on est très fiers de notre salle des fêtes.
13:06Et donc, en fait, la salle des fêtes, pour vous dire, après c'est encore des chiffres, 50 000 briques ont été posées en 20 jours de temps.
13:16C'est énorme.
13:18Donc, voilà, ça veut dire...
13:20Voilà, c'est ça.
13:22C'est bien, et puis de réunir autour d'un projet.
13:24Donc, il y a une association qui s'était créée aussi, qui était l'Union des familles, pour porter ce projet en lien, forcément, avec la commune.
13:32Et puis, donc, ça a été l'occasion de refaire la Saint-Hubert, puisque la...
13:38Alors, la chapelle Saint-Hubert.
13:39Voilà, donc la chapelle Saint-Hubert, qui est notre seule...
13:43Enfin, on appelle chapelle, je pense que c'est plus un oratoire, puisque c'est pas très grand, en pierre bleue.
13:48C'est la seule du village, qui est dédiée donc à Saint-Hubert, qui est le patron du village, quoi.
13:55Donc, pareil, il y a toute une histoire derrière.
13:59Elle aurait été érigée en 1734.
14:02Voilà, oui.
14:03Alors, par Henri Dubois, qui se serait fait mordre par un chien mordu à sang, c'est ce qui est noté sur la chapelle.
14:12Et puis, il a invoqué Saint-Hubert, il est guéri, et il avait fait vœux qu'il allait ériger une chapelle, quoi.
14:21Donc, voilà, en remerciement.
14:24Alors, on a également une écluse.
14:26Alors, l'écluse du bois de l'abbaye, elle, qui se trouve, c'est un bief de partage, donc entre le nord et l'Aisne, donc avec deux gestions différentes, qui est Berlémont dans le nord, pour les voies navigables, Berlémont et Saint-Quentin.
14:41Donc, ça complique un petit peu les choses ?
14:43Tout à fait.
14:44On est vraiment là, en bordure.
14:46Et oui, bon, après, voilà.
14:49Avec, de part et d'autre, des bassins d'alimentation du canal, qui est vraiment une particularité aussi d'ici, avec des cabanons de pêche.
15:01Donc, au départ, les bassins d'alimentation servaient de réservoirs pour le canal. Aujourd'hui, ça n'est plus ça. La vocation est tournée vers la pêche, quoi. Donc, c'est la fédération de pêche qui gère cela avec une association, l'association du bois de l'abbaye.
15:21Vous avez une maison éclusière également ?
15:23La maison éclusière, qui est fermée déjà depuis quelques années. Il y a eu un lancement de projet qui a été fait par les voies navigables. Il y avait des jeunes qui s'étaient positionnés avec vraiment un projet très intéressant.
15:41Mais c'est pareil, est arrivé après le confinement. Donc, eux, leur vie a changé aussi, à ces jeunes. Et puis, voilà, quoi. Enfin, bon, aujourd'hui, la maison éclusière est fermée.
15:56Et on ne connaît pas le devenir. Nous, communes, on ne peut pas porter seules. Bon, il avait été évoqué avec la communauté d'agglos. Bon, aujourd'hui, voilà, c'est resté.
16:08Et je dois dire aussi que les voies navigables ont un peu leur part de responsabilité. Parce qu'une désaffectation devait être réalisée pour pouvoir, après, lancer le projet, quoi, vraiment.
16:22Et puis, ça n'a jamais abouti, quoi. Donc, voilà, quoi. Donc, oui.
16:29Personnalité importante de la commune. Il y a une femme qui est bien connue.
16:33Donc, en fait, Olympe Démarré, qui est née à Roger de Beaulieu, mais bon, quand on faisait encore partie de Cathy, on met sur le hameau de Roger de Beaulieu.
16:45Et donc, qui a fait ses études primaires ici, à l'école du village.
16:50Et puis, ensuite, elle est allée à Douai, l'école normale des instituteurs. Donc, elle est devenue institutrice.
17:01Et donc, là, elle a, comment dire, elle a été nommée l'école de Gravelines, je pense, et puis Dunkerque.
17:11Et puis, ensuite, elle s'est réorientée, parce qu'à l'époque, les femmes ne pouvaient pas plaider.
17:19Elles ont seulement pu plaider à partir de 1900.
17:22Donc, elle a repris des études après, et pour subvenir à ses besoins, elle a travaillé dans un cabinet d'avocats,
17:30qui était tenu par Charles Valentin, qui était un politicien important, là-bas, sur Dunkerque.
17:35Et elle a plaidé pour la première fois, donc, en 1914.
17:42De février 1994.
17:44Voilà, tout à fait.
17:46Mais après sa vie d'avocate, elle l'a plus consacrée à son conjoint, enfin, voilà, son patron, parce que son directeur.
17:57Et puis après, qui est devenue son conjoint, quoi.
17:59Et puis, bon, sa vie, après, elle l'a consacrée, puisque lui est décédé en 1939.
18:09Et puis, après, elle est revenue à Roger de Beaulieu, où elle s'est occupée, puisque Dunkerque était sous les feux des Allemands, enfin, des bombes.
18:19Et donc, elle s'est occupée des petits réfugiés, et donc, il y a 17 enfants qui sont arrivés ici, à Roger de Beaulieu, qui ont été placés dans des familles pendant le temps de la guerre.
18:32Et ensuite, elle est repartie sur Dunkerque, et puis, elle est décédée en 1964.
18:37Alors, c'est important de dire que c'est la première avocate du Nord.
18:40Voilà. Oui, ça, c'est important. Oui, oui, tout à fait. Même si elle n'a pas plaidé beaucoup, mais voilà.
18:46Je pense que ça a marqué, ça marque forcément, la vie.
18:52Et elle a été élue aussi au Conseil municipal de Dunkerque, parce que les femmes ont eu le droit de vote qu'en 1944.
19:01Et donc, elle a été élue, elle, première femme au Conseil municipal de Dunkerque en 1945.
19:08Et elle a été élue jusqu'en 1953. Je pense qu'elle est restée.
19:12Concernant les publications, je vois un beau livre de Gourgou, la rougette Beaulieu, qui a été édité par Jean-Louis Bouvard.
19:18Ça, c'est fait à quelle époque ?
19:20En 1998, après, justement, quand on a fait le centenaire de notre indépendance, où on avait déjà fait, enfin, M. Bouvard avait fait une exposition rappelant l'histoire.
19:32Et suite à cela, avec les éléments recueillis, ben voilà, et les habitants du village qui ont accepté de donner tout ce dont ils avaient, au niveau carte postale, éléments écrits.
19:46Et puis aussi la mémoire encore orale, voilà.
19:51Et donc, ben tout ça, ça a été regroupé.
19:53Et on est très fiers aussi d'avoir une mémoire écrite maintenant.
19:57Parce que toutes les personnes qui ont vécu l'origine de Rochette Beaulieu ne sont plus là de ce jour.
20:04Et ça permet de transmettre, effectivement, l'histoire du village.
20:08Il est toujours disponible à Rochette Beaulieu ?
20:09Il y en a encore, oui.
20:12Important.
20:13Voilà.
20:13Voilà.
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28:28Le territoire de Roger de Beaulieu, c'est 635 hectares et c'est vrai que nous avons six sièges d'exploitation à Roger de Beaulieu, oui, essentiellement tournés sur la polyculture et l'élevage.
28:41Et puis, ce sont des jeunes sur les six, oui, il y a peut-être quand même quatre qui ont moins de 50 ans, quoi, chefs d'exploitation.
28:52Autrement, les gens qui sont venus habiter à Roger de Beaulieu, ils exercent quelle profession ?
28:57Alors, c'est très diversifié et par contre, là où ils travaillent, c'est quand même relativement éloigné.
29:07Alors, certains, la majorité sur Le Cato, ensuite Le Nouvion, Valenciennes, Vervain, Saint-Quentin, Frénois-le-Grand, donc voilà.
29:21Et là, on a des jeunes qui sont arrivés et qui font le choix, eux, de venir à Roger de Beaulieu pour, dans un premier temps, c'est pas forcément la distance par rapport à leur lieu de travail.
29:33Ils font le choix du village, c'est un beau village, du cadre de vie, du calme.
29:39Eh bien, écoutez, je crois qu'on a tout dit sur Roger de Beaulieu.
29:45Si les gens qui nous regardent veulent venir, eh bien, je crois qu'ils seront toujours les bienvenus.
29:51Et puis, merci de nous avoir accueillis. À bientôt.
29:53Merci à vous. À bientôt.
29:55Sous-titrage Société Radio-Canada
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