Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • 04/07/2025

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:0016h-18h, Pascal Praud sur Europe 1
00:03Il a été très sage depuis 16h, c'est notre ami Florent Ballaraco.
00:12C'est l'année de ma naissance, c'est le tube de l'été de l'année de ma naissance, je crois, 89.
00:15Et Florent vous a reçu déjà plusieurs fois parce que vous avez écrit les 50 tubes de l'histoire en France, bien sûr.
00:22Oui, les 50 tubes qu'on a choisis.
00:24Ce qui ont le mieux marché en France, c'est Tomber la chemise, Born to be alive, la Maracana.
00:30La Macarena, la Maracana, la Maracana, la Macarena, je crois qu'il y a dit Born to be à l'oeil.
00:42Mais Born to be alive, ce n'est pas un tube de l'été.
00:44Bah si, ça a commencé l'été.
00:46C'est un tube de l'été, oui.
00:47C'est une histoire incroyable parce qu'elle a été enregistrée dans une première version rock et ça ne marchait pas du tout.
00:52Et donc c'est le producteur de Patrick Hernandez qui a dit que tu devrais l'enregistrer en disco parce que c'est une petite mode qui monte.
00:58Un belge.
00:59Et lui, il était rockeur, Patrick Hernandez, il ne voulait pas.
01:02Mais on l'a coup entendu ça.
01:04Ça marche toujours.
01:07Alors vous allez dans un mariage, une soirée, vous mettez cette chanson, tout le monde dans ça.
01:10Il m'a dit Patrick qu'il gagnait 1000 balles par jour encore aujourd'hui grâce à cette chanson.
01:14C'est quand même énorme.
01:16Alors ça, c'est un sujet tabou, l'histoire des droits de terre.
01:21La SACEM, c'est un sujet tabou, Didier.
01:23Parce qu'il ne publie pas.
01:25Oui, mais vous, vous avez écrit combien de chansons ?
01:292000 ou 2500.
01:31Mais il y a des chansons par exemple qui vous rapportent, qui vous permettraient...
01:33Est-ce qu'il y a une chanson qui vous permettrait de vivre s'il n'y en avait qu'une ?
01:37Sous les sunlights d'être...
01:38S'il n'y a que celle-là, vous pouvez vivre toute l'année ?
01:41Oui.
01:42Ah, c'est bien quand même.
01:44Une chanson qui vit toute l'année.
01:45Et il y en a 2000.
01:46Pour dire la vérité, c'est telle.
01:49Il peut redistribuer quelques milliers.
01:50C'est fini, c'est terminé les rapports des chansons, c'est fini.
01:54Florent, il y a quelque chose qui a disparu, c'est le slow de l'été.
01:57Le slow de l'été a disparu.
01:59Quelle musée.
01:59C'était...
02:01Parce que déjà, on sort chacun dans une discothèque, il y a beaucoup plus de rythme.
02:09On préfère aujourd'hui le rythme que la lenteur.
02:11Or, un slow, c'est quand même incroyable.
02:13Mais je pense qu'avec la génération MeToo, on ne pourrait plus inviter une fille.
02:17Parce que ne cessez pas...
02:17Il a raison.
02:20Je pense qu'aujourd'hui, ça serait compliqué.
02:23C'est parce que, si on veut dire la vérité, dans ces endroits-là que j'ai fréquentés pendant 40 ans,
02:29c'est la drogue qui a remplacé la sensualité et les rencontres.
02:33Il n'y a pas...
02:34Il y a encore plein de places de village partout en France,
02:38où il y a les espèces de balles du 14 juillet.
02:40Et il y a les slow, les gars, il y a les slow en fin de journée.
02:43C'est l'ecstasy qui a pris le relais sur...
02:46Enfin, c'est l'entendé.
02:48Moi, je vous parle des clubs, madame, ma petite dame, je ne vous parle pas des balles du 14 juillet.
02:53Non, mais je crois que c'est vrai que c'est valable à Paris.
02:56Il n'y a plus le quart d'heure américain.
02:58C'est centairement, il y a plein d'endroits où ça existe encore.
03:01À Paris, il a raison, ça cumule de drogue.
03:04Le quart d'heure américain, c'était des filles qui invitaient les garçons.
03:08Pourquoi ? C'était affreux.
03:09Parce que pour vous, vous ne faisiez pas les malins.
03:11D'ailleurs, c'était le seul moment de la soirée où vous arrêtiez un petit peu de vous la raconter,
03:14parce que sinon, ça y allait tranquille.
03:16Je ne sais pas, les garçons, vous avez raconté,
03:18mais il y avait des gens normaux quand même à 15-16 ans qui sont gentils, délicats.
03:20Dans les soirées, quand même, vous aviez le pouvoir, entre guillemets,
03:24et oui, et surtout d'inviter machine à danser ou bidule.
03:27Donc là, les rôles s'inversaient, et on était un peu...
03:30C'était nous qui étions un peu en possession de ça.
03:31Moi, j'aime bien les slows, donc on a entendu, évidemment,
03:35l'été indien qui est le slow des...
03:37Ah, le sud.
03:39Aussi, aussi, un truc de...
03:40Ça, c'est un chef-d'oeuvre.
03:42C'est exceptionnel, parce qu'il y a ce qu'il dit dans le micro,
03:45et puis il y a tout ce qu'il vous dit, mais pas dans le micro.
03:46Oui, sûrement.
03:48C'était formidable, Nino Ferrer.
03:49C'est vraiment regretté qu'on ne retienne de sa carrière que cette chanson,
03:52parce qu'il a fait des chansons extraordinaires.
03:54Et il regrettait qu'on ne retienne que le sud,
03:57mais c'est un tube inflaquable.
03:58Elle est gigantesque, celle-là.
04:00Moi, j'aime beaucoup...
04:01S'il y a des mots...
04:02J'aime bien le début de cette chanson.
04:05S'il y a des mots...
04:06Qui t'ont fait pleurer, mon ange ?
04:07Parce que c'est un...
04:09Il est tout seul, s'il y a des mots, il n'y a pas de...
04:11Il n'y a pas de confestration.
04:12Tout à fait.
04:13Et c'est là, c'est...
04:14Il y a un piano, il y a un piano.
04:15Non.
04:15Au début, non.
04:16Non.
04:16Non.
04:17S'il y a des mots qui t'ont fait pleurer, mon ange,
04:20et d'autres qui t'ont révolté...
04:21C'est la chanson de la réconciliation.
04:23S'il y a des idées...
04:24Des idées...
04:26Quelquefois...
04:27Quelquefois...
04:28Qui dérange...
04:30Ça, c'est bien, mon ange.
04:31Oui, c'est la chanson de la réconciliation,
04:33puisque c'est la première chanson après l'album La Vieille,
04:37où il y avait J'accuse, Je suis pour, etc.
04:40Et où il y avait...
04:41Où Michel Sardou avait eu beaucoup, beaucoup de polémiques,
04:44ses concerts avaient été menacés, etc.
04:46Et il ressort sur cette chanson.
04:48C'est très juste.
04:49Tout revient à zéro.
04:50Et je reviens sur des chansons d'amour.
04:52Bon, moi, il y a un autre tube que j'adore en slow,
04:54c'est Un été de porcelaine.
04:55Je ne sais pas si vous l'avez mis.
04:57Non, je ne l'ai pas mis, non.
04:57Mais alors, j'adore ce...
04:59D'abord, c'était un très joli film,
05:00L'hôtel de la plage.
05:02C'est vraiment un film de vacances.
05:03C'était un film comme on en faisait à l'époque.
05:05C'est un film de Michel Lang.
05:06Avec Guy Marchand.
05:07Avec Guy Marchand, avec Daniel Seccaldi.
05:10Il y a des vieux acteurs dedans.
05:12Il y a des vieux acteurs du français.
05:13C'était merveilleusement bien joué, d'ailleurs.
05:15Et je crois que c'est un des premiers films d'Anne Parillot.
05:19Il y a Sophie Barzac.
05:20Barzac.
05:21Barzac.
05:22Qui était absolument magnifique.
05:23Bon, alors ça, c'est...
05:25Mark Schumann, c'est magnifique.
05:26Ça, c'est formidable.
05:27Encore, peut-être un artiste dont on a un petit peu oublié,
05:30mais Mark Schumann, c'est formidable.
05:31Ah oui.
05:32Le lac majeur.
05:33Ah, oui, le lac majeur.
05:35Il y a quinze ans déjà.
05:42Ma mémoire, il est incertain.
05:50Là, il est bon, Pascal.
05:52Bien écrit, hein ?
05:53Bien sûr, bien écrit, pourquoi vous toutes seules mal.
05:55Qui est-ce qui a écrit, ça ?
05:56Je ne sais pas si...
05:57Ça, c'est Michel Lang.
05:59C'est le réalisateur du film qui a écrit le texte.
06:02Déjà, un été de porcelaine, c'est joli.
06:04Et la musique, c'est Mortimer.
06:07Avec qui vous étiez, très habite ?
06:09Oui, j'aimais beaucoup Mortimer.
06:09Vous étiez à son mariage.
06:10Non, mais surtout, j'étais des soirées avec lui, j'adorais, chez Castel, avec lui.
06:18Bon, il est 17h.
06:20Alors ça, c'est la chanson de voiture.
06:22C'est la chanson de voiture.
06:23Lancée sur Europe 1.
06:25Fuguin de la nuit.
06:26On part en vacances.
06:27La belle histoire.
06:28C'est une chanson géniale.
06:29Extraordinaire.
06:31Un amour de vacances, d'ailleurs.
06:32Ça, c'est une chanson de variété pour moi.
06:34C'est un tube, c'est que vraiment, c'est multigénération et que tout le monde s'y retrouve, même si on n'a pas du tout le même âge dédié dans ce studio.
06:41Oui, et puis quand tu commences, c'est un beau roman, c'est une belle histoire.
06:44J'aime bien ta cible.
06:45Non, mais ça...
06:46Tu vois, il ne faut pas que tu écoutes Pascal Praud, parce que tu verras que les vieux peaux...
06:49Enfin bref...
06:5072, ça, ça, ça a été un tube.
06:53Il y a un côté hippie, vous voyez, dans ses chansons.
06:57Michel Fuguin était un petit bazar.
06:58Voilà, il y a cette atmosphère-là, là encore.
07:01Non, mais c'est vraiment l'amour de vacances.
07:02C'est le début, la rencontre, l'amour, et puis on se sépare.
07:05Bon, c'est fini, les amis.
07:05Il reste 40 secondes et il ne faut pas être en retard.
07:07Il ne faut pas être en retard.
07:08Il ne faut pas être en retard.
07:08Bonne vacance.
07:09Voilà, il faut être très précis avec Laurence Ferrari.
07:11Merci à tous.
07:13Vraiment merci, Caroline.
07:14Bonne vacance.
07:14Merci à vous et la vie.
07:15L'année prochaine.
07:16Vous comptez sur moi, je serai là.
07:20Merci de votre invitation.
07:22Merci, M. Bordet, on compte sur vous.
07:24Merci, M. le directeur.
07:24Ok, bonnes vacances.
07:26Et nous, on se voit.
07:26Et vous comptez pas sur moi.
07:27Mais ok, vous, vous êtes l'essentiel.
07:29C'est fini.
07:31It's over now, baby blue.

Recommandations