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Les sportifs de haut niveau sont-ils voués à des troubles neurologiques ?
Sud Radio
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12/04/2025
Avec Jean-François Chermann, Professeur en neurologie et spécialiste des commotions dans le sport
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00:00
On en parle avec notre invité Jean-François Sherman, bonjour !
00:04
Bonjour !
00:05
Vous êtes le bienvenu évidemment sur Sud Radio, vous êtes chez vous sur Sud Radio, la radio du rugby.
00:10
Vous êtes professeur en neurologie, spécialiste des commotions dans le sport.
00:15
Un témoignage qui a stupéfait la France entière hier.
00:18
L'ancien international Sébastien Chabal qui annonce qu'il ne se souvient plus des matchs qu'il a joués.
00:23
Est-ce que d'abord pour le neurologue que vous êtes, c'est quelque chose de surprenant ou pas ?
00:28
Écoutez, moi je pense, je ne peux pas vraiment vous reparler du cas de Sébastien Chabal que je ne connais pas.
00:34
Je préfère vous expliquer un petit peu ce que c'est que...
00:36
C'est justement le sens de ma question, voilà.
00:39
Mais voilà, moi j'ai soigné plus de 4000 commotionnés du sport, dont une grande partie sont des rugbymen.
00:46
Et donc je suis souvent confronté à des troubles de la mémoire sur le terrain, si vous voulez,
00:52
qui ressemblent à une amnésie, j'avais appelé ça le centre de l'automate,
00:56
parce que quand ils sont touchés par la commotion, ils peuvent avoir des difficultés pour se mobiliser,
01:03
pour se rappeler des choses qui se sont passées récemment,
01:06
et même carrément avoir oublié plusieurs semaines, voire plusieurs mois de leur vie.
01:10
Cette période-là, elle va durer pendant peut-être 30 minutes,
01:13
et après, ou 30 minutes, ils vont récupérer la mémoire ancienne.
01:16
Mais par contre, ils vont oublier complètement les 20-30 minutes
01:19
pendant lesquelles ils ont joué au rugby, ça ne se rappelle pas du tout de ce qui s'est passé pendant ce match-là.
01:22
Donc ça, c'est quelque chose d'assez classique.
01:25
Et après, ce qu'on connaît, si vous voulez, c'est qu'il peut y avoir des joueurs
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qui, à la fin de leur carrière, voire même vers la plus tard, je ne sais pas,
01:33
un disquard dans le prévaré, dans leur carrière,
01:36
ils peuvent avoir des troubles qui apparaissent,
01:38
et notamment des troubles d'attention, concentration,
01:41
des difficultés à stocker les nouvelles informations,
01:44
oublier plus souvent les clés que d'habitude,
01:46
enfin, être obligé de noter beaucoup plus souvent les choses que les autres,
01:50
et ce qu'ils faisaient avant.
01:51
Donc, il peut y avoir des troubles d'attention, concentration.
01:53
Et ensuite, la question qu'on se pose, c'est qu'il pourrait y avoir une entité nouvelle
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qu'on appelle l'encéphalopathie post-traumatique,
02:01
qui est une pathologie qui est identifiée comme la démence du boxeur dans les années 30.
02:08
Et c'est une pathologie qui pourrait être liée soit aux commotions répétées,
02:12
soit aux sub-commotions.
02:14
Les sub-commotions, c'est des impacts un peu plus légers,
02:16
comme des têtes au football, comme des plaquages répétés au rugby,
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sans qu'il y ait forcément une véritable commotion.
02:22
Mais imaginez que vous faites 5 000 têtes en football,
02:24
ou vous faites 10 000 plaquages dans une carrière,
02:28
il y a des impacts à la tête, direct ou indirect,
02:31
qui peuvent un jour, peut-être,
02:32
je dis bien peut-être ce qu'on n'a jamais montré,
02:35
on n'en est pas certain,
02:36
mais ça pourrait en tout cas être responsable
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des problématiques qui peuvent être engendrées,
02:43
à noter, notamment,
02:44
les troubles d'attention-concentration,
02:46
les troubles de l'humeur,
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les maux de tête,
02:48
au bout d'un certain temps.
02:50
Est-ce que ça veut dire qu'aujourd'hui,
02:51
on manque encore de recul,
02:52
parce qu'il n'y a pas assez d'études sur la vie après le sport,
02:56
chez les sportifs de haut niveau ?
02:58
Alors, on manque d'études, surtout pour le rugby,
03:00
parce que le rugby, c'était un sport qui était professionnel,
03:01
comme vous le savez, à partir de 1987.
03:03
Donc, on a très peu de documents sur avant,
03:06
et il y a eu beaucoup de choses qui ont été faites depuis 2005,
03:08
je peux vous dire, d'une façon assez extraordinaire.
03:10
Je pense à Alexis Savigny, avec qui j'ai commencé à travailler au Stade Français,
03:14
on a commencé à mettre un protocole qui s'est avéré devenir le HIA3,
03:17
qui était, en fait, finalement, généralisé à toute la France,
03:20
maintenant, tous les clubs du top 14.
03:22
Le fameux protocole commotion.
03:24
Vous allez nous le détailler, d'ailleurs, dans un instant,
03:26
parce que c'est important.
03:28
Il s'est multiplié dans le rugby, il est fondamental.
03:31
Un mot pour dire, malgré tout, on pense au rugby,
03:33
parce que c'est un sport de contact, par définition,
03:35
qu'on est habitué, d'ailleurs, avec un plaisir,
03:37
un sadique a un gros tampon, le public adore ça, d'ailleurs.
03:41
On s'en félicite quand on le voit, sauf que ça peut être dangereux.
03:44
Mais ça concerne aussi d'autres sports.
03:45
Je prends l'inquiétude, par exemple,
03:47
de tous ceux qui aiment le gardien titulaire de l'équipe de France de football,
03:50
Mike Ménian.
03:51
Il est sorti sur Sivière hier, au terme d'un match en Italie.
03:55
On craint un traumatisme crânien.
03:57
Ça peut avoir des conséquences très graves.
03:58
Alors, c'est évident qu'il faut toujours être bien attentif
04:05
au traumatisme crânien qui survient sur le terrain.
04:08
L'une des choses qui est très importante, c'est que le joueur ne va jamais sortir.
04:12
La plupart du temps, sauf s'il y a une perte de connaissances,
04:13
c'est beaucoup plus simple.
04:14
Mais la plupart du temps, le joueur ne veut pas sortir,
04:16
soit parce qu'il est motivé, parce qu'il veut rester sur le terrain,
04:19
soit parce qu'il a peut-être des perturbations frontales
04:21
qui font qu'il n'analyse pas très bien ce qui se passe.
04:23
Et en fait, même si on devait parler du protocole de Chien après,
04:26
le truc qui est hyper important, c'est que moi,
04:29
je me rappelle avoir entendu les médecins du top 14
04:30
à un moment donné, qui n'en pouvaient plus, si vous voulez,
04:32
de la prise en charge des commotions,
04:34
parce que c'était très complexe.
04:35
Complexe vis-à-vis du joueur, complexe vis-à-vis des entraîneurs,
04:38
complexe parce que quand un très très grand joueur
04:39
a une commotion sur un match qui est très important,
04:41
c'est compliqué de le faire ressortir,
04:42
surtout si le joueur ne veut pas sortir.
04:44
Donc maintenant, avec le médecin,
04:45
on avait voté avec le médecin du top 14
04:47
le poste d'un médecin vidéo,
04:51
c'est un truc hallucinant.
04:52
Quand on a voté ça, je m'en rappelais toujours,
04:53
on s'est dit, mais ce n'est pas possible,
04:54
on ne va pas être accepté.
04:55
En fait, maintenant, il n'y a plus de débat.
04:58
On a l'habitude maintenant d'entendre l'arbitre
05:00
avec son oreillette qui demande au numéro 12
05:03
de sortir parce que le médecin a dit
05:05
qu'il fallait qu'il l'évalue.
05:06
Et il sort, il fait la gueule, mais il sort.
05:08
C'est ça qui est extraordinaire.
05:09
Et donc, il n'a pas le choix.
05:11
Et ça, c'est le progrès auquel on a assisté,
05:13
notamment au top 14.
05:14
Le médecin est plus puissant que l'arbitre aujourd'hui,
05:15
concrètement.
05:16
C'est exactement ce qui se passe.
05:18
Parlez de ce protocole que vous avez mis au point
05:20
et qui s'est généralisé à toute la France,
05:22
à tous les terrains.
05:24
J'ai une suspicion de commotion chez un joueur.
05:28
Qu'est-ce qui se passe ?
05:30
Alors voilà, justement, il y a trois choses
05:32
qui vont se passer.
05:32
Donc, on a mis en place, comme je vous le disais,
05:34
je préfère dire tout simplement
05:36
qu'il n'y avait pratiquement rien en 2005.
05:38
Avant de parler de ça, c'est très important.
05:39
Moi, quand je suis arrivé sur le rugby,
05:41
c'est l'histoire de l'affaire de Minissi
05:42
avec Alexis Sévigny.
05:43
En fait, on me demande de voir si tel joueur,
05:46
si Christophe de Minissi pouvait jouer le match
05:48
quinze jours après la grosse commotion,
05:49
la commission spectaculaire qu'il avait fait contre l'Italie.
05:53
Et à l'époque, la règle, c'était très simple.
05:55
C'est trois semaines après une commotion,
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sauf si un neurologue donne son accord pour qu'il joue avant.
06:00
Nous, le match, il devait, alors, quinze jours après,
06:02
au Parc des Princes, premier match délocalisé.
06:04
Donc, c'était vraiment une pression énorme.
06:06
Les affiches dans la rue, c'était
06:07
Wilkinson contre de Minissi.
06:10
Et en fait, au bout du compte,
06:11
ni l'un ni l'autre n'a joué.
06:12
C'était un peu la petite anecdote.
06:15
Et toujours est-il qu'il y avait une pression
06:16
qui était quand même énorme
06:18
pour que, justement, de Minissi puisse jouer.
06:20
Même si moi, je n'ai pas reçu de pression particulière
06:22
de la part de l'entraîneur ou quoi que c'est ça.
06:23
On ne la prend pas à la légère, la décision.
06:25
Mais bon, c'était intéressant.
06:26
Donc, il y avait ce truc-là qui est arrivé
06:27
et on s'est dit, ce n'est pas possible.
06:29
Ça ne peut pas être juré comme ça.
06:30
Il faut qu'on mette en place quelque chose.
06:31
Donc, on a mis en place le HIA 3
06:33
et les anglo-saxons, eux,
06:34
ont mis en place le HIA 1 et HIA 2.
06:36
Alors, ça veut dire quoi ?
06:37
Ça veut dire que quand vous suspectez une commotion,
06:42
il y a un process qui rentre en jeu
06:43
qui s'appelle le Head Injury Assessment.
06:45
Alors, d'abord, le Head Injury Assessment 1,
06:48
c'est que vous avez des critères immédiats
06:50
évidents de commotion,
06:51
à savoir, il y a une part de connaissance.
06:53
Il y a quelqu'un qui se lève et qui titube,
06:56
par exemple, ou il y a quelqu'un
06:57
qui a vraiment des troubles de la mémoire
06:58
de manière évidente, on lui pose des questions
06:59
et je ne sais pas où il y a.
07:00
Il n'y a même pas besoin de faire le protocole.
07:02
Il sort du terrain, il ne reviendra pas.
07:05
Celui chez qui on a vu un énorme tampon,
07:07
comme vous dites là.
07:08
Et on se dit, oh là là, celui-là,
07:09
il a l'air d'être bizarre.
07:09
Après, on n'est pas sûr qu'il soit normal.
07:11
On le sort et là, on va l'évaluer.
07:12
Et là, on va lui passer des tests
07:14
qui sont des tests de mémoire,
07:17
des tests d'équilibre
07:17
et on va l'évaluer sur tous les symptômes.
07:19
On a à peu près une vingtaine de symptômes.
07:22
Est-ce que tu as mal à la tête ?
07:23
Est-ce que tu te sens fatigué ?
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Est-ce que tu as envie de vomir ?
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Est-ce que tu te sens triste ?
07:27
Est-ce que tu as envie de pleurer ?
07:28
Est-ce que ceci et cela ?
07:29
Et en fonction de toute l'évaluation
07:31
qui dure quand même au moins 12 minutes.
07:33
Vous savez, c'est intéressant
07:34
parce qu'on stigmatise beaucoup le rugby.
07:39
Dans le handball,
07:40
il faut savoir que le médecin rentre sur l'air de jeu
07:43
et il pose trois questions.
07:46
Ça va, tu te sens bien ?
07:47
Tu sais où t'es ?
07:48
Ouais, bon, ok, c'est bon.
07:49
Moi, je trouve que c'est un truc hallucinant.
07:51
Ce n'est pas possible qu'en trois questions,
07:53
on puisse évaluer le joueur correctement.
07:55
Donc, en d'autres termes, aujourd'hui,
07:56
le rugby est en avance sur les autres.
07:58
Lui qui est parti plus tard
07:59
parce qu'il était professionnel plus tard.
08:01
J'ai une dernière question
08:02
qui parlera à beaucoup d'amoureux du rugby
08:05
qui ne se contentent pas
08:06
d'écouter le sud-radio rugby
08:08
mais qui regardent les matchs aussi.
08:09
Pourquoi certains joueurs
08:10
comme Louis Bielbiaré ont des casques
08:13
et d'autres non, par exemple,
08:14
comme Damien Penault ?
08:15
Est-ce que pour vous,
08:16
il faudrait qu'ils en portent tous un
08:18
comme Louis Bielbiaré ?
08:19
Non, pas du tout
08:20
parce qu'en fait, on se rend compte
08:21
que le casque n'a pas d'intérêt
08:22
pour les commotions.
08:23
Regardez, en football américain,
08:24
c'est un espace qui a plus de commotions
08:25
dans tous un casque,
08:26
donc ça n'a pas d'intérêt.
08:26
Maintenant, ce qui est très important,
08:27
le message qu'il faut arriver
08:28
à passer à mon avis aujourd'hui,
08:30
c'est vous êtes parent,
08:32
vous avez un enfant qui joue au rugby
08:33
et vous le laissez au rugby.
08:34
C'est un sport extraordinaire.
08:35
Ma fille joue au rugby,
08:36
je peux vous dire.
08:37
Et donc, à rien au monde,
08:37
je l'enleverai au rugby
08:38
parce qu'elle adore ça.
08:39
Par contre, si un joueur
08:40
ou une joueuse fait une commotion,
08:42
il faut l'enlever de l'air de jeu.
08:43
C'est fondamental.
08:44
Et la dernière chose que je veux dire,
08:45
c'est qu'il faut se préoccuper
08:46
des amateurs et des jeunes
08:47
et notamment ce qui se passe.
08:49
La grande, grande invention
08:50
qu'a eu lieu au rugby aussi,
08:51
c'est le carton bleu.
08:53
Qui distribue le carton bleu ?
08:55
C'est l'arbitre.
08:56
Et on doit pouvoir faire ça
08:57
dans tous les sports.
08:58
Je pense au handball,
08:59
je pense au football, au basket.
09:00
Quand un arbitre suspect
09:01
une commotion,
09:03
il pose un carton bleu.
09:04
Ça veut dire que le joueur
09:05
sort immédiatement
09:06
et ne pourra revenir
09:07
pratiquer le rugby
09:09
qu'après plus de trois semaines
09:11
si c'est un moins de 19 ans
09:12
et pas plus de 12 jours
09:14
si c'est un plus de 19 ans
09:15
mais dans le meilleur des cas.
09:16
Ça, c'est une règle
09:17
qui me paraît très importante.
09:19
Et comme ça, on peut sauver
09:20
parfois même des vies d'ailleurs.
09:21
C'est pour ça que c'était important
09:22
d'en parler.
09:23
Merci beaucoup.
09:24
C'était passionnant
09:24
Jean-François Sherman.
09:26
Je rappelle que vous êtes
09:28
professeur en neurologie
09:29
et spécialiste des commotions
09:30
dans le sport.
09:30
On en reparlera évidemment
09:31
sur Sud Radio,
09:33
la radio du rugby.
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